72 réponses à ce sujet

[RCV06]

Ouais ben mon hôte creusois a acheté au marché de Felletin du Saint Nectaire AU LAIT DE SALERS !

 

Eh bien c'est goûtu, j'aime assez !

Je ne suis pas sur que ce soit très réglementaire

[RCV06]

Ouais ben mon hôte creusois a acheté au marché de Felletin du Saint Nectaire AU LAIT DE SALERS !

 

Eh bien c'est goûtu, j'aime assez !

 

Ça marche bien évidement pour la Creuse dans son ensemble

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Je ne suis pas sur que ce soit très réglementaire

l'appellation saint nectaire fait saliver jusque dans les vertes mers du Cantal. le saint nec de Salers existe bien, confidentiel. c'est un truc de parigot qui se négocie la peau du cul sur Paname. Aller traire les vaches dans l'estive en apportant le veau pour que la vache cligne bien des yeux comme si elle regardait un cad déb de Tony Marsh, avant de trimballer le lait et transformer, c'est un truc de bénédictin. les vocations sont rares, beaucoup plus que pour s'envoyer le beurre d'estive au goût de réglisse et de noisette en voyant rouge.

[Parigot_Paris]

Bon, je prépare une réponse cinglante mais jai pas pris mon café.

[ELSAZOAM]

Je ne suis pas sur que ce soit très réglementaire

Si, c'est réglo !

On fait du St-Nectaire (AOP) avec du lait issu du lait de la race Salers, mais pas à... Salers !

La carte AOP St-Nectaire est bien définie et si quelqu'un en fait en dehors de cette zone, ce n'est pas du St-Nectaire bien qu'il soit tout aussi bon...

Les producteurs élèvent des vaches Salers dans le Puy de Dôme aussi !

[Alex chocolatines]

Si, c'est réglo !

On fait du St-Nectaire (AOP) avec du lait issu du lait de la race Salers, mais pas à... Salers !

La carte AOP St-Nectaire est bien définie et si quelqu'un en fait en dehors de cette zone, ce n'est pas du St-Nectaire bien qu'il soit tout aussi bon...

Les producteurs élèvent des vaches Salers dans le Puy de Dôme aussi !

C'est clair comme les comptes de la fédé sous l'empereur Laporte premier 

[Jesus Hans Hubert Vorme]

C'est clair comme les comptes de la fédé sous l'empereur Laporte premier 

Un auvergnat peut mettre une bachole de biffetons sur la table quand il est en affaire, mais pour le reste, il est d'une discrétion de chasseur alpin en tenue blanche caché dans le brouillard d'un paysage enneigé.

[Parigot_Paris]

-       Qui t’es toi, et qu’est-ce que tu fous sur le terrain ? grogna Christophe Urios qui se réveillait un brin chafouin d’une murge carabinée.

-       Ca n’est pas le terrain mais ton lit, je suis ta femme et depuis vingt-cinq ans tu poses la même question chaque fois que tu bois la veille ! répliqua celle qu’il avait choisie pour sons sens de la répartie.

-       Ah. Bon. Bien. Certes. Mon amour ? Je veux bien un café. Serré.

 

Une fois habillé, rasé au mieux par Yvan Béal, la motoculture de plaisance, Christophe Urios se gratta longuement l’entrejambe, perdant ses doigts dans une intimité qui aurait fait passer la jongle de Sumatra pour un jardin à la française. (piqué à Frédéric Dard, je connais mes maîtres).

 

-       Pas trop de fonte ni de cardio, songea-t-il, aujourd’hui ils vont bouffer du rugby jusqu’à ce que les mauviettes pleurent et que les vrais durs leur enfoncent la tronche dans la pelouse. Car j’aime les durs.

 

Se retenant de péter pour ne pas indisposer Madame, Urios enfila son haut de survêtement, entra dans sa Nissan toutes options sponsorisée par l’amicale Chamaliéroise du Porc à l’Ancienne, péta dans un bruit de fin du monde, puis se dirigea vers les terrains d’entraînement, toutes fenêtres ouvertes pour des raisons trop longues à expliquer ici.

 

Un fan à la tignasse en broussaille, aux dents du bonheur et à la peau problématique l’attendait à la porte, sous le regard circonspect d’un vigile d’un quintal et demi.

 

-       Laisse, Boubakar, c’est un supporter, dit Urios en souriant au jeune inconnu. Où est-ce que tu veux que je signe petit ? ajouta-t-il, confiant dans le fait que l’acné n’est pas contagieuse.

-       Aille  ame notte euh supporterre. Aille ame Aymeric, ail have quatorze ans ènde aille supporte Glou sesterces bicoze ail ame britiche ! Ende il vous lance un défi !

-       Ben dis-donc pour un Brit, tu fais plutôt récent de naturalisation, non ? Tu m’as l’air plutôt fait pour traire les meuh-meuh que pour mettre un nuage de leur lait dans ton thé ! Allez, jeune puceau, retourne voir ta maman !

La suite quand j’aurai fini ma journée de travail sur mon ouvrage majeur.

[Alex chocolatines]

Mon Parigot, c'est croustillant comme une chocolatine sortie du four 

 

J'attend la suite avec impatience, j'espère que vont rentrer en scène : Juuuuuuules, Benrrrrrrrrrrrramine, peut etre Rabounet ? Quelques guest venues d'autres clubs ? 

 

Enfin bref, continue de me régaler avec ton feuilleton de l'été 

[Parigot_Paris]

Christophe Urios, convaincu par sa troisième cannette de Jeanlain d’aller faire un tour aux cabèches, se dirigea vers celles des vestiaires domicile en fredonnant une chanson tant mélodieuse que poétique :

 

Dans les prisons de Lon-on-ondres

Ya des morpions qui m’emmerdent la nuit

Sans bruit

Dans les prisons de Lon-on-on-dres

Y avait un prisonnier, la pine au cule et les couilles pendantes

Y avait un prisonnier, la pine au cul, bien enfoncée !

 

Il détendit son tuyau personnel et commença à s’exécuter, toujours fredonnant, quand il croisa le regard d’un inconnu.

 

-       T’es qui toi ? Qu’est-ce que tu fous dans nos vestiaires ? Dégage avant que j’appelle la sécurité !

 

Réalisant qu’il parlait à son reflet dans le miroir des toilettes, il remballa son fusil à un coup et se remit à fredonner.

 

Personne ne l’alla voir-a-a-reuh

Ya des morpions qui m’emmerdent la nuit

Sans bruit

Personne ne l’alla voir-a-a-reuh

Sauf la fille du geôlier

La pine au cule et les couilles pendantes

Sauf la fille du geôlier

La pine au cul, bien enfoncée !

 

Arrivant au terrain, Urios tenta de reconnaître ses joueurs pour éviter une nouvelle bourde. Avisant un être court sur pattes et vêtu d’un costume trois pièces, Christophe Urios ne put retenir un juron.

 

-       Cré bon soir eud’toucher d’bœufs ! T’es qui toi-là-bas avec le costume à une plaque ! Tu te crois à la foire aux occases chez Citroën ?

-       Bonjour M. Urios, Rabah Slimani, de Slimani immobilier : achat, location, logements et commerces, ne loupez pas notre semaine « ouragan sur les pas de portes », avec la clientèle néo-rurale, je vous vois bien à la tête d’un magasin de vapotage. Le CBD marche fort chez les néo-ruraux du plateau de Millevaches ! Tenez !

-       Kesseucé ?

-       Un prospectus : le rêve en quadrichromie ! Car vous rêvez d’un chalet d’altitude au soleil du Sancy, pas vrai ?

-       Euh pas vraiment et… ET TU VAS TE FOUTRE EN TENUE DARE-DARE AVANT QUE JE TE METTE MES CRAMPONS AU CUL ! Raouste !

-       Si vous y tenez, mais n’oubliez pas notre site web ! lebonheurenauvergne.com ! dit Rabah qui esquiva de justesse une grosse baffe.

 

Bon, se dit Urios in petto, on va pouvoir commencer !

[Parigot_Paris]

Up. Pourquoi me direz-vous ? Parce que !

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Up. Pourquoi me direz-vous ? Parce que !

La montagne va vouloir diffuser ton feuilleton.

[Parigot_Paris]

La montagne va vouloir diffuser ton feuilleton.

Comme dirait un défunt Président de la République : euffff pourquoi pas ?

[RCV06]

-       Qui t’es toi, et qu’est-ce que tu fous sur le terrain ? grogna Christophe Urios qui se réveillait un brin chafouin d’une murge carabinée.

-       Ca n’est pas le terrain mais ton lit, je suis ta femme et depuis vingt-cinq ans tu poses la même question chaque fois que tu bois la veille ! répliqua celle qu’il avait choisie pour sons sens de la répartie.

-       Ah. Bon. Bien. Certes. Mon amour ? Je veux bien un café. Serré.

 

Une fois habillé, rasé au mieux par Yvan Béal, la motoculture de plaisance, Christophe Urios se gratta longuement l’entrejambe, perdant ses doigts dans une intimité qui aurait fait passer la jongle de Sumatra pour un jardin à la française. (piqué à Frédéric Dard, je connais mes maîtres).

 

-       Pas trop de fonte ni de cardio, songea-t-il, aujourd’hui ils vont bouffer du rugby jusqu’à ce que les mauviettes pleurent et que les vrais durs leur enfoncent la tronche dans la pelouse. Car j’aime les durs.

 

Se retenant de péter pour ne pas indisposer Madame, Urios enfila son haut de survêtement, entra dans sa Nissan toutes options sponsorisée par l’amicale Chamaliéroise du Porc à l’Ancienne, péta dans un bruit de fin du monde, puis se dirigea vers les terrains d’entraînement, toutes fenêtres ouvertes pour des raisons trop longues à expliquer ici.

 

Un fan à la tignasse en broussaille, aux dents du bonheur et à la peau problématique l’attendait à la porte, sous le regard circonspect d’un vigile d’un quintal et demi.

 

-       Laisse, Boubakar, c’est un supporter, dit Urios en souriant au jeune inconnu. Où est-ce que tu veux que je signe petit ? ajouta-t-il, confiant dans le fait que l’acné n’est pas contagieuse.

-       Aille  ame notte euh supporterre. Aille ame Aymeric, ail have quatorze ans ènde aille supporte Glou sesterces bicoze ail ame britiche ! Ende il vous lance un défi !

-       Ben dis-donc pour un Brit, tu fais plutôt récent de naturalisation, non ? Tu m’as l’air plutôt fait pour traire les meuh-meuh que pour mettre un nuage de leur lait dans ton thé ! Allez, jeune puceau, retourne voir ta maman !

La suite quand j’aurai fini ma journée de travail sur mon ouvrage majeur.

 

 

Christophe Urios, convaincu par sa troisième cannette de Jeanlain d’aller faire un tour aux cabèches, se dirigea vers celles des vestiaires domicile en fredonnant une chanson tant mélodieuse que poétique :

 

Dans les prisons de Lon-on-ondres

Ya des morpions qui m’emmerdent la nuit

Sans bruit

Dans les prisons de Lon-on-on-dres

Y avait un prisonnier, la pine au cule et les couilles pendantes

Y avait un prisonnier, la pine au cul, bien enfoncée !

 

Il détendit son tuyau personnel et commença à s’exécuter, toujours fredonnant, quand il croisa le regard d’un inconnu.

 

-       T’es qui toi ? Qu’est-ce que tu fous dans nos vestiaires ? Dégage avant que j’appelle la sécurité !

 

Réalisant qu’il parlait à son reflet dans le miroir des toilettes, il remballa son fusil à un coup et se remit à fredonner.

 

Personne ne l’alla voir-a-a-reuh

Ya des morpions qui m’emmerdent la nuit

Sans bruit

Personne ne l’alla voir-a-a-reuh

Sauf la fille du geôlier

La pine au cule et les couilles pendantes

Sauf la fille du geôlier

La pine au cul, bien enfoncée !

 

Arrivant au terrain, Urios tenta de reconnaître ses joueurs pour éviter une nouvelle bourde. Avisant un être court sur pattes et vêtu d’un costume trois pièces, Christophe Urios ne put retenir un juron.

 

-       Cré bon soir eud’toucher d’bœufs ! T’es qui toi-là-bas avec le costume à une plaque ! Tu te crois à la foire aux occases chez Citroën ?

-       Bonjour M. Urios, Rabah Slimani, de Slimani immobilier : achat, location, logements et commerces, ne loupez pas notre semaine « ouragan sur les pas de portes », avec la clientèle néo-rurale, je vous vois bien à la tête d’un magasin de vapotage. Le CBD marche fort chez les néo-ruraux du plateau de Millevaches ! Tenez !

-       Kesseucé ?

-       Un prospectus : le rêve en quadrichromie ! Car vous rêvez d’un chalet d’altitude au soleil du Sancy, pas vrai ?

-       Euh pas vraiment et… ET TU VAS TE FOUTRE EN TENUE DARE-DARE AVANT QUE JE TE METTE MES CRAMPONS AU CUL ! Raouste !

-       Si vous y tenez, mais n’oubliez pas notre site web ! lebonheurenauvergne.com ! dit Rabah qui esquiva de justesse une grosse baffe.

 

Bon, se dit Urios in petto, on va pouvoir commencer !

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Comme dirait un défunt Président de la République : euffff pourquoi pas ?

Ils doivent déjà se marrer à te lire.