Je crains qu'Azéma ne soit pas jaune/bleu dans cette histoire.
Mi janvier Altrad approche Urios, Marti monte aussitôt au créneau, refuse. L'article de Rugbynistère est très intéressant à ce sujet (et correspond aux dernières déclaration de Guillon). https://www.lerugbyn...-1501211028.php
Suite à ça Altrad fait de son objectif prioritaire Mignoni et le contacte. Dés que les dirigeants du LOU l'apprenne ils mettent leur véto (02/02)
Le midol annonce à cette date qu'Altrad a un plan B, c'est Azéma. Il l'a contacté logiquement peu après.
- Pas de réaction immédiate de L'ASM
- Le 22/02 communiqué officiel du club sur le départ d'Azéma pour un nouveau projet. OK si l'intérêt du club est préservé.
Puis Azéma nous parle de discourt qui ne passait plus, de besoin de prendre du recul et de contacts avec d'autres clubs, il reste évasif.
J'aime bien Azéma, j'ai naïvement gobé ça. Pour le discourt qui ne passait plus, d'accord, mais c'est pour ça, j'en suis persuadé, qu'il a été sensible à l'offre d'Altrad.
On ne peut qu'imaginer qu'après le contact Azéma/Altrad, Guillon a convoqué Azéma et lui a mis les points sur les i en cas de départ.
Ensuite toute la négociation, le marchandage, c'est les conséquences du professionnalisme.
PSA qui réussit c'est une aubaine pour Altrad. Il gère un club et profite logiquement de cette opportunité.
Azéma avec sa démission pour raisons diverses n'est pas tout net.
Je regrette simplement que Guillon, ne soit pas monté au créneau directement pour signifier un refus.
Quitte à négocier après avec Azéma, son départ.