merci Rémi pour le fou rire
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Posted 10 December 2015 - 12:08 PM
merci Rémi pour le fou rire
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Posted 17 December 2015 - 15:18 PM
Posted 17 December 2015 - 15:21 PM
c'est à quel match qu'il se fait le genou pour quand même amener le Racing au titre grâce à son expérience énorme apportée au sein du groupe ?
Posted 18 December 2015 - 11:52 AM
c'est à quel match qu'il se fait le genou pour quand même amener le Racing au titre grâce à son expérience énorme apportée au sein du groupe ?
Contre nous bientôt. Plaquage viril mais correct (il va sans dire) de Kole et crac !
Trève de plaisanterie, on ne le lui souhaite bien sur pas.
Posted 18 December 2015 - 14:31 PM
Je lance le contrat pour le 27.
Posted 12 January 2016 - 04:56 AM
Le Racing 92 a officialisé ce lundi la prolongation de Casey Laulala pour trois ans. Le trois-quart centre néo-Zélandais, qui compte deux sélections avec les Blacks, évolue depuis 2014 pour le club francilien
Posted 19 January 2016 - 20:02 PM
Après Rio, le Plessis-Robinson. Voilà le programme de la fin d’été pour Virimi Vakatawa. Après avoir participé aux Jeux Olympiques (du 5 au 21 août) avec l’équipe de France de rugby à VII, le puissant ailier portera les couleurs du Racing 92, comme RMC Sport vous le révélait le 16 décembre dernier. Malgré l’intérêt de plusieurs clubs du Top 14, dont Montpellier ou Toulon, Vakatawa s’est engagé à revenir au Racing, son club formateur, qu’il avait quitté en 2014 pour signer un contrat avec la FFR et se mettre au rugby à VII. L’attraction de la prochaine saison de Top 14, c’est peut-être lui.
http://rmcsport.bfmt...awa-944697.html
Posted 22 January 2016 - 08:26 AM
L'équipe du jour :
RUGBY
«EN DEHORS DU TERRAIN, C'EST TERRIBLE»
Jacky Lorenzetti
RENAUD BOUREL
LE PRÉSIDENT DU RACING 92, DÉJÀ QUALIFIÉ POUR LES QUARTS DE FINALE DE LA COUPE D'EUROPE, ÉVOQUE AVEC MALICE LE MILIEU DU RUGBY, QU'IL A DÉCOUVERT IL Y A NEUF ANS. ET OÙ IL A APPRIS À RENDRE LES COUPS...
Le Plessis-Robinson, lundi dernier. Jacky Lorenzetti (68 ans) nous reçoit dans la grande salle à manger qui surplombe le terrain principal du centre d'entraînement du Racing. Au départ, nous l'avions sollicité pour un sujet sur l'Arena 92, son futur stade, qui doit être livré en 2017. Et puis la conversation a digressé. Au mois de mai, cela fera dix ans que l'exhomme d'affaires dans l'immobilier a pris les rênes du club francilien, remonté dans l'élite en 2009 et actuel leader du Top 14. L'occasion de faire un point sur le chemin parcouru, les surprises rencontrées et les leçons retenues.
« Quelles sont, à vos yeux, les clés des progrès du Racing cette saison ?
L'expérience, déjà. Cela fait neuf ans que je suis à la tête du club. Nous avons fait du bon boulot pendant six ans avec l'entraîneur Pierre Berbizier, puis les deux Laurent (Travers et Labit) sont arrivés (en 2013), profitant des structures. L'été dernier, il y a eu un recrutement judicieux avec Masoe, Rokocoko, Tales, des trentenaires. Ajoutez la jeunesse avec le centre de formation. Je me souviens quand les "vétérans" ont vu débarquer une douzaine de mômes, à peine barbus, tout juste champions de France Espoirs (en mai dernier). Ça leur a fait drôle. Certains, qui se croyaient à l'abri, ont gambergé. Enfin, il y a bien évidemment l'apport de Dan (Carter). Un joueur extraordinaire. Tous ces facteurs font qu'on a progressé, même si on n'est pas encore arrivés.
Le Racing 92 n'a toujours rien gagné. L'impatience est-elle réelle ?
Forcément. Cela fait neuf ans, c'est un bail assez long, pour moi qui vient de l'immobilier... Alors on renouvelle. Ce serait bien que tout le travail entrepris soit récompensé.
Est-ce difficile quand on a connu la réussite dans le monde des affaires de se confronter à l'échec en sport ?
Le parcours n'est pas un échec non plus. On est installés en haut du Top 14 depuis six ans. On a fait deux demi-finales (2011, 2014). On est qualifiés pour les quarts de Coupe d'Europe chez nous. C'est bien, mais ce n'est pas l'excellence. L'excellence, c'est la victoire, la première place. Mais on est quatorze à la vouloir. Je la veux et comme je ne l'ai pas, je suis frustré. Comme les autres.
Êtes-vous un peu envieux du succès des autres ?
Non, je me dis qu'ils ont mieux fait que moi et je me crache dans les mains. Et puis, j'ai la satisfaction d'avoir pris le Racing de rien et d'avoir fait en sorte qu'il me survive et qu'il soit pérenne (avec l'Arena 92, qui sera exploitable en 2017). Ce qui m'intéresse, c'est d'avoir été un passeur. C'est, pour moi, un succès. Le centre de formation, qui bâtit l'avenir, en est un également. Donc, disons que cette impatience est compensée par les fondations solides mises en place.
Vous n'êtes jamais lassé ?
Il y a des moments de blues. J'en ai comme tout le monde.
Comment l'exprimez-vous ? On entend parler de colères spectaculaires...
Quand vous êtes à la tête d'un club de rugby, d'une entreprise immobilière ou d'un vignoble, vous êtes obligé de garder la déception, les remises en cause ou la lassitude pour vous. Sinon, les autres collaborateurs s'en trouvent affectés. Je crois au devoir absolu d'exemplarité. Donc, effectivement, je peux me mettre en colère, ruminer. Puis, je fulmine. Mais ça, vous pouvez l'exprimer parce que c'est positif d'être révolté ! Parce que tout le monde abonde quand on loupe un match et qu'on est nuls, comme à Agen en début de saison (30-18). Mais c'est pareil pour le vignoble : quand on rate une vendange, on a le droit d'être en colère. En revanche, on n'a pas le droit de remettre en cause la vie de l'entreprise.
La rugby ne vous a-t-il pas donné envie de tout arrêter à certains moments ?
Moi, je ne compte pas. C'est pour ça que j'aime bien ce sport. Il faut laisser l'ego au vestiaire quand on entre sur le terrain. Ça ne se discute pas. Dans mon cas, ce qui pèse, c'est l'avenir et la construction. Je n'ai jamais connu une déception fondamentale qui m'aurait fait penser : tu n'aurais jamais dû aller là-dedans, dans quelle galère tu t'es mis ?
Les petites joutes médiatiques avec les autres présidents vous amusent-elles ?
Oui. (Pas convaincu.) Ça fait partie du... Ce n'est pas trop mon truc. Mais j'ai du mal à cacher ce que je ressens. Donc, je l'exprime. Mais ce n'est pas méchant.
......."Je fais le faux cul. Mais comme eux. Comme les joueurs ! Parisse n'avait pas envie de venir au Racing, mais de revaloriser son salaire, donc il a fait semblant d'être intéressé"......
Pourtant, au départ, vous avez été pris de court par ce milieu...
Parce qu'en dehors du terrain c'est terrible. Je n'avais jamais vu ça. Pourtant j'ai une première carrière dans l'immobilier. Une seconde, aujourd'hui, dans la viticulture. Mais dans le microcosme du rugby, les arcanes de son pouvoir, les présidents entre eux, il n'y a pas de règle. C'est inexorable. On ne peut pas se faire confiance, parce que, contrairement à toutes les autres activités, il n'y a qu'un seul champion. Les autres n'existent pas. Et pour y arriver, malheureusement, presque tous les coups sont utilisés. Donc, au début, j'ai été un peu naïf. Mais depuis, j'ai appris.
Et vous rendez les coups ?
Il y a encore peu de temps, j'appelais les autres présidents pour les avertir quand l'un de leur joueur était intéressé pour nous rejoindre au Racing. Comme un crétin, il n'y a pas d'autre mot. (Rire.) Donc, eux en tiraient profit. Maintenant, je ne le fais plus. Et je me mets sur tous les joueurs, pour faire monter les enchères et faire payer les autres plus cher. Mais on fait tous ça ! C'est terrible ! Bastareaud, c'est un grand joueur. Je l'aime beaucoup, mais je n'ai jamais voulu l'engager. Je l'ai rencontré pour faire monter les enchères. Moyennant quoi, Mourad (Boudjellal, président de Toulon) l'a fait signer cinq ans de plus et 25 % plus cher que ce qu'il voulait. Et comme ça, il lui reste moins d'argent pour les autres joueurs. Parisse, c'est pareil. C'est un grand joueur, mais je n'ai jamais voulu le recruter. Mais quand le Stade Français a vu ça, ils ont paniqué. (Sourire.)
Mais vous dites quoi aux joueurs que vous rencontrez alors que vous n'allez pas les faire signer ?
Eh bien je fais le faux cul. Mais comme eux. Comme les joueurs ! (Il rit.) Parisse n'avait pas envie de venir jouer au Racing, mais il avait envie de revaloriser son salaire, donc il a fait semblant d'être intéressé. Moi, j'ai fait semblant d'être intéressé et il n'y en a qu'un qui n'a pas fait semblant, c'est celui qui a signé le chèque. (Il éclate de rire.) Mais moi aussi, on me le fait...
Ça va, vous avez l'air de le prendre plutôt bien...
Je suis obligé, mais, les premières années, cela m'a un peu décontenancé. J'étais habitué au monde de l'entreprise et je n'imaginais pas que ce milieu, le rugby, pouvait être aussi cruel, aussi dur. Mais ça va, j'ai révisé depuis. Je m'amuse comme tout le monde. »
3 : Le Racing 92 fait partie, avec les Anglais des Saracens et de Leicester, des trois clubs déjà assurés de recevoir en quarts de finale de la Coupe d'Europe (du 8 au 10 avril), avant même la dernière journée de la phase de poules qui aura lieu samedi et dimanche.
Posted 24 January 2016 - 05:57 AM
L'équipe du jour :
Il y a encore peu de temps, j'appelais les autres présidents pour les avertir quand l'un de leur joueur était intéressé pour nous rejoindre au Racing. Comme un crétin, il n'y a pas d'autre mot. (Rire.) Donc, eux en tiraient profit. Maintenant, je ne le fais plus. Et je me mets sur tous les joueurs, pour faire monter les enchères et faire payer les autres plus cher. Mais on fait tous ça ! C'est terrible ! Bastareaud, c'est un grand joueur. Je l'aime beaucoup, mais je n'ai jamais voulu l'engager. Je l'ai rencontré pour faire monter les enchères. Moyennant quoi, Mourad (Boudjellal, président de Toulon) l'a fait signer cinq ans de plus et 25 % plus cher que ce qu'il voulait. Et comme ça, il lui reste moins d'argent pour les autres joueurs. Parisse, c'est pareil. C'est un grand joueur, mais je n'ai jamais voulu le recruter. Mais quand le Stade Français a vu ça, ils ont paniqué. (Sourire.)
Mais vous dites quoi aux joueurs que vous rencontrez alors que vous n'allez pas les faire signer ?
Eh bien je fais le faux cul. Mais comme eux. Comme les joueurs ! (Il rit.) Parisse n'avait pas envie de venir jouer au Racing, mais il avait envie de revaloriser son salaire, donc il a fait semblant d'être intéressé. Moi, j'ai fait semblant d'être intéressé et il n'y en a qu'un qui n'a pas fait semblant, c'est celui qui a signé le chèque. (Il éclate de rire.) Mais moi aussi, on me le fa
toutes ressemblances avec ........seraient purement fortuites
Posted 08 February 2016 - 14:12 PM
Posted 11 February 2016 - 19:33 PM
La course à l'armement continue...
Le 2ème ligne qui franchit le plus en Europe et avec des mains en Or...
Leone NAKARAWA annoncé au Racing
http://www.lequipe.f...acing-92/633732
Posted 11 February 2016 - 20:32 PM
On ne joue plus dans la même division...
Posted 12 February 2016 - 14:05 PM
La course à l'armement continue...
Le 2ème ligne qui franchit le plus en Europe et avec des mains en Or...
Leone NAKARAWA annoncé au Racing
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