SALARY CAP
#2671
Posté hier, 20:32
Nickel nickel
#2672
Posté hier, 20:36
- ELSAZOAM aime ceci
#2673
Posté hier, 20:43
#2674
Posté hier, 20:45
Sanction très très clémente envers Toulouse!
Plus sévère que pour les scandales 1993 et 1995
- Le Marseillais aime ceci
#2675
Posté hier, 20:58
500k c'est le montant du transfert de Jaminet dont je parle, pardon si c'était pas clair. Je veux juste mettre en relief quils sont pris la main dans le sac pour une somme conséquente et les 30k et 2 points sont, je trouve, bien ridicule en comparaison.
Ils ont payé 1.3M hein
Le barème pour non transparence c'est 2M maxi (la moitié en médiation mais le double sur recidive)
La sanction d'aujourd'hui c'est sur le montage illégal pour le remboursement et la fausse compta
La sanction initiale c'est pour avoir caché qu'il rembourserait Jaminet et mensonge au SalaryCap manager)
#2676
Posté hier, 22:05
- ZACH aime ceci
#2677
Posté aujourd'hui, 06:58
« Cadet des soucis du sportif » - pour reprendre la formulation d'Ugo Mola qui n'est pourtant pas le manager le mieux placé pour parler ainsi étant donné qu'il siège depuis 2024 au directoire du Stade Toulousain -, l'affaire Pacific Heart-Jaminet a fini par télescoper la bulle du staff et des joueurs, directement concernée par la décision rendue hier par le Conseil de discipline du rugby français.
Soyons clairs : le retrait de deux points (plus deux autres avec sursis) n'est pas de nature à faire trembler toute l'Occitanie à l'idée de voir Toulouse privé de phase finale le printemps venu. Leader avec 39 points avant la sanction, le Stade reste premier après, à égalité de points avec la Section Paloise.
Voilà pour la portée dissuasive d'une sanction que beaucoup considéreront minime, ou tout juste symbolique, ou parfaitement négligeable pour des faits de « comptabilisation erronée et/ou frauduleuse et/ou financements détournés », tels qu'ils sont qualifiés dans le communiqué de presse.
« Au club, personne n'osait rêver d'une sanction aussi clémente »
Une source interne au Stade Toulousain
Pour des faits passibles de 2 à 10 points selon ses barèmes, le Conseil a décidé d'appliquer le plus bas niveau de réprimande alors qu'il explique avoir mis à jour l'utilisation d'un faux, l'enquête de l'A2R (ex-DNACG) ayant, selon le Conseil, démontré « que les flux financiers entre le club et les sociétés Pacific Heart - Rugby Store, présentés notamment comme une convention d'agence visant à organiser une tournée du Stade Toulousain en Polynésie française, avaient en réalité notamment servi à régler les conséquences financières du départ de M. Jaminet et que ce montage participait d'un habillage juridique et financier visant à détourner des financements de leur véritable objet ».
En sus, Toulouse écope d'une amende de 45 000 euros dont 15 000 assortis du sursis. « Au club, personne n'osait rêver d'une sanction aussi clémente », nous disait-on en interne hier soir. Pour justifier le degré d'indulgence de sa décision, le Conseil évoque la très bonne santé financière du club et de ses fonds propres, comme si être riche et bien portant rendait une infraction moins grave. Il évoque aussi « la reconnaissance partielle des faits » par le club et l'amende de 1,3 M€ déjà versée alors qu'elle concerne une procédure totalement distincte, celle menée par le contrôleur salary-cap.
On pourra toujours conclure que onze mois après les premières révélations de L'Équipe, le boomerang du montage tahitien choisi par la direction du Stade Toulousain lui est revenu, de nouveau et moins fort, dans la figure. Lequel montage était censé faire transiter l'argent pour rembourser Melvyn Jaminet des 450 000 euros empruntés par le joueur pour régler, en 2022, sa clause de dédit à l'USAP.
En mars, pour éviter la Commission de discipline, le président Lacroix avait accepté le principe d'une médiation et accepté de payer une amende de 1,3 million d'euros, signant la reconnaissance implicite d'une faute lourde au regard du règlement salary-cap. Puni pour défaut de transparence et dépassement du plafond, Toulouse pensait en avoir fini jusqu'à ce que cette seconde procédure progresse et accouche d'un verdict indolore, du moins à première vue.
Financièrement, entre la grosse amende, la petite, le remboursement à Jaminet d'une somme déjà décaissée et qui devait revenir au joueur après avoir transité par la société Pacific Heart, entre les honoraires des avocats et ceux des communicants de crise, l'ardoise de ce transfert dépasse les deux millions d'euros.
« C'est très cher et même fou pour un joueur dont le club n'avait pas foncièrement besoin, remarque-t-on en interne. Il aurait fallu que Didier Lacroix résiste au souhait exprimé par Ugo Mola, qui voulait absolument ce joueur alors que le club n'avait plus de marge avec le salary-cap. »
« Attaché à ses valeurs de transparence et de responsabilité, le Stade Toulousain analysera dans les prochains jours l'opportunité de faire appel pour faire respecter ses droits »
Communiqué du Stade Toulousain
Plus insidieuses, impossibles à chiffrer, les conséquences sur l'image du Stade Toulousain sont évidemment considérables. Un retrait de points est suffisamment rare (le dernier cas, Bourgoin-Jallieu, remonte à la saison 2010-2011) et quelque part salissant, ou collant (il restera toujours un petit astérisque en bas du classement), pour contrarier le club le plus titré de France et d'Europe, un club qui se regarde de bas en haut comme une cathédrale et qui s'est construit comme un phare de vertus. Ces vertus (formation, philosophie de jeu...) ne se discutent pas mais les dégâts sur l'image et la réputation causés par l'affaire Jaminet, survenue un an après l'affaire Kolbe, ne se discutent pas non plus.
En matière de triche réglementaire, de triche économique en quelque sorte, le Stade Toulousain est un récidiviste, ce qui ne peut pas ne pas fragiliser le crédit du président Didier Lacroix et de tous ceux qui n'ont pas su dire non. « Les décisions prononcées interviennent au terme d'une procédure dont les modalités ont profondément affecté son image et nous le déplorons, a réagi le club. Attaché à ses valeurs de transparence et de responsabilité, le Stade Toulousain analysera dans les prochains jours, avec ses conseils, l'opportunité de faire appel pour faire respecter ses droits. »
Même si le Stade décide d'en rester là, l'affaire Pacific Heart-Jaminet n'a pas fini de ricocher pour autant, le procureur de la République de Toulouse ayant annoncé le 24 novembre qu'une enquête préliminaire pour abus de confiance visant le Stade Toulousain avait été ouverte en avril.
- ZACH et pims aiment ceci
#2678
Posté aujourd'hui, 07:07
Sanction très très clémente envers Toulouse!
Étonnant si ça avait été différent...
Ça me fait penser à la sanction envers Etzebeth pour sa fourchette dans l'œil du Gallois, elle est bien trop clémente !
Mais voilà, quand tu t'appelles Etzebeth ou Stade Toulousain, tu es bien vu...
#2679
Posté aujourd'hui, 07:26
Ça ne s'est pas su et rien que ça, c'est déjà intéressant. Au coeur de la tempête de l'affaire Jaminet, entre l'amende de 1,3 million d'euros et le retrait de deux points fermes, Didier Lacroix a été réélu à la présidence du Stade Toulousain. Un peu comme pour les délégués de classe de 5e B - encore qu'au collège, il y a un temps pour faire campagne -, le vote pour accorder un nouveau mandat de quatre ans au directoire en place (Lacroix, Marc Doncieux, Philippe Chausson, Philippe Jougla, Ugo Mola) s'est invité dans la discussion, lors d'une réunion en octobre, au milieu de points divers et variés plus ou moins sans importance.
Cet épisode montre au moins une chose : pendant les affaires, les mandats se renouvellent ainsi au Stade Toulousain, sans débat ni candidature alternative. Enfin, pas tout à fait. Certains ont tiqué en se retrouvant mis devant le fait accompli ; ce à quoi on leur a fait comprendre que l'intendance suivra, et elle a suivi. C'était il y a même pas deux mois, donc bien après la douloureuse amende de 1,3 million d'euros payée par le club en raison d'un dépassement de salary-cap et avant le jugement du Conseil de discipline du rugby français qui vient de retirer deux points fermes (plus deux avec sursis) et d'infliger une amende de 45 000 euros dont 15 000 euros avec sursis à Toulouse.
« Didier (Lacroix) aime répéter que le club ne lui appartient pas, (...), que c'est un bien commun qu'il a pour mission de protéger. Et là, il a compromis le club
Un ancien dirigeant toulousain
À la lecture de nombreux commentaires appelant à la démission de Didier Lacroix (qui n'a jamais souhaité évoquer l'affaire Jaminet avec L'Équipe), sur les réseaux sociaux ou sous nos articles traitant des conditions et conséquences du transfert de Melvyn Jaminet de Perpignan vers Toulouse, en 2022, on se demandait si le président était contesté en interne, ou isolé. Il est ni l'un ni l'autre. « Il existe des gens, dedans et dehors, qui lui en veulent d'avoir mis en danger l'institution, indique un ancien dirigeant. Didier (Lacroix) aime répéter que le club ne lui appartient pas, comme s'il était besoin de le préciser, que c'est un bien commun qu'il a pour mission de protéger. Et là, il a compromis le club. »
« Ailleurs, indique une source en interne, la question de sa démission se serait posée. Mais à l'intérieur du Stade Toulousain, cette réflexion n'a pas pu naître parce que Lacroix a noyauté tout l'appareil, il a tout verrouillé en plaçant ses pions. » Au sein du directoire, il a promu des hommes, pas directement issus du sérail mais qui sont soit de vieux amis, comme Chausson, soit devenus ses obligés, comme Jougla ou Doncieux.
Ce dernier a d'ailleurs pris un poids considérable au sommet de la pyramide. S'agissant de Chausson, il aurait très mal vécu la séquence « Pacific Heart-Jaminet » au point de ne plus être sûr de vouloir poursuivre son mandat. « Cette affaire, c'est terrible, nous a-t-il dit lundi dernier, pressé de mettre fin à la discussion. Cette affaire ne me ressemble en rien. » Une des morales de l'affaire Jaminet réside justement dans les risques courus à vouloir trop raccourcir les circuits de décision, et c'est aussi un des reproches faits à l'exercice du pouvoir selon Lacroix. Les rares voix capables de former un contre-pouvoir, au Conseil de surveillance ou ailleurs, n'ont pas été consultées avant ou pendant le montage tahitien avec Pacific Heart.
« Didier Lacroix contrôle toutes les ramifications du club, nous explique-t-on en interne. Il emploie dans sa boîte (« A la Une ») la fille de Gérard Labbe, le président de l'association, qui est lui-même un vieil ami. Son frère Michel Lacroix est membre du bureau de l'association Stade Toulousain qui reste majoritaire au sein du capital. Son frère est aussi membre du conseil de surveillance. »
Dans le même ordre d'idées, on pourrait rappeler la présence de son meilleur ami et ancien camarade de jeu des années 90 Franck Belot à la tête des Amis du Stade, association détenant 23 % du capital et surtout propriétaire des infrastructures, enjeu crucial pour l'avenir du club avec le projet d'agrandissement du stade Ernest-Wallon. Mais selon nos informations, l'affaire Pacific Heart, dont il a tout découvert dans la presse, aurait heurté Belot et les relations entre les deux hommes seraient distendues. Contacté, M. Belot n'a pas donné suite.
Comme il le dit souvent, Lacroix sait d'où il vient : « Le Stade Toulousain, je suis né dedans, je suis passé par tous les postes. De joueur à l'école de rugby jusqu'à l'équipe pro, entraîneur des Espoirs, commercial, patron de la régie publicitaire, président. » Fils de Jean, dirigeant historique, on lui a souvent renvoyé à la figure qu'il profitait du système. Aujourd'hui, cette lignée, ce parcours, cette connaissance de toutes les composantes du club, tout cela le protège.
Ce qui protège Lacroix aussi et par-dessus tout, c'est la qualité de son bilan depuis son accession à la présidence en juillet 2017. Il a été l'élu, le candidat désigné pour assumer une drôle de succession, celle des années Bouscatel-Novès et le cadeau de bienvenu en aurait fait fuir plus d'un. On a du mal à l'imaginer mais quand l'ancien troisième-ligne - toujours conseiller municipal de son village de Rouffiac-Tolosan - monte sur le trône, le Stade vient de finir 12e du Top 14, n'a pas gagné de Brennus depuis cinq ans et de Coupe d'Europe depuis sept.
À l'échelle toulousaine, c'est le désert de Gobi. Miné par des problèmes financiers, houspillé par la DNACG, le club va mal. Et le vestiaire est désuni. C'est alors que Lacroix, l'héritier préféré de Bouscatel, passe l'épaule et fait entrer la société de marketing Infront, à laquelle il vend le contrat de gestion de la régie publicitaire qui appartenait à sa propre boîte « A la Une ».
« Didier a cet affect fantastique pour le club, ce côté guerrier et aussi ce côté brillant qui fait de lui le meilleur président possible pour le club. Mais d'un autre côté, il peut entraîner le club dans des voies dangereuses »
Une source interne du club
Le club empoche un versement de 3,5 M€ dont il avait immédiatement besoin. À cette opération, se greffe une subvention municipale tombée du ciel, celle qui devait servir à l'agrandissement du stade des Minimes, le fief du XIII. Pendant que les finances sortent du rouge, Lacroix refait du Stade une machine à trophées et une machine à plaire. Sous sa présidence, cinq Brennus et deux Coupe des champions s'ajoutent. Coïncidence arrangeante : pile au moment où Lacroix commençait la déco de son nouveau bureau de patron, l'ancien Castrais Antoine Dupont prenait possession d'un casier dans le vestiaire toulousain.
« Didier a cet affect fantastique pour le club, ce côté guerrier et aussi ce côté brillant qui fait de lui le meilleur président possible pour le club, insiste-t-on en interne. Mais d'un autre côté, il peut l'entraîner dans des voies dangereuses. À la fin de cette histoire, le plus brûlé, ce sera le président, pas le club. » Pendant un jour, peut-être deux, Lacroix aurait, dit-on, considéré une mise en retrait. On nous l'a parfois décrit « marqué », « touché », « parce que le moteur de sa psychologie, c'est qu'il lui est insupportable de ne pas être aimé. »
À cette évocation, d'autres interlocuteurs sont formels : « Jamais de la vie ! Il a la peau dure. Il a réussi à convaincre qu'en l'attaquant lui, c'est le club qu'on voulait abattre. » C'est sans doute au nom de cette théorie de la préservation du chef qu'il a été décidé de faire savoir à l'extérieur que le soldat Jean-Luc Brumont, cadre administratif et vieux serviteur du club, porterait le chapeau de l'affaire Jaminet, comme il l'avait déjà porté dans une affaire de faux en écriture datant de l'époque Bouscatel. Contacté, M. Brumont n'a pas souhaité nous parler.
« Je ne sais pas quel a été son rôle dans l'affaire Jaminet mais je sais que certains s'en servent pour monter une cabale contre l'hégémonie du Stade Toulousain »
René Bouscatel, ancien président du Stade Toulousain et de la LNR
Plus l'affaire Jaminet prospérait - désormais une enquête préliminaire pour abus de confiance visant le Stade Toulousain a été ouverte -, plus le repli sur soi de Lacroix et son premier cercle se durcissait avec, en arrière-plan, l'idée d'une conspiration qui mêlerait les concurrents jaloux et ceux qui redouteraient les ambitions nationales du président toulousain, à la FFR ou à la Ligue. « Le mot d'ordre c'est "On va voir qui est avec et qui est contre nous" », nous ont remonté plusieurs sources. C'est sûrement hors de Toulouse que les radiations des affaires Kolbe et Jaminet seront les plus persistantes pour Lacroix. Avant les premières révélations, le patron du Stade Toulousain officiait comme vice-président de la LNR, Bouscatel l'ayant chargé des relations avec la FFR.
En ce temps-là, certains s'inquiétaient de la toute-puissance de Lacroix et le voyaient même comme le véritable patron de la LNR, ce qui fit sortir de ses gonds Bouscatel. « Didier a effectué un travail formidable au Stade, ainsi qu'à la Ligue pour oeuvrer au rapprochement avec la FFR, souligne Bouscatel. Je ne sais pas quel a été son rôle dans l'affaire Jaminet mais je sais que certains s'en servent pour monter une cabale contre l'hégémonie du Stade Toulousain. Pour moi, Didier Lacroix reste l'homme de la situation à Toulouse. » En mars dernier, après le déclenchement de l'affaire, à l'élection du comité directeur de la LNR, le représentant du plus grand club de France sauva sa place de justesse, recueillant 56 % des voix, loin des 88 % de Yann Roubert et des 87 % de Laurent Marti.
Il y a quelques jours, Lacroix a eu les honneurs d'un long portrait dans le quotidien londonien The Telegraph, intitulé « J'ai rencontré l'homme le plus puissant du rugby de clubs ». Réfléchissant à sa fonction, à ce qu'il incarne, Lacroix déclara à notre confrère Charles Richardson : « C'est une grande responsabilité parce que le président du Stade Toulousain a une grande influence dans le monde du rugby. Avec cette influence, vous vous devez d'être exemplaire. »
Étonnant si ça avait été différent...
Ça me fait penser à la sanction envers Etzebeth pour sa fourchette dans l'œil du Gallois, elle est bien trop clémente !
Mais voilà, quand tu t'appelles Etzebeth ou Stade Toulousain, tu es bien vu...
comme disait Coluche, ya l'avocat qui connait bien la loi et celui qui connait bien le juge...
- ZACH, pims et Buckaroo aiment ceci
#2680
Posté aujourd'hui, 07:53
« Je ne sais pas quel a été son rôle dans l'affaire Jaminet mais je sais que certains s'en servent pour monter une cabale contre l'hégémonie du Stade Toulousain »
Imbécile.
- Huile Dulin aime ceci
#2681
Posté aujourd'hui, 07:57
comme si être riche et bien portant rendait une infraction moins grave.
non ???? ça alors
#2682
Posté aujourd'hui, 08:02
Le jugement dit que TouLouse n'a pas dépassé le Salary Cap car ils avaient la marge même pour payer le transfert de Jaminet
Lequipe écrit une fois de plus sans donner aucun chiffre, glissé dans une petite phrase, que Toulouse n'avait pas de marge
Le compte rendu de la LNR n'est même pas dispo en lecture sur Lequipe...
Belle époque du Journalisme
- ELSAZOAM aime ceci
#2683
Posté aujourd'hui, 08:06
Manipulation de l'opinion à nouveau par LEquipe
Le jugement dit que TouLouse n'a pas dépassé le Salary Cap car ils avaient la marge même pour payer le transfert de Jaminet
Lequipe écrit une fois de plus sans donner aucun chiffre, glissé dans une petite phrase, que Toulouse n'avait pas de marge
Le compte rendu de la LNR n'est même pas dispo en lecture sur Lequipe...
Belle époque du Journalisme
À la rédaction, ils n'ont pas bouclé l'édito... ![]()
- Very Good Eshvili et InASMWeTrust aiment ceci
#2684
Posté aujourd'hui, 08:15
Si je ne dis pas de bêtises, au delà de la sanction, ils auront perdu 1.3 M€ + 30K€ + 2 * 450 K€ + les frais des conseillers divers et une image (provisoirement) dégradée.
C'est plutôt le fait que rien ne bouge en interne qui est surprenant, le président garde le poste et les fesses propres?
Il n' y a aucun contre pouvoir en interne?
Méa culpa : je n'avais pas lu l'article en entier au dessus
#2685
Posté aujourd'hui, 08:33
Le message est clair : ST continuez
12 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet
1 members, 11 guests, 0 anonymous users
-
Jicé







