Champion du Monde
Posté 27 février 2016 - 13:58
c'était un bon Chouly à mon avis.
Des passes après contacts magnifiques, comme peu de joueurs sont capables de le faire.
C'est un joueur technique et intelligent.
Après, Chouly fait du Chouly, Picamoles fait du Picamoles.
Il ne faut pas demander à l'un ce que fait l'autre, et inversement.
Champion du Monde
Posté 27 février 2016 - 14:04
C'est pcq avec Chouly l'avancée n'est pas forcément direct mais indirect. 5 offloads...
On lui reproche de ne pas être bourrin comme Picamoles, mais il assure la continuité autrement.
Mais rassurons nous, rugbyrama le taille comme d'hab.
Si tu avais à tenter un comparatif sur deux n° 8 entre Damien Chouly
et Billy Vunipola qu'elle serait ta préférence pour l'efficacité du jeu ?
je dois te dire que c'est pas du tout une question piège , mais juste
pour connaitre ton avis
Joueur de Pro D2
Posté 27 février 2016 - 14:31
Si tu avais à tenter un comparatif sur deux n° 8 entre Damien Chouly
et Billy Vunipola qu'elle serait ta préférence pour l'efficacité du jeu ?
je dois te dire que c'est pas du tout une question piège , mais juste
pour connaitre ton avis
http://www.cybervulc...59#entry2090481
Champion du Monde
Equipe de France
Posté 27 février 2016 - 16:05
Si tu avais à tenter un comparatif sur deux n° 8 entre Damien Chouly
et Billy Vunipola qu'elle serait ta préférence pour l'efficacité du jeu ?
je dois te dire que c'est pas du tout une question piège , mais juste
pour connaitre ton avis
Moi je ne cherche pas à comparer les uns aux autres, au contraire je dis qu'il ne faut pas comparer ainsi. L'important est la complémentarité globale d'un pack, au service d'un plan de jeu.
Champion du Monde
Posté 27 février 2016 - 16:15
Moi je ne cherche pas à comparer les uns aux autres, au contraire je dis qu'il ne faut pas comparer ainsi. L'important est la complémentarité globale d'un pack, au service d'un plan de jeu.
on est bien d'accord , mais pour que ce pack soit efficace
en fonction du plan de jeu , il faut bien qu'une valeur porteuse
se détache pour créer l'impulsion .
Au départ c'est bien souvent un homme qui dynamise , et le collectif
donne alors la pleine mesure
Champion du Monde
Posté 27 février 2016 - 17:17
Joueur de TOP 14
Posté 27 février 2016 - 19:56
Par contre Vunipola: 96m de gagner contre l'Irlande 
Chouly doit être aligné en 6 avec Picamoles en 8. Et en 7....
Champion du Monde
Posté 28 février 2016 - 09:58
Sincèrement Chouly a toute sa place en EDF et à condition que le staff dont Bru accepte de modifier quelques choses avec des Vahaa, Gourdon, Goujon, Le Roux, Picamoles etc... Avec un plan de jeu, de l'investissement, de la confiance, on a de quoi tenir la route... Maintenant derrière c plus compliqué à ce niveau car il me semble que l'on manque à la fois de physique et même de techniques pour rivaliser face aux meilleurs...le jeu au pied, les ballons hauts, la densité des ailiers, le jeu des trois quart centre, le chantier est ouvert et assez béant...
Quand tu joues avec Burban et Lauret, et bien quoiqu'on pense un joueur comme Chouly est indispensable... Et sur la touche, même les spécialistes donnent le total mérite à Guirado, on sait que Chouly n'y est pas pour rien loin s'en faut !!!
Sur la touche, Chouly est aussi important que Guirado, voire plus... C'est bien d'envoyer le ballon où il faut, mais il faut que le ou les sauteurs l'attrapent !
Chouly en qualité de capitaine de le touche est le décideur lors de cette phase, le talonneur ne fait qu'exécuter... Ok, il le fait bien !
Joueur d'honneur
Posté 29 février 2016 - 07:20
L'équipe du jour :
RUGBY
DAMIEN CHOULY
« Pas la peine de crier à l'injustice »
CARDIFF - Après le succès sur l'Irlande (10-9), le 13 février, il n'avait pas souhaité revenir sur les critiques à son encontre lors de la Coupe du monde. « Pas encore », nous avait poliment dit Damien Chouly. Samedi soir, dans les couloirs du Millennium, sous un portrait en peinture très... britannique de la reine Elizabeth, le numéro 8 des Bleus (30 ans, 39 sélections), plutôt à son avantage malgré la défaite contre les Gallois (19-10), s'est cette fois attardé pour parler avec franchise.
« Après deux victoires, cette défaite sonne comme un coup d'arrêt...
Oui et non. Oui, parce que c'est une défaite, non, car on sait ce sur quoi on doit travailler. On n'a pas été réalistes, c'est un peu le point noir. On a eu des occasions près des lignes, mais on n'a pas su les valider. On aurait pu revenir dans le match et les faire douter. Il va falloir être plus patients peutêtre, un peu mieux organisés.
Qu'est-ce qui pèse le plus chez les Gallois : leur impact physique, leur défense ?
Un peu tout. Ils jouent de façon simple mais stratégique. Ils te remettent la pression sur du jeu au pied rasant ou des chandelles. Face à eux, il y a une rivalité mentale autant que physique. On n'a pas craqué en défense, on prend un essai en contre. Ils nous ont percés deux ou trois fois, bien sûr, mais on était en place et tout le monde a su s'employer pour boucher les trous.
Sur un plan personnel, vous sentez tout de suite que vous faites un bon match, que vous y êtes ?
Quand j'entre sur le terrain, j'ai toujours envie d'en découdre. Mais c'est vrai que réussir une première action, un premier plaquage, ça aide à entrer dans le match. C'est important de réussir le premier contact.
Vous avez encaissé beaucoup de critiques pendant et après la Coupe du monde...
Il y a à prendre et à laisser. Elles font partie du sport. Mais il y en a eu beaucoup, c'est vrai..
"Je me dis que je dois être un peu con, un peu maso, mais je n'ai pas envie de lâcher "
Vous vous êtes senti particulièrement visé ?
Vous (la presse) faites votre boulot. On peut parler autant qu'on veut, la vérité, c'est le terrain. Je pourrais râler, dire que les gens et les journalistes sont des cons, ça ne changera rien. La seule chose que je peux changer, c'est ce que je contrôle.
Mais vous auriez pu vous noyer sous les critiques...
Oui, mais moi, je ne suis pas
comme ça. Ça peut toucher par moments, faire chier, notamment par rapport à ses proches, mais je sais ce que mes coéquipiers et mes coaches pensent de moi. C'est le plus important. Le jour où un coéquipier viendra me dire : "t'es nul, tout ça", bien sûr, ce sera différent... Mais ça ne veut pas dire que je ne me remets jamais en question, au contraire.
Sincèrement, vous avez été atteint au moral après ce Mondial ?
J'essaie d'apprendre de ces déceptions, notamment la précédente dans ce même stade (défaite contre les All Blacks, 62-13, en quarts de finale de la Coupe du monde). J'ai la chance de faire partie de cette nouvelle aventure, je ne vais rien calculer. On a une équipe avec beaucoup d'enthousiasme, la volonté de déplacer le ballon et ça me convient. Clairement, je prends plus de plaisir là-dessus. Que ça continue...
Vous avez 39 sélections, connues sous quatre sélectionneurs différents (voir chiffre). C'est une fierté ?
Ma première sélection avec Bernard Laporte, ça remonte (il sourit)... C'était en 2007, pour une tournée en Nouvelle-Zélande sans les demi-finalistes du Top 14. Il y a presque dix ans... Avoir été pris par quatre sélectionneurs, ça fait quand même plaisir, je ne vais pas le cacher. Mais mon objectif est de gagner avec l'équipe de France. Quand je vous dis que j'ai la chance d'y être, c'est pour vivre une aventure plus belle que la précédente. Je ne crache pas sur celle que j'ai vécue, j'ai été là pendant quatre ans, mais j'espère être capable de m'en servir pour que la prochaine soit plus belle.
À Clermont, vous avez livré des matches moyens sur la lancée de la Coupe du monde...
Ouais... J'ai coupé dix jours, puis je suis retourné vite en club. C'est vrai que l'équipe et moi, on était sur courant alternatif.
Sur le coup, en difficulté avec Clermont après l'avoir été en bleu, vous pensiez être maudit ?
Je ne sais pas... Je me dis que je dois être un peu con, un peu maso, mais je n'ai pas envie de lâcher. Quand ça ne va pas, au contraire, je suis têtu ; à tort ou à raison.
Aujourd'hui, vous êtes dans la volonté de vous venger des critiques ?
(Il réfléchit.) J'entends. Mais ce n'est pas la peine de m'insurger, de gueuler. Je vous dis, je ne peux contrôler qu'une chose : le terrain. J'entends ce que vous dites, mais mon boulot est de jouer au rugby, et de bien jouer, pas de polémiquer sur mon cas. Pas la peine de crier à l'injustice, car je n'ai pas fait que des bons matches en équipe de France.»
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EN BREF 30 ans 1,92 m/109 kg Club : Clermont Troisième-ligne 39 sélections
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1 : DEPUIS LA BLESSURE DE LOUIS PICAMOLES, Damien Chouly est le seul trentenaire du groupe France.
Joueur de Fédérale 3
Posté 29 février 2016 - 10:53
Le match de Chouly face au Pays de Galles résume assez bien les forces et faiblesses du bonhomme. Une technique individuelle bien au-dessus de la moyenne, une bonne défense et une maîtrise tactique (que ce soit en touche ou sur ses placements) mais face à ça un manque évident de puissance pour le niveau international.
C'est pour ça qu'il doit être exclusivement aligné en 6 selon moi. Couplé avec un 8 technique mais plus puissant (je crois énormément en Gourdon) et un 7 comme Burban s'il revient à son meilleur niveau (Lauret bof bof).
Equipe de France
Posté 09 mars 2016 - 15:23
Rugbyrama qui encense Chouly et qui limite s'en prend à ses détracteurs, on aura tout vu.
Rappel des faits :
France - Italie : http://www.rugbyrama...916/story.shtml
France - Irlande : http://www.rugbyrama...048/story.shtml
Galles - France : http://www.rugbyrama...026/story.shtml
Comparaison systématique avec Picamoles, a priori sur le profil d'un 8 (nécessairement ultra-puissant, bisou à Read et Pocock finalistes de la CDM), forme limite insultante face à Galles style "on en a marre de répéter à chaque fois les mêmes manques de Chouly".
Bref...
Equipe de France
Posté 09 mars 2016 - 19:46
Rugbyrama qui encense Chouly et qui limite s'en prend à ses détracteurs, on aura tout vu.
Rappel des faits :
France - Italie : http://www.rugbyrama...916/story.shtml
France - Irlande : http://www.rugbyrama...048/story.shtml
Galles - France : http://www.rugbyrama...026/story.shtml
Comparaison systématique avec Picamoles, a priori sur le profil d'un 8 (nécessairement ultra-puissant, bisou à Read et Pocock finalistes de la CDM), forme limite insultante face à Galles style "on en a marre de répéter à chaque fois les mêmes manques de Chouly".
Bref...
Ils ont la mémoire très courte. Bien vu l'artiste
Champion d'Europe
Posté 10 mars 2016 - 09:28
Le match de Chouly face au Pays de Galles résume assez bien les forces et faiblesses du bonhomme. Une technique individuelle bien au-dessus de la moyenne, une bonne défense et une maîtrise tactique (que ce soit en touche ou sur ses placements) mais face à ça un manque évident de puissance pour le niveau international.
C'est pour ça qu'il doit être exclusivement aligné en 6 selon moi. Couplé avec un 8 technique mais plus puissant (je crois énormément en Gourdon) et un 7 comme Burban s'il revient à son meilleur niveau (Lauret bof bof).
Je ne comprends pas bien ce fantasme (tu es loin d'être le seul visé sur ce forum) sur Gourdon joueur puissant, il est (très) bon techniquement, mobile etc... ok pas de problème mais bon Gourdon c'est 1m85 pour 100kg! Je ne lui vois aucune carrière internationale au poste de 8 avec ce physique.
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