lapandry ....
chouly
Posted 01 June 2025 - 22:39 PM
lapandry ....
chouly
Posted 02 June 2025 - 05:24 AM
Posted 02 June 2025 - 09:22 AM
Chouly, Clum ne va pas être d'accord
bah le joueur chouly pas de soucis: plutôt très bon et parfois même brillant. Ce que je n'ai pas supporté c'est qu'on lui donne le capitanat, en tant qu'ancien joueur de brive ça a été pour moi une faute de goût intolérable
Posted 02 June 2025 - 10:43 AM
Bon vent Fritz, dur de le voir partir ainsi. Quel joueur !
Comme d'autre j'aurais aimé le voir rester dans le staff
Posted 02 June 2025 - 13:35 PM
Cristina, Rodriguez, Verdy, Moore...
Sans oublier Nathan Hugues...
Posted 02 June 2025 - 21:30 PM
Tonon, Roca, Luciani
Posted 03 June 2025 - 06:59 AM
Tonon, Roca, Luciani
Luciani en avance sur le rugby de l 'époque plus à la mode Codorniou que de défoncer les murs...mais alors handicapé des deux mains le mec !
Roca , un fêlé du cerveau capable de traverser le terrain pour venir en coller une à son vis à vis hors de toute action de jeu...mon pote arrière avec la B du Racing en a fait l 'expérience et s'en souvient encore....
Tonon , un sacré client celui là je me souviens en aller barrage à Nîmes contre Narbonne de son face à face avec un 2 ligne du RCN à qui il manquait une case , fallait en avoir car le zigoto d'en face c 'était pas un bisounours !
Posted 03 June 2025 - 07:22 AM
Luciani en avance sur le rugby de l 'époque plus à la mode Codorniou que de défoncer les murs...mais alors handicapé des deux mains le mec !
Roca , un fêlé du cerveau capable de traverser le terrain pour venir en coller une à son vis à vis hors de toute action de jeu...mon pote arrière avec la B du Racing en a fait l 'expérience et s'en souvient encore....
Tonon , un sacré client celui là je me souviens en aller barrage à Nîmes contre Narbonne de son face à face avec un 2 ligne du RCN à qui il manquait une case , fallait en avoir car le zigoto d'en face c 'était pas un bisounours !
Roca, un vrai fêlé oui, il allait même à la porte des vestiaires des adversaires pour les provoquer, c'est dire...
Posted 03 June 2025 - 08:19 AM
Luciani en avance sur le rugby de l 'époque plus à la mode Codorniou que de défoncer les murs...mais alors handicapé des deux mains le mec !
Roca , un fêlé du cerveau capable de traverser le terrain pour venir en coller une à son vis à vis hors de toute action de jeu...mon pote arrière avec la B du Racing en a fait l 'expérience et s'en souvient encore....
Tonon , un sacré client celui là je me souviens en aller barrage à Nîmes contre Narbonne de son face à face avec un 2 ligne du RCN à qui il manquait une case , fallait en avoir car le zigoto d'en face c 'était pas un bisounours !
Si il s'en souvient encore c'est que c'était pas si terrible que ça
Posted Yesterday, 09:12 AM
Un dernier (?) petit coup de Fritz Lee ?...
L'adversaire qu'il n'oubliera pas, sa connexion avec Azéma... Fritz Lee revient sur ses douze saisons à l'ASM Clermont
272 matchs joués en 12 saisons, Fritz Lee a été un modèle de constance et de présence sur le terrain, dont la blessure la plus sérieuse a mis un terme à son aventure à l’ASM Clermont, il y a deux mois à Northampton. Souvenirs avec le numéro 8, probablement, le plus impactant de l’histoire du club.
S’il y a un joueur qui ne méritait pas une telle sortie (sur blessure et sur civière), c’est bien Fritz Lee. Rarement un joueur du pack clermontois n’a été aussi régulier et si peu blessé dans sa carrière, longue de douze saisons à l’ASM. En lui offrant le coup d’envoi, samedi dernier face au Stade Français, le club lui a rendu un légitime hommage, même si l’international samoan aurait préféré sortir les crampons au pied. À 36 ans, le joueur clermontois nous a raconté ses souvenirs et a évoqué un peu son futur.
Le coach qui l’a marqué à l’ASM :
« Ils ont tous été remarquables avec moi. Vern Cotter, qui m’a recruté comme joker médical, me disait toujours les choses en face, droit dans les yeux, quand il y avait besoin. Franck Azéma, c’est spécial car c’est lui qui m’a entraîné le plus longtemps et c’est avec lui que j’ai gagné les deux titres (Brennus en 2017 et le Challenge européen en 2019). Jono Gibbes, je le connaissais très bien et j’ai apprécié aussi travailler avec Christophe Urios. Mais le plus marquant reste Franck (Azéma) avec lequel j’ai été, sans doute, le plus connecté. J’appréciais son côté très humain et je le trouvais bien équilibré avec le reste du staff. Mais je tiens à dire que dans mon parcours à l’ASM, tous les coachs ont eu une importance ».
Le joueur qui l'a le plus impressionné :
« Physiquement, par son engagement sur le terrain, Julien Bardy était énorme. C’est le joueur qui m’a le plus impressionné, un peu aussi comme Vito Kolelishvili. Mais Julien, j’aurais tout fait pour l’éviter si on avait eu à se bagarrer (rires). »
Le joueur qui l’a aidé à l’ASM :
« Il y en a eu beaucoup (réflexion)… Quand je suis arrivé en France et à Clermont, Kevin Senio m’a beaucoup aidé, même s’il venait d’arrêter sa carrière. Il habitait encore ici et il a contribué à mon intégration. Tout comme Ti’i Paulo (ndlr : ancien talonneur de Clermont) qui a été un très bon guide dans un pays et une culture que je découvrais ».
Le joueur le plus "fou" :
« Ludovic Radosavljevic, le joueur le plus fou, mais le gars dont une équipe a besoin. Il était très important pour la vie de groupe, surtout quand il y avait du stress. Il apportait alors toujours un truc pour déconner et détendre l’ambiance »
Le souvenir d’un adversaire :
« Un jour, face à Castres, je me suis bagarré sur le terrain avec un mec… C’était Rémi Lamerat, avant qu’il ne vienne jouer avec moi à l’ASM. On en a rigolé souvent ensemble ».
Le joueur le plus pénible à affronter :
« Duane Vermeulen (à gauche sur la photo), c’est le joueur qui était vraiment pénible à jouer, à mon poste de numéro 8. Il avançait toujours car c’était un mec sacrément physique. Quand on rencontrait Toulon, je regardais toujours s’il allait jouer ou pas ».
Le club rival qu’il n’oubliera pas :
« J’ai vécu, je pense l’essentiel, de la rivalité entre Clermont et Toulon, même si en 2013 il y avait déjà eu les grands moments de 2010 (demi-finale Top 14) et la finale européenne en 2013. Quand je suis arrivé ici, tout le monde me parlait des petites histoires entre les deux clubs. Quand on affrontait les Toulonnais, je sentais toujours une atmosphère particulière ».
L’incompréhension à votre arrivée en Top 14 :
« Très vite, je ne comprends pas le rugby ici en France et notamment la mêlée. En Nouvelle-Zélande, la mêlée était secondaire, c’était une remise en jeu, point. Ici, j’ai compris l’aspect tactique très différent. Chaque fois que Morgan (Parra) me demandait de garder le ballon dans les pieds, au début, je ne comprenais pas. Pousser l’adversaire à la faute, gagner une pénalité pour aller en touche… je n’étais pas éduqué comme ça ».
Ce qu’il retiendra du Top 14 :
« Le championnat le plus dur au monde car tu es sur le pont 11 mois sur 12. Les franchises de l’hémisphère sud ne pourraient pas rivaliser dans ce format, à moins d’élargir grandement leur effectif. Longtemps, le rugby français était basé sur la puissance. Aujourd’hui, c’est toujours le cas mais il y a en plus la vitesse. Franchement, l’équipe de France mériterait de gagner la Coupe du monde quand je vois le niveau de ses joueurs ».
« Le 7 juillet, après la fin du protocole de soins de ma blessure (fracture tibia péroné), je vais partir trois semaines en rééducation à Capbreton. J’espère reprendre la course début août et entamer la réathlétisation. Je me donne ensuite deux mois pour voir si un club s’intéresse à moi. Avant ma blessure, je me sentais vraiment en forme et mon objectif est de jouer une dernière saison, ici en France. Sinon, sans contact, je repartirai en Nouvelle-Zélande où mon beau-père me réserve un boulot dans son entreprise de construction ».
Ci-dessus, le 26 octobre 2013, Fritz Lee est arrivé depuis trois jours en France et à Clermont et est présenté au public clermontois avant le coup d’envoi d’un derby face à Brive. « J’entre sur la pelouse, le stade est plein, ça crie, l’ambiance est dingue. Là, je me dis que c’est un truc de fou. Je n’avais jamais connu ça en Nouvelle-Zélande ».
Ci-dessous, le 31 mai 2025, 12 ans plus tard, le numéro 8 salue le public du Michelin une dernière fois. « J’espère que les supporters garderont de moi l’image d’un joueur qui a fait avancer le club et marqué un peu l’histoire de l’ASM ».
Christophe Buron (LM - 06/06/25)
Posted Yesterday, 11:43 AM
La mélèe :
"Pousser l’adversaire à la faute, gagner une pénalité pour aller en touche… je n’étais pas éduqué comme ça."
C'est certain que dans l'hémisphère Sud...
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