Il explique bien JP
En ce moment, à part la prostate, ça va …
Posted 08 February 2025 - 23:50 PM
Il explique bien JP
En ce moment, à part la prostate, ça va …
Posted 08 February 2025 - 23:53 PM
meme si celui ci n est pas perdu, avoir un seul tournoi à notre palmares, avec les joueurs que l on a ...on est pas loin du gachis ...
Posted 09 February 2025 - 03:16 AM
Posted 09 February 2025 - 06:08 AM
Le match s’est perdu le WE dernier, avec le rouge de NTK pour pétage de plomb tellement sa faute est grossière…
Quant à hier soir, j’ai eu le sentiment que l’EDF ne respectait pas les anglais, est arrivée sur le terrain avec la victoire déja dans la tête (manque de concentration d’où les nombreux en avants, les chistéras non nécessaires, individualisme de certains joueurs qui se la sont joués facile comme Dupont et Ramos que j’ai trouvé très en dessous…d’ailleurs sa pénalité manquée face aux perches coute le match si on y réfléchit bien également…)
Bref, les anglais ont gagné petitement par réalisme +++ de leur part et suffisance de la part des français sur le terrain
Posted 09 February 2025 - 06:09 AM
Quand déjà tu domines l 'adversaire quasi une mi temps sans scorer et en vendangeant quasi 5 occasions de les enfoncer et de tuer le match , tu te doutes bien qu 'en face l 'espoir renait et les mecs s'accrochent.
Très partagé pour ne pas dire dubitatif sur Jalibert en 10 qui rate 5 plaquages sur 10 en défense et en attaque son imprévisibilité très perso ne permet pas un jeu structuré
Ajoutons un Dupont très en dessous presque étonnamment et un Ramos ,qui par moment joue surjoue à contre sens et nos éternels pbs sur le jeu au pied de pression dont les Anglais sont passés maitre dans l 'art.....que de ballons de renvois non captés et de grosses difficultés individuelles dans les airs et un G Alldritt usé ...un Roumat repositionné transparent
Les gars et Galtié sont parait -il frustrés mais à qui la faute ? Cette équipe avec des leaders à côté de la plaque , aura tout fait pour donner la victoire aux Anglais dans un jeu déstructuré , alors qu'elle pouvait l 'emporter les mains en haut du guidon frisant les 50 perles ! Retour sur terre et melonite à laisser au vestiaire , ce serait alors un moindre mal!
En marge je trouve que le banc a apporté très peu , surtout devant avec pour moi de gros doutes sur PH Colombes qui parait bien pâle ....les mêlées illustrant parfaitement un banc très peu impactant .pour remplacer Atonio en bout de course , qui fait uniquement le taf en mêlée !
Posted 09 February 2025 - 06:37 AM
Posted 09 February 2025 - 06:45 AM
Posted 09 February 2025 - 06:52 AM
Celui qui n'a pas vu le match et qui lit le forum doit croire que les anglais ont gagné 40 à 10 après une totale déconfiture des Bleus.
Posted 09 February 2025 - 07:01 AM
Posted 09 February 2025 - 07:03 AM
Posted 09 February 2025 - 07:12 AM
Pas daccord.
ledf joue comme le ST avec moins dalternance. Dupont joue le,même role et il est central
pour lUBB davant Urios, je suis désolé mais on a mis des branlees à bcp déquipe, y compris lasm de lépoque et ça navait rien à voir avec lasm daujourdhui. Quand on avait des Connor, Talebula, rehainna et dautres cétait pas pour jouer comme SR. On a loupé la qualification 2 fois pour rien. On a toujours eu ce jeu offensif.
Posted 09 February 2025 - 07:22 AM
Bien vu.
C'est exactement mon cas.
Posted 09 February 2025 - 07:51 AM
Dupont et surtout Ramos loins de leurs standards habituels, Jalibert joueur surdoué mais tellement mal à l’aise dans cette équipe et donc jamais en confiance, voilà pour le cadre de départ … après on ajoute le déchet d’un peu tout le monde, avec un petit zeste de manque de densité et/ou de doublures en 4 et 5, chose évidente depuis les Boks en cdm … et ça donne ce qu’on a vu.
Circonstance atténuante, un bon manque de réussite sur pas mal de coups …
+ 1
Quand déjà tu domines l 'adversaire quasi une mi temps sans scorer et en vendangeant quasi 5 occasions de les enfoncer et de tuer le match , tu te doutes bien qu 'en face l 'espoir renait et les mecs s'accrochent.
Très partagé pour ne pas dire dubitatif sur Jalibert en 10 qui rate 5 plaquages sur 10 en défense et en attaque son imprévisibilité très perso ne permet pas un jeu structuré
Ajoutons un Dupont très en dessous presque étonnamment et un Ramos ,qui par moment joue surjoue à contre sens et nos éternels pbs sur le jeu au pied de pression dont les Anglais sont passés maitre dans l 'art.....que de ballons de renvois non captés et de grosses difficultés individuelles dans les airs et un G Alldritt usé ...un Roumat repositionné transparent
Les gars et Galtié sont parait -il frustrés mais à qui la faute ? Cette équipe avec des leaders à côté de la plaque , aura tout fait pour donner la victoire aux Anglais dans un jeu déstructuré , alors qu'elle pouvait l 'emporter les mains en haut du guidon frisant les 50 perles ! Retour sur terre et melonite à laisser au vestiaire , ce serait alors un moindre mal!
En marge je trouve que le banc a apporté très peu , surtout devant avec pour moi de gros doutes sur PH Colombes qui parait bien pâle ....les mêlées illustrant parfaitement un banc très peu impactant .pour remplacer Atonio en bout de course , qui fait uniquement le taf en mêlée !
Tout est dit.
Posted 09 February 2025 - 08:44 AM
Qu'on les oblige tous à passer un CAP de bouchers. Comme Paul Boudehent. Pourquoi ? Parce que c'est important d'apprendre un métier. On ne le répétera jamais assez. Surtout, ça leur apprendra au moins à se servir de leurs mains. Pierre-Louis Barassi (5e), d'abord lui, Antoine Dupont (21e), même lui, puis Damian Penaud (22e) et Peato Mauvaka (43e), à chaque fois un trou béant, la voie royale devant soi, et à chaque fois l'agilité des otaries Pinder au moment de conclure. Toute une équipe connue pour ses qualités de funambules frappée du syndrome de la boulette, encore, et c'est le drame : un an à garder le fish & chips garanti sans arêtes en travers et à avoir Sweet Chariot comme un jingle dans la tête. On a bien croisé quelques supporters à béret tenter une Marseillaise houblonnée dans les escaliers de la cathédrale. Un échec.
Alors oui, il faisait très humide dans le sud-ouest de Londres depuis deux jours. Ce qui ne relevait pas d'une surprise. Et puis quand il pleut pour l'un, il pleut pour l'autre. La frustration du soir naît ailleurs.
Ce match aurait dû ressembler à celui de 2023 (victoire 53-10 des Bleus). Il était parti sur les mêmes bases. Un ratio possession-occupation à ce point écoeurant pour les Bleus qu'on se demandait si ce n'était pas ce qui filait d'impressionnants vomissements à Louis Bielle-Biarrey (41e, lire pages 4 et 5), des occasions à la pelle, un talent clairement au-dessus, mais une efficacité en berne. Comme cette première pénalité manquée de Thomas Ramos (12e) d'une partie du terrain où d'ordinaire, il pourrait la passer tout en envoyant un texto. Le symbole de comment tout s'est mal goupillé tout de suite, par manque de chance un peu, de réussite, bien sûr, mais davantage encore par indiscipline.
Car ces Anglais avaient choisi de la jouer sage, de ne pas s'amuser avec leurs adversaires dont ils connaissent la fulgurante maestria en contre. Ils préféraient se mouiller trois fois la nuque avant de tenter le moindre coup, voire de carrément rester dans le pédiluve, conscients de leurs lacunes.
Replacé à l'arrière, Marcus Smith, qu'une célèbre plateforme de vidéos à la demande tente de vendre comme le Patrick Mahomes de l'autre balle ovale, n'a pas été d'une aisance dingue avec ses pieds quand il s'est agi de déplacer le ballon et, malgré une charnière Mitchell-l'autre Smith (Fin) à son avantage, on n'aurait pas juré que la stratégie offensive de la Rose était à ce point ébouriffante et qu'elle finirait le match en ayant marqué quatre essais, soit un de plus que la bande à Fabien Galthié, dont le dernier quelques secondes avant la fin, après une petite merveille de jeu à deux lignes d'attaque, qui marche presque à tous les coups sur une défense inversée.
L'Angleterre n'est pas morte car elle plaque encore et même très fort sur la ligne d'avantage. Elle fut maligne en quadrillant parfaitement son fond de terrain pour prévenir le jeu au pied de pression des Bleus et se protéger des flèches qu'ils ont sur leurs ailes. Peu inspirée avec ses munitions, notamment quand elle parvint à en obtenir un peu plus sur le second acte, elle s'est souvenue des faiblesses françaises et Tommy Freeman est allé chercher un ballon haut posé sur la tête de Bielle-Biarrey (59e). Un geste remake du quart de finale de la Coupe du monde 2023 face aux Springboks (59e), qui laissait les Anglais dans le match contre toute la logique du monde.
C'est une mentalité la cruauté, surtout quand elle tombe aussi bien. En l'occurrence, les Britanniques ont rarement des scrupules quand il s'agit des Français, lesquels s'en mordront les doigts sans doute longtemps. Parce que si l'on parle de rugby pur, il existait une classe d'écart entre les deux équipes. C'est empirique autant que factuel et c'est aussi paradoxal à la lecture des deux derniers essais bleus (Penaud, 61e et Bielle-Biarrey, 75e), inscrits au terme de deux mouvements d'envergure, déclenchés à l'instinct, conclus à la patience et à l'intelligence, avec une telle fluidité que tout paraissait beaucoup plus facile pour eux que pour ceux d'en face. Un contenu convaincant qui ressusciterait presque l'idée de la défaite encourageante. Sauf que cette équipe de France n'en est pas là. Son potentiel et la qualité de ses joueurs la hissent à un tout autre niveau d'exigence qui lui interdit de perdre 27 ballons ou de rater 30 plaquages sur un tel match.
Ce succès des Anglais ne dit finalement pas grand-chose de l'état réel de leur équipe, du moins rien de définitif. Loin d'être géniale, elle a un coeur immense et a retrouvé du coffre. En revanche, elle replace les Bleus face à leur complexe de favoris. Ils devaient gagner à Twickenham, sur leur forme du moment, après un mois de novembre solide et des performances en club flamboyantes, le Grand Chelem était à leur portée. La victoire dans le Tournoi est toujours possible, même si cela n'a pas la même saveur, et il faudra d'abord passer sa frustration en Italie (le 23 février) avant d'aller en Irlande (le 8 mars). Il s'agirait surtout de soigner ce syndrome de la boulette qui leur a déjà coûté leur Coupe du monde et samedi soir encore un Grand Chelem.
Posted 09 February 2025 - 08:46 AM
ce matin à froid, et bien c'est comme hier soir à chaud, j'ai les boules, j'ai cru voir une certaine équipe que je supporte, avoir un nombre incalculable d'occasions, les gâcher et se faire mettre à la dernière minute.
se faire battre par des rosbeefs, c'est encore le pire qui puisse arriver, les italiens, les irlandais et les écossais peuvent gagner contre nous, je m'en fout, pour moi, le tournoi est loupé, faut murer le tunnel sous la manche, abattre les avions qui la survole et couler les ferrys qui la traverse.
le seul point positif c'est que les toulousains peuvent être moyens et par conséquent prenables avis aux clubs du top 14 qui veulent mettre fin à leur hégémonie sur le championnat
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