c'est pas nouveau, voir post 1400....Encore un truc qui pue du cul. Toujours avec altrad et laporte.
http://www.europe1.f...alorise-3455666

La FFR et ses magouilles
#1456
Posté 14 octobre 2017 - 15:03
#1457
Posté 14 octobre 2017 - 15:04
c'est pas nouveau, voire post 1400....
Je sais. Mais faut nourrir le bouzin. Ne rien lâcher. S'acharner. Ils méritent.
- xdderf63 aime ceci
#1458
Posté 14 octobre 2017 - 15:07
Je sais. Mais faut nourrir le bouzin. Ne rien lâcher. S'acharner. Ils méritent.
Avec la moitié de ce qui est sorti toi ou moi on serait déjà en taule, lui tranquille peinard ça lui en touche une sans faire bouger l autre.
- Uderzo, cetotomatos et ASM63000 aiment ceci
#1459
Posté 14 octobre 2017 - 15:09
Avec la moitié de ce qui est sorti toi ou moi on serait déjà en taule, lui tranquille peinard ça lui en touche une sans faire bouger l autre.
J'ai finalement l'impression que l'obtention ou non de la coupe du monde donnera un tournant décisif a cette affaire. Si la france n'obtient pas la coupe du monde, le binoclard est mort.
- cetotomatos, RCV06 et Bougnat et Breton aiment ceci
#1460
Posté 14 octobre 2017 - 15:15
Pas faux ça, déjà que Macron a fait un pas en arrière et n'affiche son soutien qu en vidéo, l'explication de texte est peut être bien programmée pour le lendemain de l annonce de l attribution de la CDM.
J'ai finalement l'impression que l'obtention ou non de la coupe du monde donnera un tournant décisif a cette affaire. Si la france n'obtient pas la coupe du monde, le binoclard est mort.
#1461
Posté 14 octobre 2017 - 19:47
Ce qui est surprenant, malgré tout, c'est le silence des autres partenaires.
Et le sponsoring 2018, à 5. 4 M€, étonnant que la Société Générale (5.2 pour 2017) ne se soit pas mieux placée étant sponsors de longue date !!!
C'est un milieu un peu.......... Enfin, c'est le milieu
#1462
Posté 17 octobre 2017 - 09:35
Avec la moitié de ce qui est sorti toi ou moi on serait déjà en taule, lui tranquille peinard ça lui en touche une sans faire bouger l autre.
J'ai finalement l'impression que l'obtention ou non de la coupe du monde donnera un tournant décisif a cette affaire. Si la france n'obtient pas la coupe du monde, le binoclard est mort.
J'y crois même plus.
Comme dit par RCV on serait déjà derrière les barreaux si ça avait été nous.
C'est quasi acté qu'il n'aura rien. Ca joue au roi du silence du côté du ministère, de Laporte et compagnie. Ca sent la bonne vieille douille tout en douceur.
#1463
Posté 17 octobre 2017 - 11:51
Pas faux ça, déjà que Macron a fait un pas en arrière et n'affiche son soutien qu en vidéo, l'explication de texte est peut être bien programmée pour le lendemain de l annonce de l attribution de la CDM.
BL ministre des sports ,tout est possible,on a tué toutes certitudes,plus on avance dans le dossier plus on s’aperçoit qu'il en a les compétences!
#1464
Posté 17 octobre 2017 - 11:59
BL ministre des sports ,tout est possible,on a tué toutes certitudes,plus on avance dans le dossier plus on s’aperçoit qu'il en a les compétences!
Moi je vois plutôt Mourad. Défenseur zélé du Macronisme, et qui a plutôt bien réussi dans son projet sportif.... Projet par ailleurs très macroniste avant l'heure.
#1465
Posté 17 octobre 2017 - 17:35
Ce qui est surprenant, malgré tout, c'est le silence des autres partenaires.
Et le sponsoring 2018, à 5. 4 M€, étonnant que la Société Générale (5.2 pour 2017) ne se soit pas mieux placée étant sponsors de longue date !!!
C'est un milieu un peu.......... Enfin, c'est le milieu
Si la banque en question est aussi réactive que pour mon crédit, ça m'étonne pas.
- PATRICK78230 et Boulard aiment ceci
#1466
Posté 17 octobre 2017 - 20:25
correction, nanard n'a jamais été ministre merci de ne pasl lui donner des fonctions qu'il n'a pas eu !BL ministre des sports ,tout est possible,on a tué toutes certitudes,plus on avance dans le dossier plus on s’aperçoit qu'il en a les compétences!
#1467
Posté 17 octobre 2017 - 21:15
#1468
Posté 17 octobre 2017 - 21:24
Je mettrai ça en ligne demain matin
- Uderzo et Frédéric58 aiment ceci
#1469
Posté 18 octobre 2017 - 05:13

Nous sommes le 28 juin 2017. Soit la veille de la fameuse séance de la commission d'appel de la FFR. Comme le veut l'usage, le service juridique de la fédé transmet aux trois « juges » devant examiner l'appel du club de Montpellier, MM. Simonet, Peyramaure et Malterre, un document de travail de neuf pages. Ce n'est pas à proprement parler un rapport d'instruction ; disons plutôt que les juristes de la FFR, avant une audience, éclairent sous tous les angles le dossier pour ceux qui devront arbitrer. Ils récapitulent les faits, ils les qualifient, ils incorporent les textes réglementaires qui sont appliqués pour de tels faits, résument la contre-argumentation de celui qui fait appel, etc.
Le 29 juin, en début d'aprèsmidi, l'avocat du MHRse présente devant la commission fédérale, à Marcoussis, afin de contester les sanctions prises en première instance par la commission de discipline de la Ligue. À savoir : une amende de 70 000 euros et un match de suspension de l'Altrad Stadium après la levée d'un sursis datant du 18 février 2015 pour des « désordres occasionnés par le public pendant le match » et « des projectiles lancés sur le terrain au cours de la rencontre ».
À la lecture de la synthèse préparatoire, tout semble clair. Les neuf pages se concluent de la manière suivante (voir ci-contre) :« Elle (la commission) prononcera alors la révocation de ce sursis. » Pas de conditionnel. Futur simple. L'orientation de la juriste qui a rédigé ce document ne fait pas de place au doute. Le sursis doit être révoqué de manière automatique en raison des sept banderoles déployées dans l'Altrad Stadium le 22 avril 2017, avant et pendant le match contre le Racing 92.
La seule question juridique à vérifier tenait à la nature des sanctions entre la première infraction, de février 2015, et la seconde, d'avril 2017. D'après les juristes fédéraux, il s'agit de la même « famille » d'infractions, celle relative à la sécurité dans les stades. Dans ce corpus, on regroupe aussi bien les banderoles injurieuses (exemple à Montpellier ce 22 avril : « Cons + fusion = confusion ») de nature à exciter le public et/ou à dénigrer (exemple toujours à Montpellier : « Goze + Lorenzetti = équité bafouée, le tricheur + le menteur ») que les dérapages d'un speaker ou le jet d'un objet. « Elle (la commission) pourra considérer que le simple déploiement de sept banderoles est de nature à causer un trouble », précise le document de neuf pages.
Les juristes de la FFR relèvent également un défaut de filtrage du club. Et une certaine lenteur à faire retirer les banderoles que les caméras de télé ont eu tout le temps de filmer. Dans sa défense, une fois invoquée la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, l'avocat de Montpellier a curieusement fait remarquer que plusieurs banderoles ont été apportées par des associations de supporters accréditées à entrer dans le stade sans être soumises à la fouille (lire par ailleurs). Est-ce à dire qu'à Montpellier toute personne accréditée peut faire entrer ce qu'elle veut dans l'enceinte du stade ? La défense n'apportant aucun élément nouveau, il est fort logique que le service juridique de la fédé préconise une amende allant de 20 000 à 80 000 € et la levée du sursis du stade.
La commission fait un tête-à-queue dans le dernier virageAu final, nous savons que la décision a conclu à seulement 20 000 euros d'amende, soit la peine plancher, et aucune suspension de terrain. Pour un récidiviste, c'est bizarre. Nous sommes aux antipodes de la sanction initiale prononcée par la Ligue : 70 000 euros d'amende et la suspension de terrain pour un match. C'est difficilement compréhensible sauf si, comme nous le réaffirmons, Bernard Laporte a téléphoné à Simonet, président de la commission d'appel, pour demander à ce que la décision soit modifiée le 30juin.
Pour tenter de comprendre, nous nous sommes aussi procuré la notification finale de la décision. Six pages, toujours rédigées par le service juridique de la FFR. À 95 %, le corps du texte est similaire au document préparatoire. Son sens aussi. Il y est fait remarquer à l'avocat du club de Montpellier que son argument pouvait aisément se retourner contre lui : « Il est très regrettable que l'appelant, parfaitement conscient du contexte puisqu'il en a fait l'un des éléments principaux de sa défense(ce match reporté après la fusion avortée Racing-Stade Français), n'ait pas anticipé cetrouble (donc filtré les banderoles) et, surtout, n'ait rien fait pour faire cesser ce trouble (mollesse pour les faire retirer). En tout état de cause, l'existence d'un trouble est établie par le simple fait que les officiels aient jugé nécessaire de le faire cesser en exigeant le retrait des banderoles. » Et soudain, à la sixième et dernière page, quelques lignes pour le moins décalées parlant « des conditions d'accueil très bonnes » d'habitude à Montpellier et notifiant que « dans ces conditions (lesquelles ?), une forte amende assortie d'une suspension de terrain serait une mesure disproportionnée quand bien même cette suspension résulterait de la révocation d'un sursis ». Cette conclusion est aussi incompréhensible qu'incohérente. Dans cette notification, la commission suit un raisonnement logique et part en tête-à-queue dans le dernier virage en renonçant à la levée du sursis.
Il existe pourtant un texte très clair s'agissant de la révocation d'un sursis. L'article 46 du « règlement et barèmes disciplinaires » (voir par ailleurs) pour la saison 2016-2017 ne mentionne en aucune façon la non-levée d'un sursis en cas d'amende, de « disproportion » ou de « très bonnes conditions d'accueil ».
La commission ne pouvait que constater qu'une nouvelle faute caractérisée avait eu lieu, dans les trois ans impartis. Pour ce genre de troubles, le sursis tombe automatiquement. Toujours.
En 2016, par exemple, le sursis du stade de Bourgoin, alors en Pro D 2, avait été levé après l'intrusion d'un streaker sur la pelouse. Bourgoin avait dû recevoir Colomiers à Romans. Le 26 août, pour l'ouverture du Top 14, Montpellier, lui, a accueilli Agen dans son stade, sûrement dans de très bonnes conditions.
L'article 46 est pourtant clair
L'article 46 des règlements généraux de la FFR contient trois phrases, délimitant les contours du sursis. On comprend sans difficulté que toute nouvelle sanction, allant du blâme (la plus faible de l'arsenal disciplinaire) à la radiation (la plus forte), prononcée dans un délai imparti de trois ans, provoquera la révocation du sursis. Est-ce que Montpellier était sous le coup d'un sursis ? Oui.
Est-ce que la première infraction datait de trois ans ou moins ? Oui. Est-ce qu'une nouvelle sanction a été prononcée ? Oui, il s'agit de l'amende de 20 000 euros décidée in fine par la commission d'appel fédérale. Il n'y avait donc pas d'alternative : le stade de Montpellier aurait dû être suspendu pour la première journée de Top 14, contre Agen. F. Be.
- Stef, Uderzo, gigi et 3 autres aiment ceci
#1470
Posté 18 octobre 2017 - 06:00
Elle est où l'équité dans tout ça ?
Faut il que l'asm finance la fédé pour avoir des passes droits ?
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