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[rugbyasm77]

Article du midol :

Depuis lundi, Oscar Jegou et Hugo Auradou sont libres. Privés de leurs passeports, contraints de rester en Argentine, tenus de "pointer" tous les deux jours dans une antenne de la justice argentine et toujours sous le coup dune accusation de "viol aggravé". Mais libres. "Ils sont satisfaits de cette décision, confie leur avocat Rafaël Cuneo Libarona. Ces deux garçons viennent de vivre un cauchemar pour une chose quils nont jamais commise." De fait, les deux internationaux français ont choisi de rester dans la maison quils occupaient jusquici à Mendoza et Marie Auradou, la mère du deuxième ligne de la Section paloise, restera à leurs côtés jusquà ce que lenquête ne soit bouclée. Leur conseil poursuit : "Il est pour eux difficile de sentraîner dans un stade ou un parc de la ville parce que ce sont à présent deux personnes très connues, très identifiables par la population. Mais ils pourront bientôt le faire. Il ny a pas de risque de fuite, de toute façon. Il y a soixante journalistes à la porte de leur maison"


La libération dOscar Jegou et Hugo Auradou, si elle contente évidemment le visage de la défense des deux rugbymen, a provoqué lire de Natacha Romano, le conseil de la plaignante. Elle disait en début de semaine sur RMC : "Cette remise en liberté est une double peine qui accentue la souffrance, linquiétude et langoisse de la victime et de ses proches avec un risque pour son intégrité physique et psychologique. Dans cette affaire, si on parlait dun Argentin lambda qui nétait pas une figure publique, la justice aurait prononcé le maintien en détention provisoire. On nest pas habitué à ce type de traitement quand on dénombre plus de quinze lésions et que la victime explique quon lui a fait subir ces sévices pour abuser delle et quà travers ses déclarations on comprend quils lont traitée comme un morceau de viande". Pour autant, ce sont trois procureurs différents (Dario Nora, Daniela Chaler et Gonzalo Nazar) qui ont entériné la mise en liberté des internationaux français, pointant diverses "zones dombre" et quelques "incohérences" dans le récit de la victime supposée. Selon nos informations, la relative confusion mise en avant dans le rapport des procureurs sexplique ici par plusieurs éléments relevés par les enquêteurs et la défense. Des contradictions dont nous avons pris connaissance.

Ce que montrent les caméras de lhôtel
Concernant le consentement initial, il est dabord noté dans les contradictions mises en avant par la défense que la plaignante, douze minutes après avoir rencontré Hugo Auradou au Wabi, quitte létablissement de nuit main dans la main avec le Palois alors que selon ses dires, elle avait quelques minutes plus tôt refusé de laccompagner à trois reprises dans les toilettes de la boîte de nuit. La "peur", la "terreur" évoquées par la jeune femme lors de ses deux premières auditions sont donc, aux yeux de la défense, à remettre en perspective. Dautant plus quun proche de la plaignante, madame D., a toujours assuré aux enquêteurs que si son amie sétait rendue en taxi à lHôtel Diplomatic, ce nétait pas "pour jouer aux échecs". Cette volonté originelle est semble-t-il confirmée par "plusieurs baisers" survenus entre elle et le "beau garçon brun" (cest ainsi quelle nomme Auradou) ayant lieu dans la boîte de nuit, puis à lhôtel : à un moment donné, les caméras du couloir du Diplomatic montrent même Auradou baissant son pantalon, un geste faisant rire la plaignante, laquelle exhorte aussitôt le joueur à remonter son jean, tout en lui désignant de la main les caméras en question, avant de lui "sucer le doigt dune manière provocante", peut-on lire plus loin, dans les contradictions de la défense. Quant au témoignage de Jean-Baptiste Gros, présent dans le taxi ayant raccompagné le couple du Wabi à lhôtel, il est crédible selon la défense mais qualifié de totalement mensonger par les conseils de la plaignante : le pilier toulonnais avait assuré aux enquêteurs quHugo Auradou et la victime supposée adoptaient cette nuit-là un comportement damoureux lambda, ce dont doute encore laccusation.


Le sujet des audios envoyés par la plaignante à sa meilleure amie, le dimanche 7 juillet, est largement plus équivoque. Ceux-ci ont été versés au dossier par laccusation et seraient donc censés servir la cause de la victime supposée, laquelle semble au départ charmée ("formidable petit con avec de beaux yeux verts") avant de glisser, au fil des messages envoyés, vers un profond désarroi. Ici, la plaignante assure que les premiers messages, plutôt laudatifs à lencontre dAuradou, ont simplement été réalisés sous leffet de lalcool quand la défense avance "que la conversation WhatsApp en question a eu lieu après 17 heures, alors que la consommation dalcool aurait pris fin à 5 heures du matin, soit douze heures plus tôt". Le sujet du consentement, seul thème valable dans cette affaire, semble établi pour les avocats de la défense quand la plaignante assure de son côté avoir dit "non" à plusieurs reprises, dans la chambre 603 de lhôtel Diplomatic. A-t-elle appelé alors à laide ? Cest ce quelle assure aux enquêteurs quand le pilier tricolore Giorgi Beria, voisin de chambre de Jegou et Auradou (il occupait la chambre 604), a énoncé de son côté aux enquêteurs navoir rien entendu entre 5h30 et 8h30.

La maladie de von Willebrand et son prolongement
Natacha Romano, lavocate de la victime supposée, fait par ailleurs état de "quinze lésions" chez la victime, laquelle évoque avoir été littéralement "explosée" par les deux hommes. Dans le rapport rédigé en fin de semaine dernière par les procureurs, le trouble des magistrats est pourtant palpable : de fait, les docteurs Eliana Cecilia Sonego et Maria Paula Farías Anzoategui, qui ont examiné la plaignante les 8 et 12 juillet, ont souligné que les contusions ou ecchymoses nétaient pas significatives, la plaignante ayant au départ caché souffrir de la maladie de von Willebrand, un trouble de la coagulation causé par de faibles niveaux de protéines de coagulation dans le sang. Récemment, maître Libarona expliquait : "Lavocate de la plaignante a dit beaucoup de choses qui nétaient pas avérées à la presse : elle a dit quHugo Auradou avait uriné sur la plaignante alors que celle-ci dit aujourdhui sêtre urinée dessus toute seule ; elle a dit aussi quil y avait des marques détranglement autour du cou de la plaignante quand les médecins légistes ont prouvé que non ; elle a enfin dit quil y avait un il au beurre noir quand ces mêmes médecins ne lont jamais constaté"


La victime supposée, qui a refusé aux enquêteurs la permission danalyser ses deux téléphones portables, a enfin expliqué aux enquêteurs avoir profité du fait quHugo Auradou soit parti aux toilettes, à 8h21, pour appeler un taxi et quitter la chambre à la hâte. La défense note quHugo Auradou, qui a également noté son numéro de téléphone dans lun des portables de la plaignante afin de vraisemblablement rester en contacts avec elle, avait, à la discothèque Wabi, prévenu la jeune femme que celle-ci devrait quitter la chambre à 8h30, soit avant que le joueur ne rejoigne le reste de la délégation française dans le hall de lhôtel, et quil nétait pas "prudent" quelle soit vue en sa compagnie par les membres du staff et les autres joueurs du XV de France. Les magistrats en charge de lenquête auraient également été interpellés par le fait que la plaignante quitte la chambre 603 sans sembler en fuite, impeccablement coiffée dune queue-de-cheval, marchant "lentement et calmement" selon la défense et adressant même un geste amical à lattention de lentraîneur en charge des trois-quarts, Patrick Arlettaz, croisé par hasard dans lascenseur.

De toute évidence, les éléments avancés par les avocats de Jegou et Auradou ont fait réfléchir les procureurs en charge de lenquête et, comme nous vous lannoncions sur Rugbyrama.fr dès vendredi, plusieurs sources au parquet évoqueraient aujourdhui un abandon des charges à lencontre des deux internationaux français. À ce titre, lexamen psychologique de la plaignante, prévu mardi à Mendoza, sera déterminant si laccusation souhaite poursuivre linstruction du dossier. Dici une semaine, Rafaël Cuneo Libarona demandera de son côté la relaxe totale dOscar Jegou et Hugo Auradou. Laffaire est-elle sur le point de connaître son épilogue ? Ou alors, un autre de ses multiples rebondissements ?

[frednirom]

Trop long à lire , qui me fait un résumé des trucs les plus sordides et humides ?

[RCV06]

Ben là en l'occurrence quand le rapport des procureurs ne retient aucun des éléments à charge et donne tous les éléments de preuve comme étant à décharge, on peut se permettre de donner du crédit à l'avocat de la défense.

 

Par contre tu n'as pas pris autant de précaution avec toutes les déclarations de l'avocate de la défense dont le rapport du procureur nous dit qu'il s'agit de foutaises.

C'est dommage, j'imagine que tu dois réfléchir à comment tu vas te les accommoder vu que c'est bientôt que tu vas devoir te les bouffer.

Tu me retrouves une trace de ça stp ?

 

Pour le reste je laisse glisser je risquerais d'être désagréable et tout le monde sait ici comme ça m est pénible de l être.

Bon après faut pas y revenir trop souvent même pour toi, reste sur tes victimes habituelles, les bayonnais par exemple,, la tu as des chances d'être meilleur.

Trop long à lire , qui me fait un résumé des trucs les plus sordides et humides ?

On est bien d'accord !

[reo63]

Trop long à lire , qui me fait un résumé des trucs les plus sordides et humides ?

tous les éléments matériels (vidéo, audio, témoignages et contrôles médicaux sur la plaignante) vont à l'encontre de ce qu'affirme la plaignante, par conséquent on se dirige tout droit vers un non lieu. Voilà en résumé.

[RCV06]

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  tous les éléments matériels (vidéo, audio, témoignages et contrôles médicaux sur la plaignante) vont à l'encontre de ce qu'affirme la plaignante, par conséquent on se dirige tout droit vers un non lieu. Voilà en résumé.

  Je pige toujours pas quel est son mobile, si elle a monté tout ça au flan.

[F@b]

Trop long à lire , qui me fait un résumé des trucs les plus sordides et humides ?

Tjrs faire pipi avant d'aller au lit

[Silhouette]

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  Je pige toujours pas quel est son mobile, si elle a monté tout ça au flan.

Je pense pas qu'il y ait de mobile, je pense qu'une partie d'elle a vraiment vécu cette soirée comme elle le raconte aujourd'hui. Et qu'une fois rentrée chez elle, a tête reposée, cette partie d'elle-même lui a fait réalisé que oui, elle pense (est convaincu) d'avoir dit non, et dans ce cas c'est un viol. Maintenant comme personne d'autre n'était dans la chambre, les avocats jouent avec les elements annexes pour établir quelle partie est le plus crédible (puisque j'imagine que les joueurs indiquent qu'elle n'a jamais dit non), d'où les déclarations limites mensongères des avocats des deux parties ou on hésite pas a jouer sur les gros clichés et a tordre la vérité au maximum.

[L'Eclair]

Tu me retrouves une trace de ça stp ?

 

Pour le reste je laisse glisser je risquerais d'être désagréable et tout le monde sait ici comme ça m est pénible de l être.

Bon après faut pas y revenir trop souvent même pour toi, reste sur tes victimes habituelles, les bayonnais par exemple,, la tu as des chances d'être meilleur.

Retrouver une trace, l'autre dégonflé. T'assumes même pas.

Désagréable tu l'as déjà été et ça a l'air d'être ton crédo de partir dans la jungle en tongues avec un opinel.

 

Quant aux bayonnais c'est pareil, trouves moi donc une trace de ça

Je te l'ai déjà dis, je les aime bien, c'est mes bro, tu parles sans savoir

 

Tu m'en as déjà promis mais bon tu as surtout l'air d'avoir une grande bouche, au moins ça va te servir quand il te faudra te les bouffer.

[Alex chocolatines]

houuu, le temps va s'abernaudir, va en fout' une de ces arnaupé 'taleure 

[RCV06]

Retrouver une trace, l'autre dégonflé. T'assumes même pas.

Désagréable tu l'as déjà été et ça a l'air d'être ton crédo de partir dans la jungle en tongues avec un opinel.

 

Quant aux bayonnais c'est pareil, trouves moi donc une trace de ça

Je te l'ai déjà dis, je les aime bien, c'est mes bro, tu parles sans savoir

 

Tu m'en as déjà promis mais bon tu as surtout l'air d'avoir une grande bouche, au moins ça va te servir quand il te faudra te les bouffer.

Toute cette agressivité contre moi qui ne suis que bonté et amour.

Je sais c'est encore plus agaçant ce genre de réponse.

houuu, le temps va s'abernaudir, va en fout' une de ces arnaupé 'taleure 

Tu penses quand même pas que je vais me fatiguer pour ça, tu verrais la chaleur qu il fait c'est pas humain.

[Alex chocolatines]

Toute cette agressivité contre moi qui ne suis que bonté et amour.

Je sais c'est encore plus agaçant ce genre de réponse.  

Soit tu reviens du Tibet et tu y a atteint l'illumination, soit t'es malade. T'es sûr, ça va bien ? 

[RCV06]

Soit tu reviens du Tibet et tu y a atteint l'illumination, soit t'es malade. T'es sûr, ça va bien ? 

 

T imagines, avant on se prenait la tête avec des Toulonnais, des Toulousains, des grands clubs quoi, la c'était la classe, mais la, un palois, c'est la honte

[arverne19]

Mendoza , ça me revient maintenant !

C'était le méchant capitaine dans Zorro !   

 

 

Miniature(s) jointe(s)

• 

[Silhouette]

Mendoza , ça me revient maintenant !

C'était le méchant capitaine dans Zorro !   

Zorro qui est de retour d'ailleurs:

 

[zone et beu]

houuu, le temps va s'abernaudir, va en fout' une de ces arnaupé 'taleure 

Je traduis en berrichon 

Le temps se barnaude va y avoir des renapées