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[ Avant match ] ASM - Stade Toulousain


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428 réponses à ce sujet

#421 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté hier, 20:18

Ramos, Barassi et de mémoire Graou qui n'ont pas joué les matchs amicaux.... :o

Ben Graou préservé avec l'absence de Dupont, c'est logique, de meme que Ramos en l'absence de Kinghorn et capuozzo pour la reprise  ^_^

Bon et puis c'est comme le vélo, la ouinne ça s'oublie pas  :fume:


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#422 Patator

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Posté hier, 20:40

Toulouse : 15. Ramos ; 14. Delibes, 13. Barassi, 12. Ahki, 11. Lebel ; 10. R. Ntamack, 9. Graou ; 7. Jelonch, 8. T. Ntamack ou Roumat, 6. Banos ou Cros ; 5. Meafou, 4. Flament ; 3. Aldegheri, 2. Marchand (cap.), 1. Neti ou Baille.

 

Remplaçants : 16. Cramont, 17. Baille ou Neti, 18. Vergé ou Brennan, 19. Cros ou Banos, 20. Roumat ou T. Ntamack, 21. Saito, 22. Gourgues, 23. Mallez.

 

 

Oh ça va ! A peine 10 ou 11 joueurs de l'EDF. Tranquilou.



#423 el landeno

el landeno

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Posté hier, 20:40

« Il faut nourrir la bête » : Ugo Mola et Toulouse ont toujours soif de titres à l'aube d'une nouvelle saison de Top 14
Le manager de Toulouse s'est longuement confié à « L'Équipe » à l'aube de cette nouvelle saison où son équipe sera favorite à sa propre succession avec un quadruplé en ligne de mire.

Ce mercredi, en fin de matinée, à l'issue de l'entraînement de son équipe sur la pelouse du stade Ernest-Wallon, sous un soleil encore très estival, Ugo Mola s'est posé sur la terrasse jouxtant le bureau du staff du Stade Toulousain. Pendant une heure, le manager des Rouge et Noir est revenu sur la saison passée, qualifiée « d'enfer », mais qui s'est soldée par un nouveau bouclier de Brennus, synonyme de triplé en Top 14. L'ex-ailier (52 ans) s'est également épanché sur cette lassitude qui guette et ce besoin de régénération. Il a aussi dévoilé ses craintes et les erreurs commises, tout en expliquant comment, avec son staff, ils ont su les surmonter. Le technicien a ensuite rejoint son épouse et sa fille pour partager un déjeuner au club-house.

 
 

« Comment se passent les vacances quand son équipe vient de réussir un triplé en Top 14 ?
Elles n'ont pas débuté juste après le titre. Je suis toujours inquiet des festivités. Je n'avais pas envie que s'ajoutent des problèmes à nos problèmes. Mais ce titre a été célébré différemment, cela a été moins démonstratif que d'habitude. J'ai ressenti une volonté d'être ensemble. Ce n'est pas neutre de gagner trois Brennus d'affilée. Il y avait aussi du soulagement. Nous avons été au bout de ce que l'on pouvait faire avec notre énergie et nos forces du moment. Nous avons poussé la machine physique et morale au maximum. Ensuite, les vacances se sont bien passées. J'avais besoin de passer du temps en famille, la chose la plus régénératrice.

Avez-vous réussi à couper réellement ?
Que tu gagnes ou que tu perdes, que tu reconstruises ou non, tu es toujours dans l'organisation, la planification, l'anticipation. Un entraîneur est en perpétuelle réflexion. Mais j'ai pu couper une dizaine de jours à l'étranger en famille. C'est nécessaire. J'entends que beaucoup se plaignent du rythme. Oui, les saisons sont longues, mais nous sommes des privilégiés. Nous faisons un métier passion. À quoi bon couper totalement ? Les gens qui subissent leur job ressentent ce besoin. Je suis de nature à culpabiliser un peu vite dès que je suis éloigné trop longtemps de mon environnement et de mes obligations.

 
 

Yannick Bru (manager de l'UBB) a récemment évoqué le besoin de ''régénération'' alors que Pierre Mignoni (manager de Toulon) emploie souvent le terme ''d'endurance mentale''. Vous vous situez où ?
Au Stade Toulousain, le staff a toujours eu un rôle transversal. Pour la plupart de ceux qui s'occupent du groupe pro, ils ont eu une double casquette au sein des équipes jeunes. Aujourd'hui, David Mélé (entraîneur du jeu au pied et des Espoirs) et Jérôme Kaino (entraîneur des skills et des Espoirs) ont des semaines très dures. Pour les autres, c'est plus cool. De la résilience, de l'endurance, de la régénération, mais surtout de la passion. La régénération, elle se matérialise différemment selon les entraîneurs. Me nourrir d'autres équipes, en allant voir un match de Pro D2, ou d'autres sports, sans être impliqué, c'est ce qui me vide la tête. Cet été, j'ai eu des échanges avec l'équipe d'Argentine, d'Écosse, avec des formations de NRL en Australie (rugby à XIII). Pour les joueurs, c'est différent. Nous leur avons donné six semaines de vacances pour qu'ils soient bien dans leur tronche.

 

« Perso, j'ai eu un petit moment de lassitude. La sensation que je n'avais pas les clés pour remettre l'énergie nécessaire »

 
 
 

L'image d'un Ugo Mola allongé sur un transat n'existe pas ?
Ça arrive (Il sourit). Pas longtemps. Si le cerveau continue de mouliner, ça n'a aucun intérêt. Pour déconnecter, je fais une bonne bouffe avec des potes. Comme les petits moments anodins en famille sont nécessaires. Il faut prendre le temps de... Ça arrive aussi dans la saison. C'est une question de besoins. Mais notre esprit est obsédé au quotidien par cette volonté de faire évoluer le Stade Toulousain. En évoluant et en vieillissant, je prends plus de temps à observer. Mais il y a toujours ce besoin d'énergie.

Le burn-out guette-t-il ? Les joueurs évoquent plus qu'avant le terme ''dépression''...
(Il coupe.) Je ne suis à l'abri de rien. Nous mettons des mots sur des choses qui ont déjà existé. Des joueurs en dépression, j'en ai connu. Dans la structuration de nos clubs, nous sommes sensibles au bien-être des gens au travail. Mais le sport de haut niveau te met parfois en marge de la société. Nous prenons soin des autres, mais parfois, il y a des impairs. Plus de 100 personnes représentent la bulle sportive professionnelle du Stade Toulousain. Il y a forcément des personnes en dépression. Nous sommes parfois injustes dans nos décisions. Mais pas au point de chercher des risques psychosociaux partout ou des problématiques parce que les joueurs ne disent pas qu'ils sont en dépression ou d'une minorité cachée. Notre accompagnement n'est pas RH, mais humain.

Semaine après semaine, comment éviter une certaine lassitude, notamment dans le discours ?
Après la défaite en demi-finales de Coupe des champions (35-18 face à Bordeaux), j'ai réuni mon staff. Sur un tableau, j'ai matérialisé trois colonnes avec les mots ''lassé'', ''fatigué'' et ''un peu d'énergie''. Perso, j'ai eu un petit moment de lassitude. La sensation que je n'avais pas les clés pour remettre l'énergie nécessaire. Ça nous guettait. On enchaînait les embrouilles et les emmerdes.

Et alors ?
Il en est ressorti que le niveau d'énergie était loin d'être bas dans le staff. Oui, certains étaient fatigués, mais pas lassés. C'était un peu provoc. Si nous étions trop à être lassés, on ne s'en serait pas sorti. En prenant le temps de récupérer, on allait la surmonter. On s'est parlés. Vraiment. Chacun a pris des trucs dans la bouche. On a baissé la tête, personne n'a lâché.

Après la victoire face à Bayonne en demi-finales du Top 14 (32-25), vous avez déclaré : ''Nous avons vécu une saison en enfer''...
(Il coupe.) L'enfer, ce ne sont pas les blessures de Dupont et Mauvaka. Je parlais d'enfer extra-sportif parce que certaines personnes se sont permis de dénigrer notre club. Ceux qui disent : ''Sans Dupont, ils ne gagneront pas'' ou ''Lacroix, il triche''... D'accord, on note. Mais quand je dis une saison en enfer, c'est justifié. L'affaire Medhi Narjissi a été un enfer. La perte d'Hélène Tekori, la femme de Joe (ex-joueur, aujourd'hui adjoint logistique) a été un petit cataclysme. L'extra-sportif a pris tellement d'ampleur que le sportif était devenu accessoire. Sauf que nous sommes jugés sur le sportif. On a finalement décidé de vivre pleinement cette saison.

« Le Stade Toulousain a connu quatre générations marquantes au regard des titres accumulés. Celle des années 20, 80, 90 et 2000. L'actuelle est la cinquième »

 
 
 

Après le doublé en 2024, vous disiez : ''C'est d'une fragilité absolue : j'ai des doutes, des peurs, des angoisses, des faiblesses.'' Est-ce toujours d'actualité ? Si oui, quelles sont-elles ?
J'ai la peur de la chute de notre effectif, peur de mal démarrer une saison, peur de ne pas trouver l'énergie nécessaire pour que staff et joueurs s'épanouissent. Toutes ces petites craintes me gardent en éveil. Pour continuer de gagner, il faut nourrir la bête, je l'ai déjà dit. Mais il faut aussi que des garçons nous quittent. Cette saison, c'est Richie Arnold et Alban Placines. Avant il y a eu des Max Médard ou Yoann Huget. Quand des personnes importantes partent, parfois que tu mets de côté de manière injuste, ce sont les moments les plus difficiles pour un entraîneur. Ma crainte est de savoir si j'ai encore l'énergie pour être clairvoyant et faire les bons choix.

Quelle est la dernière connerie que vous ayez faite ?
Nous avons planifié deux matches de préparation (défaite 33-28 à Vannes et victoire 24-28 à Bayonne). Il y en a certainement un de trop. Nous n'avions pas l'effectif à disposition pour ça. Mais en même temps que je le dis, ce sera peut-être une très bonne chose dans trois ou quatre mois, lors des premiers doublons, car nos jeunes auront été exposés et auront gagné en expérience. Il faut reconnaître qu'on ne fait pas toujours les bons choix, les bonnes compos, etc.

Lors de la demi-finale perdue face à Bordeaux en Coupe des champions, avez-vous eu cette sensation ?
Cette défaite est de mon fait et celle de mon staff. Nous sortions de la période du Tournoi où nos internationaux étaient partis longtemps. L'équipe dite de ''doublon'' avait montré du panache et une énergie très positive avec des victoires et des matches très aboutis. La connexion ne s'est pas faite quand l'effectif était de nouveau au complet. L'erreur a été de ne pas avoir su remobiliser tout le monde. J'avais eu un signal quand Northampton a battu le Leinster la veille dans l'autre demi-finale (34-37). Mes joueurs étaient presque euphoriques. Je ne les avais jamais vus comme ça. On s'est plantés. Quand le niveau d'éveil n'est pas à la hauteur, tu perds. Tant mieux !

Quelques secondes après la finale du Top 14 (victoire face à Bordeaux-Bègles 39-33 a. prol.), vous semblez craquer émotionnellement...
Oui... J'ai la sensation que toute l'histoire de notre saison ressurgit sur les dix dernières minutes de la prolongation. Tout ce qu'on a enfoui ressort et notre fin de match est totalement maîtrisée. Nous sommes au-dessus. Les tripes, le caractère nous ont permis de l'emporter. Je me dis : ''On a été au bout de ce que l'on pouvait donner.'' Ce qui explique ce moment d'émotion.

Le Stade Toulousain a déjà réalisé un quadruplé entre 1994 et 1997. L'objectif de la saison, qui démarre avec un déplacement à Clermont ce dimanche, est-il tout trouvé ?
Il n'y a jamais eu ici de réunion pour dire : ''L'objectif est...'' Le Stade Toulousain a connu quatre générations marquantes au regard des titres accumulés. Celle des années 20, 80, 90 et 2000. L'actuelle est la cinquième. Une anecdote m'a marqué. En 2019, quand nous gagnions notre premier titre, Antoine Dupont est allé voir Jérôme Cazalbou et lui a dit : ''Plus que six !'' (L'ex demi de mêlée, aujourd'hui manager du haut niveau, a gagné sept Brennus entre 1986 et 2001). J'ai pensé que ce gosse était fou. Soit il est inconscient, soit il a le melon, soit il est persuadé d'avoir un truc différent. Aujourd'hui, cette génération compte cinq Brennus. Et avec un ou deux titres de plus, elle sera la plus titrée ! »

Mola ne pense pas aux Bleus
Ugo Mola attaque sa onzième saison à la tête du Stade Toulousain. Jusqu'où compte-t-il aller ? « Je n'ai jamais fait de plan de carrière assure-t-il. J'ai un contrat. D'ailleurs, sa durée n'a jamais été communiquée et je n'ai jamais vu passer la bonne échéance dans les médias. J'ai envie d'aller au bout de cette génération, mais aussi de préparer la suivante. » Qu'est-ce qui pourrait le faire arrêter ? « Si les défaites s'enchaînent et que je n'arrive pas à réenclencher une dynamique positive, il faudra partir. Si je ne ressens plus de plaisir, une notion primordiale, ce sera le moment de passer à autre chose. » Quid d'un nouveau défi... « Je vois où vous voulez en venir, coupe avec le sourire le manager toulousain. L'équipe de France ? Il n'y a pas de sujet. Le sélectionneur (Fabien Galthié) est sous contrat au moins jusqu'à la Coupe du monde en Australie (2027). Je suis très heureux au Stade Toulousain. Mon quotidien et nos projets pour demain m'épanouissent. » M.R.


#424 Milian

Milian

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Posté hier, 22:46

Ça a l'air si difficile d'être le Stade Toulousain, j'en ai eu la grosse peine !
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#425 ESQ4

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Posté hier, 23:45

Putain, j'en ai la lame à l oeil

Cet article, on dirait un croisement entre Zola pour le côté malheureux et Bernard Menez pour la crédibilité des propos
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#426 twiX

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Posté aujourd'hui, 04:53

Putain, j'en ai la lame à l oeil

Cet article, on dirait un croisement entre Zola pour le côté malheureux et Bernard Menez pour la crédibilité des propos

quelqu'un s'y colle pour faire un résumé, pas le courage de lire  :ermm: 


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#427 devangeli

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Posté aujourd'hui, 06:49

Top 14 Les compositions probables de la première journée Clermont - Toulouse
Clermont : 15. Newsome ; 14. Tauzin, 13. Loaloa ou Fouyssac, 12. Darricarrère, 11. Raka ; 10. Plummer, 9. Jauneau (cap.) ; 7. Tixeront, 8. Se. Tolofua, 6. Sowakula ; 5. Ceyte ou Simmons, 4. Lanen ; 3. Ojovan, 2. Faingaa, 1. Falgoux.
 
Remplaçants : 16. Massa ou Fourcade, 17. Akhaladze, 18. Ceyte ou Simmons, 19. Hemery, 20. Bézy, 21. Simone, 22. Fouyssac ou Loaloa, 23. Montagne.
 
Infirmerie : la mauvaise nouvelle de la préparation concerne George Moala. Blessé au biceps, le centre tonguien sera absent pour plusieurs mois. Irae Simone est également forfait en raison dune blessure musculaire à la cuisse.Les blessés de longue date (Lotrian, Jurand) ont repris normalement, tout comme Tevita Ratuva, sorti blessé contre Toulon. Enfin, plusieurs internationaux ne seront pas disponibles pour affronter Toulouse : Kremer, Delguy et Alaalatoa.

Toulouse : 15. Ramos ; 14. Delibes, 13. Barassi, 12. Ahki, 11. Lebel ; 10. R. Ntamack, 9. Graou ; 7. Jelonch, 8. T. Ntamack ou Roumat, 6. Banos ou Cros ; 5. Meafou, 4. Flament ; 3. Aldegheri, 2. Marchand (cap.), 1. Neti ou Baille.
 
Remplaçants : 16. Cramont, 17. Baille ou Neti, 18. Vergé ou Brennan, 19. Cros ou Banos, 20. Roumat ou T. Ntamack, 21. Saito, 22. Gourgues, 23. Mallez.
 
Infirmerie : Thomas, Colombe et Costes (problèmes musculaires), ne seront pas du déplacement. Comme Willis et Ainuu qui sont encore aux soins. Brennan, ménagé en début de semaine, est incertain. Mallia, Chocobares et Rapetti sont avec lArgentine. Kinghorn na repris que lundi. Romain Ntamack, opéré du genou début juillet, est à 100 %. Epée (cheville) sera absent quatre à six semaines. Capuozzo (cheville) et Castro-Ferrreira (épaule) sont en rééducation. Dupont (genou) devrait être de retour en novembre, Mauvaka (genou) en décembre ou janvier.

Malgré tout les absents, Toulouse va se présenter dimanche avec une formidable équipe.
Sur le papier, Toulouse aura une meilleure équipe que nous. Pour moi, il n'y a pas photo.
Il va falloir aller chercher bcp de ressources collectives et mentales pour arracher un match nul ou une victoire.
La pluie pourrait être une bonne nouvelle car cela a tendance à réduire les écarts entre les équipes.
OK va y croire et pousser un maximum au niveau des supporters.

#428 zebdomes

zebdomes

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Posté aujourd'hui, 07:33

Malgré tout les absents, Toulouse va se présenter dimanche avec une formidable équipe.
Sur le papier, Toulouse aura une meilleure équipe que nous. Pour moi, il n'y a pas photo.
Il va falloir aller chercher bcp de ressources collectives et mentales pour arracher un match nul ou une victoire.
La pluie pourrait être une bonne nouvelle car cela a tendance à réduire les écarts entre les équipes.
OK va y croire et pousser un maximum au niveau des supporters.

Elle a aussi tendance à maximiser l'impact du jeu d'avants et sur ce point là, on ne pourra pas rivaliser. Pour moi, aussi bizarre que cela puisse paraître, le ST étant nécessairement rouillé derrière, parce qu'il s'agit d'un premier match, le salut passera par le jeu et non par l'opposition frontale devant. On serait en avril, je dirais qu'il n'y a aucune chance de gagner ce match mais dimanche, on peut tenter le coup. Par contre, il faudra aller le chercher et pour cela oser jouer !



#429 bazooka

bazooka

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Posté aujourd'hui, 07:58

Ça va être compliqué.






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