5602 réponses à ce sujet

[Eria]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

[La Berthe]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

Mais non la plus grosse bourde d'Urios c'était Beria

[dj0e]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

Et Beria. Et Fischer.

Moala, il est incroyable. J'ai juste peur pour sa santé à chaque fois qu'il rentre sur le terrain, mais c'est ainsi.

Yato, quel crève-coeur de le voir partir.

Bon vent Peceli.

[Babé03]

Elsa étant visibement à l'apéro....

Tiens, pain au choc, lis ça ! 

 

"Les supporters sont comme mon frère ou ma sœur" : Peceli Yato vit ses derniers moments avec l'ASM Clermont Trois matchs... voire plus si affinité. C’est ce qu’il reste à Peceli Yato pour conclure sa grande aventure avec l’ASM Clermont. Le Fidjien veut tout faire pour terminer en beauté et rendre ainsi tout l’amour qu’il a reçu depuis 13 ans. À commencer ce samedi soir face à Castres.

L’ASM Clermont organisait son troisième « café jaunard », lundi dernier au Mafrani’s, à Saint-Pourçain-sur-Sioule. Un exercice où les joueurs répondent en direct aux questions des supporters. En bout de table, Peceli Yato se montre peu bavard, comme intimidé par les nombreuses sollicitations.
« Ce n’est pas pareil quand il y a beaucoup de monde comme ça. J’ai un peu peur de la barrière de la langue. C’est compliqué pour moi, parfois, de parler devant eux. C’est pour cela que j’ai préféré ne pas trop en dire. »

Pourtant, après ces échanges plus ou moins formels, le colosse fidjien a répondu à toutes les demandes d’autographes, de photos, ou simplement de discussions. Arrivé en 2012 à Clermont-Ferrand, Peceli Yato est une figure historique du club. Et cela va forcément de pair avec l’immense cote d’amour dont il jouit auprès de la Yellow Army. Et s’il est parfois avare en paroles, cela ne trahit en rien l’immense affection que le joueur éprouve pour cette région, pour ce club et pour tous ces gens.

« C’est comme ma famille… Je suis arrivé ici, j’étais encore un jeune homme. Et tous ces gens sont comme ma sœur ou mon frère. C’est quelque chose qui va énormément me manquer. Quand je vois les enfants venir vers moi, cela me fait penser aux miens, à la maison. C’est quelque chose qui me remplit de joie. »

Dans trois matchs (si les Auvergnats ne se qualifient pas), Peceli Yato ne sera plus un joueur de l’ASM Clermont. Son avenir se dessine du côté de l’USAP, où il a signé un contrat de deux ans. En début de saison, le joueur a eu une discussion franche avec son manager, Christophe Urios, sur une éventuelle prolongation. Les deux parties ont rapidement trouvé un terrain d’entente.
« Je le sentais avoir envie de vivre autre chose, se souvient l’entraîneur. Il était partagé entre l’idée : je suis à Clermont, si je prolonge, je finis ma vie (sportive) ici… Et celle de partir pour une autre expérience. »

Peceli Yato nous a confirmé avoir choisi la deuxième option. À l’orée de la fin de sa carrière, le Fidjien avait envie de relever un dernier défi. Et ce, malgré tout l’amour et le respect qu’il porte à Clermont-Ferrand.

« J’ai trois matchs pour tout donner »

« Avec Christophe, nous sommes tombés d’accord à l’issue des discussions que nous avons eues. C’est une bonne chose pour le club, je pense. C’est aussi une bonne décision pour moi. Ce sera forcément un moment difficile, pour les supporters comme pour moi. Mais c’est le rugby… Si j’ai l’occasion de venir jouer ici l’an prochain, je peux vous assurer que ça sera très difficile à vivre. »

Après 13 années passées en Auvergne, Peceli Yato va donc prendre la direction de la Catalogne pour retrouver un homme qu’il connaît bien : Franck Azéma. Même si le joueur assure que cela n’a pas influencé son choix. « Perpignan est le premier club qui m’a contacté directement. C’est comme ça que ça s’est fait. Après, il est vrai que Franck est le premier à m’avoir donné ma chance ici. C’est le premier à m’avoir transformé. »

Mais avant de penser à la suite, Peceli Yato veut tout donner sur le terrain. Comme il l’a fait, justement, samedi dernier face à son futur club. Le joueur n’a plus besoin de prouver quoi que ce soit. Il occupe déjà une place confortable dans l’histoire de l’ASM. « Je veux terminer en beauté. C’est quelque chose que j’ai en tête depuis longtemps. J’ai trois matchs pour tout donner. Ce sont mes derniers moments avec le maillot “jaune et bleu”. Donc il faut y aller. »

[devangeli]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

Pas du tout d'accord.
Yato c'est aussi beaucoup d'irrégularités dans ses performances.
Il approche de la sa fin de carrière
Donc si on veux batir l'effectif pour les 3 à 5 ans a venir ce n'est plus une joueur majeur sur lequel il faut compter.
C'est un choix qui s'entend...
Même si on reconnaît tous quactuellement il est performant et surtout sa possibilité de jouer 2eme ligne est très intéressant.

Moala très puissant mais aussi un jeu limité et très frontal-stereotype. On lui a reproche pas mal de fois de ne pas savoir faire jouer autour de lui. En progrès ses derniers matchs sur ce secteur

Raka excellent finisseur très puissant aussi. Mais de grosses lacunes tactiques et défensives qui font parfois râler.

Ce sont de très bons joueurs dont on a besoin mais aussi de grosses lacunes sur certains aspects de leur jeu.

Hormis Penaud a l'époque, nous n'avons plus vraiment de joueurs qui me paraissent sortir du lot et totalement indispensable.
C'est pas pour rien qu'on a plus dinternationaux.

Au final je préfère que l'on réussise a conserver les Jauneau, Tixeront, Massa, Darricarere, Montagne... ça nous laisse espérer qu un jour ils puissent atteindre le niveau international.

[gregouarrrr]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

On te dit Qu il a préféré un autre challenge...

[ELSAZOAM]

Elsa étant visibement à l'apéro....

Tiens, pain au choc, lis ça ! 

 

"Les supporters sont comme mon frère ou ma sœur" : Peceli Yato vit ses derniers moments avec l'ASM Clermont Trois matchs... voire plus si affinité. C’est ce qu’il reste à Peceli Yato pour conclure sa grande aventure avec l’ASM Clermont. Le Fidjien veut tout faire pour terminer en beauté et rendre ainsi tout l’amour qu’il a reçu depuis 13 ans. À commencer ce samedi soir face à Castres.

L’ASM Clermont organisait son troisième « café jaunard », lundi dernier au Mafrani’s, à Saint-Pourçain-sur-Sioule. Un exercice où les joueurs répondent en direct aux questions des supporters. En bout de table, Peceli Yato se montre peu bavard, comme intimidé par les nombreuses sollicitations.
« Ce n’est pas pareil quand il y a beaucoup de monde comme ça. J’ai un peu peur de la barrière de la langue. C’est compliqué pour moi, parfois, de parler devant eux. C’est pour cela que j’ai préféré ne pas trop en dire. »

Pourtant, après ces échanges plus ou moins formels, le colosse fidjien a répondu à toutes les demandes d’autographes, de photos, ou simplement de discussions. Arrivé en 2012 à Clermont-Ferrand, Peceli Yato est une figure historique du club. Et cela va forcément de pair avec l’immense cote d’amour dont il jouit auprès de la Yellow Army. Et s’il est parfois avare en paroles, cela ne trahit en rien l’immense affection que le joueur éprouve pour cette région, pour ce club et pour tous ces gens.

« C’est comme ma famille… Je suis arrivé ici, j’étais encore un jeune homme. Et tous ces gens sont comme ma sœur ou mon frère. C’est quelque chose qui va énormément me manquer. Quand je vois les enfants venir vers moi, cela me fait penser aux miens, à la maison. C’est quelque chose qui me remplit de joie. »

Dans trois matchs (si les Auvergnats ne se qualifient pas), Peceli Yato ne sera plus un joueur de l’ASM Clermont. Son avenir se dessine du côté de l’USAP, où il a signé un contrat de deux ans. En début de saison, le joueur a eu une discussion franche avec son manager, Christophe Urios, sur une éventuelle prolongation. Les deux parties ont rapidement trouvé un terrain d’entente.
« Je le sentais avoir envie de vivre autre chose, se souvient l’entraîneur. Il était partagé entre l’idée : je suis à Clermont, si je prolonge, je finis ma vie (sportive) ici… Et celle de partir pour une autre expérience. »

Peceli Yato nous a confirmé avoir choisi la deuxième option. À l’orée de la fin de sa carrière, le Fidjien avait envie de relever un dernier défi. Et ce, malgré tout l’amour et le respect qu’il porte à Clermont-Ferrand.

« J’ai trois matchs pour tout donner »

« Avec Christophe, nous sommes tombés d’accord à l’issue des discussions que nous avons eues. C’est une bonne chose pour le club, je pense. C’est aussi une bonne décision pour moi. Ce sera forcément un moment difficile, pour les supporters comme pour moi. Mais c’est le rugby… Si j’ai l’occasion de venir jouer ici l’an prochain, je peux vous assurer que ça sera très difficile à vivre. »

Après 13 années passées en Auvergne, Peceli Yato va donc prendre la direction de la Catalogne pour retrouver un homme qu’il connaît bien : Franck Azéma. Même si le joueur assure que cela n’a pas influencé son choix. « Perpignan est le premier club qui m’a contacté directement. C’est comme ça que ça s’est fait. Après, il est vrai que Franck est le premier à m’avoir donné ma chance ici. C’est le premier à m’avoir transformé. »

Mais avant de penser à la suite, Peceli Yato veut tout donner sur le terrain. Comme il l’a fait, justement, samedi dernier face à son futur club. Le joueur n’a plus besoin de prouver quoi que ce soit. Il occupe déjà une place confortable dans l’histoire de l’ASM. « Je veux terminer en beauté. C’est quelque chose que j’ai en tête depuis longtemps. J’ai trois matchs pour tout donner. Ce sont mes derniers moments avec le maillot “jaune et bleu”. Donc il faut y aller. »

Tu es bien bon Babé, il fallait les laisser mijoter un peu plus...     

[twiX]

Surement une des plus grosses bourde de Urios ,lui Raka et Moala sont indéboulonnable et irréprochable...

je croyais que c'était Urda