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314 réponses à ce sujet

#166 Le vieux Tullois

Le vieux Tullois

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Posté 10 avril 2024 - 07:12

Tu es sûr que c'est Michel Vannier ?... Il me semble bien reconnaître André Boniface ! 

Tu plaisantes ? .... Sur mon journal papier comme sur la version numérique que je reçois par internet chaque jour en tant qu'abonné ... il n' y a aucun doute ... Anfré Boniface et Michel Vannier ne se ressemblaient pas du tout .... évidemment si la photo de Vannier était celle du Vannier en fin de carrière au crâne très dégarni ... ce serait encore plus clair ...



#167 ELSAZOAM

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Posté 10 avril 2024 - 07:23

Tu plaisantes ? .... Sur mon journal papier comme sur la version numérique que je reçois par internet chaque jour en tant qu'abonné ... il n' y a aucun doute ... Anfré Boniface et Michel Vannier ne se ressemblaient pas du tout .... évidemment si la photo de Vannier était celle du Vannier en fin de carrière au crâne très dégarni ... ce serait encore plus clair ...

Ce matin La Montagne publie la photo suivante, qui reconnais-tu dessus ?!...

 

A. Boniface.png



#168 Le vieux Tullois

Le vieux Tullois

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Posté 10 avril 2024 - 07:45

Ce matin La Montagne publie la photo suivante, qui reconnais-tu dessus ?!...

 

attachicon.gifA. Boniface.png

Je suis désolé mais ce n'est pas parce que le type qui a collé cette photo sur un site internet a écrit "André Boniface"  sous la photo que  c'est la vérité ...

Si tu cherches des photos de Vannier sur internet tu verras que c'est la photo de Vannier ... il est très jeune sur la photo mais il a déjà le front d'un futur chauve avec les deux profondes échancrures de chaque coté de la tête et Dédé Boniface n'avait pas du tout la même implantation capillaire ...

 

j'espère que mes arguments ne sont pas trop .. capillo-tractés :D


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#169 Gourine63

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Posté 10 avril 2024 - 08:40

C'te conversation de ménagères. :P
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#170 ELSAZOAM

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Posté 10 avril 2024 - 09:08

Je suis désolé mais ce n'est pas parce que le type qui a collé cette photo sur un site internet a écrit "André Boniface"  sous la photo que  c'est la vérité ...

Si tu cherches des photos de Vannier sur internet tu verras que c'est la photo de Vannier ... il est très jeune sur la photo mais il a déjà le front d'un futur chauve avec les deux profondes échancrures de chaque coté de la tête et Dédé Boniface n'avait pas du tout la même implantation capillaire ...

 

j'espère que mes arguments ne sont pas trop .. capillo-tractés :D

Sur la photo de LM (que j'ai postée), regarde bien l'expression du regard et du bas du visage, compare tout ça avec une "vraie" photo de Dédé Boniface et tu me diras ce que tu en penses...

Allez, je suis bon prince et je te mets deux photos de Dédé Boniface (celle de LM de ce matin où il est jeune et une autre où il est bien plus vieux), peut-être que tu y verras une ressemblance !

Sur ce, bonne journée...

 

A. Boniface.png   Boni.jpg

 

Ci-dessous Michel Vannier :

 

M. Vannier.jpg



#171 ELSAZOAM

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Posté 10 avril 2024 - 09:23

C'te conversation de ménagères. :P

On va en arriver au crépage de chignons...    :wife:  :engueule:  :totoche:



#172 Y&B

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Posté 10 avril 2024 - 09:59

On va en arriver au crépage de chignons...    :wife:  :engueule:  :totoche:


Ouais, surtout que sur la photo, c’est Mick Jagger … :)
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#173 ELSAZOAM

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Posté 10 avril 2024 - 10:10

Ouais, surtout que sur la photo, c’est Mick Jagger:)

Tiens d'ailleurs, il n'a pas un frère ou un cousin qui s'appelle Paul ?...

SI oui, ça fait Paul et Mick !   ^_^ Ça va bien avec ce qui précède je trouve...   :innocent:


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#174 Obivannes

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Posté 10 avril 2024 - 14:35

Ce matin La Montagne publie la photo suivante, qui reconnais-tu dessus ?!...

 

attachicon.gifA. Boniface.png

 

put.......on dirait benabar.......



#175 Le Marseillais

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Posté 11 avril 2024 - 20:25

OJ Simpson est mort à l'age de 76 ans.

L'assassin acquitté le plus célèbre de l'histoire judiciaire américaine.



#176 Le vieux Tullois

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Posté 11 avril 2024 - 20:46

OJ Simpson est mort à l'age de 76 ans.

L'assassin acquitté le plus célèbre de l'histoire judiciaire américaine.

Plus célèbre mais moins nombreux que les innocents passés à la chaise électrique !!! 


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#177 el landeno

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Posté 15 avril 2024 - 16:19

Cadrage-débordement, passe croisé : l'héritage d'André Boniface au rugby français Pour comprendre comment André Boniface, inhumé lundi, a inspiré des générations de joueurs avec ses cadrages-débordements et ses passes croisées, voici l'histoire de Gilles Delaigue, adorateur qui a transmis le style « Boni » à son fils Yann, avant de voir le maître l'adouber.

 
 

Quand Antoine Dupont a lâché une chistera croisée à l'aveugle face à Bordeaux-Bègles, le 24 mars dernier (31-28), le commun des passionnés a applaudi. D'autres y ont vu un bout de leur vie et pensé, comme Yann Delaigue (51 ans) : « C'est beau, ça marche encore. » Ces passes de funambule étaient la marque de fabrique de celui qu'on surnommait « le petit Mozart », presque son obsession. « J'en faisais une ou deux par match, j'en abusais peut-être un peu, même », s'amuse-t-il.

 
 

C'est avec le souvenir de cette lubie pour les ballons délicatement soulevés dans son dos qu'on l'a appelé mardi dernier. André Boniface venait de mourir, tous les articles évoquaient sa passion de la passe croisée, et on s'était dit que ça valait le coup de faire raconter ce geste mythique à ses adeptes. On ne se doutait pas alors qu'on s'apprêtait à ouvrir un grand livre d'histoires.

À l'évocation du nom de « Boni », Yann Delaigue a parlé d'un vieux maillot jaune et noir et d'une visite dans un magasin avec son père Gilles. Gilles a raconté la place du village quand il était enfant et une passe croisée malheureuse avec Jo Maso. Jo a évoqué une première rencontre avec l'idole de sa jeunesse, et plus tard des discussions dans un café de Saint-Germain-des-Prés. En écoutant ces trois anciens joueurs, tous trois-quarts centres et internationaux, on a deviné l'aura d'André Boniface mais aussi quelque chose de plus universel : comment un héritage se construit et se transmet, parfois même sans un mot.

Comment, avant même la généralisation des matches à la télé et les highlights sur les réseaux sociaux, un génie landais a engendré deux Delaigue, un Maso, mais aussi des Denis Charvet ou des Thomas Castaignède, qui ont raconté la même histoire de filiation ces derniers jours. Il était une fois André Boniface, des passes croisées et des vies qui s'entremêlent.

 
 
1. Naissance d'une religion

Dans la région de Vienne (Isère), à l'époque de la jeunesse de Gilles Delaigue, le héros local s'appelait Jacky Bouquet. Un trois-quart centre racé, qui a porté 34 fois le maillot de l'équipe de France entre 1954 et 1962. Mais la famille Delaigue était d'une autre église. « Jacky Bouquet, c'était plutôt des qualités individuelles, glisse poliment Gilles. On préférait les Boni. » André et Guy Boniface, icônes de la passe croisée, cette action jouée à deux et faite pour des frères, tant elle nécessite de complicité. Sur de vieilles photos, on voit comment le duo opérait pour duper ses adversaires : André qui dirige sa course vers l'extérieur pour amener son défenseur vers lui ; Guy qui attend que le défenseur ait complètement mordu pour repiquer à l'intérieur ; et André qui lui lâche le ballon dans l'espace vide d'une passe que l'on devine à une main.

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11 novembre 1962, Roumanie-France à Bucarest. André Boniface tente un cadrage-débordement sur son vis-à-vis... (L'Équipe)
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...et, une fois son adversaire attiré, lâche le ballon en croisée d'une passe à une main vers son frère Guy. (L'Équipe)

Ces images ont fait l'éducation au rugby de Gilles Delaigue. Les jours de match international, devant la télé, il enregistrait tout dans sa tête et dans son corps. « Après, on allait jouer sur la place du village, à Pont-Évêque, et on faisait des cadrages-débordements et des passes croisées avec les arbres comme défenseurs. Petit à petit, le geste venait. » Il fallait reproduire la technique, mais aussi le style. « André était majestueux, élégant, avec le buste droit. On voulait jouer comme ça. On n'était pas majoritaires à l'époque. Mais c'était comme une religion. Oui, c'est le mot : une religion. »

Et puis un jour, Dieu est apparu. À Vienne, en visite avec le Stade Montois. Il a même regardé les cadets du club, menés par Gilles Delaigue, lors du match de lever de rideau. « Un copain m'a rappelé cette anecdote ces derniers jours, sourit le papa Delaigue. En me voyant, avec les autres, Boni a dit : c'est incroyable comme ils jouent, qui sont ces petits ? » Des mimes adorateurs.

2. Les disciples et la croisée malheureuse

23 décembre 1973. André Boniface a raccroché les crampons. Le Tournoi approche et Gilles Delaigue, alors tout jeune international (2 sélections en octobre et novembre 1973), centre prometteur du RC Toulon, est convoqué pour un match de sélection à Toulouse : les possibles contre les probables. Il se retrouve chez ces derniers, associé au centre à Jo Maso. Les deux joueurs vouent le même culte à « Boni ». Maso, qui a rencontré le maître en marge d'un jubilé à Toulon dix ans plus tôt, en est même devenu l'ami et le disciple. « Quand j'étais au Bataillon de Joinville et que Dédé montait à Paris, on se retrouvait dans un café à Saint-Germain-des-Prés, il me parlait de rugby », lâche Maso au milieu de mille souvenirs.

Dans ces discussions, il est évidemment question de cadrage-débordement et de passe croisée, gestes dont Boniface avait lui-même hérité du Bayonnais Jean Dauger. « Il me donnait des conseils, dit Maso. C'est lui qui m'a permis de faire des passes croisées. À l'entraînement, après, je prenais deux partenaires, et on répétait. On travaillait pour les réussir avec chaque main, pour saisir quel était le bon moment pour lâcher le ballon. »

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France-Angleterre 1972. Jo Maso, ballon en mains, et Jean-Pierre Lux amorcent une « croisée ». (L'Équipe)

Sur le terrain, face à la paire dacquoise Jean-Pierre Lux - Claude Dourthe, Maso et Delaigue essaient de faire triompher leur école. « À un moment, je dis à Jo : "Allez, on en croise une." Mais on n'avait pas l'habitude de jouer ensemble. Il me l'a donné un peu trop tôt, ou je suis venu un peu trop tard, le ballon est tombé. " Le Chameau" (Dourthe) a tapé dedans et il est allé marquer. Ça nous a coûté cher. » La réaction de Jo Maso dans L'Équipe raconte une école de pensée dont André Boniface était le maître. « Il faut accepter les risques, sinon ce n'est pas la peine de jouer. Pour obtenir certaines choses dans le jeu d'attaque, il faut en passer par là. »

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23 décembre, match de sélection entre les « probables » et les « possibles » pour le Tournoi à venir. Gilles Delaigue sert Jo Maso. (L'Équipe)

Dans son jugement des joueurs, le lendemain du match, le journaliste de L'Équipe Jean-Jacques Simmler approuve : « On ne saurait leur reprocher une croisée malheureuse ». Pas forcément l'avis des sélectionneurs : ni Delaigue ni Maso ne seront retenus pour le Tournoi. Et ils ne reviendront jamais en Bleu. Mais il aurait fallu plus que ça pour qu'ils renoncent à leur religion.

3. L'éducation d'un fils

Yann Delaigue est né quelques mois avant la passe croisée ratée entre son père et Jo Maso. Mais on lui a raconté cette histoire maudite. Comme son papa, ça ne l'a jamais freiné sur le terrain. Il pratiquait même la plus risquée des « croisées », sa version aristocratique, celle des « Boni » : « À une main, dans le dos, sans se tourner vers le partenaire ». Du temps où il jouait à Toulouse, ça ne plaisait pas toujours à son manager Guy Novès. « Il me disait : "Regarde à qui tu fais la passe." Mais justement, non, je ne voulais pas. Parce que le rugby, c'est ça : feinter, amener l'adversaire d'un côté, et jouer à l'opposé. » Le père abonde : « Je n'aurais pas voulu qu'il se tourne. Et si je l'avais vu faire, je lui aurais dit : "T'as oublié quelque chose derrière toi ?" Se tourner, c'est pas la maison Delaigue. » Car ce n'est pas ce que les « Boni » faisaient dans le poste de télé.

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Gilles Delaigue lors de sa deuxième sélection en équipe de France, le 11 novembre 1973 face à la Roumanie. (L'Équipe)

C'est dans cette ambiance de vénération et d'exigence qu'a été élevé Yann Delaigue. Même si les Landes étaient loin et que le merchandising n'existait pas, son premier maillot de rugby a été celui du Stade Montois, retrouvé récemment par sa mère. « Je me revois aussi clairement, à 7-8 ans, dans le magasin de sport d'André, alors qu'on était en vacances à Mont-de-Marsan chez Patrick Nadal (ancien centre montois, lui aussi héritier des" Boni") », glisse-t-il.

Et puis il y avait l'essentiel : le terrain. Dès l'âge du premier ballon de rugby, et jusqu'à ce que le fiston aille trop vite, Gilles a délivré au fiston sa science de la passe et du cadrage-débordement à travers des entraînements dans le jardin familial. Pour la « croisée », la transmission s'est faite sans parole. « J'ai appris par mimétisme, dit Yann. En regardant jouer mon père et en refaisant ses actions, c'est devenu instinctif. » Toujours à une main, et sans se retourner.

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France-Galles 2005 : Yann Delaigue envoie une passe croisée à Julien Laharrague, à une main et sans tourner les épaules. (P. Boutroux/L'Équipe)
4. La lettre d'adoubement

En mars 1994, Yann Delaigue reçoit sa première convocation en équipe de France. Dans L'Équipe, quelques jours avant le déplacement en Écosse, le journaliste Francis Deltéral décrit un joueur « à l'allure de toréro », qui « aime provoquer jusqu'à risquer le coup de corne avant de donner le ballon ». Deux photos accompagnent l'article : à droite, Yann, buste droit ; à gauche, Gilles, buste droit aussi, que Deltéral raconte en « amoureux de rugby d'attaque, de passes sur un pas, de cadrages-débordements ».

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Article publié dans L'Équipe du 15 mars 1994, quelques jours avant la première sélection en équipe de France de Yann Delaigue.

Au même moment, un courrier arrive au domicile de la famille Delaigue. Le papa l'ouvre. C'est signé André Boniface. Gilles appelle son fils pour lui faire la lecture. Ni l'un ni l'autre n'ont oublié les mots. Yann : « Il écrivait qu'à ses yeux, j'appartenais à la race des attaquants, à la même famille que lui, Jo (Maso), Codor (Didier Codorniou), raconte Yann. Il me disait que ce ne serait pas simple, que je serais critiqué parce que plein de gens préfèrent l'efficacité à ce qui est beau, mais qu'il fallait continuer à jouer comme ça. Ça m'avait vachement touché, parce que" Boni", c'était le rugby, et il me disait que j'appartenais à sa caste. » Au souvenir de cette lettre, Gilles Delaigue sourit : « Yann était devenu ce que je voulais qu'il soit. » Il était une fois André Boniface, un père adorateur et son fils adoubé par l'idole.



#178 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 15 avril 2024 - 18:34

RIP les Exeter Chiefs. C'était une belle équipe. Dommage.



#179 Underscore

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Posté 15 avril 2024 - 21:02

RIP les Exeter Chiefs. C'était une belle équipe. Dommage.

Eux, ils pourront ressusciter...

Comme l'ASM ? Oohh :crying:



#180 Arverne03

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Posté 16 avril 2024 - 10:18

RIP les Exeter Chiefs. C'était une belle équipe. Dommage.

 

Oui ! l'ULSTER aussi il n'y a pas si longtemps !  B)






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