Si c'est Franck qui est l'élu , faudra que Lemaitre crache entre 200 et 300.000 euros à l'ASM
pas sur que çà le fasse rire ...
Un petit peu plus
Posté 26 octobre 2021 - 22:50
Si c'est Franck qui est l'élu , faudra que Lemaitre crache entre 200 et 300.000 euros à l'ASM
pas sur que çà le fasse rire ...
Un petit peu plus
Posté 26 octobre 2021 - 23:26
Les résultats n était pas là mais l infirmerie était bien pleine.Dur pour Collazo, ok les résultats n'etaient pas la, mais malgré tout ça fait toujours mal au coeur je trouve ces moments. Pas facile à vivre pour lui sans aucun doute.
Certe mais amiable ça veut pas dire 0 non plus.
Sauf si accord amiable.
Posté 26 octobre 2021 - 23:32
D'apres un média Toulonnais, ça sera annoncé officiellement dès vendredi matin. Azema débarquera bien sur la rade.
Après niveau tune contrats ect... On entend tellement tout et son contraire que si y'a pas d'informations officielles à ce sujet, perso je pense qu'il ne faut rien écouter.
Posté 26 octobre 2021 - 23:44
Posté 27 octobre 2021 - 00:58
N'empeche quand je disais pour rigoler qu'il commentait Toulon a Mayol pour discuter avec Lemaitre et remplacer Collazo ça se moquait de moi mais au final je n'étais peut etre pas loin de la vérité...
Posté 27 octobre 2021 - 05:37
D'après l'équipe du jour (ça vaut ce que ça vaut !) F.A a bien reçu de Clermont les documents lui permettant de s'engager ou il veut sans indemnités à verser.
Posté 27 octobre 2021 - 05:48
Posté 27 octobre 2021 - 06:06
D'après l'équipe du jour (ça vaut ce que ça vaut !) F.A a bien reçu de Clermont les documents lui permettant de s'engager ou il veut sans indemnités à verser.
Posté 27 octobre 2021 - 06:12
Ce qui n'exclut pas que de l'autre côté, l'ASM ait reçu un virement pour produire ces documents
Posté 27 octobre 2021 - 06:17
Depuis début septembre, Franck Azéma fait le tour des stades du Top 14, en veste de costume et micro à la main. Chaque week-end, il fait le consultant sur un match pour Canal +, voix tranquille, commentaires sages. C'est dans ce cadre qu'il était dans les tribunes de Mayol le 9 octobre, à l'occasion du court succès de Toulon contre Brive (13-9), puis le 16 pour la défaite face au Racing (20-27).
Si tout va bien, il pourrait très vite sauter la barrière et s'installer sur le banc varois. Selon nos informations, Azéma et le RCT sont en contacts, et l'ancien manager de Clermont est la principale cible du club pour prendre la succession de Patrice Collazo. Rien ne semble signé, cependant, et si un accord devait être trouvé, ce serait pour une arrivée après le match de samedi contre Biarritz.
Azéma, qui a volontairement quitté Clermont en juin dernier après onze années de service, a l'envie de replonger après avoir tiré les leçons d'une fin de parcours délicate avec l'ASM. Selon nos informations, le technicien, longtemps bloqué par les indemnités réclamées par le président auvergnat Jean-Michel Guillon en cas de départ dans un autre club du Top 14, serait désormais libre de s'engager où il le veut. Il aurait en effet reçu les documents attestant de sa fin de contrat avec l'ASM et pourrait donc rejoindre le RCT.
En attendant la nomination d'un nouveau manager, c'est James Coughlan, jusque-là entraîneur des avants et en charge de la défense, qui va assurer l'intérim à la tête du RCT en vue du match de samedi face à Biarritz. Né à Cork, en Irlande, il y a quarante ans, Coughlan compte 133 matches avec le Munster entre 2006 et 2014. Ironie du sort, ce troisième ligne centre a joué son dernier match avec la province irlandaise face au RCT, vainqueur (24-16, le 27 avril 2014) au vélodrome de Marseille, en demi-finales de Coupe d'Europe. Coughlan s'était ensuite engagé trois ans à la Section Paloise avant de rejoindre le staff de Provence Rugby (2019-2020) puis du CA Brive la saison dernière où Patrice Collazo l'a repéré.
Le voilà désormais propulsé aux commandes d'un club en pleines turbulences, relégable, avec une infirmerie pleine à craquer. Dans la famille Coughlan, les situations de crise ça ne fait pas peur : son petit frère militaire vient d'achever une mission en Syrie où, casque bleu, il veillait à la protection de convois humanitaires.
Un communiqué sec, mardi aux environs de 15 h 30 : « Le Rugby Club Toulonnais et Patrice Collazo ont décidé, d'un commun accord, de mettre un terme à leur collaboration. » La défaite cuisante (39-6) concédée dimanche soir face à La Rochelle aura scellé le sort du manager toulonnais. Hier, il s'est entretenu avec son président. Plusieurs fois, posément. L'analyse clinique de la situation a poussé Bernard Lemaître à prendre la décision de se séparer de Patrice Collazo. À contrecoeur. L'échec de son coach est aussi le sien. Peut-être, finalement, le manager trouvera une forme de soulagement à ce dénouement. La situation était devenue difficile pour lui, délétère. Arrivé au RCT en 2018, en provenance du Stade Rochelais, Collazo (47 ans) ne sera pas parvenu, dans le contexte varois, à reproduire l'oeuvre accomplie avec les maritimes.
Dans un autre club que Toulon, il aurait peut-être bénéficié d'un sursis malgré ce mauvais début de saison du RCT (5 défaites, 2 victoires, 1 nul) au terme de la 8e journée de Top 14. Ce retard à l'allumage avait bien une explication : l'intersaison, bien que studieuse, fut saccagée par une cohorte de blessures (notamment Serin, Ollivon), d'absences et d'arrivées retardées. Le RCT s'est présenté avec un déficit de cohésion et d'automatismes collectifs pour la première journée de Championnat, et a été étrillé d'entrée à Toulouse (41-10). Sept journées plus tard, le rebond sportif attendu après trois saisons (dont celle du Covid, interrompue alors que Toulon était quatrième) sans phase finale ni Coupe d'Europe n'est pas venu. Le RCT est aujourd'hui avant-dernier du Top 14 avant de recevoir Biarritz, douzième, dans un match brûlant samedi.
Collazo semblait bénéficier de la confiance et, mieux, du soutien inconditionnel de Lemaître, qui voyait en lui un bâtisseur. « Patrice est là pour les cinq prochaines années, assurait l'ancien industriel dans ces colonnes le 4 novembre. Moi, je ne change pas comme ça. Avec Patrice Collazo, on partage ces mêmes valeurs et une grande confiance mutuelle. Si un coach est en permanence sur la sellette, comment peut-il donner sa pleine mesure ? » Le manager et le RCT étaient sous contrat jusqu'en juin 2025. Un bail confortable pour lui assurer la sérénité de travailler. Vendredi dernier, le président assurait encore à nos confrères de Sud-Ouest que Collazo « n'était pas en danger » et resterait manager quel que soit le résultat face à La Rochelle.
C'était faire fi du contexte toulonnais, de dissensions internes, et des difficultés sportives. Les supporters, divisés en huit groupes distincts, manifestaient de plus en plus leur grogne. Certains ont appelé à une manifestation, jeudi prochain, devant le Campus (centre d'entraînement et de formation) du RCT. Le brasier de leur mécontentement a été attisé par le souffle des réseaux sociaux, de plus en plus véhément. « Ici tout est différent » promet la devise du RCT. Engoncé au coeur de la ville, le stade Mayol était devenu une marmite, avec une atmosphère oppressante. En interne aussi, on était loin de l'harmonie. L'effectif toulonnais n'est plus composé de vieux briscards de l'hémisphère Sud, insensibles à la pression, qu'elle soit réelle, venue du stade, ou virtuelle via les réseaux sociaux. Dans son nouveau projet, le club fait la part belle aux JIFF et s'est bâti sur des jeunes joueurs. Pour certains d'entre eux ultra-connectés, très rétifs à la critique et sensibles au ressenti de leurs familles et proches.
Le management de Collazo ne passait pas auprès de certains. « Ils ne le supportent plus », nous affirmait récemment l'agent d'un joueur mécontent. Il y a quelques semaines, cinq ou six d'entre eux ont fait sécession. Des jeunes et un ancien qui s'est senti déclassé. Ensemble, ils ont dressé une liste de doléances au président Lemaître, pas partagée par tous. Le vestiaire s'est fracturé. Pour Collazo, affectif viscéral, ce fut un coup de couteau dans le dos. Alors que certains le disent alors sur la sellette, Bernard Lemaître (82 ans) vole à son soutien lors d'une conférence de presse électrique. « Ce n'est peut-être pas là où la vox populi voudrait me conduire que se situe le problème. Si un général a de mauvaises troupes, il ne va pas gagner la guerre... » S'appuyant sur ses « investigations personnelles », le dirigeant met en cause les frondeurs, sans les citer, et blâme leur manque de loyauté.
Pour tenter de régler ces dissensions, joueurs et staff s'étaient enfermés plus de deux heures, la semaine menant au match face au Racing du 16 octobre. « On s'est lâchés, nous confiait le troisième-ligne, Facundo Isa. On a tout mis sur la table et ça a débouché sur une prise de conscience collective. Il n'y a plus de non-dits, rien ! C'est le plus important ! Le meilleur est à venir. »
Le résultat se fit sentir sur le terrain : plus de cohésion et d'engagement face aux Franciliens. Le public de Mayol applaudira même ses joueurs, malgré la défaite (20-27), alors qu'il avait réservé une bronca la semaine précédente après la victoire face à Brive (13-9). Les tensions tendaient à se dissiper en interne même si, à l'extérieur, des bruits continuaient de courir. La semaine passée, une source nous assurait qu'il y avait eu une bagarre Collazo-Carbonel à l'entraînement. Après vérifications, c'était bidon. Intox ? Un épisode qui dit beaucoup de la situation à Toulon.
La rechute à La Rochelle dimanche a bien montré que tout n'était pas réglé. Et les échanges entre Lemaître et Collazo ont donc conduit à la décision de son départ.
Posté 27 octobre 2021 - 06:20
Ce qui n'exclut pas que de l'autre côté, l'ASM ait reçu un virement pour produire ces documents
Tu cherches à te rassurer ?
Posté 27 octobre 2021 - 06:28
Rires. Au Black du coup ?
Quel rapport ?
Lemaitre découvre pas que Collazo peut sauter, il lui a même posé un ultimatum il y a un mois.
Azéma avait même été évoqué pour faire le job de Michalak. Faut pas être devin ou polytechnicien pour prendre hypothèse que des contacts Guillon/Lemaitre pouvaient exister depuis quelques semaines.
Et là, Collazo est viré et par le plus grand des hasards, Azéma vient juste de recevoir sa libération... Que c'est pratique...
Posté 27 octobre 2021 - 06:41
y'a ka ..
Azema à Toulon
Belleau à Clermont ? ( je m'avance un peu beaucoup )
échange de bons procédés
Toulon pourrait récupérer Franck Azéma sans payer le moindre centime !
Pour Belleau c'est peu probable qu'il fasse partie d'un deal sauf si c'est avec effet immédiat car il sera libre d'aller ou il veut en juin date de la fin de son contrat au RCT;
Posté 27 octobre 2021 - 07:06
Il devait plus en avoir beaucoup des défenseurs chez les supporters.Je dédie un post pour ça: juste pour tester, par curiosité scientifique presque j'ai envie de dire... j'aurais très fortement souhaité qu'ils gardent Collazo encore 2 ou 3 saisons, voir combien de temps ça mettrait pour que l'avis des supporters globalement soit de changer l'entraîneur. On voit encore une grosse partie des supporters qui entonnent le fameux "il faut lui laisser le temps", fustigeant les ignorants qui demandaient sa démission. C'est une sorte de syndrome de Stockholm au fond: défendre son propre kidnappeur. Ou bien celui qui restreint tes libertés, ta capacité à progresser. Comme une forme de confort dans la permanence des choses. Très étonnant. J'aurais été prêt à investir un peu pour voir jusqu'où ça pouvait aller. Est ce que du Collazo sur 2 ans de plus, ça suffisait à mettre tout le monde d'accord ? 3 ans ? 5 ans, y avait-il encore un nb conséquent de défenseurs ?
Posté 27 octobre 2021 - 07:06
La rencontre contre le RCT désormais probablement drivé par Franck , aura ce 06/11/2021 une saveur toute particulière....
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