Et si justement il avait signé pour remettre "la charrue avant les bœufs" et "l'église au milieu du village".
Et que, justement, il puisse s'en aller, avec le sentiment du devoir accompli, pour laisser la place à un Président plus "Rugby".
Le management à la BIB est souvent une alternance de "défricheurs" qui cassent les codes et prennent des risques puis de "gestionnaires" pour apurer et consolider... et ça leur réussit plutôt bien.
D'accord, c'est une analyse possible.
Mais,elle ne tient pas compte de la situation actuelle: Qu'est ce que je lis:
"Moi, ici, j’ai un patron, c’est Jean-Michel Guillon. Les relations et les échanges réguliers sont obligatoires. Déjà pour se connaître, se sentir. Il est important aussi de ne pas se voir que lorsque ça va mal.
Pourquoi ?
Dans ces situations, souvent, tu es pris par l’émotion et tu peux faire des conneries. Alors que si tu as l’habitude d’un fonctionnement à deux, on se rend plus lisibles l’un et l’autre. Et ça aide à passer les coups durs." (CU)
Alors, si le courant passe bien entre JMG et CU, quel dommage de se passer de ce binôme émotif + impertubable.
Et quand le lis Lhermet comme successeur, Oui, ce sera un Président "expert en rugby",mais ils devront faire très attention à ne pas se marcher sur les plates bandes. Ce sera un exercice difficile.