1025 réponses à ce sujet

[jm12]

En attendant la dernière mise à jour de Zebdomes on devrait avoir à l'infirmerie :

Pierre FOUYSSAC 

Giorgi DZM
Etienne FALGOUX
Tom RAFFY 
Barnabé MASSA 
Léon DARRICARRERE 
Tévita RATUVA

Axel GUILLAUD

 

J'en ai peut-être oublié?

Guillaud ? la commotion est avérée ?

[zebdomes]

Avants :

Falgoux : cheville, match face au LOU (22/11), durée indisponibilité non précisée, forfait USAP

Dzmanashvili : cheville, entrainement (9/12), durée indisponibilité non précisée, forfait USAP

Ratuva : cheville, match face à Sale (13/12), durée indisponibilité non précisée, forfait USAP

Massa : cheville, match face au SF (29/11), 3 à 5 semaines, devrait revenir pour l'USAP ou plus vraisemblablement l'UBB, au pire Montauban, incertain USAP

 

Arrières :

Raffy : genoux, forfait USAP

5R : opération épaule (09/12), 3 à 4 mois d'indisponibilité  , forfait USAP, de retour pour J21 ? (18/04)

Fouyssac : alerte tendon d'Achille, match Racing (27/9), durée indisponibilité non précisée, a priori incertain USAP (à préciser)

Guillaud : commotion probable, match face à Sale (13/12), durée indisponibilité non précisée, incertain USAP

 

 

Suspensions :

 

 

Conges Internationaux / Sélections

 

 

Retours espérés :

[Le Marseillais]

7 blessés, c'est correct.

[Boulard]

7 blessés, c'est correct.

Et un disparu, le fond de jeu

[Le Marseillais]

Et un disparu, le fond de jeu

Oui, mais la durée d'indisponibilité risque d'être plus longue là 

[zebdomes]

7 blessés, c'est correct.

Vrai sauf que les valides sont sur la jante...

[Le Marseillais]

Retours de Jauneau, Delguy, Montagne, PGS,  ça devrait faire du bien.

[Arverne03]

Retours de Jauneau, Delguy, Montagne, PGS,  ça devrait faire du bien.

Théoriquement, théoriquement. Avant la dernière rencontre de Coupe d'Europe on annonçait aussi des retours qui, de toute évidence, n'ont rien apportés ...........................

[clermontoisdebraga]

Rien sur Frier et sa jambe qui a fait un sacré twist ?

[RCV06]

Rien sur Frier et sa jambe qui a fait un sacré twist ?

A cet age la c'est encore souple   

[clermontoisdebraga]

Il mas quand même bien fait flipper quand jai vu, et même lui a boiter sur quelques mètres, peut être dappréhension je sais pas

[exilé-sud-ouest]

A cet age la c'est encore souple   

Alors qu'à ton âge c'est hélas beaucoup trop souple! 😉😜

[RCV06]

Alors qu'à ton âge c'est hélas beaucoup trop souple!

Non ça va merci   

[Corse63]

Et un disparu, le fond de jeu

 

Alerte enlèvement, le fond de jeu est âgé de 8 ans, il était vêtu de loques au moment de sa disparition

[el landeno]

Rugby. « Depuis la coupure du Covid, c’est la lessiveuse » : y a-t-il davantage de blessures en Top 14 ?

Le Palois Joe Simmonds s’est blessé au mollet le 18 octobre et a rechuté au moment de revenir dans le groupe. © Crédit photo : David Le Deodic / SO

Par Vincent Romain

Publié le 18/12/2025 à 19h30.

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Les infirmeries de plusieurs clubs, notamment La Rochelle, Bayonne et Pau, sont particulièrement garnies cette saison. La conséquence de multiples facteurs, sur lesquels les staffs n’ont pas toujours de prises

En ce moment, pour être un rugbyman en bonne santé et en pleine possession de ses moyens, il vaut mieux respirer l’air du périphérique parisien plutôt que celui des littoraux et des montagnes du Sud-Ouest. On plaisante, mais le constat est implacable à la veille de la 12e journée de Top 14 : quatre joueurs blessés au Stade Français, trois au Racing 92, tandis que les infirmeries de la Section Paloise (qui vient d’accueillir Aaron Grandidier-Nkanang et Mickaël Capelli), de l’Aviron Bayonnais, du Stade Rochelais sont les plus garnies du championnat avec au moins une douzaine de pensionnaires.

Des rugbymen blessés, ça n’a rien de nouveau. Disposer d’un effectif au complet relève du miracle, encore plus en cette saison où les terrains sont en moins bon état, où les virus de l’hiver affaiblissent les organismes, et où les corps peuvent subir le contrecoup d’un début de saison mené tambour battant avec neuf matchs consécutifs. « On est dans la période de l’année la plus délicate jusqu’à début janvier, avec la Coupe d’Europe et le Boxing Day (le week-end du 28 décembre, NDLR) confirme un médecin de club. La deuxième moitié de saison est plus allégée, notamment grâce au Tournoi où on n’aura qu’un seul doublon. »

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« On passe à la caisse »

Difficile de comparer précisément les saisons entre elles. La dernière grande étude sur le sujet avait été commandée par TechXV, le syndicat des entraîneurs, et portait sur la période 2012-2015. En attendant l’uniformisation la saison prochaine des données médicales de chaque club, qui permettront un recensement précis, il faut se fier aux propos de Bernard Dusfour, président de la commission médicale de la Ligue : « Chaque année, après la Coupe d’Europe, le sujet revient. Mais on ne recense pas plus de blessures que d’habitude. Il suffit parfois qu’un joueur très connu se blesse pour qu’on ait l’impression d’une augmentation. »

De là à pointer du doigt les préparateurs physiques et les staffs médicaux des clubs à la bobologie la plus élevée ? Personne ne s’y risquera publiquement, mais le cas perpignanais est intéressant. L’été dernier, les préparateurs physiques ont été remplacés notamment pour enrayer la dynamique de blessures. Un mois et demi seulement après le début de la saison, 15 joueurs étaient indisponibles… La gestion du cas Posolo Tuilagi et de la pubalgie d’un jeune joueur a aussi fait grincer des dents.

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À l’instar de l’Usap, des clubs ont intensifié la préparation d’intersaison. C’était le cas de Clermont (qui a subi une multiplication des pépins physiques dans ses lignes arrière, au point de rappeler un joueur prêté) et La Rochelle. Le groupe maritime, vieillissant et très sollicité ces dernières années, a enregistré plusieurs blessures musculaires, au mollet notamment. L’Union Bordeaux-Bègles peut aussi en témoigner : au sortir d’un exercice 2024-2025 éreintant, elle a vu la liste des joueurs indisponibles s’allonger à l’automne (« on passe à la caisse », disait le manager Yannick Bru), puis revenir progressivement à un niveau plus habituel.

« La lessiveuse »

Si les blessures musculaires sanctionnent souvent une sollicitation excessive ou une mauvaise préparation, les blessures articulaires – majoritaires – relèvent davantage de la fameuse « faute à pas de chance », par exemple un choc. Elles peuvent aussi être liées aux conditions de jeu. À Pau, déjà frappé par une hécatombe l’an dernier, la pelouse du centre d’entraînement (en attendant le nouveau complexe dont la première pierre vient d’être posée) est bien plus difficile que celle du Hameau, où les joueurs s’entraînent régulièrement. Les terrains hybrides, désormais généralisés, sont aussi réputés moins souples et davantage à risque pour les chevilles.

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Enfin, par-delà l’agrandissement des effectifs et la plus grande vigilance sur les commotions, il reste le sort qui s’acharne, comme quand Bayonne perd six joueurs en un seul match en octobre. « C’est là qu’il faut éviter de rentrer dans un cercle vicieux, celui où tu utilises les mêmes mecs parce que d’autres sont blessés », soupire un membre de staff. Selon qui « depuis la coupure du Covid en 2020, c’est la lessiveuse ». Au point qu’une grave blessure peut être considérée comme un mal pour un bien : « Demandez à Antoine Dupont s’il ne sent pas plus frais physiquement et mentalement. » Qui sait, peut-être que le demi de mêlée a profité de ses sept mois d’absence pour aller humer le bon air du périph’ parisien…