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EDF de Galthié


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10107 réponses à ce sujet

#9766 pims

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Posté 18 février 2024 - 16:47

Pour remplacer Laclayat dans le groupe on préfère prendre un mec de Pro d2 que Falgoux. Plus c'est gros plus ça passe



#9767 Fanchic

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Posté 18 février 2024 - 16:59

Le même fondement qui te sert à pondre toutes tes théories absurdes.

Pas faute davoir essayé de rentrer dans ton monde ou ce que tu penses être des faits ne sont finalement que tes délires qui alimentent tes posts toujours souffrants sur Toulouse, les blessures, les arbitres, le quinze de France. Et ce quelque que soit le topic concerné.

Bien pensance power! Et tout ça dans l'absence de nuance qui te caractérise.

#9768 Lourugby

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Posté 18 février 2024 - 17:13

Alex Burin remplace donc Laclayat dans le groupe, un choix étonnant puisque ce remplacement est devrait durer quasiment un mois. J'imagine que le staff n'a pas souhaité pénaliser davantage les rochelais en sélectionnant Colombe et que l'absence de Bamba doit compter. En tout cas, il va falloir continuer de s'appuyer sur Aldegueri...



#9769 Fast Kimi

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Posté 18 février 2024 - 17:15

Pour remplacer Laclayat dans le groupe on préfère prendre un mec de Pro d2 que Falgoux. Plus c'est gros plus ça passe

En même temps Falgoux est blessé pour au moins 3 mois.
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#9770 Codoravie

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Posté 18 février 2024 - 18:01

Pour remplacer Laclayat dans le groupe on préfère prendre un mec de Pro d2 que Falgoux. Plus c'est gros plus ça passe


Falgoux joue donc à droite aussi ?
Bonne nouvelle.
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#9771 steph

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Posté 18 février 2024 - 19:02

Pour remplacer Laclayat dans le groupe on préfère prendre un mec de Pro d2 que Falgoux. Plus c'est gros plus ça passe


C'est surtout pour Kiteau que c'est dur à avaler.
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#9772 Codoravie

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Posté 18 février 2024 - 19:19

C'est surtout pour Kiteau que c'est dur à avaler.


Ainsi que pour Rabah qui est en pleine bourre.
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#9773 Lourugby

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Posté 18 février 2024 - 19:29

C'est surtout pour Kiteau que c'est dur à avaler.

 

Une fois passé à la moulinette Bès, même Galthié ne pourra plus l'ignorer !


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#9774 steph

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Posté 18 février 2024 - 19:32

Ainsi que pour Rabah qui est en pleine bourre.


Rabah, ça peut se comprendre encore, avec sa fracture du coccyx et son entorse cervicale depuis que Lavanini pousse derrière lui.
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#9775 el landeno

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Posté 20 février 2024 - 06:58

Anthony Jelonch : il ne faut pas se plaindre de trop jouer

 

Victime le 21 janvier dernier d'une seconde rupture du ligament croisé, cette fois du genou droit, le troisième-ligne aile international de Toulouse, déjà en phase de rééducation, dévoile ses communicatives ressources morales.

 
Votre train a du retard ? Votre collègue d'open space est d'un voisinage lourd-léger ? Prenez la vie comme Anthony Jelonch. C'est une nature à laquelle il faut prêter l'oreille, voix basse, phrases courtes et discours sans détour, mais jamais départie de son sourire.
 
 

Après avoir réussi son pari d'accrocher la dernière Coupe du monde au mois de septembre dernier suite à une première blessure du genou gauche au mois de février précédent, le voilà donc de retour à la case convalescence. L'autre articulation a cédé, cette fois face à Bath en Coupe des champions, le 21 janvier. Une deuxième rupture du croisé en moins d'un an ? Un coup de pas de bol. Rien de plus.

Ici vous ne lirez pas de complainte sur les cadences de titan et le calendrier surchargé, les lamentations d'un éclopé qui manquera sans doute encore une fois une phase finale avec son club, juste le « kif » que le flanker a pris cette dernière année à aller chercher son rêve et celui qu'il reprendra très vite à l'avenir. Sans l'ombre d'un doute pour lui.

« Deux ruptures du ligament croisé à un genou à moins d'un an d'intervalle, ça tape d'abord sur le moral ?
Le moral, ça va. Oui, ça va (il sourit franchement). J'étais un peu stressé avant l'opération. Je me disais que ça allait être pareil que l'autre, que j'allais être immobilisé pendant trois semaines et quand ils ont ouvert, ils ont vu que c'était juste le ligament qui était rompu. Il n'y avait pas de problème sur les ménisques, juste un petit bout qu'ils ont raboté. Le chirurgien était content. J'avais l'appui total au bout de deux jours et j'ai pu retrouver une vie normale. J'ai attaqué la rééducation et donc j'ai vraiment le moral, parce que ça n'est comme l'autre exactement, même si j'étais revenu très vite. Là, je vais pouvoir prendre plus le temps, bosser plus sereinement avec moins de douleur.

En général, quand vous vous faites un genou, il faut vous obliger à quitter le terrain. Vous avez la phobie des civières ?
Sur le coup, j'ai eu mal (rire). Mais ça dure 15 secondes, puis tu le sens moins, tu te dis : "Ç'a bougé mais je ne sais pas !" Après coup, en y pensant, j'avais quand même eu la sensation que ç'avait bien bougé, comme au premier. Puis j'ai compris très vite. Après le match, je marchais normalement, mais dans ma tête, en allant à l'IRM, je savais que ça allait être encore le croisé. L'IRM le confirme. Il y avait mon docteur et le chirurgien qui m'avait opéré la fois d'avant en ligne. Il voyait les résultats en temps réel et m'a dit : "Tu connais la marche à suivre, je vais te réparer et ça va bien se passer." J'avais des cicatrices sur le même genou, donc il a fallu que j'attende trois semaines avant de me faire opérer. J'ai eu un peu mal mais ça m'a permis de le faire dégonfler dans un premier temps et de l'opérer dans de bonnes conditions.

 
 

« Le mouvement que j'ai fait est exactement celui du croisé. Ce n'est pas de chance. Sûrement qu'il y avait une fragilité »

Anthony Jelonch

 
 
 

On lit beaucoup de choses sur les blessures à un genou consécutives à une précédente très rapprochée. Vous vous êtes dit quoi ?
J'avais demandé son avis au chirurgien au moment de la première opération. Il y a des statistiques (de récidives) qui disent que ça peut casser, que ça peut être le même. Là j'ai de la chance, entre guillemets, que ça ne soit pas le même. Au final, le chirurgien m'a dit que ça n'avait rien à voir avec ma reprise trop précoce. Le mouvement que j'ai fait est exactement celui du croisé. Ce n'est pas de chance. Sûrement qu'il y avait une fragilité. Trois semaines avant, j'avais pris un petit pet sur le genou mais ça n'a peut-être rien à voir non plus...

Cette fois, vous avez l'avantage de ne plus avoir une horloge dans le sac qui fait tic-tac...
C'est une pression en moins. Mais j'ai quand même envie de me retaper vite et très bien. Quand j'ai reçu le diagnostic je me suis dit : "Bon ! Ta saison est finie, tu ne vas pas te mettre la tête au fond du seau, tu vas revenir pour la prochaine étape." Vu comment ça s'est passé la première fois, la deuxième fois je vais faire en sorte que ce soit pareil et tout faire pour revenir encore au top !

Les joueurs disent de plus en plus souvent que dans le rugby d'aujourd'hui, pour se reposer physiquement et psychiquement, il faut se blesser. N'est-ce pas le principal sujet dans votre cas, sachant qu'après votre dernière blessure au genou, vous ne vous êtes pas vraiment reposé, avec le wagon Coupe du monde à attraper ?
Non, mais bon, j'avais un objectif. Avoir en ligne de mire une Coupe du monde, c'est quand même kiffant ! Ça n'est pas usant. Il n'y a pas la pression du week-end. Je bossais du lundi au vendredi avec un jour et demi off où je me reposais. Après, c'est sûr que j'ai pris zéro semaine de vacances. Mais c'est vrai qu'entre les périodes internationales, le Championnat et la Coupe d'Europe, on a beaucoup de matches de très haut niveau.

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Le 21 janvier, face au club anglais de Bath, Anthony Jelonch subissait une nouvelle rupture du ligament croisé. (Laurent Dard / La Dépêche du Midi / PQR)

Le 21 janvier dernier, vous vous blessez en Coupe d'Europe contre Bath après avoir enchaîné dix matches dont neuf comme titulaire depuis la Coupe du monde ?
J'étais à quinze matches depuis ma reprise (contre l'Uruguay). J'avais déjà beaucoup joué. Mais je suis content, j'ai pu m'amuser un petit peu entre les deux genoux (il se marre). C'est tant mieux. Il ne faut pas se plaindre de jouer trop de matches quand on est à haut niveau. C'est le calendrier qui veut ça. Il ne faut pas en vouloir au coach ni à personne. Ce qui est vrai, c'est qu'on a juste la coupure d'un mois en juin pour se reposer, sinon il n'y a pas de période pour vraiment s'arrêter. Même quand on coupe cinq ou six jours, ça n'est pas suffisant pour que le corps et l'esprit récupèrent.

Maintenant que vous avez vécu tout ça, est-ce qu'une petite voix vous dira à l'avenir : "Antho, tu es fatigué cette semaine, c'est peut-être bien si tu fais une pause ?"
C'est très dur à faire. Mais c'est peut-être un point sur lequel je dois aussi m'améliorer en tant que joueur. Pas forcément se garer, mais savoir écouter un peu son corps. Après, c'est très difficile pour un compétiteur. Et puis quand tu es dans un sport d'équipe comme le rugby, tu n'as pas envie de lâcher les copains pour dire : "Je ne me sens pas bien, je me repose." Il y a tellement de moments où tu te sens un peu fatigué, mais une fois sur le terrain, tout se passe très bien, tu as envie de jouer et d'être avec l'équipe. Là, j'étais en pleine forme. J'avais été bien géré par le staff. Je n'avais pas de souci de fatigue, même si j'avais beaucoup joué.

« Le meilleur moyen de se faire mal, c'est d'avoir peur, donc de ne pas être performant, de ne pas être bien dans sa tête. C'est là que tu te blesses. Alors que si tu reviens avec l'état d'esprit de : "C'est réparé maintenant, j'y vais à fond, je prends du plaisir et feu !", ça marche bien »

Anthony Jelonch

 
 
 

Grégory Alldritt a pris une pause de plusieurs mois. Antoine Dupont pourrait faire la même chose après les Jeux Olympiques. Est-ce un signe que les mentalités évoluent vis-à-vis du joueur de rugby fort, fier et qui n'a même pas mal ?
Greg avait joué beaucoup aussi. Cette coupure lui a fait du bien, comme il nous l'a dit. Mais il avait enchaîné trois saisons à plus de 32 matches. Donc je comprenais qu'il prenne cette petite pause. Et Antoine, s'il peut le faire, ça sera après les JO, donc pas le moment le plus important de l'année non plus. Moi, là, j'ai six mois pour me reposer... mentalement (il sourit). J'aurai aussi quelques petites coupures. Et puis c'est quand même un bon défi à relever de revenir d'une blessure comme celle-là. Je sais très bien comment je suis dans la tête et je n'aurai pas d'appréhension.

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Anthony Jelonch est contraint de suivre les matches depuis les tribunes, comme ici avec un autre blessé du Stade Toulousain, Romain Ntamack. (F. Lancelot/L'Équipe)

On croise beaucoup d'athlètes blessés. Ils veulent logiquement revenir coûte que coûte, mais ils sont rares à le prendre avec autant de bonnes ondes et le sourire...
J'ai toujours été dans le positif. Je ne suis pas battu ou résigné. Je n'ai qu'une envie, maintenant, c'est me remettre en forme et revenir sur le terrain. Je suis jeune, j'ai encore de belles saisons à faire. Et puis il y a tellement d'exemples de personnes qui sont revenues, donc pourquoi pas toi ou moi ? Le meilleur moyen de se faire mal, c'est d'avoir peur, donc de ne pas être performant, de ne pas être bien dans sa tête. C'est là que tu te blesses. Alors que si tu reviens avec l'état d'esprit de : "C'est réparé maintenant, j'y vais à fond, je prends du plaisir et feu !", ça marche bien. J'ai pu le voir sur ma reprise du premier croisé. Même si ça n'a duré que quinze matches (rire). D'autant qu'à l'intérieur, il y a une Coupe du monde et des moments très forts.

Vous ne songez pas à devenir coach bien-être le temps de retrouver les terrains ?
J'aimerais pouvoir filer de bonnes ondes. Si tu as le moral ça fait 70 % de la rééduc. Si t'a pas le moral tu te dis : "Pff cette année que je vais passer !" Et je n'ai pas envie de passer une année de merde. Je veux me remettre. Et puis je vais travailler avec les potes du stade. Je vais peut-être rentrer un peu dans le staff du Stade Toulousain. Ils veulent me faire prendre un peu de galon pour analyser les matches et faire des retours. Du coup je serai bien, même si ça sera dur de voir les autres jouer les phases finales et que moi je n'y serai pas pour la deuxième fois d'affilée. Mais bon je serai coach. Je prendrai du plaisir sûrement à les voir gagner et s'éclater. Et puis on m'a dit : "Après avoir fait ça, tu seras encore un meilleur joueur." Je les crois (sourire).

Dans cette année des extrêmes niveau émotions, quelle a été la plus forte ?
Quand on m'a appelé pour me dire que j'étais dans la liste pour la Coupe du monde. Là, c'était un pic émotionnel assez fort. Le bonheur ! Et ensuite refouler les terrains. J'ai vécu une Coupe du monde magnifique. Pour moi, ça n'était que du bonus. Après il y a la défaite contre les Sudafs
(28-29). Elle a été dure à réaliser au début puis à encaisser. On avait tous envie de bien faire, de gagner. Je crois qu'il y a des petites choses qui nous ont fait perdre le match ce jour-là, notamment un petit manque d'application.

Avez-vous revu le match ?
Dès le lendemain. Tout seul.

Ah, carrément ?
Je l'ai regardé vite fait parce que je n'arrivais pas à dormir. Et encore une fois un peu plus tard. Je voulais voir pourquoi ça s'était passé comme ça. Ça fait mal à chaque fois. Après, quand tu es sportif de haut niveau, il faut vite passer à autre chose. C'était déjà extraordinaire de pouvoir faire une Coupe du monde après ma blessure. J'étais prêt à revenir pour le Tournoi mais mon destin en a décidé autrement (rires). Je vais ronger encore un peu mon frein mais je suis persuadé que je reviendrai.

Vous avez une date en tête ?
Le 8 septembre je serai à sept mois. Je me dis que ce serait pas mal vers la mi-septembre, comme la fois d'avant.

Et avez-vous regardé les matches contre l'Irlande et l'Écosse ?
Oui, j'ai regardé. C'est sûr qu'on se dit : "Je pourrais être là, etc." Ça ne s'est pas super bien passé. On prend 38 points à domicile contre l'Irlande, qui a été impressionnante (17-38). Après il y avait une déception à digérer. C'est toujours compliqué. Mais ce qui a été beau, c'est la réaction en Écosse. Elle était compliquée à avoir et pourtant on va gagner là-bas (16-20). Sous la pluie. Même si tout n'a pas été parfait, ce sont des choses qu'il faut savoir faire. Et puis limiter la casse quand on n'est pas très bien, c'est aussi très important. Dans un tel contexte, ça fait vraiment du bien mentalement. Même s'il y en a beaucoup pour dire : "Ouais, ça ne joue pas bien..." OK, mais ça gagne, et nous, on veut une équipe de France qui gagne. Et je suis persuadé que quand la confiance reviendra, on fera de bons matches. L'an dernier aussi on n'avait pas fait un bon début de tournoi et ça s'est fini assez bien. Gagné avec 50 points en Angleterre (10-53). On a beaucoup de caractère, donc je suis confiant pour la suite. »

 
 


#9776 cocotte 63

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Posté 20 février 2024 - 08:27

Bon les gars, comment dire...
 

 
 
Je ne pensais pas que c'était si mal que ça. Mais en me les repassant comme ça. C'est trop pour le niveau intl. D'autres équipes en ratent, une ou deux sur un match, mais là c'est juste pas possible, c'est un cirque. Ce match contre l'Ecosse, c'est une foire.
 
Comment on y remédie,  çaaaaa ?...


Cette vidéo est très interessante, on peut faire la même avec l'ASM, sur les 3 dernières années t'en fais un film de 2 heures !  B)


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#9777 Arverne03

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Posté 20 février 2024 - 11:09

Bon les gars, comment dire...

 

 

 

Je ne pensais pas que c'était si mal que ça. Mais en me les repassant comme ça. C'est trop pour le niveau intl. D'autres équipes en ratent, une ou deux sur un match, mais là c'est juste pas possible, c'est un cirque. Ce match contre l'Ecosse, c'est une foire.

 

Comment on y remédie,  çaaaaa ?...

 

Effectivement................. :crying:



#9778 el landeno

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Posté 22 février 2024 - 07:11

jolie faute d'orthographe à la Une ! une confusion entre le Salary Cap et la Sécurité Sociale !

 

Posolo Tuilagi, une assension express au sein du XV de France  

 

La première titularisation du jeune et surpuissant deuxième-ligne de Perpignan (19 ans, 1,92 m, 149 kg) semble acquise.

 

« Posolo ? Il est surprenant », avait souri Patrick Arlettaz, mardi, après l'entraînement de l'équipe de France auquel Posolo Tuilagi avait participé avec la chasuble bleue floquée du numéro 5, celle des probables titulaires. Mercredi, rebelote. Le deuxième-ligne de Perpignan (19 ans) s'est une nouvelle fois entraîné avec les présumés titulaires. Sa première apparition d'entrée, face à l'Italie dimanche à Villeneuve-d'Ascq (16 heures), ne semble plus faire de doute. Surprenant alors ? « Quand vous le connaissez, pas tant que ça », avait embrayé l'entraîneur de l'attaque des Bleus, qui a lancé Tuilagi en Top 14 la saison dernière quand il était encore manager sportif de l'USAP. « Quand il était passé de Crabos à Espoirs, je lui avais dit "Attention, ce n'est pas le même niveau"s'est remémoré l'entraîneur catalan.

 
 

Mais il a traversé le terrain. Idem quand il est passé des Espoirs au Top 14. Je lui ai dit la même chose : "Attention..." Mais il a encore traversé le terrain. Et là, pas de bol, il me retrouve en équipe de France (il sourit). Je lui ai répété la même chose... » Deux entrées en jeu plus tard, réussies face à l'Irlande (53e) et l'Écosse (49e), Tuilagi a déjà bousculé la hiérarchie.

Une ascension express qui change les plans

Les échos du début de semaine tendaient vers un statu quo en deuxième ligne, avec la paire Woki-Gabrillagues. Le retour de Romain Taofifenua laissait même penser que Tuilagi serait renvoyé en club. Finalement, Paul Gabrillagues va faire les frais de l'ascension express du champion du monde des moins de 20 ans.

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Posolo Tuilagi, 19 ans. (P. Lahalle/L'Équipe)
 
 

Un choix notamment dicté par la capacité de Tuilagi à porter le ballon et à défier l'adversaire, en l'absence de Grégory Alldritt, blessé. « C'est un choix judicieux, glisse l'ex-deuxième-ligne Jérôme Thion (54 sélections). Malgré ses 19 ans, il dégage une forte maturité. Comme la jeune génération, il est réglé pour le haut niveau et déjà performant. C'est mérité. » Est-ce que l'adversaire, l'Italie, a accéléré ce choix ? « Il n'y a pas de match idéal pour vivre une première titularisation, estime Thion. L'Italie a déjà posé des soucis aux Bleus. Posolo aura une grosse pression. Il est attendu. »

Un impact physique et psychologique certain

Tuilagi a tout pour devenir la nouvelle coqueluche bleue. « Son impact physique dans le défi, c'est ce qu'on voit en premier, pose encore Thion, deux fois vainqueur du Tournoi (2006 et 2007). Mais il a aussi un gros impact sur les ballons portés. Il a cette capacité à naviguer et à détruire ceux des adversaires. Il est également très efficace dans les contre-rucks. Sa présence suffit à mettre la pression. Cela a un impact psychologique positif sur ses coéquipiers et négatif sur ses adversaires. » « Je préfère jouer avec lui que contre lui », souriait son coéquipier Alexandre Roumat.

Enfin, avec Uini Atonio et Tuilagi (respectivement 145 kg et 149 kg), le côté droit de la mêlée française affiche un sacré tonnage. « Tu ne peux pas faire mieux, assure Thion. C'est extraordinaire d'avoir une telle densité et une telle puissance. L'axe gauche italien risque de passer un sale après-midi. »

Une capacité à tenir le rythme international

La grande interrogation est de savoir si Tuilagi a la caisse nécessaire pour enchaîner les tâches et tenir le rythme au niveau international. « Je ne me fais pas trop de soucis, a lancé Nicolas Jeanjean, le directeur de la performance des Bleus. Il a cette capacité de déplacement malgré sa masse. Face à l'Italie, une équipe joueuse comme l'Écosse, il y a généralement un rythme et une intensité importants. Il est en mesure d'y répondre favorablement. Le but n'est pas de le faire jouer 80 minutes. »

Depuis le début de saison, le temps de jeu moyen de Tuilagi est de 52 minutes. C'est sans doute à quelques minutes près le temps qu'il devrait passer sur la pelouse du stade Pierre-Mauroydimanche avant d'être suppléé par Taofifenua. « J'ai hâte ! », conclut Thion.

 

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#9779 Rugby ?

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Posté 22 février 2024 - 09:55

La côte monte, ...  trop pour nous.



#9780 el landeno

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Posté 23 février 2024 - 07:13

Forfait pour affronter l'Italie dimanche, le capitaine des Bleus veut positiver après le début de Tournoi mitigé de son équipe. Mais il a cependant conscience qu'elle doit encore progresser.
 
 

Trois jours avant d'affronter l'Italie à Villeneuve-d'Ascq, les Bleus ont bénéficié d'une journée de repos humide au lendemain d'une séance à haute intensité. Grégory Alldritt, lui, nous a rejoints jeudi vers 16 heures dans la salle de presse à quelques mètres de la résidence des joueurs à Marcoussis. Si le capitaine des Bleus, blessé à la cuisse gauche lors de la victoire contre l'Écosse le 10 février (20-16), ne jouera pas dimanche, il a cependant passé la semaine dans l'Essonne.

 
 

Et pas seulement pour profiter des installations et travailler sa condition physique. Le numéro 8 aux 47 sélections a surtout voulu rester auprès de ses partenaires jusqu'au prochain match. Durant quarante-cinq minutes, Alldritt a accepté de revenir sur le début du Tournoi des Six Nations, les difficultés de son équipe, sa blessure mais aussi le break qu'il a effectué cet hiver ainsi que l'aventure olympique de son pote Antoine Dupont.

Sa blessure

« Mon aventure n'est pas finie dans ce Tournoi »


« Que faites-vous à Marcoussis cette semaine ?
J'ai tout sur place pour ma rééducation et qu'elle se fasse le plus rapidement possible. J'avais cette envie. Et Fabien (Galthié) a tout de suite été pour. Il trouvait que c'était important que je sois auprès du groupe. Moi aussi. À Marcoussis, on a un outil fabuleux, une infirmière qui est là pour changer les pansements trois ou quatre fois par jour, la salle de kiné, différentes machines, etc. Mon aventure n'est pas finie dans ce Tournoi et j'avais envie de continuer à la vivre ici.

 
 


Avez-vous craint une longue blessure à Édimbourg ?
Sur le coup, je ne me rends pas compte. C'est quand Uini (Atonio) me tend la main pour m'aider à me relever que je vois la plaie. Je me dis "Houla !" Je suis resté au sol. Beaucoup de précautions ont été prises pour ne pas que la plaie s'agrandisse. Dès que je suis rentré au vestiaire, j'ai pris mon téléphone pour envoyer un message à mes proches pour leur dire que tout allait bien, que c'était impressionnant mais au final ce n'était rien de très grave. La plaie faisait environ cinq-six centimètres et ça m'a valu une douzaine de points de suture.

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La sortie sur blessure de Grégory Alldritt à Édimbourg, le 10 février. (PA Images/Icon Sport)


Quel est votre programme de reprise ?
J'ai recouru aujourd'hui (jeudi) et je vais recourir ce week-end. Un chirurgien doit prochainement faire l'état des lieux, puis je vais reprendre des courses avec passage au sol et la semaine prochaine reprendre quelques contacts progressivement avant de rebasculer sur les entraînements collectifs. C'est le genre de blessure qui est dure à appréhender parce que c'est vraiment au jour le jour. Même si ça me démange de rejouer, il ne faut pas se précipiter. Je touche du bois mais si tout se passe comme prévu, ça devrait être bon pour le pays de Galles (le 10 mars). »

 

Le début du Tournoi

« On sait qu'on doit progresser »

« Comment qualifieriez-vous le début du Tournoi de votre équipe ?
Franchement, il a été très, très intéressant. Il y a une continuité dans ce qui se fait depuis quatre ans même si des ajustements ont été effectués dans le groupe et le staff. On a connu une déroute collective contre l'Irlande (17-38). On a fait le bilan, ajusté des choses. Puis on a réussi à gagner en Écosse, c'était hyper important. Quand j'ai dit après le match que c'était une de mes plus belles victoires, c'est parce qu'il y avait cette Coupe du monde à digérer puis cette défaite à Marseille. On attendait de retrouver la gagne et on l'a fait dans un contexte difficile à Édimbourg. C'est pour ça que c'était une victoire magnifique émotionnellement et un soulagement.

Ressentez-vous un décalage entre votre satisfaction juste après la rencontre et les critiques du public, de la presse et d'anciens joueurs ?
Tout le monde n'a pas forcément compris ce qu'on voulait dire. Je ne vais parler que pour moi, je ne me permettrai pas de parler pour Fabien (Galthié). On est tous conscients que le contenu n'est pas parfait rugbystiquement. Mais arriver à gagner un match en Écosse avec un contenu imparfait, après la semaine qu'on a passée, ça montre le caractère de ce groupe. C'était une victoire d'hommes qui n'ont pas lâché malgré le scénario.

Vous retenez donc le caractère plutôt que le contenu ?
Le but, c'était de gagner. On a passé quatre ans à beaucoup gagner. Et on veut encore passer quatre ans à beaucoup gagner. On travaille pour remonter en puissance au fil des matches. On sait qu'on doit progresser.

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Grégory Alldritt, 26 ans. (Pauce/L'Equipe)

Est-ce d'abord mental ?
Ce n'est pas un manque de confiance. Je ne vois pas un groupe qui doute. Contre l'Irlande, on joue un rugby catastrophique à 14. À la 60e minute, on est à sept points de la meilleure équipe du monde. Peut-être que certains vont dire que je suis aveuglé, mais non, je m'accroche. Il y a tout ce qu'il faut pour performer.

Vos partenaires disent cependant avoir besoin de se libérer sur le terrain...
Ce n'est pas le terme que j'emploierais. On a quand même mis pas mal d'intensité et gagné beaucoup de collisions face aux Écossais, avec aussi des rucks très propres et une mêlée très bonne. En touche, bien sûr qu'il y a besoin d'améliorations mais sur les ballons portés, on a été très bons. J'ai totalement confiance en l'équipe.

En avez-vous assez que l'on vous interroge sur les conséquences de la défaite en quarts de finale du Mondial ?
C'est juste que la Coupe du monde, c'est la Coupe du monde. Ce n'est pas comparable avec ce qui se passe dans un Tournoi. Cette défaite contre l'Afrique du Sud (28-29) n'est pas oubliée mais elle est digérée. On l'a bien étudiée et débriefée entre nous. Contre l'Irlande, nous les joueurs, on s'est trompé sur le rugby et notre stratégie sur le terrain. C'était une humiliation. Puis on a remis la marche avant en Écosse... »

 

Son capitanat

« En tant que capitaine, je vais profiter de ce Tournoi à 100 % »

« Le capitaine Alldritt est-il le même chez les Bleus qu'à La Rochelle ?
Bien sûr que c'est le même. C'est l'homme avant le joueur que ce soit à La Rochelle, à Auch ou en équipe de France. Ma mentalité, dans ces moments-là, c'est qu'on a le droit de faire une erreur, ça peut arriver. Après, il faut que ça reste une erreur, que chacun prenne ses responsabilités. Deux matches d'affilée, ce n'est pas possible. C'est ce que je m'efforce de m'appliquer à moi aussi.

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Alldritt sous le maillot de La Rochelle, cette saison en Top 14. (A.Réau/L'Equipe)

Qu'a changé pour vous ce capitanat ?
Le changement a surtout été pour mes proches. Comme moi, ils ont reçu beaucoup de messages avec un engouement plus important. Concernant les sollicitations, j'ai essayé de tout couper dès le mois de janvier pour me concentrer uniquement sur le rugby et retrouver mon niveau.

Votre vie quotidienne est toujours la même ?
(Sourire.) Oui, on ne devient pas une star d'Hollywood.

Avez-vous beaucoup pris la parole entre l'Irlande et l'Écosse ?
Non, pas beaucoup. C'était presque la semaine la plus facile en tant que capitaine parce que tout le monde était sur la même ligne directrice. Tout a été dit avec beaucoup de bienveillance pour améliorer l'équipe. Durant les séances vidéo, le staff n'a pas tiré sur quelqu'un mais a fait en sorte que l'on ouvre les yeux et qu'on avance. On a construit cette semaine main dans la main, staff et joueurs. C'était une belle semaine, hyper importante et intéressante. Personnellement, après l'Irlande, je n'étais pas fier de moi et je pense que personne ne l'était. J'avais envie me rattraper vis-à-vis des proches, des supporters et du rugby français en général. Au fond de moi, j'avais cette flamme.

Pour combien de temps Fabien Galthié vous a-t-il promu capitaine ?
Il m'a dit que je serai capitaine pour le Tournoi des Six Nations. Et j'en étais ravi. Je vois venir votre question... (Sourire.) En tant que capitaine, je vais déjà profiter de ce Tournoi à 100 % et on verra après. Avec Antoine (Dupont), on se connaît très bien. Pareil avec Charles (Ollivon). Il n'y a pas d'ego. C'est hyper sain. »

Son break

« Si c'était à refaire, je referais ce break les yeux fermés »

 

« Votre coupure d'environ deux mois vous a-t-elle apporté tous les bénéfices que vous espériez ?
Oui, si c'était à refaire, je referais ce break les yeux fermés. Ça n'a pas été tout le temps facile de voir les copains jouer sans pouvoir parfois les aider mais ça m'a ressourcé complètement physiquement et mentalement. Je suis d'attaque et pas seulement pour revenir à mon niveau. L'objectif en faisant ce break était aussi de progresser et de passer un palier. J'ai aussi beaucoup bossé en décembre pour ne pas avoir besoin d'un mois et demi pour être en forme. J'avais dit à Philippe Gardent, le préparateur physique (de La Rochelle), de me faire un programme sans me faire courir sur un terrain ni aller en salle de musculation. J'allais faire des footings sur la plage et travailler sur ma terrasse. Ce n'était presque que du bonheur. Je suis allé jouer au golf aussi. Je voulais prendre un bol d'oxygène, profiter de ma famille, me reposer, partir un peu en vacances.

Physiquement vous vous sentez mieux ?
Oui, j'ai pu soigner mon genou et je n'ai plus de problème de ce côté-là. Tous les petits pépins que j'ai eus, notamment à l'épaule, sont aussi oubliés. Si je n'avais pas fait ce break, je me demande dans quel état je serais aujourd'hui à quatre mois de la fin de la saison. J'ai préféré m'imposer cette coupure plutôt que de la subir plus tard. »

 

L'aventure olympique de Dupont

« Pour "Toto", c'est une incroyable opportunité »

Allez-vous suivre le tournoi de l'équipe de France à 7 à Vancouver ce week-end avec votre pote Antoine Dupont ?
Oui, c'est une aventure exceptionnelle. Je regarde les Jeux Olympiques depuis que je suis tout petit. Tu vois les médaillés comme Michael Phelps et Usain Bolt. Pour "Toto", c'est une incroyable opportunité d'aller chercher une médaille olympique. C'est le genre d'histoire que tu raconteras plus tard à tes enfants, tu seras une légende pour eux.

Avez-vous compris son choix ?
Oui, à 300 %. Il l'avait en tête depuis un petit moment et si ça peut aboutir, je serai trop content pour lui. J'espère de tout mon coeur que la France réalisera de bons tournois et qu'elle fera de gros Jeux pour aller décrocher une médaille. C'est très bien qu'on parle du rugby à 7 et il faut que ça continue. J'essaierai d'aller voir un match aux JO mais aussi du golf.

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Alldritt et Dupont au Mondial 2023, en France. (F. Seguin/L'Équipe)

Auriez-vous eu le gabarit et le physique pour vous aussi tenter l'aventure ?
Le gabarit peut-être car il y a de jolis spécimens. Moins pour la caisse, le cardio et tout ce qui s'ensuit... »


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