
[STAFF] Christophe URIOS " Entraîneur en chef "
#14761
Posté hier, 21:00
Vraiment vraiment un régale d'entendre les petits frères de la révolution parler de l'avenir radieux qui nous attend !
- Velveteethol, Silhouette, Caplan et 3 autres aiment ceci
#14762
Posté hier, 21:12
Là, on peut le dire : on ne va pas faire rire grand monde.
#14763
Posté hier, 21:57
- frednirom, steph et cocotte 63 aiment ceci
#14764
Posté hier, 22:19
Sauf que la ça fait 2 ans plus que moyennasse et on se donne encore 2 ans...
On verra, peut-être que l'équipe sera transfiguré au mois d'août, j'aimerais en tout cas.
- steph et Buckaroo aiment ceci
#14765
Posté aujourd'hui, 06:45
En gros, on aimerait pratiquer un jeu plus attractif mais on fait avec les joueurs qu'on a. Un peu inaudible après plusieurs campagnes de recrutement
Mais quand même logique que de faire un projet selon les qualités et caractéristiques des joueurs à disposition.
- Murena aime ceci
#14766
Posté aujourd'hui, 06:53
Mais quand même logique que de faire un projet selon les qualités et caractéristiques des joueurs à disposition.
Ou alors on recrute selon le projet, c'est pas illogique non plus.
Un peu comme "on a pas un jeu au pied long parce qu'on a pas de joueur avec un gros coup de pieds mais de toute façon c'est pas notre jeu."
Parfois difficile de s'y retrouver dans ce discours sans faille.
- cocotte 63, InASMWeTrust et Buckaroo aiment ceci
#14767
Posté aujourd'hui, 06:54
Pourquoi avoir choisi de prolonger laventure à Clermont jusquen 2027 ?
J.L : Continuer le travail qu'on fait maintenant depuis une saison et demie. À l'été 2023, on savait qu'on arrivait dans un club qui était en "renouveau", avec une reconstruction à tous les étages, mais aussi très ambitieux. C'était extrêmement intéressant de prendre part à ce projet. Cette année, avec l'ambition du top 6, on veut continuer à évoluer, performer, et puis l'arrivée d'un nouveau centre d'entraînement dans quelques années est excitante.
F.C : Comme Julien l'a dit, c'est toujours difficile d'arriver dans un club un peu en difficulté. À la fin d'un cycle, il faut redémarrer un nouveau projet. Cela aurait été dommage de s'arrêter au bout de deux ans après avoir mis en place tout le projet. Donc pour ma part, j'avais envie de poursuivre le travail déjà effectué.
Votre choix était donc évident ?
J.L : Il a fallu changer beaucoup de choses au sein du club, on a sacrifié beaucoup de choses, on en a pris beaucoup dans la tête aussi, parce que forcément... (il souffle). Donc quand vous faites cela pendant deux saisons, qu'en clair vous prenez un peu le négatif du projet pour reconstruire et repartir de zéro, vous avez envie à un moment donné de récolter les fruits ! On espère que ces deux prochaines années vont nous permettre de le faire tant par le recrutement et le renouvellement du staff qui ont été faits et qui seront à nouveau poursuivis... À l'arrivée, partir aujourd'hui, cela voulait dire : "on a fait le sale boulot pendant deux ans pour finalement ne pas en tirer les conséquences". Donc cela aurait été dur pour nous.
Qu'avez-vous sacrifié ?
F.C : L'image qu'on avait de Clermont, de l'extérieur, par moments, ne collait pas avec la réalité. Le club s'appuyait sur des choses qui ont fonctionné par le passé, mais qui, au final, se sont un peu perdues en route... On voulait s'appuyer sur cela quand on est arrivés. Mais au final, ce n'est plus du tout comme c'était avant. C'était difficile. Des choses évidentes pour nous ne l'étaient pas pour tout le monde. Quand on jouait contre Clermont, on savait qu'il fallait travailler plus qu'eux. Parce que c'était une équipe qui faisait tout le sale boulot, qui avait beaucoup d'activité. Et cela s'est perdu un petit peu. Il a fallu réexpliquer, remontrer, pour repartir sur de nouvelles bases.
J.L : Malgré tout, on est tombés dans une structure avec des dirigeants qui ont repris la main sur le club, qui étaient solides, qui nous ont fait confiance, et qui aujourd'hui cherchent à nous apporter le maximum de moyens pour réussir. Par contre, on s'est retrouvé dans la tempête sur les deux premières saisons. Et c'est normal. Quand vous mettez un coup de pied dans la fourmilière, vous êtes forcément pris à partie, surtout si vous ne gagnez pas. La relation que nous avons entre Christophe, Frédéric et moi nous a permis de ne jamais trop tanguer et de continuer à affronter un maximum de vagues.
Top 14 - Les deux hommes se sont connus à Bordeaux-Bègles, déjà en tant qu'adjoints de Chrostophe Urios.
Top 14 - Les deux hommes se sont connus à Bordeaux-Bègles, déjà en tant qu'adjoints de Chrostophe Urios. Icon Sport - Sandra Ruhaut
Avez-vous aujourd'hui la sensation que le club récolte les fruits de ce travail ?
J.L : On le ressent au quotidien ! Quand je vois l'organisation autour du match, la structuration sur le plan business, le sportif, il y a encore du travail, évidemment, mais on sent une évolution dans l'état d'esprit et l'organisation. On sent que le club progresse et c'est aussi pour cela qu'on reste.
F.C : Quand on pose un nouveau fonctionnement, les joueurs mettent du temps à se l'approprier. Au début, ce n'est pas naturel et puis au fur et à mesure la mayonnaise prend. Que ce soit dans le rugby, dans l'organisation, dans la façon de s'entraîner, dans la façon de manager les joueurs...
Comment sest déroulé le processus de votre prolongation ?
F.C : Cela n'a pas été rapide. Le club avait besoin de voir des choses. Donc, il n'était pas pressé pour continuer avec ce staff-là. Les choses sont faites petit à petit. Cela n'a pas été fait immédiatement après l'annonce de la prolongation de Christophe (Urios).
Avec Christophe Urios, votre relation s'est-elle solidifiée ?
J.L : Il est avec lui depuis quatorze ans ! (rires)
F.C : On a de la confiance depuis quelques années ! Il y a aussi les préparateurs physiques avec qui on avait l'habitude de travailler aussi. On a vécu des expériences difficiles, mais aussi des bons moments et cela évite de partir dans tous les sens. Il faut que chacun reste focus sur son travail et trouve de l'efficacité malgré tout.
En quoi était-ce important de poursuivre votre carrière à ses côtés ?
J.L : Un jour, tu gagnes et tu es le meilleur du monde. Le lendemain, tu perds, tu es le plus nul. Et à un moment donné, quand tu es manager, si tu passes ta vie à regarder dans les rétroviseurs, tant par l'extérieur, le club, les joueurs, c'est difficile de bien manager et de prendre du recul. Christophe, s'il est venu nous récupérer à Bordeaux quand notre contrat s'est fini, c'est parce qu'il a grande confiance en nous. Si on a voulu travailler avec lui, c'est pour cette confiance-là aussi. On travaille ensemble les yeux fermés, on n'a pas besoin de passer deux heures en réunion ou même de trembler par rapport à ce qu'on va dire ou faire. C'est un gain de temps énorme.
On dit souvent quil y a toujours un duo dans un trio. Est-ce votre cas à tous les deux ?
F.C : On est tout le temps en train d'animer sur le terrain. Donc évidemment qu'on doit être tout le temps connecté parce qu'il faut qu'on parle le même langage. C'est important d'avoir cette relation très proche.
J.L : On est obligé d'être d'accord surtout ! Parce que si moi, sur une touche, je ne veux pas faire ce qu'il veut faire derrière, c'est difficile de jouer au rugby ! On est obligés d'être un peu fusionnels quand même.
Top 14 - Frédéric Charrier était déjà l'adjoint de Christophe Urios en 2013, à Oyonnax.
Top 14 - Frédéric Charrier était déjà l'adjoint de Christophe Urios en 2013, à Oyonnax. Manuel Blondeau / Icon Sport
Tel un couple, vous arrive-t-il de vous agacer ?
J.L : Bien sûr, cela fait toute la différence ! Si un staff est mielleux, tout sourire, cela veut dire que par derrière, l'un crache sur l'autre. Cela ne peut pas marcher car ce n'est jamais tout rose toutes les semaines. Fred et moi, avec beaucoup de respect, on est capable de se dire : "non, je n'ai pas envie de faire comme ça ou oui, j'ai envie de faire comme ça". Mais après, il faut aussi qu'on aille dans le sens du jeu, de l'équipe et surtout de la performance de l'équipe. Parce qu'on est là juste pour ça. On ne travaille pas l'un pour l'autre.
Hors du terrain, partagez-vous des moments ensemble ?
J.L : On est toute la journée ensemble, alors si en plus on dit à nos femmes que le dimanche midi on mange tous les deux, c'est injouable ! Sinon, on a joué une fois au padel ensemble, mais Fred est très mauvais perdant, je ne suis pas très bon, et il en a vite eu marre de jouer avec moi ! (rires).
F.C : Pas de commentaires !
Comment gérez-vous les critiques sur le jeu de lASM qui sont envoyées par certains supporters sur les réseaux sociaux ?
F.C : On fait les mêmes constats, notamment sur les mauls et la partie offensive. On s'est posé la question de savoir pourquoi on n'était pas assez performant et pourquoi on ne jouait pas bien au rugby. Après, il y a beaucoup de choses qui ont été dites. Pour ma part, je ne lis pas les réseaux sociaux. Et dans ces moments-là, il faut se concentrer sur le job, pas sur ce qui est dit. Par contre, il y a des parts de vérité, et on continue à faire notre boulot le mieux possible pour retrouver des résultats.
J.L : Il faut accepter d'être jugé et critiqué. Mais il faut prendre beaucoup de recul par rapport à cela parce que souvent, ceux qui jugent ne sont pas forcément des spécialistes, mais il y a aussi des supporters qui ont l'ASM dans le sang. Comme dit Fred, il y a des vérités que nous voyons et on passe des journées et des nuits à y travailler pour améliorer cela. Après, il y a des critiques qui touchent plus à l'homme, la famille et qui sont plus difficiles à accepter. Si vous commencez à construire votre job sur la critique d'Instagram et de Facebook, il y a peu de chances que vous avanciez.
Dans vos domaines respectifs, quel est le plus grand axe de progression sur vos deux prochaines années ?
J.L : La défense doit passer un cap à Clermont. Il y a eu des phases d'amélioration, mais on est trop sur courant alternatif. On a pris des essais beaucoup trop facilement, et on passe encore par des matchs où il faut marquer 40 points parce qu'on en a pris 30. On n'est pas une équipe assez consistante. Dans les années qui arrivent, l'ASM doit être une équipe beaucoup plus difficile à battre que ce qu'elle ne l'est aujourd'hui. La défense est un état d'esprit.
F.C : Faire en sorte que nos joueurs s'approprient le projet et ne soient pas là juste pour réciter. J'espère qu'il y aura une évolution. L'année prochaine, il y aura les nouveaux leaders d'attaque ou de jeu, donc j'espère qu'ils vont ramener cela et que les jeunes vont continuer aussi à progresser.
Julien Laïrle était quant à lui de manager de Soyaux-Angoulême entre 2013 et 2019.
Julien Laïrle était quant à lui de manager de Soyaux-Angoulême entre 2013 et 2019. Manuel Blondeau / Icon Sport
Pour être clair, quelle est la philosophie de jeu de Clermont aujourd'hui ?
F.C : Elle dépend toujours des joueurs. Bordeaux-Bègles n'a pas la même ligne de trois-quarts que Clermont. Il y a plus de puissance ici et plus de vitesse là-bas. La qualité du jeu au pied est aussi différente. Donc les forces et les faiblesses sont différentes. En tant qu'entraîneur, c'est bien d'avoir des philosophies, de vouloir jouer d'une certaine façon, mais on est là pour gagner les matchs. Donc on doit adapter notre projet de jeu au profil de joueurs que l'on a. Si on veut pratiquer un rugby mais qu'on n'est pas capable de le faire, c'est voué à l'échec. Vouloir jouer comme Toulouse ou les All Blacks est un idéal. Mais est-ce que nous avons les joueurs capables de faire ce jeu ? Quel est le type de rugby qu'on va faire, où les joueurs se sentent bien, sont les plus efficaces, et qui vont nous permettre d'avoir les meilleurs résultats possibles ? C'est cela qui est important.
Un mot sur le recrutement. Quest-ce qui vous plaît dans les choix de joueurs pour la saison 2025-2026 ?
F.C : Alivereti Loaloa arrive avec un profil différent de ce qu'on peut avoir aujourd'hui. Harry Plummer est un joueur qui a de l'expérience, capable de bien animer avec de la qualité technique sur le pied et à la main. On espère qu'il va être capable de nous amener un peu plus de fluidité dans le jeu. Ce sont des profils que l'on n'avait pas.
Au niveau du staff plusieurs renforts sont attendus. Était-ce nécessaire pour que vous puissiez poursuivre sereinement vos missions ?
J.L : L'évolution du staff est d'abord due au départ de Ian Vass qui partira au Stade français. Christophe a fait le choix de s'appuyer sur François Gelez qui est déjà au club (N.D.L.R : co-entraîneur des Espoirs) pour vraiment s'approprier la technique du jeu au pied, plus que la stratégie. Moi, en tant que responsable de la défense, je vais récupérer cette dimension stratégique. Après, la venue d'un spécialiste de la mêlée, Alexandre Castola, est significative puisqu'aujourd'hui, il n'y avait pas de spécialiste dans le club, que ce soit au niveau des Espoirs et de la formation. On a pris le parti de me délester un peu de la conquête. Il va nous rejoindre dans un travail spécifique de la mêlée avec les joueurs de première ligne notamment, et surtout un travail de formation, de nos Espoirs jusqu'aux cadets.
Espérez-vous, un jour, devenir entraîneur principal dune équipe ?
F.C : Je ne sais pas si c'est un objectif, mais je ne me ferme aucune porte. Cela fait un petit moment que je suis entraîneur adjoint et je prends du plaisir là-dedans. Maintenant, j'ai pu acquérir un certain nombre d'expériences depuis ces années et les différents projets qui ont été montés. Là, j'ai deux saisons à travailler à Clermont en tant qu'adjoint. On verra dans deux ans où j'en suis.
J.L : Je l'ai déjà été pendant six ans à Soyaux-Angoulême (2013-2019), j'ai beaucoup aimé. L'envie d'y revenir un jour est là. Après, comme Fred aujourd'hui,j'ai resigné deux ans en tant qu'entraîneur adjoint, avec des spécificités, avec l'envie de continuer à coacher sur le terrain, d'être au contact très proche des joueurs sur le plan technique et stratégique. Je suis resté là pour être l'adjoint de Christophe et c'est la seule chose qui m'anime aujourd'hui. Mais on ne décide pas d'être manager. Je pense qu'on tombe sur un projet intéressant, on nous sollicite, et la fragilité de notre Top 14 et de la Pro D2 font qu'on peut vite se brûler les ailes. Notre concentration, elle est surtout sur nos deux ans de contrat avec ce projet ambitieux qu'est l'ASM où on prend beaucoup de plaisir dans un club avec une atmosphère très particulière. On a des objectifs importants dans un club très ambitieux donc il faut se concentrer surtout sur notre job.
Merci.
Si long, mais pourtant tellement vide..
Les attaques aux personnes, je nen ai pas vu ici.
- Sushi aime ceci
#14768
Posté aujourd'hui, 06:54
On est tous d'accord là dessus.
Mais c'est quoi le projet derrière? Le catalogue des lancements de jeu est désespérément vide, le jeu ai pied minable...
Avec un minimum de boulot cette année là dessus, juste un peu quoi... on aurait plié les matchs qu'on devait plier serait 4e sans doute .
Ils nous endorment avec le combat. La plaie béante elle est derrière.
#14769
Posté aujourd'hui, 07:00
Ils sont bien dans la lignée de Urios. Exactement le même discours, c'était la merde, on a tout reconstruit et vous allez voir les gars.
Sauf que la ça fait 2 ans plus que moyennasse et on se donne encore 2 ans...
On verra, peut-être que l'équipe sera transfiguré au mois d'août, j'aimerais en tout cas.
C est exactement ça. Toujours la même rengaine. On dirait des hommes politiques qui se justifient en disant que « la dette c est la faute des élus davant).
Dans leur argumentation, le constat d'absence de combat sans les taches sombres est juste. Mais ça tout le monde le sait. C'était parti en couille, jusque dans la discipline et l hygiène de vie hors terrain.
On est tous d'accord là dessus.
Cétait ? Parceque laffaire Fritz Lee cétait avant leur arrivée ?
- Buckaroo aime ceci
#14770
Posté aujourd'hui, 08:16
Mais quand même logique que de faire un projet selon les qualités et caractéristiques des joueurs à disposition.
Mais non, le rugby pro c'est comme football manager...
Ou alors on recrute selon le projet, c'est pas illogique non plus.
Un peu comme "on a pas un jeu au pied long parce qu'on a pas de joueur avec un gros coup de pieds mais de toute façon c'est pas notre jeu."
Parfois difficile de s'y retrouver dans ce discours sans faille.
Sur le principe oui...mais faut les remplacer les Raka, Moala, Simone and co...ça se fait, mais pas d'un coup de baguette magique...
#14771
Posté aujourd'hui, 08:27
Le jour où Urios et ses experts déclareront s'être, ne serait-ce qu'un peu, trompé, parfois pas tout le temps oh lala on n'en demande pas tant !, je pense qu'il y a un paquet de critiques que l'on entendra plus.
Parce que les sempiternelles excuses sur la situation récupérée, ou le "on fait avec les joueurs que l'on a" après avoir dit "les joueurs que je voulais, je les ai eus", c'est totalement inaudible.
- cocotte 63 et nelsTDM63 aiment ceci
#14772
Posté aujourd'hui, 08:35
Je pense comme Steph, au bout d'un moment, entendre tout et son contraire pour des suiveurs assidus comme nous autres, c'est très lassant, et cela nous donne l'impression d'être pris pour des imbéciles.
Après, du moment que CU était prolongé, c'était logique que ses deux proches adjoints poursuivent l'aventure encore deux ans. Heureusement, qu'ils croient en leur travail et projet, vu qu'ils ont le nez dedans XX heures par semaine, on leur souhaite évidemment de réussir.
Mais par pitié, arrêtez avec les promesses, les excuses, et de prêcher la vérité qui vous arrange !
Une fois de plus les prolongations, les départs, les recrutements, les compos, les choix de jeu etc... c'est vous et rien que vous, ni Gibbes, ni Azéma... et le club il vous donne le max de ce qu'il peut, donc 10.5/11 millions d'euros par an de masse salariale !
Northampton, ils ont 7 millions, et niveau jeu/ambition de jeu/structure de jeu, il y a deux/trois trucs qui différent avec nous, sans parler de copier les copaings, on peut aussi s'inspirer des autres... sans vouloir toujours la ramener au AB ou au GRAND Stade Toulousain.
- Toorop, Silhouette, Yosky et 2 autres aiment ceci
#14773
Posté aujourd'hui, 08:40
Interview où on n'apprend pas grand chose si ce n'est qu'ils sont là pour encore 2 ans. J'ai l'impression que le fait de le répéter marque que ce message leur a été passé à la prolongation : leur place n'est pas assurée pour toujours, ils ne sont pas immuables.
Je lis quand même qu'il y a (eu) de la remise en question et que certaines choses ont du être sacrifiées (non prolongation de certains, jeunes joueurs non essayés, non recrutement de tops joueurs) pour alléger la cariole.
Ils ont l'air conscients que beaucoup de choses restent à faire et la réorganisation du staff semble soutenir ces ambitions (jeu au pied, défense, stratégie, attaque).
#14774
Posté aujourd'hui, 08:43
C est exactement ça. Toujours la même rengaine. On dirait des hommes politiques qui se justifient en disant que « la dette c est la faute des élus davant).
Cétait ? Parceque laffaire Fritz Lee cétait avant leur arrivée ?
Cette affaire, si elle fait tâche, il ne faut pas non plus la monter en épingle. Ce dont parle Tekilapaf et que Zach a confirmé maintes et maintes fois, ce sont les abonnements au Del Sol qui voyait défiler des joueurs quasiment tous les jours jusqu'à la fermeture. ça, c'est terminé et c'est tant mieux. Je pense qu'Urios a rapporté du professionnalisme dans le club. On peut critiquer le jeu, la comm sportive, la gestion du 10, celle des jeunes ou de notre papy argentin. On peut tout critiquer mais une chose pour moi est certaine : Urios attend que l'institution ASM et le maillot soient respectés par tous. Je le crois extrêmement sincère sur ce point et je pense que ceux qui ne le montrent pas assez le paye assez cher. Donc oui, il a au moins remis sur ce point l'église au milieu du village et il était temps !
- Jean Paul Belmondo aime ceci
#14775
Posté aujourd'hui, 08:47
Mais non, le rugby pro c'est comme football manager...
Sur le principe oui...mais faut les remplacer les Raka, Moala, Simone and co...ça se fait, mais pas d'un coup de baguette magique...
Non mais, sauf hallucinations de ma part, sans remplacer ces joueurs là, ils en ont bien pris d'autres, des joueurs, en trois campagne de recrutement consécutives ? Sans parler des purges.
Du coup, comment expliquer que tu fais avec ce que tu as sous la main, et que tes joueurs limitent ton ambition ?
Mais moi j'adore, hein, il faut pas se méprendre. Et le jeu et la com'. Je trouve qu'on est vraiment en phase avec l'époque, peut-être même un peu en avance, niveau testostérone et rapport à la vérité.
- cocotte 63 aime ceci
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