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[63manu]

Paillaugue quitte Montpellier.

[InASMWeTrust]

Paillaugue quitte Montpellier.

35 ans

[Buckaroo]

C'est désormais officiel : Big Karl Tu'inukuafe vient de signer au MHR. C'est un gars que j'aime beaucoup, et un club que je n'aime pas, mais c'est sans doute une très bonne chose pour lui. Je pense qu'il a pris la bonne décision. L'article ne dit pas pour combien de saisons il signe.

 

 

TRANSFERTS - Montpellier se renforce en première ligne pour la saison prochaine. Comme annoncé il y a quelques jours par RMC Sport, Karl Tu'inukuafe (29 ans ; 26 sélections) portera la tunique du MHR lors des prochains exercices. Selon nos informations, le pilier gauche international néo-zélandais s'est engagé ce lundi matin avec les Cistes, il rejoindra l'Hérault le 1er octobre prochain.

 

C'est un énorme coup que vient de réaliser Montpellier ! À partir de la saison prochaine, le MHR pourra compter sur un pilier all black pour renforcer la gauche de sa première ligne. Ce lundi, Karl Tu'inukuafe s'est engagé avec les Cistes, sa signature était dans les tuyaux depuis quelques jours déjà.

 

 

Issu d'une famille tongienne, Tu'inukuafe possède une histoire assez exceptionnelle. Le gaucher néo-zélandais a déjà connu la France, c'était entre 2015 et 2016 sous les couleurs de Narbonne. À l'époque, le club audois s'était séparé du pilier gauche par manque de performance après 23 rencontres disputées avec la tunique du RCN. Après une "pause" forcée avec le ballon ovale, Tu'inukuafe retrouve un club, en l'occurrence les Chiefs de Waikato, en 2018. Quelques mois après avoir enchaîné les bonnes prestations en Super Rugby, il découvre la sélection nationale.

Depuis 2019, il défend les couleurs des Blues d'Auckland en Super Rugby. Il a disputé cinq rencontres cette saison, c'est à la fin du championnat qu'il rejoindra donc son nouveau club : Montpellier. Àgé de 29 ans, le pilier gauche a encore de très beaux jours devant lui et amènera toute sa mobilité dans un pack montpelliérain réputé pour sa puissance.

 

[Ptolémée]

 

C'est désormais officiel : Big Karl Tu'inukuafe vient de signer au MHR. C'est un gars que j'aime beaucoup, et un club que je n'aime pas, mais c'est sans doute une très bonne chose pour lui. Je pense qu'il a pris la bonne décision. L'article ne dit pas pour combien de saisons il signe.

 

 

TRANSFERTS - Montpellier se renforce en première ligne pour la saison prochaine. Comme annoncé il y a quelques jours par RMC Sport, Karl Tu'inukuafe (29 ans ; 26 sélections) portera la tunique du MHR lors des prochains exercices. Selon nos informations, le pilier gauche international néo-zélandais s'est engagé ce lundi matin avec les Cistes, il rejoindra l'Hérault le 1er octobre prochain.

 

C'est un énorme coup que vient de réaliser Montpellier ! À partir de la saison prochaine, le MHR pourra compter sur un pilier all black pour renforcer la gauche de sa première ligne. Ce lundi, Karl Tu'inukuafe s'est engagé avec les Cistes, sa signature était dans les tuyaux depuis quelques jours déjà.

 

 

Issu d'une famille tongienne, Tu'inukuafe possède une histoire assez exceptionnelle. Le gaucher néo-zélandais a déjà connu la France, c'était entre 2015 et 2016 sous les couleurs de Narbonne. À l'époque, le club audois s'était séparé du pilier gauche par manque de performance après 23 rencontres disputées avec la tunique du RCN. Après une "pause" forcée avec le ballon ovale, Tu'inukuafe retrouve un club, en l'occurrence les Chiefs de Waikato, en 2018. Quelques mois après avoir enchaîné les bonnes prestations en Super Rugby, il découvre la sélection nationale.

Depuis 2019, il défend les couleurs des Blues d'Auckland en Super Rugby. Il a disputé cinq rencontres cette saison, c'est à la fin du championnat qu'il rejoindra donc son nouveau club : Montpellier. Àgé de 29 ans, le pilier gauche a encore de très beaux jours devant lui et amènera toute sa mobilité dans un pack montpelliérain réputé pour sa puissance.

 

 

 

oui ça c'est un coup énorme ! un joueur d'exception 

[cocotte 63]

je le trouve pas ouf celui-là, perso...

[SEB ASM]

Bonne chance aux speakers et commentateurs pour annoncer son entrée sur le terrain

[el landeno]

Pour Mohed Altrad, un bouclier de Brennus chèrement acquis Le sacre de Montpellier en Top 14 est aussi celui de son président Mohed Altrad qui, après s'être beaucoup trompé, a fini par trouver le modèle sportif et économique pour décrocher son premier Brennus.

Il s'est glissé entre Guilhem Guirado et Benoît Paillaugue sur l'estrade officielle quand le premier a soulevé le bouclier de Brennus. Il est très rare de voir un président au milieu de ses joueurs à ce moment-là mais Mohed Altrad ne voulait sûrement pas manquer un tel moment, lui qui avait repris le club au printemps 2011 alors qu'il n'était pas loin de créer l'exploit en finale face à Toulouse (10-15).

 

 

« Ça fait 11 ans que je cours derrière (le Brennus), reconnaissait l'intéressé au micro de Canal+ vendredi soir. J'ai sous-estimé la tâche mais aujourd'hui, je l'ai accomplie. » Dans cette première réaction à chaud, le président montpelliérain ne cachait pas les « erreurs » commises pendant son mandat, évoquant entre autres la valse des entraîneurs et le concept de « franchise sud-africaine »...

« On a compris qu'il fallait une identité »

 

 

 

 

Les « Langueboks » dirigés par Jake White (2015-2017) puis le Néo-Zélandais Vern Cotter (2017-2019) ont autant échoué sportivement qu'ils ont fait chauffer le chéquier du milliardaire. Le cuisant échec des Du Plessis, Pienaar et autres Steyn en finale en 2018 face à Castres (13-29) a finalement été un mal pour un bien puisqu'il a comme ouvert une nouvelle politique sportive dans l'Hérault. « Ça fait trois ans qu'on travaille dur, on a francisé l'équipe, francisé le staff, on a compris qu'il fallait une identité », résume Altrad.

lire aussiEn images : Montpellier fête son titre Place de la Comédie

Si l'histoire s'est (encore) mal finie avec Xavier Garbajosa, premier maître d'oeuvre de ce Montpellier new-look et finalement viré début 2021, le milliardaire a eu du flair en faisant appel avant le premier confinement de 2020 à Philippe Saint-André. C'est finalement avec l'équipe la moins bling-bling de son ère qu'Altrad a décroché la timbale, au moment où Handré Pollard, ouvreur champion du monde sud-africain et dernier salaire annuel à sept chiffres du club, s'en va après avoir eu un temps de jeu famélique sur la phase finale.

« J'ai fait des erreurs et ensuite je les ai corrigées. Maintenant, Il faut construire une histoire »

 

 

 

 

La nouvelle politique sportive du club a aussi été guidée par les réglementations de plus en plus strictes sur les Jiff ( « Joueur issu des filières de formation françaises », 16 en moyenne par match sur la saison) et la baisse continue d'un salary-cap (fixé à 11 millions en 2021-2022, il va descendre à 10 d'ici à 2024-2025) qui avait valu à Mohed Altrad plusieurs rappels à la règle de la LNR. Épinglé trois saisons consécutives, de 2018 à 2020, le président du MHR avait accepté de payer à l'amiable une amende de trois millions d'euros à l'été 2020.

« J'ai fait des erreurs et ensuite je les ai corrigées, conclut Altrad. Maintenant, Il faut construire une histoire, c'est notre premier trophée majeur mais il en faudra d'autres pour asseoir une institution [...] et dire enfin que Montpellier est une terre de rugby qui se respecte. »Altrad devra d'abord repasser par Paris du 7 au 22 septembre prochain, lui qui a été renvoyé avec, entre autres, le président de la FFR Bernard Laporte devant la justice pour « trafic d'influence actif », « corruption active » et « abus de bien sociaux », dans une enquête menée par le Parquet national financier.

 

 

[jm12]

Pour Mohed Altrad, un bouclier de Brennus chèrement acquis Le sacre de Montpellier en Top 14 est aussi celui de son président Mohed Altrad qui, après s'être beaucoup trompé, a fini par trouver le modèle sportif et économique pour décrocher son premier Brennus.

Il s'est glissé entre Guilhem Guirado et Benoît Paillaugue sur l'estrade officielle quand le premier a soulevé le bouclier de Brennus. Il est très rare de voir un président au milieu de ses joueurs à ce moment-là mais Mohed Altrad ne voulait sûrement pas manquer un tel moment, lui qui avait repris le club au printemps 2011 alors qu'il n'était pas loin de créer l'exploit en finale face à Toulouse (10-15).

 

 

« Ça fait 11 ans que je cours derrière (le Brennus), reconnaissait l'intéressé au micro de Canal+ vendredi soir. J'ai sous-estimé la tâche mais aujourd'hui, je l'ai accomplie. » Dans cette première réaction à chaud, le président montpelliérain ne cachait pas les « erreurs » commises pendant son mandat, évoquant entre autres la valse des entraîneurs et le concept de « franchise sud-africaine »...

« On a compris qu'il fallait une identité »

 

 

 

 

Les « Langueboks » dirigés par Jake White (2015-2017) puis le Néo-Zélandais Vern Cotter (2017-2019) ont autant échoué sportivement qu'ils ont fait chauffer le chéquier du milliardaire. Le cuisant échec des Du Plessis, Pienaar et autres Steyn en finale en 2018 face à Castres (13-29) a finalement été un mal pour un bien puisqu'il a comme ouvert une nouvelle politique sportive dans l'Hérault. « Ça fait trois ans qu'on travaille dur, on a francisé l'équipe, francisé le staff, on a compris qu'il fallait une identité », résume Altrad.

lire aussiEn images : Montpellier fête son titre Place de la Comédie

Si l'histoire s'est (encore) mal finie avec Xavier Garbajosa, premier maître d'oeuvre de ce Montpellier new-look et finalement viré début 2021, le milliardaire a eu du flair en faisant appel avant le premier confinement de 2020 à Philippe Saint-André. C'est finalement avec l'équipe la moins bling-bling de son ère qu'Altrad a décroché la timbale, au moment où Handré Pollard, ouvreur champion du monde sud-africain et dernier salaire annuel à sept chiffres du club, s'en va après avoir eu un temps de jeu famélique sur la phase finale.

« J'ai fait des erreurs et ensuite je les ai corrigées. Maintenant, Il faut construire une histoire »

 

 

 

 

La nouvelle politique sportive du club a aussi été guidée par les réglementations de plus en plus strictes sur les Jiff ( « Joueur issu des filières de formation françaises », 16 en moyenne par match sur la saison) et la baisse continue d'un salary-cap (fixé à 11 millions en 2021-2022, il va descendre à 10 d'ici à 2024-2025) qui avait valu à Mohed Altrad plusieurs rappels à la règle de la LNR. Épinglé trois saisons consécutives, de 2018 à 2020, le président du MHR avait accepté de payer à l'amiable une amende de trois millions d'euros à l'été 2020.

« J'ai fait des erreurs et ensuite je les ai corrigées, conclut Altrad. Maintenant, Il faut construire une histoire, c'est notre premier trophée majeur mais il en faudra d'autres pour asseoir une institution [...] et dire enfin que Montpellier est une terre de rugby qui se respecte. »Altrad devra d'abord repasser par Paris du 7 au 22 septembre prochain, lui qui a été renvoyé avec, entre autres, le président de la FFR Bernard Laporte devant la justice pour « trafic d'influence actif », « corruption active » et « abus de bien sociaux », dans une enquête menée par le Parquet national financier.

 

 

 

C 'est parfait de rafraîchir un peu les mémoires ......  

[Gourine63]

Tiens BB, l'esprit rugby au summum.

[el landeno]

https://fb.watch/dSF9zEo_H-/

[Bon Chasseur]

Oh mais QUELLE BELLE Affiche pour l'occasion.

 

[63manu]

De belles têtes de vainqueur.

[twiX]

https://fb.watch/dSF9zEo_H-/

on dirait les Lopez ? En même temps Moscato vaut pas mieux

[bazooka]

Les lendemains qui chantent, j'aime bien