Aller au contenu


Photo

RCToulon


  • Veuillez vous connecter pour répondre
30726 réponses à ce sujet

#30721 xdderf63

xdderf63

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 32 227 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:CLERMONT FERRAND
  • Mon club:

Posté 11 mai 2025 - 21:03

la prochaine fois qu on te retourne, ne met pas les mains ... 

 

t auras mal mais le retourneur prendra un rouge .. normalement  ...

 


Oui.

Donc il vaut mieux ne pas mettre les mains, devenir tétraplégique, et obtenir un rouge.

 

C'est pas certain à chaque fois

Ca se tente quand tu es bien chaud...  :D

 

 

Faut que ce soit arbitré intelligemment 

Sans parler du retournement volontaire du joueur qui accentue comme Giteau (ma perception est qu'il balance les jambes en l'air pour se basculer lui-même)



#30722 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 621 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 02 juin 2025 - 20:49

À Toulon, Wainiqolo, une capacité unique à débloquer des situations fermées
Auteur d'un essai extraordinaire, dimanche face à l'UBB, le Fidjien Jiuta Wainiqolo, est un élément précieux du groupe toulonnais, auquel il apporte un supplément de joie et un souffle de vie. Il quittera pourtant le club à la fin de la saison.

 
 
 

Il a pointé son index vers le ciel, puis en direction de sa poitrine dans un geste signifiant « ce n'est pas moi c'est lui, là-haut ! » Jiuta Wainiqolo venait d'aplatir pour la deuxième fois face à l'UBB après avoir effacé six défenseurs bordelais. Un geste de classe, élu plus bel essai de la 25e journée, Wainiqolo, acclamé par la ferveur du stade Mayol.

 
 

Après avoir bondi de joie dans son canapé, son compatriote Waisea Nayacalevu décrypte : « On est croyants, tout ce qu'on accomplit, notre pouvoir sur les choses on sait c'est à Dieu qu'on les doit. Plutôt que de se gonfler d'ego, on se doit d'être humbles et reconnaissants envers le créateur. Jiuta, lui, il se crée des opportunités à partir de rien grâce à sa capacité de réaliser des crochets sans décélérer. Il fait ça depuis tout petit aux Fidji, où il jouait au foot. Et puis il a cette faculté visuelle hors norme pour estimer la vitesse de ses opposants et adapter ses trajectoires en conséquence. Ça le rend létal dans les défenses. »

À l'issue du match, son coéquipier Marius Domon lui a rendu hommage : « Jiuta possède un instinct incroyable. Quand tu joues face à lui à l'entraînement, il faut être plusieurs pour le défendre. En un-contre-un, c'est tellement difficile, il arrive toujours à se sortir de situations compliquées. ça fait bizarre de le perdre à la fin de la saison. »

En effet, malgré sa capacité unique à débloquer des situations fermées, ce joueur de 26 ans, sacré champion olympique à 7 en 2021 aux Jeux de Tokyo, n'a pas été conservé par le RC Toulon. Le 1er juillet, il rejoindra l'effectif du LOU. Un crève-coeur pour nombre de supporters varois attachés à ce joueur qui se rend toujours disponible pour eux. Depuis son arrivée à Toulon en 2021, il a inscrit 34 essais (170 points). En Championnat, d'après les stats d'AIA rugby, il est largement en tête au classement des défenseurs battus (5) par match joué. Le hic, c'est qu'il joue peu souvent à l'aile du RC Toulon où s'alignent aussi l'international Gabin Villière, Gaël Dréan (meilleur du Championnat avec 12 essais), le champion olympique Rayan Rebbadj et le fidjien Setariki Tuicuvu.

 
 
 

Ses fulgurances offensives sont en balance avec les critiques sur l'assurance relative que Wainiqolo apporte en termes défensifs. Il a pourtant bossé dans ce registre et beaucoup progressé. Fin mars, interrogé sur les raisons de son départ sur la page Facebook des supporters du RCT, Wainiqolo avait répondu laconiquement : « JIFF ». Dimanche, il a fait preuve d'un supplément d'âme et d'engagement. Alors que son équipe était menée, c'est lui qui a permis à Toulon de revenir au score par un premier essai (14e) et son deuxième dix minutes plus tard (24e) a fait mal aux Bordelais.

« J'ignore pourquoi Toulon le laisse partir mais je sais que Jiuta en a été très affecté. Il est attaché à Toulon »

Waisea Nayacalevu

 
 
 

Plus tard, à l'issue de la rencontre, quand le RCT a honoré ses joueurs partants, il a versé une larme. « J'ignore pourquoi Toulon le laisse partir, s'interroge Nayacalevu, mais je sais que Jiuta en a été très affecté, très triste. Il est attaché à Toulon, il est reconnaissant à ce club de lui avoir permis de révéler son talent. C'est là qu'il a démarré sa carrière pro. » Depuis des mois Wainiqolo jouait moins. « Il était toujours aussi souriant devant les autres mais parfois lors des repas il avait des absences, on sentait que ça le minait » confie un proche du joueur.

Il cache sa pudeur derrière un sourire

Wainiqolo, fils d'un vétérinaire et d'une mère au foyer est un pourvoyeur de lumière autant que d'essais. Avec sa spontanéité, ses chorégraphies jubilatoires ou sa façon de chanter Rosie de Francis Cabrel. Les joueurs varois aiment se réunir chez celui qu'ils ont surnommé Eddie Murphy. « C'est un mec solaire qui diffuse de bonnes vibrations, poursuit Nayacalevu. Il met les gens à l'aise, s'intègre partout et avec tous. Il montre aussi la voie du travail car bien qu'il soit super talentueux il est très humble et c'est gros bosseur. Je sais qu'il apportera beaucoup de lumière à Lyon. »

Une anecdote dit beaucoup de Wainiqolo, de sa façon de cacher sa pudeur dans un sourire. Fin février 2022, alors qu'il était assis dans le car qui conduisait le RCT en match à Brive, il a appris sur son smartphone que son père Neemia venait d'être hospitalisé dans un état grave. Victime d'un sévère problème rénal, il ne lui restait que quelques heures à vivre. « Je me suis mis à pleurer. Alors, pour ne pas transmettre des ondes négatives aux autres, j'ai rabattu ma casquette sur mes yeux » nous avait confié le joueur. Wainiqolo joua le match comme si de rien n'était, et inscrivit même un essai. De retour à Toulon dans la nuit, il apprendra le décès de son paternel. « Le coach (Franck Azéma) a pleuré avec moi. » Il s'envola pour les Fidji depuis Nice via Dubaï, Sydney puis Suva. Deux jours de torpeur et de calvaire. Après a voir mis son père en terre le lundi 7 mars, il prit peu après le chemin du retour. Et, le coeur serré, avec plus de trente-cinq heures de vol dans les pattes, il était présent à l'entraînement le lundi suivant. « J'avais dit à Jiuta : ''Prends le temps dont tu as besoin chez toi'', confia son entraîneur d'alors, Franck Azéma. Mais il tenait à revenir au plus vite, pour l'équipe. » Wainiqolo avait une bonne explication : « Mon père était un travailleur et il m'a transmis ça. »


  • Buckaroo aime ceci

#30723 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 621 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 11 juin 2025 - 05:47

« Il faut savoir jouer autant que combattre » : Leicester Fainga'anuku clame son amour du Top 14 avant son retour en Nouvelle-Zélande
Pièce maîtresse du jeu de Toulon, Leicester Fainga'anuku quittera le club à l'issue de la saison pour rentrer en Nouvelle-Zélande accompagné de « sentiments contrastés », de son propre aveu.

 
 

Milieu d'après-midi au Campus RCT, sa grande carcasse affalée sur un fauteuil de la terrasse de la brasserie du Muguet, face au terrain d'entraînement de Toulon, Leicester Fainga'anuku (25 ans) joue les nonchalants. Pourtant, il ne rate rien de ce qui se joue dans son environnement, attentif à tout, l'international néo-zélandais observe, perçoit et enregistre les conversations alentour. En esprit fin dans un gabarit XL qui raconte pourquoi il n'a pas prolongé son séjour toulonnais.

 
 

« Durant toute la saison de Top 14, vous avez croisé des compatriotes, comme Francis Saïli ou Brad Weber. De quoi parlez-vous ?
On compare les expériences qu'on vit ici avec le rugby de chez nous. On se dit "quelle chance de jouer en France !" Le Top 14, franchement, quel Championnat. On vit un truc unique au monde. Moi encore plus dans une équipe de la dimension de Toulon. Je suis un privilégié.

Il y a dix ans, pour un joueur néo-zélandais, la compétition la plus prestigieuse était le Super Rugby. Aujourd'hui, c'est ici que ça se passe...
C'est clair, avec le départ des franchises sud-africaines (en 2021), le Super Rugby a décliné. Le Top 14 et la Coupe des champions, c'est ce qui se fait de mieux, l'équivalent du Super Rugby à son apogée.

« Je suis à la fois excité de rentrer mais, en même temps, je sais que tout ce que l'on vit ici me manquera »

 
 
 

Pourtant, vous allez quitter Toulon pour rentrer en Nouvelle-Zélande afin de retrouver les All Blacks...
En fait, la vraie raison de mon départ, c'est qu'avec Terena, ma compagne, on a eu un fils et on pense qu'il est important que Zaya puisse vivre des moments avec nos proches au pays. Il a besoin de construire une histoire avec eux. C'est capital pour l'adulte qu'il deviendra. On adore Toulon, mais on doit ça à notre fils. À nos familles, aussi. Bon, il se trouve qu'en plus, si je reviens en Nouvelle-Zélande, on me donne l'occasion de servir mon pays avec les All Blacks. J'ai des sentiments contrastés : je suis à la fois excité de rentrer mais, en même temps, je sais que tout ce que l'on vit ici me manquera.

 
 
 

Vous retournez jouer au sein des Crusaders...
Oui, déjà parce que mes parents vivent à Christchurch. Et puis, c'est le club qui a investi sur moi, m'a permis de lancer ma carrière (entre 2019 et 2023) et devenir le joueur que je suis. Les Crusaders, c'est chez moi, c'est mon club de coeur que j'aurai plaisir à retrouver et à servir.

49876.jpg
 
Leicester Fainga'anuku (ballon en main), le 13 avril, lors de la défaite de Toulon face à Toulouse en quarts de finale de Coupe des champions. (A. Martin/L'Équipe)

Vous allez leur apporter un peu de vécu glané ici. Il y aura quoi dans votre "acquis rugby" ?
Beaucoup de choses, les différentes manières de jouer au rugby en France. Les équipes d'ici se confrontent entre elles mais, en plus, contre des équipes anglaises, écossaises, sud-africaines... Tant de situations de jeu qu'on ne rencontre pas en Nouvelle-Zélande. Cette variété est un défi permanent qui m'oblige à parfaire sans cesse ma palette technique. En France, il faut savoir jouer tout autant que combattre. C'est éprouvant et ça challenge ta capacité d'adaptation, j'adore ! C'est compliqué à gérer mais ça te fait grandir car en plus de devoir entretenir tes points forts, il faut aussi te remettre en question sur un tas de choses, qu'il s'agisse de rugby ou de mode de vie.

« La confiance que m'accorde Pierre Mignoni au poste de centre est un énorme boost pour mon apprentissage et ma carrière »

 
 
 

Il paraît que vous parlez régulièrement avec Scott Robertson, le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande.
Oui, il aime savoir comme ça se passe pour moi ici. On discute sur un mode amical, il voulait sentir dans quelles dispositions je suis en vue de mon retour au pays. J'apprécie beaucoup qu'il m'ait laissé la porte ouverte pour les All Blacks.

Il y a dix ans, si un All Black venait en Europe, les sélectionneurs néo-zélandais disaient qu'il allait décliner...
Ici, je progresse car j'ai eu plus d'occasions d'exprimer mes capacités. Chez les Crusaders, en Super Rugby, je jouais à l'aile (meilleur marqueur de ce Championnat en 2023 avec 13 essais). À Toulon, j'ai eu l'occasion de jouer comme centre, un poste que j'adore et où j'ai toujours su que j'évoluerai un jour dans ma carrière. Où j'ai plus d'influence sur le jeu de l'équipe, où l'on peut créer un momentum et prendre des initiatives. La confiance que m'accorde Pierre Mignoni (le coach de Toulon) à ce poste est un énorme boost pour mon apprentissage et ma carrière.

« Je crois à un truc important : la joie n'attend pas. Elle ne doit pas attendre de décrocher un trophée. La joie, elle doit être là, jour après jour, à l'entraînement »

 
 
 

En juillet 2023, avant de rejoindre Toulon, vous nous aviez dit "je veux être trois en un : jouer ailier, centre et troisième ligne". Ça a pu sembler présomptueux mais ça vous est arrivé quelques fois en fin de match...
Face à Pau, à Bordeaux... J'ai adoré ! J'ai toujours vu le rugby comme un sport en évolution. À mes yeux, l'important pour un joueur, c'est de toujours bien entretenir sa boîte à outils, pour être apte à résoudre les problèmes toujours nouveaux qui se posent dans le jeu. Jouer troisième-ligne, j'ai toujours aspiré à ça. Gamin, j'adorais quand le coach me tapait sur l'épaule, en fin de match, pour me dire que j'avais fait le job à ce poste. Et voilà que j'y joue en Top 14 c'est extraordinaire, j'adoooore !

C'est sur une fierté de pousser avec les gros, on dirait... Vous avez appelé votre père pour lui en parler (*) ?
(Il éclate de rire.) Le truc, c'est d'être prêt à répondre au défi. Je suis fier d'offrir une solution de jeu à Pierre (Mignoni), au staff, à toute l'équipe en fait. Pouvoir assumer plusieurs postes, ça libère des options sur la feuille de match. À titre personnel, ça me permet d'étoffer mes capacités. Et puis au fond, j'aime l'idée d'être prêt à tout.

(*) Son père Malakai est un ancien pilier des Tonga (28-25), vainqueur de l'Italie lors de la Coupe du monde 1999.

Il y a deux ans, vous avez été le meilleur marqueur du Super Rugby...
Franchement, finir meilleur marqueur du Championnat, ce n'est pas ça qui me motive pour m'entraîner du lundi au vendredi. Ce que je veux et ce que j'aime, c'est gagner en équipe, partager ça avec les gars. La joie est tellement plus intense quand elle est partagée. En plus, je crois à un truc important : la joie n'attend pas. Elle ne doit pas attendre de décrocher un trophée. La joie, elle doit être là, jour après jour, à l'entraînement. Par le simple fait d'être là, ici, ensemble.

Vous n'êtes pas un champion de l'entraînement, plutôt du genre à vous "allumer" le jour du match...
Ce n'est pas faux. Pour moi, la préparation d'un match, c'est juste faire ce dont j'ai besoin. Il y a des gars qui essaient de se rassurer en en faisant trop. Moi, il me faut de la clarté, pas d'excès. De la concentration et de la précision, voilà ce que je recherche. On est tous différents, d'autres ont besoin de faire du rab ou de se punir en muscu. Pour moi, les choses restent simples : j'ai juste besoin de comprendre ce dont mes coéquipiers ont besoin, savoir quel est mon rôle dans le dispositif. Je m'allume au coup de sifflet, pas avant. Le reste du temps, il faut rester cool, glisser sur les choses. »

 
 

  • cocotte 63, OliveR et Buckaroo aiment ceci

#30724 cocotte 63

cocotte 63

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 19 521 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Puy de Dôme
  • Mon club:

Posté 11 juin 2025 - 08:52

belle interview !



#30725 Binche63

Binche63

    Equipe de France

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 8 069 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Chamalière
  • Mon club:

Posté 11 juin 2025 - 09:16

Pas Urios compatible d après ce que je lis et encore moins Vern compatible

#30726 Buckaroo

Buckaroo

    Joueur du Grand Chelem

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 8 797 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 11 juin 2025 - 09:25

Tant mieux. Il sera très bien là où il sera la saison prochaine. Je l'ai répété à l'envi ; il a largement de quoi devenir le meilleur centre du monde.


  • Silhouette aime ceci

#30727 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 621 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 20 juin 2025 - 06:04

Conquête, polyvalence et profondeur de banc : grâce à la force de son pack, Toulon peut regarder devant
Le barrage remporté contre Castres a confirmé la force retrouvée des Toulonnais devant. Solide en conquête, puissant et armé techniquement, le pack du RCT a les moyens de faire douter l'UBB samedi en demi-finales de Top 14.

 

Pour la première fois depuis 2017, Toulon est au rendez-vous du dernier carré du Top 14. Porté notamment par les inspirations de Baptiste Serin, les appuis de feu de Jiuta Wainiqolo et un paquet d'avants dominant. Les Castrais en ont fait les frais samedi en barrages, éreintés en fin de match par le travail de sape des Ribbans, Isa et autres Ludlam. Le pack toulonnais va-t-il désormais confirmer sa grande forme en demi-finales, samedi soir face à l'UBB ?

 
 

Une conquête redoutable

En touche et mêlée, Toulon fait partie des équipes les plus performantes du Top 14. Si son alignement a perdu trois ballons Face à l'UBB (27-10, le 1er juin), le RCT était à 55 % d'avancée (71/130). Un facteur déterminant de ses succès... et de ses échecs.

 

Car le pack toulonnais a trouvé à qui parler cette saison avec les Toulousains. Un soir de rouste au Vélodrome (16-50, le 10 mai), comme en quarts de finale de Coupe des champions (18-21, le 13 avril), les hommes de Pierre Mignoni ont perdu la bataille de la ligne d'avantage, avec des ratios respectifs à 14 et 23 %, contre 37 et 35 %.

Le numéro 8 Facundo Isa (34 défenseurs battus cette saison), le troisième-ligne Lewis Ludlam (20) ou encore le talonneur Teddy Baubigny (17) sont les rampes de lancement les plus efficaces dans le un-contre-un. « La force de ce pack, c'est qu'il allie cette puissance et cette dureté avec une grosse capacité de déplacement, souligne un entraîneur de Top 14. Leur première ligne se déplace très bien avec des profils dynamiques, tout comme leurs deuxième-ligne Ribbans (2,02 m, 121 kg) et Matthias Halagahu (1,94 m, 113 kg) malgré de lourds gabarits. »

La troisième ligne Abadie-Isa-Ludlam affiche aussi cette belle complémentarité entre puissance et jeu aérien, sachant que les trois joueurs sont aussi redoutables dans la bataille au sol avec 30 ballons volés dans les rucks à eux trois cette saison. Et dire qu'il manque Charles Ollivon, absent depuis début janvier et une grosse blessure à un genou...

Fainga'anuku et un banc solide en renfort

 

<a data-cke-saved-href="https://www.lequipe....points/1551894"href="https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Toulon-qualifie-pour-les-quarts-apres-avoir-renverse-les-saracens-dans-un-match-debride-a-16-essais-et-plus-de-110-points/1551894" notaddlevel="true" _blank"="" style="background-color: transparent; color: rgb(56, 115, 184); text-decoration-line: none; line-height: 26px;">





4 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 members, 3 guests, 0 anonymous users


    Bing (1)