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[Toorop]

Le réservoir sur certains postes (3L, 9, centres), c'est sans doute du jamais vu

[grospaquet33]

Le réservoir sur certains postes (3L, 9, centres), c'est sans doute du jamais vu

Encore faut il faire les bons choix…

[Bart Simpson]

QUUUUUUUOI c pas vrai. Il s'est blessé Bourgarit ? Non mais il ne jouera jamais ce gars. On croit rêver. Là c'est juste pas possible. J'aurais plus de chance à envoyer un pantin en pâte à modeler en forme de talonneur sur le terrain que jouer Pierre Bourgarit et terminer une saison. Y a des organismes, c'est totalement clair, ne sont pas faits pour ce Rugby de très haute intensité.
 
Bon après des talonneurs y en a à la pelle en France. J'ai tjrs pensé que Fourcade avait le coffre pour le niveau inter. Et c'est sans parler des Chat, des guépards, et autres féroces félins du Top 14.

je suis d'accord avec toi.
Faudrait que je regarde les stats sur 3/4 dernières saisons mais il a très peu joué.

Corps pas fait pour le rugby de haut niveau ou l'hygiène de vie ?

[Bon Chasseur]

je suis d'accord avec toi.
Faudrait que je regarde les stats sur 3/4 dernières saisons mais il a très peu joué.

Corps pas fait pour le rugby de haut niveau ou l'hygiène de vie ?

Je pense qu'il y a effectivement du second.

 

Le réservoir sur certains postes (3L, 9, centres), c'est sans doute du jamais vu

Certes, en 9 c'est d'une profondeur abyssale.

 

Centres : jolie ribambelle effectivement.

 

3L : beaucoup de choix, quasiment chaque club de Top 14 a au moins un 3L qui peut prétendre au niveau inter, MAIS qu'il n'y a plus de crack. Alldritt l'était au début de la décennie lors des titres Rochelais, plus maintenant,... mais sinon il n'y a plus eu de joueur du niveau de Dusautoir par ex. Cros il est fort, c'est l'éternel "sous-coté", mais pas plus que ça, il ne faut pas exagérer de l'autre côté non plus. C'est un bon 3L de niveau inter mais jamais il atteint des sommets dignes d'un titre meilleur joueur du monde par ex. Ollivon : de grands hauts, des bas (blessures). Macalou talent monumental mais ne confirme pas.Jelonch, Boudehent c'est du bon bourrin mais c'est pas du Jerry Collins...

[el landeno]

Rugby : Fabien Brau-Boirie, un Palois en vogue prêt à rejoindre le XV de France ?

Le Palois Fabien Brau-Boirie frappe à la porte du XV de France. © Crédit photo : AFP

Par Georges Lannessans

Publié le 22/10/2025 à 7h00.

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Ce mercredi 22 octobre, lors de l’annonce de la liste pour la prochaine tournée d’automne, le centre de 20 ans pourrait devenir le quatrième joueur de la Section Paloise, sous l’ère Piqueronies, à rejoindre les Bleus

« Je pense que le jour où il enfilera le maillot du XV de France, il ne le quittera plus jusqu’à la fin de sa carrière. » De l’aveu d’un entraîneur, la prédiction est culottée. De quoi mesurer la foi de Geoffrey Lanne-Petit vis-à-vis du potentiel de Fabien Brau-Boirie. Le présage du technicien en charge de l’attaque paloise sera de toute façon très vite soumis au principe de réalité : le centre béarnais de 20 ans ouvrira-t-il son règne dès ce mercredi, et l’annonce de la liste pour la prochaine tournée d’automne ? En réalité, la question n’est pas tant de savoir quand, mais plutôt dans quelles proportions et pour combien de temps. « Je lui ai dit qu’il avait le potentiel pour devenir l’un des plus grands centres de l’histoire du rugby français, parie le technicien. C’est exceptionnel. »

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« Apprendre à souffrir »

« Un potentiel sans limite », légitime son manager Sébastien Piqueronies : « s’il l’optimise durablement, il comptera dans les rangs de l’équipe de France, c’est évident. » Sa grande force ? C’est qu’il n’a pas vraiment de faiblesses, seulement des axes de progrès. « Fabien, c’est avant tout l’alchimie du potentiel physique, technique, athlétique et intellectuel, énumère « GLP ». Il a tous les aspects du centre de très haut niveau. En plus de ça, il est à l’aise avec ses mains, passionné par le jeu. Mais j’ai surtout envie de parler de ce qui lui manque encore. »

« Il est normal que l’équipe de France lui fasse les yeux doux. C’est maintenant qu’il faut les mettre, si on veut gagner en 2027 »

Sébastien Piqueronies aussi. « Ce qui le rend génial, c’est la marge dont il dispose. Il faut qu’il progresse sur la couverture, le jeu et les courses sans ballon. Il lui faut aussi durcir sa défense directe, devenir plus impactant sur la ligne d’avantage, comme sur tous ses rôles de soutien. » Pour devenir celui que ses mentors imaginent, le Bigourdan d’1,90 m devra aussi « apprendre à souffrir : dans l’effort, la rigueur, la discipline, il en a besoin. Et il doit étoffer son jeu au pied, qui n’est pas au même niveau technique que le reste de sa palette », jauge le technicien béarnais.

La perspective d’une association en bleu avec son équipier béarnais Émilien Gailleton jouerait-elle en faveur du Bigourdan ? « Je n’ai pas envie de vous vendre leur complémentarité, réfute Lanne-Petit. Emilien serait compatible avec beaucoup de n° 12, et Fabien mettrait n’importe quel autre centre en lumière par ses capacités à jouer devant la défense, à faire des « offloads » dans le dos des défenseurs. Ces gars-là sont des bonificateurs d’entraîneurs et de partenaires. Ensemble c’est bien, mais avec un autre joueur, ce serait aussi bon. »

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Le double déclic

Il y a un an, le premier centre déjà appelé pour préparer le dernier match du Tournoi des Six Nations, face à l’Écosse, ne comptait pas la moindre apparition en Top 14. Même s’il avait déjà opéré sa mue. « J’ai senti un vrai déclic lorsqu’il est rentré de cette Coupe du monde U20 en Afrique du Sud, relate son entraîneur. Pendant une année, il s’est cherché, il a tâtonné : on voyait un potentiel, mais rien de plus. À la reprise, c’est comme si tout s’était imbriqué naturellement. Notamment sur le projet de jeu. Tout ce qu’on lui avait demandé avait été absorbé. Derrière, il a explosé. »

Un déclic qui en rappelle un autre à Stéphane Ducos, accélérateur de croissance et directeur de la formation à Tarbes. « Je me souviens d’un gamin très introverti, très discret, qui ne jouait qu’à 50 % de ses moyens lorsqu’il est arrivé de son petit club de l’ESCA-Luc (65). Mais en Crabos, il a vraiment franchi un cap. Il était dominant par rapport à tous ses adversaires directs et a pris conscience de ses qualités, au milieu d’une génération 2005-2006 de talent. Il a ensuite commencé à développer ce que nous, dans les petits clubs, appelons un superpouvoir. »

Un héros sans cape chez les grands, mais passé par toutes les sélections France jeunes. « Quand je l’ai accompagné en stage en équipe de France U18, il était déjà avec Kalvin Gourgues (Toulouse) et Robin Taccola (Vannes), retrace l’éducateur bigourdan. On sentait que ces trois-là avaient quelque chose en plus. » La Section a fait preuve du même flair, mais elle n’était pas la seule. « Énormément de clubs le suivaient. C’est un des gamins les plus faciles que j’ai eu à entraîner. Il est simple, à l’image de sa famille. Le papa est un ancien bon rugbyman, ils ont tenu compte de beaucoup d’avis. »

L’évidence sportive et géographique a vite fait pencher la balance : « La proximité de la famille a été décisive, et il a vu qu’il pouvait avoir la chance de jouer dans un club où les jeunes s’expriment, relate le formateur tarbais. Certains joueurs se mettent au niveau des autres, mais lui s’impose le défi d’être meilleur que celui d’en face. À un moment donné, il est normal que l’équipe de France lui fasse les yeux doux. C’est maintenant qu’il faut les mettre, si on veut gagner en 2027. »

 

 

[kennaugh]

3L : beaucoup de choix, quasiment chaque club de Top 14 a au moins un 3L qui peut prétendre au niveau inter, MAIS qu'il n'y a plus de crack. Alldritt l'était au début de la décennie lors des titres Rochelais, plus maintenant,... mais sinon il n'y a plus eu de joueur du niveau de Dusautoir par ex. Cros il est fort, c'est l'éternel "sous-coté", mais pas plus que ça, il ne faut pas exagérer de l'autre côté non plus. C'est un bon 3L de niveau inter mais jamais il atteint des sommets dignes d'un titre meilleur joueur du monde par ex. Ollivon : de grands hauts, des bas (blessures). Macalou talent monumental mais ne confirme pas.Jelonch, Boudehent c'est du bon bourrin mais c'est pas du Jerry Collins...

Gros désaccord sur Cros, on a beaucoup parlé de LBB (à juste titre), mais le meilleur joueur français du dernier tournoi des 6 Nations c'est lui. Je vais jeter un pavé dans la marre mais honnêtement je ne vois pas ce qu'il à a envié à Dusautoir ? Défensivement c'est kif kif (les deux sont monstrueux) et Cros et selon moi plus complet sur le reste du poste (meilleur en touche, meilleur en attaque et dans les taches obscur). En revanche Dusautoir avait beaucoup plus de leadership et d'aura, je pense que c'est en principalement à ça qu'il doit son surplus de notoriété par rapport à Cros. Jamais de la vie je l'échange contre Van der Flier qui a pourtant un titre de meilleur joueur du monde.

[RCV06]

Je pense qu'il y a effectivement du second.

 

Certes, en 9 c'est d'une profondeur abyssale.

 

Centres : jolie ribambelle effectivement.

 

3L : beaucoup de choix, quasiment chaque club de Top 14 a au moins un 3L qui peut prétendre au niveau inter, MAIS qu'il n'y a plus de crack. Alldritt l'était au début de la décennie lors des titres Rochelais, plus maintenant,... mais sinon il n'y a plus eu de joueur du niveau de Dusautoir par ex. Cros il est fort, c'est l'éternel "sous-coté", mais pas plus que ça, il ne faut pas exagérer de l'autre côté non plus. C'est un bon 3L de niveau inter mais jamais il atteint des sommets dignes d'un titre meilleur joueur du monde par ex. Ollivon : de grands hauts, des bas (blessures). Macalou talent monumental mais ne confirme pas.Jelonch, Boudehent c'est du bon bourrin mais c'est pas du Jerry Collins...

Cros son défaut s'est qu il est discret, il ne se met pas en avant, il n est pas un bon client pour les médias.

Pour le reste c'est un des éléments clés de l EDF autant qu un LBB mais qui lui attire la lumière.

Si les commentateurs ne poussent pas un peu à la roue, jamais il ne serait désigné homme du match car tout le monde se concentre sur ce qui brille, LBB, Penaud, Jalibert, Dupont....