Cyril Baille a déclaré qu'il reprendrait probablement la compétition dans deux semaines contre le Stade Français et peut-même ce weekend contre Bayonne.
Selon la qualité de son retour, il rejoindra peut-être le groupe durant la tournée.
Posté 24 octobre 2022 - 17:01
Cyril Baille a déclaré qu'il reprendrait probablement la compétition dans deux semaines contre le Stade Français et peut-même ce weekend contre Bayonne.
Selon la qualité de son retour, il rejoindra peut-être le groupe durant la tournée.
Posté 24 octobre 2022 - 17:12
Cyril Baille a déclaré qu'il reprendrait probablement la compétition dans deux semaines contre le Stade Français et peut-même ce weekend contre Bayonne.
Selon la qualité de son retour, il rejoindra peut-être le groupe durant la tournée.
Ouias bin ne précipitons pas les choses, la tournée c'est bien beau mais je préfère le revoir bien guéri chez nous avant de penser au reste, je préfèrerai qu'on mette un maximum de chances de notre coté pour etre au top pendant le 6 nation et surtout la cdm.
Posté 25 octobre 2022 - 06:00
Comment mesurer l'état d'usure d'un groupe à peine reformé ? De l'extérieur, estimer le taux de joueurs blessés apparaît comme un indicateur pertinent. Et à bientôt un an de la finale de la Coupe du monde (28 octobre 2023 au Stade de France), celui des Bleus a de quoi inquiéter.
Alors que l'équipe de France, réunie depuis ce dimanche à Marcoussis, s'apprête à relever trois sérieux défis d'automne, contre l'Australie (5 novembre), l'Afrique du Sud (12 novembre) et le Japon (20 novembre), l'état des lieux de la troupe laisse entrevoir quelques fissures.
Si l'on reprend le quinze type qui avait terrassé les All Blacks (40-25, le 20 novembre 2021) il y a bientôt un an puis qui avait réalisé le Grand Chelem à l'hiver, on peut relever quatre absences. Le pilier gauche Cyril Baille, le flanker François Cros, l'ailier gauche Gabin Villière et l'arrière Melvyn Jaminet, blessés, ne figurent pas dans la liste des joueurs préparant les tests de novembre.
Des absences qui ne représentent que la partie émergée de l'iceberg. Arthur Vincent (lésion des ligaments croisés du genou gauche) sera indisponible de longs mois, Virimi Vakatawa (problème cardiaque) a été contraint de mettre un terme à sa carrière. D'autres habitués des rassemblements sont touchés (Demba Bamba, Bernard Leroux, Romain Buros, Jordan Joseph, Florian Verhaeghe), tandis que Romain Ntamack (cheville droite) a rejoint, ce lundi, l'équipe de France sans avoir joué un match depuis le 11 septembre.
Si l'on ajoute au tableau le rendement contrasté de certains internationaux (Matthieu Jalibert, Cameron Woki), la surutilisation de plusieurs cadres, on pourrait au minimum redouter un déficit de fraîcheur de l'équipe premium des Bleus à l'heure de marquer très fort son territoire.
Ce serait toutefois sans compter sur la dynamique historique qui la porte (dix victoires de suite, série en cours) et sa capacité à se régénérer ou à faire émerger des talents dès que l'occasion se présente.
Pilier gauche : l'hécatombe
C'est le poste maudit des dernières semaines. Opéré d'une pubalgie début août, Cyril Baille, considéré comme l'un des meilleurs piliers gauche de la planète, n'a pas encore repris la compétition et est donc logiquement absent de la liste pour préparer la tournée de novembre. Le Toulousain a récemment repris l'entraînement collectif avec son club et pourrait rejouer début novembre.
En son absence, Jean-Baptiste Gros, sa doublure chez les Bleus, auteur d'entrées en jeu souvent réussies et titulaire lors des deux tests d'été au Japon, semblait avoir un boulevard pour participer aux matches de novembre. Malheureusement pour lui, le Toulonnais s'est blessé ce samedi contre Castres, quittant ses partenaires dès la 13e minute. Opéré d'une fracture du radius, il ne pourra pas honorer sa convocation en équipe de France.
La succession de forfaits au poste s'est poursuivie dans le week-end. Convoqué avec les Bleus pour la première fois de sa carrière, le Rochelais Reda Wardi a reçu un carton rouge ce dimanche soir face à Toulouse pour une charge à l'épaule sur le visage d'Antoine Dupont. Un geste qui lui vaut une suspension d'au moins trois semaines et qui lui coûte donc sa place chez les Bleus.
Pour remplacer Gros et Wardi, le staff tricolore a convoqué le Parisien Clément Castets et le Lyonnais Jérôme Rey. C'est un autre Toulonnais, Dany Priso, revenu en équipe de France l'été dernier, qui partira favori pour être titulaire contre l'Australie.
Troisième ligne : profils multiples
L'absence de François Cros, blessé au genou gauche début septembre contre Toulon, pose un autre genre de problème au staff de l'équipe de France. L'abattage du flanker dans les tâches obscures a peu d'équivalents. Les Tricolores disposent néanmoins d'un réservoir considérable et protéiforme en troisième ligne. Qui épaulera l'indiscutable numéro 8 Grégory Alldritt ?
Gros plaqueur, infatigable combattant, titulaire lors du match contre les Blacks comme lors du dernier Tournoi, Anthony Jelonch a fait ses preuves.
Yoan Tanga a signé des débuts internationaux prometteurs l'été dernier au Japon (comme troisième ligne centre) et réalisé un début de saison canon à La Rochelle, où il s'est montré complémentaire d'Alldritt.
Revenu d'une longue blessure la saison dernière et titulaire cet été au Japon, Charles Ollivon, déchargé du brassard de capitaine, présente un profil différent, leader naturel, complet et aérien. Mais il devra faire face à cette concurrence, comme le Lyonnais Dylan Cretin, également précieux en touche et aligné d'entrée durant les deux tests estivaux.
Sekou Macalou et Alexandre Bécognée font également partie de la liste des 42 Bleus préparant les tests d'automne.
Aile gauche : Moefana ou un pur ailier ?
Avec Damian Penaud et Gabin Villière, l'équipe de France s'est trouvé un duo d'ailiers de haut niveau. Le forfait du Toulonnais, opéré de la cheville gauche, va offrir l'occasion à d'autres internationaux de se montrer.
L'encadrement tricolore pourrait, comme lors du dernier Tournoi, choisir de miser sur la polyvalence de Yoram Moefana. Qu'il soit aligné au centre, son poste de prédilection, ou à l'aile (droite face au pays de Galles, gauche face à l'Écosse), le Bordelais a toujours affiché sa solidité. Mais plusieurs ailiers de métier peuvent légitimement candidater au remplacement de Villière.
La saison dernière, Matthis Lebel a été titularisé à trois reprises sur l'aile gauche (contre la Géorgie et le Japon, à deux reprises), pour deux essais marqués. Le Toulousain s'est également montré efficace en ce début de saison de Top 14 (4 essais).
En Championnat, seul Alivereti Raka a marqué plus que lui (5 essais avec Clermont). De retour en sélection après deux ans d'absence, le Fidjien a une opportunité à saisir.
Arrière : Ramos dans la course
Après avoir réalisé une nouvelle prestation de qualité à l'ouverture contre La Rochelle (26-17) dimanche soir, Thomas Ramos a précisé qu'il pensait davantage postuler pour une place de numéro 15 que de numéro 10 en équipe de France. En pleine bourre depuis la reprise, dans le jeu comme face aux perches, le Toulousain a parfaitement remplacé Ntamack chez les Rouge et Noir.
Il sait pourtant qu'il a davantage de chances de marquer des points à l'arrière du quinze de France. Son coéquipier Melvyn Jaminet, titulaire chez les Bleus depuis plus d'un an, s'est blessé à la cheville gauche la semaine dernière, lui laissant le champ libre. Romain Buros, qui plaît à certains membres du staff, ayant lui aussi dû déclarer forfait, Matthieu Jalibert n'étant pas favorable à reculer en numéro 15 et Brice Dulin n'ayant pas été rappelé, Ramos devra principalement faire face à la concurrence du Montpelliérain Anthony Bouthier. Un autre choix à faire pour Fabien Galthié et ses adjoints.
Posté 25 octobre 2022 - 07:42
Les Tricolores disposent néanmoins d'un réservoir considérable et protéiforme en troisième ligne. Qui épaulera l'indiscutable numéro 8 Grégory Alldritt ?
C'est BB qui a rédigé l'article.
Posté 25 octobre 2022 - 08:23
Posté 25 octobre 2022 - 18:25
Posté 25 octobre 2022 - 18:56
Posté 25 octobre 2022 - 19:02
J'espère que Macalou va s'imposer. Son profil est vraiment singulier.
(s'imposer comme finisseur, j'entends)
Va falloir lui apprendre à tenir la gonfle à deux mains
Vu la concurrence, je me demande comment il peut écarter les autres, à part une cascade de blessures
Posté 25 octobre 2022 - 19:04
C'est BB qui a rédigé l'article.
Non je pense pas, y'a pas écrit "Gourine je t'aime" en majuscule rose avec des coeurs autour.
bande de petits cons
Posté 25 octobre 2022 - 19:35
Ce lundi-là, il a les épaules qui picotent et la démarche un poil raide du joueur encore marqué par son match face à Bordeaux-Bègles le samedi (29-19, le 10 septembre). Soixante-douze minutes, 12 plaquages (100 % de réussite), 2 ballons grattés au sol, 21 déblayages... Les standards d'Alexandre Bécognée (26 ans), infatigable troisième-ligne de l'ombre du MHR. Un opiniâtre récompensé d'un essai après avoir contré un dégagement au pied de Matthieu Jalibert. « Tu vas monter cent fois et il y en a une où ça va marcher », en rigole « Béco ». L'homme est souriant, mais pas de nature expansive. Le joueur est un dur au mal, sans concession dans le combat. « Le rugby a ce côté défouloir qui permet de donner tout ce que j'ai en moi », explique-t-il.
« C'était un ado timide, mais ça s'effaçait sur le terrain, se rappelle son premier entraîneur Stéphane Barrau. Ce sport le comblait dans l'agressivité, au bon sens du terme, pour montrer qu'il existait pleinement. Là-dessus, il s'est démarqué dès le début. » Ça ne remonte pas à si loin. Bécognée a commencé le rugby à 14 ans, à l'Entente des Graves, dans les environs de Bordeaux, d'où il est originaire. Le papa, Olivier, avait fait carrière au Stade Bordelais, mais la filiation rugbystique s'est longtemps arrêtée là. Le fiston a d'abord joué au foot, arrière droit, avant de basculer à l'ovale.
Un an à l'Entente, un an au Stade Bordelais, un an en Crabos (le Championnat de France des moins de 18 ans) au CA Bègles, trois en Espoirs puis les débuts en Pro D2 en 2017 à Mont-de-Marsan, le Top 14 avec Montpellier depuis 2020, une sélection en équipe de France en Australie en juillet 2021, lui qui fait systématiquement partie des 42 de Fabien Galthié depuis... « C'est allé vite, oui », reconnaît, pudique, « Béco », avant d'en rire : « Sur mes premiers matches, j'apprenais le rugby en jouant. Je prenais le ballon, j'allais tout droit, je plaquais tout ce qui passait ! Mais je ne savais pas faire une passe ou attraper un ballon ovale dans les airs. »
« C'est un gros défenseur, un terrien qui aime aller gratter »
Stéphane Barrau, premier entraîneur de Bécognée
« Il est très vite au-dessus, note pourtant Stéphane Barrau. C'est un gros défenseur, un terrien qui aime aller gratter et domine physiquement. Comme si le goût du contact était naturel chez lui. » Quand l'éducateur part au Stade Bordelais, son fils et « Alex » le suivent. Plusieurs échelons au-dessus, Bécognée confirme son potentiel et part donc au CA Bègles.
Recalé du centre de formation de l'UBB, il a quelques propositions de clubs de Fédérale et le souvenir de compliments d'entraîneurs de Mont-de-Marsan après des confrontations directes. « Je l'ai vu arriver avec sa bonne tête aux tests de détection. En course et en musculation, les résultats étaient très bons, se rappelle Fabrice Lalanne, ancien deuxième-ligne alors formateur au Stade Montois. Il y avait plein de trucs à améliorer, des lacunes techniques, il ne voulait pas sauter en touche, mais les gamins qui ont envie de s'y filer, on prend ! »
« Il n'était pas très costaud, pas très bon ballon en main mais il mettait la tête là où les autres ne mettent pas les mains, poursuit l'entraîneur montois Yannick Agrech. Il lui manquait plein d'autres choses, mais cette agressivité nous marquait. » Champion Élite 2 dès sa première saison en Espoirs à Mont-de-Marsan, il est intégré l'année suivante au centre de formation, travaille la touche en opposition des pros et se développe dans le jeu courant. « Vu qu'il est très performant dans les collisions, on lui a fait bosser le port de balle pour l'utiliser sur ces ballons arrêtés derrière les rucks où on sollicite les gros. Il est devenu porteur prioritaire et de plus en plus adroit. »
« Il n'est pas du tout rugby. Tu fais un quiz avec des photos de joueurs, il va bugger sur Jonah Lomu (un ancien joueur néo-zélandais très reconnu) »
Joan Caudullo, ex-directeur du centre de formation du Stade Montois
Un autre aspect est loué par ses entraîneurs : son acharnement au travail, via des séances supplémentaires sous l'oeil, notamment, du préparateur physique Mathieu Bon. « Il s'était déjà bien développé à Bordeaux, avec un niveau de force assez exceptionnel pour son gabarit, se rappelle ce dernier. On insistait dans cet axe, il est monté de 95 à 105 kg et on travaillait son superpouvoir cher au staff des Espoirs. Un joueur qui a la moyenne partout a moins de chance de percer que le mec qui renforce ses points forts. Donc on développait sa puissance pour l'aider dans tout ce qui était lié à l'impact. D'autant qu'il a cette endurance très spécifique au combat. »
Le talonneur Joan Caudullo termine alors sa carrière à Mont-de-Marsan et bascule directement en 2017 à la tête du centre de formation. « Il n'est pas du tout rugby. Tu fais un quiz avec des photos de joueurs, il va bugger sur Jonah Lomu (un ancien joueur néo-zélandais très reconnu), se marre-t-il. Ça l'a desservi dans la compréhension du jeu par rapport à un jeune qui bouffe du rugby depuis tout petit. Sur le terrain, on n'aurait pas parié non plus sur lui au début... C'était un joueur plutôt neutre, indiscipliné, mais il bossait énormément et a fini par se démarquer avec son superpouvoir. » Christophe Laussucq et David Auradou le lancent en pro en 2017, à 21 ans. La Pro D2 le révèle un peu plus, au point de taper dans l'oeil de Pierre-Philippe Lafond, alors entraîneur des avants de Montpellier dans le staff de Xavier Garbajosa.
« Je le montre en exemple à mes jeunes. La réussite par le travail, c'est lui »
Joan Caudullo, ex-directeur du centre de formation du Stade Montois
Joan Caudullo est entretemps passé à la tête du centre de formation du MHR : « Quand "Garba" m'en parle, je suis clair : si tu veux un troisième-ligne de relais sur les extérieurs, ce n'est pas le bon profil. Mais si tu veux avancer au milieu du terrain et gratter des ballons pour jouer les turnovers, alors fonce. »
Exactement le registre dans lequel il s'est épanoui dans le plan de jeu du Montpellier champion de France la saison dernière, maillon essentiel dans le triptyque défense-occupation-turnover qui l'a mené jusqu'au Bouclier de Brennus, une grosse décennie après ses débuts. « Je le montre en exemple à mes jeunes, conclut Caudullo. La réussite par le travail, c'est lui. Et il continue pour être un joueur encore plus complet. Aujourd'hui, le règlement favorise son profil. Si la philosophie change, il sera prêt à y répondre. » Contre l'UBB, il avait aussi à sa ligne de statistiques 5 passes, 1 offload (une passe après contact) et 2 ballons captés en touche.
Posté 25 octobre 2022 - 20:01
^ "C'est un gros défenseur, un terrien qui aime aller gratter"
n'importe quoi...
Ah Brice Dulin, fantastique joueur, et quel astronaute, à le voir attraper toutes ces chandelles. Un véritable agent de la NASA. Une dimension cosmique à son jeu, à l'aise dans la stratosphère.
C'est comme écouter un œnologue te parler de vin. La branlette linguistique ça peut atteindre des sommets...
Posté 25 octobre 2022 - 20:06
^ "C'est un gros défenseur, un terrien qui aime aller gratter"
n'importe quoi...
Ah Brice Dulin, fantastique joueur, et quel astronaute, à le voir attraper toutes ces chandelles. Un véritable agent de la NASA. Une dimension cosmique à son jeu, à l'aise dans la stratosphère.
C'est comme écouter un œnologue te parler de vin. La branlette linguistique ça peut atteindre des sommets...
Je te sens agacé Par contre ce sont plus les sommeliers qui te vendent du rêve que les œnologue sont plus des chimistes qui trafiquent le pinard pour y ajouter les fameux gouts de fruits rouge, pain grillé, fruits confits .... Enfin le baratin habituel
Posté 25 octobre 2022 - 21:15
Je te sens agacé
ça me fait chhhiiiiier ouais. Le délire linguistique, ça doit être châtié. Nan mais je vais parler comme ça en fait, il m'a inspiré ce mec avec son Bécognée terrien.
Dusautoir, ah. Quel guerrier. Guerieros. Un vrai gueriero des plaines rugbystiques. Hah. Et quand il plaquait, il empalait. Il transperçait. Il encu... euh.. enfin, voilà, ouais. Il empalait. Une brute, mais dans le sens noble du terme. Un Brutosaure Rex. Magnifique joueur. Un ange, mais un ange gardien, pasque, la défense.
Posté 26 octobre 2022 - 17:58
ça me fait chhhiiiiier ouais. Le délire linguistique, ça doit être châtié. Nan mais je vais parler comme ça en fait, il m'a inspiré ce mec avec son Bécognée terrien.
Dusautoir, ah. Quel guerrier. Guerieros. Un vrai gueriero des plaines rugbystiques. Hah. Et quand il plaquait, il empalait. Il transperçait. Il encu... euh.. enfin, voilà, ouais. Il empalait. Une brute, mais dans le sens noble du terme. Un Brutosaure Rex. Magnifique joueur. Un ange, mais un ange gardien, pasque, la défense.
Je l'ai déjà dit mais si ça parlait trop technique, une bonne partie du public se lasserait, l'idéal avec les moyens numériques modernes serait de pouvoir choisir parmi plusieurs commentateurs avec des niveau variables, façon foire ou mode expert
PS. Je déconne mais je ne critique pas ton agacement, je te comprends
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