11071 réponses à ce sujet

[l'ours des tavernes]

Il est surtout pas invité à ce niveau, restons sérieux.

Falatea non plus, et pourtant

[pims]

article qui évoque l’après Atonio :

 

https://actu.fr/spor...PQBztLgMN4Smn3A

 

a la fin de l'article ils évoquent Duchene !

 

Atonio était d'origine N.Z. , Odjovan n'est pas sélectionnable lui qui est d'origine Moldave ?

normalement si vu que ses dernières capes remontent à 7 ans

[Bon Chasseur]

faut pas oublier les 11 pts au pied manqués, quand on parle de Sudafs qui se se sont fait bouffer.. 

ah oui mais ils ne sont pas en confiance donc, au point où ils en viennent, tout en connaissant leur pb de buteur, à en tenter certaines de très loin. Ils ont peur de la défense irlandaise (y compris sur maul, pour ne pas aller en touche, et d'ailleurs perdent le match sur ce fameux dernier maul) et ne sont pas confiants balle en main.

[Bougnat et Breton]

XV de France : Dupont, retour en novembre... 2024 ?

 

Thomas Siniecki, Media365 : publié le mardi 17 octobre 2023 à 17h40

 

Antoine Dupont, s'il appuie bel et bien sa volonté de se lancer dans l'aventure Paris 2024 avec les Bleus du rugby à VII, verra normalement son calendrier avec le XV de France très bouleversé. A commencer par le Tournoi des Six Nations.

Si la tendance se confirme, Antoine Dupont ne disputera plus de match sous le maillot du XV de France avant plus d'un an et la tournée d'automne 2024, dont on ne sait rien encore - si ce n'est qu'elle se déroulera sur le sol français comme à chaque mois de novembre, en opposition avec les tournées d'été dans l'hémisphère Sud (ou au Japon voire en Amérique du Nord). En effet, le capitaine des Bleus doit participer à Paris 2024 avec l'équipe de France de rugby à VII, un projet qui suit son cours depuis plusieurs mois. C'est pourquoi il ne disputera normalement pas le prochain Tournoi des Six Nations, afin de débuter sa conversion, certes temporaire mais qui nécessite une période d'adaptation obligatoire.

 

Pourrait-il tout de même être du France - Irlande du 2 février ?

Ce serait pour les étapes du circuit mondial en Amérique du Nord, du 23 au 25 février au Canada (à Vancouver) puis les 2 et 3 mars aux Etats-Unis (à Los Angeles), soit au moment du match du XV de France face à l'Italie (le 25 février) et avant le déplacement au pays de Galles (le 10 mars). Est-il envisageable qu'Antoine Dupont puisse tout de même être du France - Irlande déjà très attendu en ouverture du Tournoi, le 2 février, et même qu'il ne rate que la réception de l'Italie ? A priori, ce n'est pas la tendance, comme le révélaient nos confrères du Parisien au mois de juin, en nous apprenant la mise en place de cet accord entre le joueur, le Stade Toulousain et la Fédération.

Même s'il n'est pas techniquement impossible de jouer entre le VII et le XV, puisque Viri Vakatawa ou Gabin Villière l'ont fait en leur temps, ou encore Jean-Pascal Barraque qui a disputé le Mondial l'an passé avant de retourner jouer à Clermont en Top 14 (il est parti à l'USAP cette saison)... Antoine Dupont ne zapperait de toute façon pas la fin de saison avec Toulouse. Seule certitude, si le plan Paris 2024 se vérifie bien sûr, il ne pourrait en revanche prétendre à la tournée d'été en Argentine.

 

[el landeno]

Les Bleus unis pour pleurer une dernière fois avant de se séparer À la suite de l'élimination dès les quarts de finale de sa Coupe du monde dimanche, le groupe France a vécu un ultime moment de cohésion pour commencer à digérer cette énorme désillusion.

La séparation du groupe France a presque été aussi brutale que l'élimination en quarts de finale dimanche soir face à l'Afrique du Sud (28-29). Ce mardi, depuis Paris, les Bleus se sont éparpillés aux quatre coins de la France. Direction Lyon, Toulon, Montpellier, Toulouse, Bordeaux ou encore La Rochelle. Le cadre de vie et le sacré ont aussi volé en éclats. Les Bleus n'ont pas eu de débriefing de leur dernier match. Ni de ­petite cérémonie pour les ­partants du staff ou les deux joueurs qui ont annoncé arrêter leur carrière internationale. Après un peu plus de trois mois de vie ­commune, débutée le 2 juillet par un stage de préparation à Monaco, chacun est ­rentré au bercail la tête basse et l'esprit embrumé.

 

 

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Priés de quitter leur hôtel presque immédiatement

La défaite face aux champions du monde à peine consommée, le quinze de France a pris la ­réalité de son échec en pleine face dans la nuit de dimanche à lundi. De retour à leur hôtel de Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, vers 1 h 30 du matin, les Bleus ont été priés de faire place nette pour midi. La raison ? Les Argentins, qualifiés pour les demi-finales, débarquaient pour prendre leur place, comme le stipule le règlement World Rugby. « Brutal », ­selon plusieurs témoins.

« C'est comme si vous étiez ­foutus dehors ! Il a fallu trouver des hôtels en urgence pour le lundi soir afin de vivre un dernier moment convivial ensemble », souffle un suiveur des Bleus. Branle-bas de combat, notamment pour les ­intendants afin de rapatrier tout le matériel vers le Centre ­national de rugby de Marcoussis ­ (Essonne). Leurs valises bouclées, certains joueurs ont partagé un repas en famille quand d'autres ont profité d'une petite virée dans la nuit parisienne.

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Un dernier repas tous ensemble le lundi

Un dernier moment d'union, plus pour rêver mais pleurer, était au programme du lundi après avoir quitté l'hôtel. ­L'intégralité du groupe, joueurs et encadrement compris, s'est ­retrouvée dans une brasserie de la porte d'Auteuil (XVIe arrondissement) pour un dernier repas.

« Ils accusaient le coup, glisse un témoin. Nous avons essayé d'en parler le moins possible, d'éviter certains sujets. L'idée était de ­décompresser. Mais c'était omniprésent. » ­L'arbitrage très discutable de Ben O'Keeffe a été au coeur des ­discussions, par ­petits groupes, avec encore ce sentiment de « s'être fait enfler ».

lire aussiHistoire d'une mésentente entre l'arbitre Ben O'Keeffe et les Bleus face aux Boks

Certains ont poussé jusqu'au petit matin

L'après-midi s'est prolongé ­autour de quelques verres. Au fil des échanges, certains trentenaires s'interrogeaient sur leur avenir sous le maillot bleu. Une réflexion exacerbée par l'énorme désillusion vécue vingt-quatre heures plus tôt. Puis le staff et les joueurs se sont ­séparés au moment du dîner. Certains ont même rejoint leur domicile dès le lundi soir.

Les autres ont poussé jusqu'au petit matin. Sans fracas, ni bagarre de fin de soirée arrosée. Dans le calme et la tristesse mais la ­cohésion. « C'est un vrai groupe, ils s'entendent bien, il y a beaucoup d'affect entre eux, souligne un proche du groupe. Tu le sens dans des moments difficiles comme ceux-là. » Ce mardi soir, ­chacun avait repris son petit train-train. Mais comme le disait le troisième-ligne Grégory Alldritt dimanche soir avant de s'éclipser : « Il va falloir du temps pour digérer. »

 

 

[Bon Chasseur]

XV de France : Dupont, retour en novembre... 2024 ?

 

Si la tendance se confirme, Antoine Dupont ne disputera plus de match sous le maillot du XV de France avant plus d'un an et la tournée d'automne 2024

ça m'irait bien, perso. Je pense qu'il n'y a rien de mieux qu'une bonne pause avant de revenir plus fort dans un domaine. Couper un peu du XV de France, la blessure, la pression Galthié, la cdm tout ça tout ça... ne peut lui faire que du bien. Tout ce que je souhaite, c'est qu'il soit là pour 2027.

[Alex chocolatines]

ça m'irait bien, perso. Je pense qu'il n'y a rien de mieux qu'une bonne pause avant de revenir plus fort dans un domaine. Couper un peu du XV de France, la blessure, la pression Galthié, la cdm tout ça tout ça... ne peut lui faire que du bien. Tout ce que je souhaite, c'est qu'il soit là pour 2027.

Si c'est pour aller faire le con au seven, tu la vois la fausse bonne idée ou pas ? 

[Silhouette]

Si c'est pour aller faire le con au seven, tu la vois la fausse bonne idée ou pas ? 

Tu veux dire qu'il pourrait realiser qu'il est (encore) meilleur au Seven, et ne pas revenir a XV ? 

[Codorplusàvie]

La solution d'une paire 10/12 Jalibert/N'Tamack mérite peut être d'être à nouveau étudiée, dans un schéma ou nous disposerions d'un 13 plus rapide et tranchant par exemple.
 
Je pense que toutes les pistes vont être bonnes à étudier et qu'il ne faut se fermer aucune porte pour le prochain Tournoi et la prochaine tournée, durant lesquels je l'espère, on ne se focalisera pas uniquement sur les résultats.

Surtout que je lis que NTK est bon en défense et sur les ballons hauts.
Ce qu'il faut pour faire un bon centre non ?
Depuis ses débuts je dis que c'est un centre mais on veut pas m'écouter.
Si t'as Jalibert, NTK et Ramos sur le pré ça t'offre un paquet de choix différents avec de belles possibilités sur le banc.
Même si c'est semble-t-il un poste pas assez prestigieux à ses yeux.
Donc il faut trouver un dix pour alterner avec Jalibert.
Le premier qui me parle de Belleau, je portejoie plainte.

[Silhouette]

Surtout que je lis que NTK est bon en défense et sur les ballons hauts.
Ce qu'il faut pour faire un bon centre non ?
Depuis ses débuts je dis que c'est un centre mais on veut pas m'écouter.
Si t'as Jalibert, NTK et Ramos sur le pré ça t'offre un paquet de choix différents avec de belles possibilités sur le banc.
Même si c'est semble-t-il un poste pas assez prestigieux à ses yeux.
Donc il faut trouver un dix pour alterner avec Jalibert.
Le premier qui me parle de Belleau, je portejoie plainte.

Du coup, Plisson ? 

[Codorplusàvie]

Du coup, Plisson ? 

C'est qui ?

[el landeno]

Louis Bielle-Biarrey, ailier des Bleus : « Le retour à la réalité va être brutal » Révélation française de la Coupe du monde, le jeune ailier des Bleus s'est régalé mais garde un goût très amer de l'élimination prématurée contre l'Afrique du Sud.

Jamais capé avant la préparation estivale, le jeune Louis Bielle-Biarrey (20 ans, 7 sélections) est parvenu à s'imposer sur l'aile gauche des Bleus durant la Coupe du monde. Au point d'être, avec Damian Penaud, le joueur français le plus utilisé (320 minutes de jeu, 4 essais) de la compétition, achevée sur une cruelle défaite en quarts de finale contre l'Afrique du Sud dimanche dernier au Stade de France (28-29).

 

 

Rentré chez lui ce mardi à Bordeaux au lendemain d'une ultime journée partagée avec ses partenaires à Paris, il a accepté, après sa sieste, de revenir longuement pour L'Équipe sur son parcours des dernières semaines mais aussi, bien sûr, sur la grosse déception de dimanche soir.

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Sa gestion de l'élimination en quarts de finale

« Le groupe a conscience qu'il a laissé passer une énorme opportunité »

 

 

 

 

 

 

« Comment vivez-vous ce retour à la maison ?
J'avoue que je ne réalise pas encore forcément. C'est dur de se dire que c'est fini d'un seul coup après tout ce que l'on a vécu durant trois mois tous ensemble, surtout après avoir perdu un quart de finale de Coupe du monde à la maison. C'est assez brutal quand tout s'arrête du jour au lendemain.

Quelle était l'ambiance au sein du groupe depuis le coup de sifflet final ?
Ce n'était pas du déni, mais un peu quand même. On se disait que ce n'était pas possible. C'était forcément pesant. On avait tous l'objectif d'aller le plus loin possible, et on savait que nous avions trois finales à jouer. Malheureusement, on a perdu la première. Je pense que nous avions vraiment les moyens pour aller au bout. Le groupe a conscience qu'il a laissé passer une énorme opportunité de marquer l'histoire en France. Tout le monde était dégoûté et abattu. Les Springboks sont une énorme équipe, une des meilleures du monde, mais on n'était pas dépassés. On a fait jeu égal, voire plus. Il y avait plus que de la place pour passer mais on a fait deux ou trois erreurs qui nous coûtent autant d'essais en première mi-temps. Ils ont très bien joué leur jeu aussi. Il faudra se servir de ce match.

 

Antoine Dupont et Louis Bielle-Biarrey face à l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)

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Avez-vous beaucoup évoqué entre vous l'arbitrage de Ben O'Keeffe, qui a largement été commenté ?
On l'a un peu débriefé. C'est vrai que quelques situations ne tournent pas en notre faveur. Mais ce n'est pas sur deux ou trois petites actions qu'on perd le match. L'arbitrage n'a pas été avec nous mais on a été trop imprécis sur certains domaines. C'est peut-être la goutte d'eau qui fait déborder mais le vase était déjà bien rempli.

Physiquement, le combat a-t-il été intense ?
En termes de contact et de densité physique, j'avais rarement joué des matches qui tapaient autant. Ils sont ultra solides, rugueux et ils aiment le combat. On l'a vu sur les rucks, où nous étions en difficulté et en mêlée. Pour le cardio, ça allait. On sait que quand on joue l'Afrique du Sud, ce n'est pas le plus gros "ball in play" (temps de jeu effectif) et il faisait beaucoup moins chaud que ces dernières semaines. C'était plus facile d'enchaîner les efforts. Personnellement, je n'ai pas
eu beaucoup de ballons pour m'exprimer face à une défense bien organisée. J'ai beaucoup appris et ça va me servir pour l'avenir.

Avez-vous le sentiment que l'Afrique du Sud vous avait personnellement ciblé sur les ballons hauts ?
Non, pas vraiment. On savait que lorsqu'ils n'avançaient pas trop, ils mettaient des ballons hauts.
Ils l'ont fait de mon côté, comme sur celui de Damian (Penaud). C'est vrai que j'ai perdu un duel à un moment mais ça fait partie des domaines où on s'est fait un peu bousculer.

Sa première expérience

« Mon insouciance était le meilleur moyen pour échapper à la pression »

 

 

 

 

En juin dernier, vous nous aviez déclaré que jouer une Coupe du monde était le Graal. Est-ce si bien que ça alors ?
(Rires.) C'était génial et un peu surréaliste de jouer une Coupe du monde devant notre public. Avec les moins de 20 ans, je n'avais chanté la Marseillaise qu'une seule fois en France, alors que là, ça m'est arrivé quasiment à tous les matches (il n'était pas sur la feuille pour la première rencontre contre la Nouvelle-Zélande). Ça fait bizarre quand 80 000 personnes te poussent. C'était incroyable d'être porté comme ça. J'ai essayé de savourer. Je savais que ça n'allait plus jamais m'arriver, à moins qu'il y ait une nouvelle Coupe du monde en France dans pas longtemps, mais je ne pense pas !

lire aussi« P'tit Louis, Ch'ti Franck » : pourquoi le destin de Bielle-Biarrey ressemble à celui de Ribéry

Quels souvenirs garderez-vous en particulier ?
Les gens qui sont comme des fous dans les tribunes, une ambiance de dingue, les trois mois super qu'on a passés ensemble, une expérience humaine de fou.

Si on vous avait dit voilà quelques mois que vous seriez le joueur français le plus utilisé avec Damian Penaud et que vous marqueriez quatre essais dans la compétition ?
Déjà, je ne l'aurais pas cru ou alors sur un gros concours de circonstances. Je suis parti avec l'idée de prendre le temps de jeu qu'on allait me donner et de faire de mon mieux. Sur cela, je suis plutôt content. J'ai eu l'opportunité de jouer plus que ce que je pensais et de prendre de l'expérience. Je ne me suis pas posé de question. Et le fait de ne pas vraiment réaliser, car tout va super vite, m'a beaucoup aidé. Mon insouciance était le meilleur moyen pour échapper à la pression. Et dans cette bulle, on ne se rendait pas forcément compte de tout ce qui se disait autour de nous, ça m'a aussi aidé à performer.

 

Louis Bielle-Biarrey, l'ailier des Bleus. (F. Faugère/L'Équipe)

Vous n'entendiez pas les compliments vous concernant ?
Si, j'entendais que tout le monde disait du bien de moi. Mais tout ça est assez éphémère. J'ai essayé de rester simple, même si ça fait hyper plaisir quand on reçoit des compliments. Je suis content de mes débuts, le staff aussi, mais je sais que je suis très loin d'être arrivé. Le plus dur commence maintenant. Je vais devoir confirmer.

Sa nouvelle dimension

« Le prochain Tournoi est aussi bien sûr dans un coin de ma tête »

 

 

 

 

Pensez-vous avoir changé de statut ?
Non, je n'ai pas envie de me dire que j'ai un nouveau statut. Le faire une fois c'est bien, mais le répéter c'est mieux. C'est là où on verra ce que j'ai dans le ventre. La Coupe du monde 2027 (en Australie) est un objectif mais je vais devoir être très bon durant ces quatre ans. Et il faudra que je m'accroche quand je serai un peu plus dans le dur. Le prochain Tournoi est aussi bien sûr dans un coin de ma tête.

Réalisez-vous davantage depuis que vous êtes rentré chez vous ?
Non, pas encore. Plus les semaines vont passer, plus je vais réaliser et plus j'aurai peut-être des regrets aussi. Le retour à la réalité va être brutal.

Quel est votre prochain rêve après avoir exaucé celui de jouer cette Coupe du monde ?
Le prochain rêve est de continuer ce rêve-là. (Il se marre.)

Quel est votre programme dans les prochains jours ?
Il va falloir que je m'organise parce que je n'avais pas forcément prévu d'être éliminé en quarts de finale ! Comme vu avec Yannick Bru (le manager de Bordeaux-Bègles), je vais avoir deux semaines de vacances. J'ai envie de couper du rugby, de décompresser, de passer du bon temps avec les personnes que j'aime.

Vous allez aussi enfin avoir le temps de bosser sur vos études de gestion des entreprises et administration...
Oui, il va falloir aussi retourner à la réalité sur ce point-là. Je n'irai pas encore à l'IUT pendant mes deux semaines de vacances, je vais recontacter les personnes qui gèrent mes études pour organiser ma rentrée scolaire... J'accorde une importance assez grande aux cours mais pendant une Coupe du monde, c'est plus difficile ! (Rires.) »

 

Louis Bielle-Biarrey avait inscrit un essai lors de la victoire des Bleus face à l'Italie, le 6 octobre (60-7). (F. Faugère/L'Équipe)

[Alex chocolatines]

Tu veux dire qu'il pourrait realiser qu'il est (encore) meilleur au Seven, et ne pas revenir a XV ? 

Clairement il a tout pour etre un excellent septiste  mais pour le coté " repos du guerrier" bin ce serait loupé 

[Silhouette]

Clairement il a tout pour etre un excellent septiste  mais pour le coté " repos du guerrier" bin ce serait loupé 

Apres le Sept ca reste beaucoup moins impactant en terme de chocs, etc. Donc au moins quelque part il se reposera "un peu". Apres, physiquement (pour les muscles et les articulations) et mentalement, la ..

[Alex chocolatines]

Apres le Sept ca reste beaucoup moins impactant en terme de chocs, etc. Donc au moins quelque part il se reposera "un peu". Apres, physiquement (pour les muscles et les articulations) et mentalement, la ..

En meme temps, il aime le chocolat le toto, c'est le neuvième avant quand meme