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[twiX]

Se satisfaire qu un mec de ce niveau ait juste réussi a tenir 80 minutes sans rien se péter, la comme ailleurs on est loin de la légende

tu as noté que je parlais de tenir les 80 minutes, pas ne pas se péter, hein ?
Après, moi je suis personne pour me satisfaire, ou pas, de quoi que ce soit d'autrui.

[zebdomes]

Il finit le match, commence fort et disparaît petit à petit de la circulation mais comment pouvait-il en être autrement ? J'espère qu'il va pouvoir enchaîner, il peut encore nous apporter sur cette fin de saison et il faut qu'il soit opérationnel l'année prochaine.

[xdderf63]

La Montagne 

 

Alors qu’il n’avait plus joué depuis septembre et que le public du Michelin ne l’avait pas vu depuis le 1er mai 2021, Wesley Fofana a livré dimanche face à Leicester une prestation sobre et cohérente pour un joueur sevré de matchs. Loin, néanmoins, du joueur brillant qu’il fut.

Il était un des centres d’intérêt de cette rencontre et il faut reconnaître qu’en guise de reprise, affronter le leader du championnat d’Angleterre n’était pas spécialement un cadeau.

C’est déjà ce que remarquait Fabrice Ribeyrolles, ancien trois-quarts centre de l’ASM (aujourd’hui coach des filles de Romagnat), dimanche soir après ce choc européen perdu par les Clermontois. « Franchement, ça ne s’est pas vu qu’il retrouvait la compétition après sept mois. Là, il a repris par un vrai match international. J’ai vu pire comme performance pour une reprise. Cela aurait été face à un mal classé du Top 14, j’aurais dit qu’il a fait un match moyen. »

 

L’adversaire ne laissait pas, en effet, de marge de manœuvre pour une éventuelle remise en jambes. Ceci dit, Fofana s’est d’abord concentré, en début de match, sur des montées défensives plutôt efficaces. Il a notamment coupé plusieurs relations de passes des Anglais.

« C’est un joueur intelligent, notait après coup Jono Gibbes. Il possède une bonne lecture mais l’entraînement, ce n’est pas pareil qu’un match dans la vitesse et le rythme ».

 

Au final, le coach clermontois livrait un bilan neutre du retour de son joueur. « Il n’y a pas de déception sur sa prestation » a-t-il lâché.

 

Sur le terrain, Wesley Fofana n’a pas perdu son flair, celui qui anticipe par exemple les petits coups de pied par-dessus de Camille Lopez. Comme à la 10e minute, où avec un rebond un peu plus avantageux, il aurait pu reprendre le ballon et plonger dans l’en-but. Comme au bon vieux temps, quand l’ASM dominait la scène européenne et qu’il était, lui, un joueur dominant de son équipe.

Pour le reste de son match de reprise, au côté d’un George Moala bien muselé par la défense des Tigers, l’international tricolore de 34 ans a surtout joué le rôle de passeur.

Enchaîner désormais ?

« Pour moi, souligne Fabrice Ribeyrolles, il a été à l’image de son équipe. Animateur, il a fait des choses intéressantes et commit quelques erreurs aussi, comme ce plaquage raté sur Ford. Après, on voit bien qu’il lui manque le petit coup de gaz qui faisait la différence avant ».

 

Dans une équipe qui doute, dont le jeu de mouvement reste largement à travailler, Fofana n’a plus l’explosivité et la vitesse pour faire sauter les verrous. « Mais la défense en face, c’était aussi du haut niveau, rétorque Ribeyrolles. Il a semblé manquer de repères sur les premiers lancements du match ».

Sur l’unique action collective efficace et ciselée de l’ASM, Fofana apporte néanmoins sa pierre au lancement, en assurant sa passe à Moala. Cela reste insuffisant, mais l’effectif clermontois peut-il à nouveau compter sur un joueur régulièrement blessé ? « S’il a la possibilité d’enchaîner, il peut rendre service » estime Fabrice Ribeyrolles. 

[Sushi]

Rien de transcendant, en effet ! Mais si on avait pu compter sur lui, même à ce niveau, rien que son expérience et sa technique, ça nous aurait rendu de fiers services tout au long de ses longues absences ! Surtout que l'adversité a rarement été du niveau de Leicester, hier!
Que de regrets !😔

[rueducourage]

Pour un joueur dont on pouvait craindre qu il ne foule plus les pelouses c est qd même une sacrée résurrection !

S il peut enchaîner il va apporter au collectif, dans un rôle de passeur dont on a tant besoin pour animer la ligne d attaque.

[bazooka]

Alléluia

 

https://www.google.f...sclient=gws-wiz

 

On va attendre un peu pour voir...

[el landeno]

Wesley Fofana, centre de l'ASM Clermont : « Je peux encore aider l'équipe » De retour après sept mois de blessures, qui lui ont valu jusqu'au scepticisme de son président, le Clermontois Wesley Fofana veut continuer à compter pour l'ASM, son club de toujours.

 

Comme tous les lendemains de match, le corps endolori de Wesley Fofana lui rappelait les combats de la veille contre Leicester (défaite 29-10), lorsqu'il nous a reçus dans une loge du stade Marcel-Michelin, lundi matin. Mais malgré « les épaules, les abdos, les mains... » qui le lançaient, le doyen de l'effectif de Clermont, 34 ans, était heureux : il avait enfin repris la compétition, après sept mois de galères. Le centre international a accepté d'évoquer ces blessures musculaires à répétition qui le suivent depuis son adolescence, comment il essaye de les gérer, et les critiques comme les doutes qu'elles suscitent, jusqu'à celles de son président, Jean-Michel Guillon.

 

 

« Comment vous êtes-vous senti, dimanche contre Leicester, pour votre premier match depuis début septembre
Comme un mec qui revient après sept mois sans jouer ! Il y avait beaucoup d'excitation et de plaisir à retrouver les coéquipiers sur un match, le public, l'ambiance, cette énergie. Sportivement, c'est toujours délicat de revenir pour ce style de rencontre... Avec l'expérience que j'ai, je sais que ça va être dur physiquement, mentalement, dans la pression collective. Ce n'est pas forcément un cadeau, mais là il n'y avait pas le choix ! Ça ne faisait que deux semaines que je m'entraînais avec l'équipe. Mais ce qui a dominé, c'était la joie de regoûter à cette atmosphère.

« J'avais envie et besoin de plaquer. Tellement, que je fais une erreur à un moment, en montant trop fort, parce que j'ai envie d'agresser l'ailier... »

 

 

 

 

Vous n'avez pas ressenti d'appréhension sur les contacts ?
Alors ça, je me suis rendu compte que ça m'avait énormément manqué ! J'avais envie et besoin de plaquer. Tellement, que je fais une erreur à un moment, en montant trop fort, parce que j'ai envie d'agresser l'ailier... Mentalement, j'ai eu beaucoup moins de difficultés que ce que je redoutais, même si je n'ai pas beaucoup plaqué les sept derniers mois.

Vous sentez-vous capable d'enchaîner un deuxième match six jours après, pour le retour à Leicester, samedi ?
Carrément ! J'en ai envie.

En bref

34 ans - International français (48 sélections) - Centre à l'ASM Clermont
2010 : le 29 mai, il remporte pour la première fois le Championnat de France avec Clermont après avoir battu l'USAP (19-6).
2017 : le 4 juin, grâce à une victoire sur Toulon (22-16), il gagne son second bouclier de Brennus avec l'ASM.

Clermont y sera en grande difficulté, avec 19 points à rattraper, après la défaite de l'aller...
Je ne me focalise pas trop dessus. Mon focus, c'est de pouvoir enchaîner les semaines sans que mes muscles lâchent. Ce qui m'a empêché de jouer pendant sept-huit mois, ce sont ces blessures aux mêmes endroits, ischios et adducteurs. Ça tourne entre les deux et sur chaque jambe ! Ce n'est jamais des gros trucs, mais c'est ça que j'essaie de gérer. La prépa d'été avait été impeccable, on était confiants, avec Jono (Gibbes, l'entraîneur de l'ASM). Je m'inscrivais bien dans son programme. Il y a eu le premier match de la saison à Lyon, où l'équipe n'est pas bonne, et moi non plus. Je crois que je me blesse à la veille du deuxième match. Et je rentre dans cette spirale négative.

Limite, je dirais que quand tu te fais une grosse blessure, il y a un côté plus clair : tu sais combien de temps tu es out et tu passes à autre chose. Mais quand ce sont ces blessures musculaires, notamment pour moi, qui en subis à ces endroits-là depuis que j'ai 15 ans, tu ne sais jamais. Chez moi, la barrière entre courbature, contracture et lésion va être vachement fine. C'est difficile de savoir quand tu vas y aller, quand tu ne peux pas y aller, pour les préparateurs physiques comme pour les kinés. Et je vois tout ce qui se dit à l'extérieur...

« C'est mal vu, dans le sport de haut niveau, d'écouter son corps et sa santé. Mais je n'ai jamais trouvé ça faible, au contraire. »

 

 

 

 

On vous y suspecte effectivement d'être trop à l'écoute de vos sensations. Est-il déjà arrivé à vos entraîneurs d'avoir ces mêmes doutes sur vous ?
Oui, c'est arrivé avec l'équipe de France avant la Coupe du monde 2019. Mais je ne leur en veux pas ! À Clermont aussi, on s'était demandé si c'était mental. Les examens ont pourtant montré à 90 % le contraire, qu'il y avait lésion. Au Japon, c'en était une qui a continué à saigner. Le staff en a douté. Mais j'ai toujours été vrai dans mes ressentis. Au final, je m'y suis fait retirer du sang de la cuisse. Et je me souviens encore de la tête du médecin de l'équipe de France quand il a vu ça !

Toute sa frustration de : "Mais qu'est-ce qu'il nous fait ?", c'est ressorti dans ses yeux. Il a dit : "Merde !" Là, tu dis : "Je ne suis pas fou". Et quand je suis revenu en France et que le club a vu mon état, il m'a défendu. Parce que j'en ai pris plein la gueule. Ce qui a été plus dur encore que de rater la Coupe du monde, ça a été d'être critiqué humainement. Tant qu'on me dit : "T'es nul sur le terrain, t'as raté ci, t'as pas fait ça", quelque part, c'est le métier. Mais l'humain, le caractère, sur un truc comme ça... Je l'ai mal vécu et ça m'a fait mettre une grande distance avec les médias. Et j'y parlerai de moins en moins.

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Il ne vous est jamais arrivé de surinterpréter une alerte ?
Très très très rarement ! Ça ne se compte même pas sur une main, les fois où je n'avais pas de lésion. Des spécialistes avec qui j'ai discuté m'ont dit que mon corps et mon cerveau ont développé une sur-sensibilité pour les repérer.

À l'inverse, y a-t-il eu une fois où vous ne vous êtes pas écouté ?
Oui, et c'est rigolo parce que c'était avec le même médecin que l'équipe de France en 2019 ! C'était en équipe de France des moins de 19 ans, on joue contre l'Afrique du Sud. À l'échauffement, je sens que mon ischio lâche. Mais comme t'es jeune... Je vais voir le médecin, je lui dis : "Fais-moi un strap, tiens-moi la cuisse, ça tire un peu". Après cinq minutes, il y a une mêlée pour nous, je tente une accélération très franche et je me suis fendu à m'en faire pleurer ! Personne n'a su que je m'étais pété à l'échauffement... Une petite lésion, je ferme les yeux, les oreilles, tu ne t'écoutes pas... C'est mal vu, dans le sport de haut niveau, d'écouter son corps et sa santé. Mais je n'ai jamais trouvé ça faible, au contraire. Je fais partie des gens qui accordent de l'importance à ça, même si on fait un sport de combat dangereux.

« Je suis passionné par le corps humain et un kiné c'est important psychologiquement, pour son patient. »

 

 

 

 

Pourquoi vous blessez-vous si souvent aux muscles des cuisses ?
C'est compliqué, les muscles ! Je suis en plein là-dedans, avec ma préparation d'entrée en kiné.

Vous, kiné ?
(Rires.) C'est rigolo, pour quelqu'un qui se blesse... J'ai deux ans de préformation, avant de pouvoir intégrer l'école de Vichy, à partir de septembre 2023. Ça m'a paru une évidence, parce que je suis passionné par le corps humain, et aussi parce qu'un kiné c'est important psychologiquement, pour son patient.

 

Jean-Michel Guillon, le président de l'ASM, a déclaré qu'il devrait discuter avec Wesley Fofana en cas de nouvelle blessure du centre. (Sy. Thomas/L'Équipe)

Et donc, avez-vous trouvé la cause de vos blessures ?
À une époque, on s'est dit qu'on allait essayer de trouver la raison pour la supprimer. Mais il n'y en a pas à proprement parler ! On a même fait venir un spécialiste qui travaille sur les muscles et qui te pose des électrodes : tu fais des sprints et il voit comment tes muscles se contractent. C'était pas trop mauvais, le résultat ! Avec Mathieu (Abbot, le médecin du club), on a eu beaucoup de conversations. On sait que prétendre que je ne me blesserai plus aux ischios, c'est impossible. C'est même faux.

Récemment, dans les colonnes de "Midi Olympique", votre président, Jean-Michel Guillon, a dit qu'en cas de nouvelle blessure, il vous faudrait discuter avec lui de votre avenir au club, avec lequel vous êtes lié jusqu'en 2023...
Qu'on me le dise directement, O.K. Tu as besoin que le joueur soit présent sur le terrain, qu'il t'apporte quelque chose, c'est sûr. On avait parlé de ça ensemble, il y a quatre mois. Je comprenais. Mais pour moi, ça devait rester entre le club et moi. Alors, que ça sorte dans les médias, je n'ai pas trop compris.

Avez-vous parlé de cette sortie avec lui ?
Non, pas du tout.

Avez-vous envie d'aller au bout de votre contrat ?
Si le président a besoin de revenir me parler, je suis à son écoute.

« Je suis l'ancien qui a les délires les plus proches de la nouvelle génération. »

 

 

 

 

Quelle est votre motivation pour jouer jusqu'en 2023 ?
La seule manière dont je peux me défendre et répondre, c'est sur le terrain. Si je sentais que je ne pouvais plus rien faire, j'arrêterais ! J'ai eu une belle carrière... Mais je sens que je peux encore aider l'équipe, les jeunes pousses, à s'envoler un peu plus. On a un groupe avec du talent. Ça fait longtemps que je suis dans le club, on avait déjà perdu des joueurs importants sur des matches à gros enjeu, et on avait toujours su rebondir. Il faut que cette génération arrive aussi à trouver son équilibre dans l'équipe, et pas seulement à travers les individualités. Les autres clubs s'arment énormément, en recrutant ou avec leurs jeunes. Chez nous, c'est vraiment triste et dommageable que Morgan(Parra, au Stade Français) et Camille(Lopez, à Bayonne) partent, mais, malgré ça, il faut pouvoir très vite rebondir ! Nos jeunes doivent s'affirmer et se dire que c'est sur eux que le club va s'appuyer.

À 34 ans et en tant que doyen de l'effectif qui joue en pro à l'ASM depuis 2009, êtes-vous dans la transmission, vis-à-vis de ces jeunes ?
Je le fais au quotidien. Je suis l'ancien qui a les délires les plus proches de la nouvelle génération. Que ça soit ceux qui me ressemblent quand j'étais jeune, ou ceux différents, un peu plus matures, j'ai un très bon feeling. J'essaie de leur amener tout ce que je peux, en tant que grand frère ou rugbyman. Mais c'est sûr que j'aimerais être plus souvent avec eux sur le terrain. »

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Son homonyme voit double

Cela fait quelques années que Wesley Fofana apprend à coexister avec son double du ballon rond, Wesley Fofana. « C'est rare cette homonymie, se marre le Clermontois. Il fallait que ça m'arrive, ça aussi, dans ma vie ! » Sur les réseaux sociaux, cela occasionne quelques malentendus : il y a quelques semaines, Gary Lineker a félicité le footballeur pour sa prolongation de contrat... en utilisant les identifiants du rugbyman ! « Ça arrive tout le temps, sourit l'international. Je reçois beaucoup de félicitations pour mes matches... Mais ces sept derniers mois où je ne jouais pas, je ne comprenais pas ! Là, c'est quelqu'un d'ultrapopulaire qui s'est trompé, c'était sympa, il fallait que je lui mette une boutade ! » Plus rare encore : samedi, Fofana le rugbyman va jouer chez Fofana le footballeur. Le défenseur joue pour les Foxes, quand le centre va se tester sur la pelouse des Tigers. « Avant, on jouait à 1 h 30 l'un de l'autre, puisqu'il était à Sainté. L'homonymie nous a rapprochés, on est devenus potos, même si on ne s'est jamais croisés encore. Je m'intéresse à ce qu'il fait, et comme j'adore le foot, c'est facile. Pour lui, ça doit être plus difficile de suivre le rugby ! » Ce week-end, ils risquent de se rater de peu, encore : les footballeurs sont attendus à Newcastle dimanche. A. Bo.

 

[cocotte 63]

Je ne sais pas vous, mais je trouve qu'il y a toujours un truc qui ressort quand des joueurs parlent du président... un certain décalage entre ce qu'il peut raconter à la vox populi, et ce qui se passe réellement en interne.

 

Une fois de plus une certaine dichotomie, renforcée par les échos que je peux avoir du club par la bande.

[Pilou]

Je ne sais pas vous, mais je trouve qu'il y a toujours un truc qui ressort quand des joueurs parlent du président... un certain décalage entre ce qu'il peut raconter à la vox populi, et ce qui se passe réellement en interne.
 
Une fois de plus une certaine dichotomie, renforcé par les échos que je peux avoir du club par la bande.

Ce qui est clair c est que cette itw et son contenu ne tombent pas par hasard,après des mois de silence complet de la part du joueur.

Il ne compte pas s assoir sur un an de contrat.

Ça respire pas la sérénité tout ça.

[cocotte 63]

Après lui comme Lapandry, n'ont aucune raison de faire ça. Donc, il ne suffit pas de répéter à l'envie "Qui veut tuer son chien l'accuse de la rage" , si, tu veux gérer ces deux cas, c'est simplissime... tu paies ce que tu leur dois.

 

Et si on en est toujours là, c'est que l'ASM n'a pas voulu le faire alors que le règlement le prévoit, et que in fine, cela libérerait deux gros salaires dans le SC, qui est sois disant la cause de tous nos maux depuis 2 ou 3 ans !

 

Donc, je le redis, "mefia te" sur la communication présidentielle car il peut y avoir un certain décalage avec la réalité.

 

Pour en revenir à Fofana, je ne peux que lui souhaiter de finir sa carrière sur le pré quand il l'aura décidé, même si sportivement, je n'attends pas à un renfort de poids, mais, il m'a tellement fait kiffer par le passé, que je lui souhaite de choisir sa fin !

[pims]

Guillon a l'air d'aimer les fuites

[Un jaune dans un ballon]

Ben voila ! Enfin il parle et il met les choses au point !! ;Voila quelque chose qui fait "plaisir" à lire au moins et d'utile ! 

 

Bon maintenant il apparait que c'est bien un peu le bordel dans la gestion quand même vu qu'apparemment tout le monde n'est pas sur la même ligne !! 

[julien]

Donc, je le redis, "mefia te" sur la communication présidentielle car il peut y avoir un certain décalage avec la réalité.

 

 

 

Ca ne passe pas entre beaucoup de joueurs et le Président. Ce n'est pas un secret.

[cocotte 63]

Après qu'il souhaite remettre de l'autorité dans le club, changer les choses, moi ça me va bien. Il est le président, doit avoir ses consignes, il préside, il structure et on verra ! sur ce type de décisions, ça me pose aucun problème, j'apprécie les choix et le chemin tracé ou à tracer !

 

En revanche, ça me dérange que l'on puisse nous sortir le SC à toutes les sauces pour expliquer notre déclassement sportif, quand dans le même temps, tu n'arrives pas à prendre la décision qui s'imposerait sur deux de tes joueurs phares depuis deux ans, et qui te ferait un bien fou au niveau du SC...

 

Que dans le même temps, ta charnière titulaire (gros impact sur le SC avec le départ du joueur le mieux payé de l'histoire du club) arrête aussi, et que tu te retrouves encore à prendre des mecs par réaction alors que tu te dis que c'est une connerie de le faire.

 

En effet, tout n'est pas rose.

[Jean Paul Belmondo]

 

Ca ne passe pas entre beaucoup de joueurs et le Président. Ce n'est pas un secret.

Pas sur qu'avec Altrad, Lorenzetti ou même Boudjellal à l'époque ça soit beaucoup mieux ...