ce matin, je me dis, je vais revoir le match pour verifier ma premiere impression, et je vais noter mes desaccord avec l'arbitre:
A peine 1m30 plaquage haut manchette de waisea sur Lopez que j'avais pas vu en direct
A peine 20 s plus tard Burban plaque et reste dans la zone de plaquage coté Montferrandais, il a fait cela tout le match avec Bonfils sans etre jamais sanctionné, la fallait etre aveugle par pas en avoir quelques uns au cours du match.
3m30 env penalite pour l'ASM et je comprends pas trop pourquoi l'arbitre la decale sur le coté
6 m7 passe en avant de Sinzelle, bon allez à hauteur pour faire plaisir à GAUZERE
6m20 deblayage à l'épaule de Bonfils qui d'ailleurs peut battre le record de penalité concedés par un joueur sur un match à l'Occasion de cette finale.
J'ai plus de place sur ma feuille j'arrete la...
Ah si le deblayage de Bardy avec le carton jaune, mdr sur France 2 y a pas grand chose dixit Galthie puis apres carton jaune mérité.
Et le coup de pied dans le dos de Vaha par Remi un peu avant la
eme, Faut l'appeler REMI, c'est par leur prénom que M GAUZERE appele Les joueurs Parisiens.Il parait que le Reve de GAUZERE c'est d'etre sur le calendrier des dieux du Stade et bien hier il a reussi il a été le Dieu du stade qui a su faire gagner PARIS.
Certes nos joeueurs ont commis des erreurs (Parra dans les penalites, Bardy qui n'a pas su se maitriser, ...) mais ils se sont battus et y a pas grand chose à leur reprocher.
Moi mes griefs vont plus sur LHERMET et DE CRO qui accepte la defaite et ne mette jamais pas la pression sur l'arbitre avant et apres le match, ce qui fait qu'on est les gentils perdants qu'on peut enfler;J'ai l'impression qu'AZEMA lui est plus franc, il a d'ailleurs emis des doutes sur l'arbitrage equitable de ce match.J'espere qu'il sera pas mis au banc du club comme Cotter l'a ete à la fin, et comme on tente de le faire avec les supporters siffleurs.
Derniere chose, je croyais que cette saison il n'etait plus autorise de parler à l'arbitre sur le terrain, mais suis je bete c'etait SERGIO qui arbitrait encore heureux qu'il puisse parler.