Souvenirs...
Posté 25 janvier 2025 - 15:34
Souvenirs...
Posté 27 janvier 2025 - 09:12
Je me trompe peut être, mais de mémoire le match en début de saison 2011 entre les deux avait été épique.
Ça a surtout commencé un soir de finale en 2009 où les Perpignanais avec la complicité crasse de Matheu ont multiplié les mauvais gestes en toute impunité.
La rentrée en mêlée bien dégueulasse visant a généré une nouvelle blessure à Scelzo.
Un Lecorvec qui vient "tarter" Jamie qui ne bronche pas.
Les consignes strictes de Cotter appliquées à la lettre, je peux te dire qu'il l'avait mauvaise Jamie.
Pour celle de 2010 je le croise peu avant, en le saluant je lui demande si les consignes sont les mêmes ?
En retour j'ai eu droit à un grand sourire carnassier qui ne laissait pas la moindre place au doute.
D'ailleurs dès l'entame Planté chacaille Rougerie (Capitaine d'exemple) qui lui colle deux tartes en bord de touche.
Le match était lancé sous d'autres dispositions que celui de la précédente finale, on connait la suite.
Posté 27 janvier 2025 - 10:37
Posté 04 février 2025 - 07:50
"Il y a plein de façons de rentrer dans le cerveau du mec" : Thomas Ceyte, leader à l'ancienne à l'ASM Clermont
De tous les joueurs recrutés l’été dernier par l’ASM, le deuxième ligne ardéchois est incontestablement celui qui a endossé le plus naturellement et facilement le costume de leader. Un statut que Thomas Ceyte revendique, avec une façon d’agir un peu à l’ancienne.
Il y a mille façons pour un rugbyman d’entrer dans son match. Une multitude de manières de se préparer mentalement au combat que reste un match de rugby, quand on joue devant. Encore plus lorsque votre poste vous expose aux confrontations physiques et directes.
Thomas Ceyte, 33 ans, a grandi rugbystiquement dans un environnement amateur où on ne se tapait plus la tête contre les murs, mais dans lequel on se resserrait très fort dans le vestiaire avant d’aller en découdre sur le terrain. Aujourd’hui, celui qui a découvert le rugby professionnel à seulement 24 ans, a sa méthode à lui pour se chauffer les épaules et faire monter l’adrénaline.
Cudmore, O’Connell… des exemples.
Face à Bordeaux, début novembre au stade Michelin, on l’a vu se « tracasser » avec Jefferson Poirot (pilier de l’UBB) sur le premier regroupement de la rencontre.
Et quand le jeu est trop loin de sa zone d’intervention, alors, Thomas Ceyte peut user des vieilles ficelles. « Se brancher un peu avec un mec en face me permet d’entrer dans le truc, ça m’oblige à être vigilant tout de suite. À regarder dans le rétro si le gars ne va pas essayer de me surprendre. Moi, ça me met dans le bain et quand ça chicane à plusieurs, et ben, on se resserre et tout le monde est connecté, tu vois… »
On voit bien, en effet, le concept, il nous ramène quelques années en arrière… À une époque, où Thomas Ceyte, adolescent et rugbyman en herbe, avait ses idoles. « J’adorais Rodrigo Capo Ortega à Castres et Jamie Cudmore, ici à l’ASM. Des combattants plus que des joueurs de ballon, mais des mecs qui fédéraient, derrière lesquels tu pouvais avancer. Cudmore, j’ai encore en tête ses bagarres avec Paul O’Connell, l’Irlandais du Munster. Voilà le type de joueurs et d’affrontements qui m’ont vraiment inspiré ».
Aujourd’hui, l’ancien Bayonnais est un acteur majeur de l’ASM, qui sait montrer les muscles s’il faut joueur les « papas » du pack.
Thomas Ceyte, c’est également celui qui tchatche souvent sur le terrain. Là aussi, un peu à l’ancienne, histoire d’entrer dans la tête de ses adversaires. « On m’a mis cette étiquette, c’est vrai, je l’assume. Je chambre, mais ils sont nombreux à parler sur un terrain. Il y a plein de façons de rentrer dans le cerveau du mec pour le faire déjouer, ou dégoupiller. Un lanceur en touche, par exemple, c’est une bonne cible pour tenter de le dérégler ».
Ceyte se fixe néanmoins des limites, car il se sait, parfois, dans le viseur de l’arbitre. « Attention, il ne s’agit jamais d’insulter le mec. Et puis, quand j’ai attaqué le rugby en amateur, ça parlait tout le temps. Là, ça va trop vite. Mais si tu veux brancher un peu, faut être intelligent, et rester discret ».
France - Nouvelle-Zélande, 1999 : une passion est née
Très souvent, un destin sportif ne tient pas à grand-chose, ou du moins à des émotions fortes. Concernant Thomas Ceyte, c’est un match de dingue des Bleus face aux All Blacks de Jonah Lomu, ainsi qu’une liesse populaire pour célébrer une victoire historique du club de sa ville qui ont allumé les yeux du jeune Thomas, à l’âge de 9 ans.
Nous sommes en 1999, le RC Aubenas joue la finale du championnat de Nationale 1 contre Graulhet, un des illustres clubs du Tarn. « Je ne me souviens pas du résultat, mais je sais qu’avec cette victoire, Aubenas accédait à la deuxième division (Pro D2) pour la première fois de son histoire. Et puis, il y avait 29 ans qu’une équipe ardéchoise n’avait pas été sacrée championne de France. Je crois même que la dernière fois, c’était La Voulte en première division, vainqueur de l’ASM (1970, NDLR). L’engouement dans la ville avait été énorme, exceptionnel et cette ambiance m’a marqué et cela m’a forcément attiré ».
"Je ne comprenais pas grand-chose à ce sport"
Pourtant, à l’époque, le petit Ceyte n’est pas forcément un fan de rugby. Quelques mois après le sacre d’Aubenas, un autre événement, vécu celui-ci devant la télé, va définitivement le convaincre de s’essayer à la balle ovale.
« La France affrontait la Nouvelle-Zélande en demi-finale de la Coupe du monde à Twickenham. Je ne comprenais évidemment pas grand-chose à ce sport, à ses subtilités tactiques, mais le scénario renversant du match a rendu fou tous ceux qui étaient dans le salon de mes parents devant l’écran. J’ai été pris dans le tourbillon et à partir de là, je n’ai eu qu’une envie, celle de jouer au rugby. Je l’ai dit à mon père, qui était joueur, il était super content ».
Christophe Buron (LM - 04/02/25)
Posté 05 février 2025 - 08:26
Posté 05 février 2025 - 10:30
https://youtu.be/9rB7Iv9iq9w
Souvenirs...
Posté 05 février 2025 - 23:48
si on le fait trop jouer on connait les risques ..
Posté 06 février 2025 - 06:51
si on le fait trop jouer on connait les risques ..
+1 ça fait que logiquement , il est moins flamboyant depuis qqs matchs...il est rincé , cuit , rôti , et cette coupure va lui faire un bien énorme du moins je l 'espère !
Quand même si maintenant à l 'A SM on exige de recruter des psychologues , là on va avoir enfin une longueur d'avance....Heureusement que qu'il se nomme Ceyte et pas Pesenti !
0 members, 1 guests, 0 anonymous users