553 réponses à ce sujet

[julien]

5A - Massa - Montagne
Lanen - Ceyte
Dessaigne - Sowakula - Tixeront
Jauneau - Urdapilleta
Simone - Darricarrère
Raka - Tauzin
Hamdaoui

Frisach Fourcade Ojovan Yato Hemery Fischer Bézy Belleau

C'est un peu cruel pour Newsome et Delguy qui sont en forme, mais il y a moyen de faire de belles compo à seulement 4 non-jiff.
Sur les autres matchs on oublie Urda et 5a et on peut intégrer Fainga'a et 1 autre: Kremer si Dessaigne n'est pas au niveau, Newsome ou Delguy sinon.

 

On est largement dans les clous pour les 16 jiffs, très loin du compte pour le bonus 17 jiffs, autant aligner la meilleure équipe possible!

[jose5]

 
On est largement dans les clous pour les 16 jiffs, très loin du compte pour le bonus 17 jiffs, autant aligner la meilleure équipe possible!

Peut-être, oui. Je laisse les comptes d'apothicaire à Xdderf ;-)
Mais il y avait largement moyen d'atteindre la moyenne de 17 sans perdre en compétitivité amha.

[zebdomes]

Feybian, c'est en hommage à Feybian Galthié ?

      Excellentissime !

[RCV06]

Je pense qu'un compétiteur se nourrit de ce que son public lui donne. Dans un sport comme le rugby où l'engagement mental est un paramètre très important de la performance, être devant son public et l'entendre te pousser est un gros avantage. Ce n'est pas un hasard s'il est si difficile de gagner à l'extérieur dans ce sport. Ce que tu décris peut arriver si tu te prends totalement les pieds dans le tapis mais au début du match, aucune raison que ton public te conspue, au contraire. Tu vas te nourrir de cette énergie.

 

A l'extérieur, c'est tout le contraire. C'est l'adversaire qui bénéficie de ce supplément d'âme et tu le sais. Mentalement, il faut accepter cela et être prêt à souffrir encore plus sans l'énergie supplémentaire des supporters. C'est pour cette raison que je me dis qu'il y a des joueurs très à l'aise à la maison mais qui se diluent à l'extérieur et d'autres qui la pression adverse stimule. Dans un autre sport, Djoko puise clairement dans l'hostilité du public une énergie supplémentaire, il l'a souvent évoqué. Ce n'est pas le cas de tout le monde, indépendamment du fait qu'à l'extérieur, il faut accepter de jouer un autre rugby, plus rugueux, plus limité. Je pense qu'un staff doit savoir si un joueur est capable mentalement de voyager ou s'il vaut mieux, sur ces matchs en terre hostile, laisser le mec à la piaule parce qu'il a du mal à faire face même si techniquement il est supérieur à celui qui exulte quand les tribunes le sifflent.

Le supplément d’âme à domicile tu l as si les choses se passent bien, quand ça se passe mal les tribunes sont souvent muettes et vers la fin de match ça peut vite passer a la bronca.

Le public suit le mouvement, si l équipe impulse il suivra mais sinon il va vite se taire.

La victoire a domicile est impérative c'est ça qui rajoute la pression, a l extérieur si tu gagnes c'est top si tu perds c'est presque "logique", donc moins de pression.

[Parigot_Paris]

Je me répète, mais après moultes discussions avec des joueurs j'ai conclu que la seule façon pour un supporter de peser sur le jeu c'est d'encourager, sans conditions ni réserve. Par exemple, nous avons un dix dont le jeu au pied laisse franchement à désirer. Chaque fois que je le croise je le complimente : "tu m'as l'air en forme", "ça va bicher grave" etc. L'enfoncer ne sert strictement à rien d'une part et d'autre part c'est le boulot du coach, entraîneur ou préparateur mental de questionner le joueur.

 

Urios : Urda, tu es à la limite. Trouve un truc, un processus face au but, un style, quelque chose qui fasse grimper ton pourcentage de réussite !

 

Urda : Qué y'aille réplanter les roses dans mon yardin à Chamayères !

 

Urios : tu te fous de moi ?

 

Urda, milles excouses por favor, y a plou dé piles dans mon sonotone, ya croyais qué tou donnais dé trouc dé yardinage !

[Tonyasm!]

Feybian, c'est en hommage à Feybian Galthié ?

Non à Cudmore et Bardy... "Feybian Bro!!"

[Milian]

 

Sur tous les terrains???? Nulle part excepté au Michelin, soit 3 ou 4 matches dans sa carrière 

Non ca a duré un peu plus que uniquement au Michelin, en phase finale de top 14, il se faisait huer meme quand il jouait pas contre Clermont. Ca a duré un peu cet épisode.

[La Berthe]

 
Sur tous les terrains???? Nulle part excepté au Michelin, soit 3 ou 4 matches dans sa carrière 

Il a été hué bien plus loin qu'à Clermont, notamment en phases finales.

Je ne sais pas s'il en a tiré de la force, en tout cas il en a tiré de la chouinerie et de la rancoeur.

[kennaugh]

Je me répète, mais après moultes discussions avec des joueurs j'ai conclu que la seule façon pour un supporter de peser sur le jeu c'est d'encourager, sans conditions ni réserve. Par exemple, nous avons un dix dont le jeu au pied laisse franchement à désirer. Chaque fois que je le croise je le complimente : "tu m'as l'air en forme", "ça va bicher grave" etc. L'enfoncer ne sert strictement à rien d'une part et d'autre part c'est le boulot du coach, entraîneur ou préparateur mental de questionner le joueur.

Ça dépend des caractères des joueurs je pense, encourager sans aucune condition ça favorise aussi très fortement "l'endormissement" des joueurs. Si on parle de foot par exemple, dans un club comme le Real ils n'hésites pas à siffler un joueur aprés 2 mauvais match (même Cristiano Ronaldo a été sifflé la-bas), c'est un peu extreme bien sûr, mais quand tu écoutes les gars parler quelques temps aprés, ça pousse à la remise en question et savoir ça permet aussi de te laisser sous pression en permanence. 

 

Il a été hué bien plus loin qu'à Clermont, notamment en phases finales.

Je ne sais pas s'il en a tiré de la force, en tout cas il en a tiré de la chouinerie et de la rancoeur.

J'ai le souvenir de la demi finale qui a suivi à Nantes contre Toulouse où il avait pris une bronca.

[Very Good Eshvili]

Non ca a duré un peu plus que uniquement au Michelin, en phase finale de top 14, il se faisait huer meme quand il jouait pas contre Clermont. Ca a duré un peu cet épisode.

 

 

Il a été hué bien plus loin qu'à Clermont, notamment en phases finales.

Je ne sais pas s'il en a tiré de la force, en tout cas il en a tiré de la chouinerie et de la rancoeur.

 

oui, je me souviens d’une interview où il se plaignait, en mode « mes enfants souffrent de ce que je subis », mais il n’avait pas attendu Dublin pour cultiver la posture de mauvais garçon. Du coup Dublin m’avait paru comme une péripétie parmi d’autres du péripatéticien en question.

[frednirom]

 

Sur tous les terrains???? Nulle part excepté au Michelin, soit 3 ou 4 matches dans sa carrière 

si si , il a bien eu quelques semaines compliquées suite à sa connerie et pas qu'au michelin. Ça m'avait fait plaisir cette solidarité entre clubs à l'époque.

[Very Good Eshvili]

si si , il a bien eu quelques semaines compliquées suite à sa connerie et pas qu'au michelin. Ça m'avait fait plaisir cette solidarité entre clubs à l'époque.

Sur le coup je m’étais dit mais quel connard, mais bon le soir même j’avais oublié, plus en mode trauma que résilience. Vous avez donc certainement raison

[P'tit Jaune (et bleu)]

Castres - ASM : "un moment particulier" pour l'entraîneur clermontois Siaki Tukino, à la fois adversaire et père de famille
 
Le match à Castres de samedi est un rendez-vous primordial pour lASM Clermont dans la course au Top 6. Cest aussi un moment particulier pour lentraîneur Siaki Tukino avec son fils aîné Feibyan dans les rangs adverses.
 
Ballon sous le bras, Siaki Tukino (ou Koula, comme tout le monde le surnomme au club) observe lentraînement intensif des Clermontois avant le déplacement à Castres. À chaque temps mort, lentraîneur chargé des « skills collision » nhésite pas à corriger les éventuelles mauvaises attitudes. On sent limportance du rendez-vous de samedi... 
 
Le technicien jette probablement aussi un il discret à son fils Crimson. En attendant de trouver un club, le deuxième de la fratrie participe chaque semaine aux oppositions. Comme ses deux frères, Feibyan et River, Crimson avait été recruté en 2021 par le Castres Olympique pour intégrer lacadémie. Cétait la première fois quun club de haut niveau misait sur trois garçons dune même fratrie.
 
Quatre ans plus tard, seul laîné, Feibyan (23 ans), a percé au CO. Avec onze feuilles de match cette saison, dont cinq comme titulaire, le troisième ligne centre est devenu un modèle et une fierté pour cette grande famille de sept enfants (deux filles et cinq garçons). Notamment lorsquil a foulé la pelouse du stade Marcel-Michelin lors dun match aller remporté par lASM Clermont.
 
« Cest un moment particulier pour moi quand on joue contre Castres, sourit le père. Face à nous, Feibyan avait fait son match malgré lampleur du score (victoire 54-10 de Clermont). Ce nest pas facile de jouer au Michelin, et jai trouvé quil avait sorti une bonne performance. Toute la famille était très fière de lui. Bien sûr, mon engagement avec lASM reste prioritaire. Mais ce lien père-fils est spécial. Je ne cache pas avoir jeté un il, de temps en temps, sur la performance de mon fils. »
 
Un papa au soutien
Samedi soir, la présence de Feibyan sur la pelouse reste incertaine. Le troisième ligne vient tout juste de reprendre lentraînement après une blessure au genou. Comme lensemble de ses coéquipiers, il a également été fortement marqué par la disparition tragique de Josua Raisuqe, survenue il y a deux semaines. Les deux joueurs étaient très proches : Feybian voyait en lui un grand frère.
 
Dans cette épreuve, Siaki Tukino a naturellement endossé son rôle de père pour soutenir son fils aîné. « Josua avait un impact très positif autour de lui, et pas seulement sur le terrain. Bien sûr que le fiston a été très touché. Cétait un ami. Sa disparition nous a profondément choqués. Évidemment, nous en avons parlé ensemble. Je nose pas imaginer ce que vivent les parents de Josua. En tant que papa, on ne peut pas concevoir un tel drame. Ce nest pas normal de perdre un fils »

 
Samedi soir, le rugby devra reprendre ses droits. Tel est le cours de la vie. Et comme le dit avec beaucoup dhumilité et de respect lentraîneur clermontois : « la plus belle manière de rendre hommage à ce garçon sera de produire le meilleur match possible. » 
 
Arnaud Clergue (M - 22/05/25)

Jeune fils chez nous aussi

[Babé03]

"On a fait bloc" : avant Castres - ASM, Paul Jedrasiak évoque le drame qui a frappé le CO avec le décès de Josaia Raisuqe À deux jours du match Castres - ASM (ce samedi, 21 heures), l’ancien Clermontois Paul Jedrasiak, qui a rejoint le CO en début de saison, évoque la période douloureuse que viennent de vivre les Castrais à l’occasion de la mort accidentelle de l’ailier Josaia Raisuqe.

Paul, on imagine que vous venez de vivre des moments très éprouvants...

« Cela a été très compliqué. C’est la première fois que je traverse une telle épreuve en club. On a éprouvé le besoin de se resserrer. Le groupe a fait bloc. Dans ces moments, le club a été remarquable en faisant le maximum pour nous aider avec la mise en place par exemple d’une cellule psychologique. Il a apporté aussi un concours sans faille sur le plan matériel à la famille de Josh. »

Comment rejouer au rugby dans ce contexte ? 

« Comme je l’ai dit, nous avons éprouvé le besoin de retourner à l’entraînement très vite, de se retrouver, de partager des moments avec les coéquipiers. Il y a eu ce premier match à Bordeaux où l’on a vécu un moment fort en émotions après la rencontre, en cercle au centre du terrain, en communion avec la famille de Josh. Tout cela a été important. Nos leaders et Xavier (Sadourny) ont fait passer des messages. Les autres Fidjiens du groupe ont eu un rôle important. Ils ont aussi beaucoup parlé. Il ne faut pas que l’affect l’emporte, mais que l’on pense désormais à jouer pour lui. Le point de bonus défensif ramené de Bordeaux (34-29), samedi dernier, prend une drôle de valeur dans ce contexte. »

Vous êtes très croyant ; pour les Fidjiens, la foi constitue également quelque chose de très fort. Cela vous a-t-il aidé à traverser cette période ?

« Bien sûr, cela a énormément compté dans le travail de deuil. Le dimanche après son décès, nous avons assisté à une émouvante cérémonie religieuse. Le pasteur a délivré un magnifique message d’espoir. À travers les chants et les prières, on a partagé quelque chose de fort. Je pense que cela a aussi compté pour ceux qui ne sont pas croyants. »

« Une rencontre déterminante pour les deux clubs »

Et puis, il y a la réception de Clermont ce samedi (21 heures)...

« C’est une rencontre déterminante pour les deux clubs dans l’optique de la qualification pour les phases finales. On s’attend à un match difficile face à une équipe qui possède un pack costaud et qui compte des facteurs X derrière. »

Personnellement, comment avez-vous traversé cette première saison au CO ? 

« La première partie a été délicate car je suis arrivé blessé (pectoral). Il y a aussi une grosse concurrence à mon poste. Mais c’est ce que je recherchais. Depuis la nomination de Xavier (Sadourny), je suis parvenu à enchaîner les matchs (Il devrait d’ailleurs être sur la feuille de match, ce samedi, NDLR). Je me suis retrouvé dans les valeurs de ce club. Ce que j'ai trouvé ici correspond à ce que je pensais. »

Cette saison encore, le CO est présent...

« Certes, notre parcours en Champions Cup fera date avec une qualification en quart après un match en huitièmes contre Trévise. Mais on ne pourra dire que la saison est réussie que si on se qualifie dans le top 6 qui était encore l’objectif principal en début de saison. »

[gregouarrrr]

On va encore se farcir Urda... Pas que j'apprécie pas son engagement, sa gnac  mais c'est quand même une saison de trop

vu le dernier match qu il a fait, il merite LARGEMENT sa place ....

 

des fois je me demande si ceux qui portent des critiques, regardent les matchs ....