812 replies to this topic

[wallis]

au vu du matos, je dirais équipe insipide et en manque crucial de réalisme.

un Dupont fantomatique et comme c'est le cerveau de cette équipe ...

les ailes avec des moufles c'est pas évident pour attraper un ballon surtout ovale .

et de chistéras .. euh comment dire qui n'on rien a faire quand tu rates déjà des passes normale.

perso Jalibert, j'accroche pas en EDF il était perdu par moment du coup il à surjoué, autant avec UBB ça roule là ... 

Penaut  heureusement qu'il met un essai autrement je ne l'ai pas trouvé transcendant. bon ok c'est une reprise pour lui. 

résumé Galtié avec tout le matos, c'est petit ... j'aime pô

[pims]

La petite musique se met en marche https://www.rugbyram...ue-12500858.php

[steph]

ce matin à froid, et bien c'est comme hier soir à chaud, j'ai les boules, j'ai cru voir une certaine équipe que je supporte, avoir un nombre incalculable d'occasions, les gâcher et se faire mettre à la dernière minute.
se faire battre par des rosbeefs, c'est encore le pire qui puisse arriver, les italiens, les irlandais et les écossais peuvent gagner contre nous, je m'en fout, pour moi, le tournoi est loupé, faut murer le tunnel sous la manche, abattre les avions qui la survole et couler les ferrys qui la traverse.

Faut surtout désormais arrêter de vénérer tout ce que propose Galthié. Ses accointances médiatiques le font très, trop, souvent passer à côté de devoir s'expliquer clairement sur ses échecs. Son coaching notamment, et de facto le choix du banc, sont souvent pénalisants dans les matchs aux couteaux.

[pims]

ce matin à froid, et bien c'est comme hier soir à chaud, j'ai les boules, j'ai cru voir une certaine équipe que je supporte, avoir un nombre incalculable d'occasions, les gâcher et se faire mettre à la dernière minute.

se faire battre par des rosbeefs, c'est encore le pire qui puisse arriver, les italiens, les irlandais et les écossais peuvent gagner contre nous, je m'en fout, pour moi, le tournoi est loupé, faut murer le tunnel sous la manche, abattre les avions qui la survole et couler les ferrys qui la traverse.   

le seul point positif c'est que les toulousains peuvent être moyens et par conséquent prenables avis aux clubs du top 14 qui veulent mettre fin à leur hégémonie sur le championnat

le problème c'est que de retour en Top14 les toulousains seront coachés par un mec qui a les pieds sur terre

[steph]

La petite musique se met en marche https://www.rugbyram...ue-12500858.php

De toute façon, Jalibert, je l'avais déjà écrit, c'est comme Charvet en son temps.
Un talent sacrifié pour des choix stratégiques. C'est comme ça, il ne trouvera pas sa place sous Galthié 2.0

le problème c'est que de retour en Top14 les toulousains seront coachés par un mec qui a les pieds sur terre

Hier, tu mets simplement le Stade Toulousain en mode ccup, ils gagnent avec 20 points d'écart.

[el landeno]

Trop de ratés, une stratégie pas payante : comment le XV de France s'est savonné la planche contre l'Angleterre Parfaitement entrés dans le match, capables de se créer pas moins de sept immenses occasions d'essai, de reprendre le score deux fois dans les vingt dernières minutes, les Bleus se sont aussi sacrément savonné la planche face à l'Angleterre (25-26).

 

Quatre essais vendangés : « Qu'on ait chacun plus d'exigence »

Sommes-nous les champions du monde des expected points, ces points non marqués, mais qui auraient dû l'être, rendus célèbres dans tout le pays par Fabien Galthié après la défaite en quarts de finale de la Coupe du monde 2023 contre l'Afrique du Sud (28-29) ? « La question est provocatrice, a répondu le sélectionneur. Mais bon, si vous nous donnez le titre de champion du monde, je le prends avec joie. Ce match ressemblait au scénario d'il y a deux ans (victoire 10-53) sauf qu'en 2023, ça marquait. » « Sur le contenu, il n'y a pas photo, persistait Thomas Lièvremont, ancien numéro 8 des Bleus. On est largement au-dessus, mais voilà, que de points laissés en route ! »

 

Dans ce Crunch, le quinze de France a quelque part mangé la feuille en ratant quatre énormes occasions d'essai. La première, à la 4e minute, échoua dans la dernière transmission entre Barassi et Bielle-Biarrey. Sur la deuxième, à la 20e, Dupont, servi par Ramos, cafouilla sa réception.

Deux minutes plus tard, c'est Penaud qui s'emmêlait les doigts et commettait l'en-avant fatal (les Bleus en commirent 27, les Anglais 12). C'est enfin Mauvaka, à la 43e, qui ne put se saisir de la passe de Bielle-Biarrey. À chaque fois, le plus dur était fait. « Le ballon était glissant, expliquait Antoine Dupont. Mais on a su réussir des choses compliquées pour nous créer ces occasions, avant d'en louper des plus simples. »

lire aussiLes Bleus tombent à la dernière minute en Angleterre

« On ne peut s'en prendre qu'à nous-mêmes, disait Thomas Ramos. Il faut qu'on soit plus tueurs dans le dernier geste. Qu'on ait chacun plus d'exigence. Parce qu'en dominant autant et en tournant à 7-7 à la mi-temps, on leur a donné un gros regain de confiance. » Et François Cros de conclure : « On a peut-être voulu jouer les ballons avant de les avoir. »

Des ballons hauts mal négociés : « Quand vous ne gagnez pas les duels en l'air, il faut les gagner en dessous »

Après la douche, Thomas Ramos ne s'est pas caché face aux micros. Si l'arrière s'en voulait d'avoir laissé filer 5 points, il a reconnu aussi que les Bleus avaient été un peu surpris par les coups de pied adverses : « Les Anglais ont beaucoup utilisé le jeu au pied tactique derrière notre première ligne défensive. On s'y attendait un peu moins. Ce sont des ballons difficiles à gérer. Ensuite, sur les ballons hauts, on s'est envoyés. C'est souvent du 50/50. Encore plus face à de très bons joueurs dans ce secteur comme leurs ailiers Freeman et Sleightholme. Quand vous ne gagnez pas les duels en l'air, il faut les gagner en dessous. Ç'a été fait, mais on doit encore progresser. »

 

Si Ramos a été souvent ciblé, perdant pas moins de trois ballons ou optant pour des choix hasardeux sous pression, comme sur ce dernier ballon joué à la main entraînant la pénaltouche de la gagne anglaise (79e), le souci des Bleus dans les airs a été mis en exergue par les trois renvois ratés par Hugo Auradou.

lire aussiLes notes d'Angleterre-France : trop de déchet pour Ramos et Dupont

Le premier dès son entrée en jeu après une pénalité de Ramos permettant aux Bleus de reprendre le score (7-10, 50e). Si le deuxième-ligne a capté le ballon, il a été pénalisé au sol. Le deuxième après une nouvelle pénalité de Ramos (7-13, 56e) où il a été lobé. Les Anglais ont récupéré le ballon et moins de deux minutes plus tard, Freeman a marqué (12-13, 58e).

Le troisième enfin est intervenu dans le money-time juste après l'essai de Louis Bielle-Biarrey (19-25, 75e). Auradou a cette fois cafouillé le ballon. Les Anglais en ont profité pour investir le camp français et remettre la pression. Vous connaissez la suite. Moins de quatre minutes plus tard, Elliot Daly a inscrit l'essai de la gagne...

Beaucoup de plaquages ratés : « C'est trop »

La semaine passée, l'équipe de France n'avait encaissé aucun point face au pays de Galles (43-0). La troisième fois depuis la prise de fonction de Fabien Galthié en 2020 après les victoires face au Fidji (28-0 en novembre 2020) et la Namibie (96-0 lors de la Coupe du monde 2023).

Avec 26 points dans la musette, le sélectionneur n'a pas fait de mystère : « C'est trop... On a pris trop de points ! » Et trop d'essais ! Quatre au total. La dernière fois qu'il y en a eu autant, c'était l'été dernier en Argentine lors du second test (défaite 33-25, 5 essais encaissés). Pour l'équipe dite « premium », il faut remonter au dernier Tournoi, déjà contre les Anglais (victoire 33-31, 4 essais).

lire aussiLes chiffres qui font mal après la défaite des Bleus en Angleterre

Les chiffres sont sans équivoque. Sur les 108 plaquages français, 30 ont été ratés, soit seulement 78 % de réussite dans l'exercice. Trop peu à ce niveau-là pour espérer une meilleure issue. Là encore, un joueur a été le symbole du mal français : Matthieu Jalibert. Si l'ouvreur était attendu et a répondu présent dans l'animation offensive, il a souffert en défense avec cinq plaquages manqués pour cinq réussis.

On repense notamment à la fin de la première période. Un premier « air plaquage » sur Tommy Freeman, heureusement sauvé par Gros en bout de ligne (34e). Et deux autres dans la foulée, encore sur Freeman puis Fin Smith, juste avant l'essai d'Ollie Lawrence (36e).

Damian Penaud termine également le match avec cinq plaquages manqués. L'essai de la gagne (Daly, 79e) est aussi le fruit d'une erreur individuelle. Cette fois signée Louis Bielle-Biarrey. L'ailier se trompe de cible et monte sur le mauvais joueur.

Un changement de stratégie surprenant : « Ils ont manqué de calme et d'adaptation »

Pendant les vingt-cinq premières minutes, tout semblait aller dans le bon sens. Pas sereins au milieu du terrain, inquiets de la puissance des gros porteurs français et de la menace Antoine Dupont, les Anglais resserraient beaucoup leur défense. C'est ainsi que, très tôt, après deux phases de fixation, les Bleus trouvèrent des solutions en basculant rapidement dans les couloirs.

lire aussi« C'est une grande déception », Fabien Galthié après la défaite des Bleus en Angleterre

Et puis, curieusement, les hommes de Galthié ont arrêté de tirer ce fil. « Les Bleus sont tombés un poil dans le rugby à 7, ironise Thierry Mentières, ancien entraîneur de Pau et Bayonne. Tous ces ballons renvoyés au pied par les Anglais (ils ont tapé 46 fois) ont été de nombreuses tentations de jeu dans le désordre. C'est très sympa, mais beaucoup plus difficile à structurer, et très énergivore avec beaucoup de longues courses. Ils ont mis le moteur en surchauffe. »

Un coup Penaud, un coup Ramos, les trois-quarts français ont commencé à surjouer et on a pu voir, autour de la 30e minute, de la fumée sortir du capot de l'équipe de France. « Sur les transitions, nous sommes meilleurs que les Anglais », relevait avec justesse Pierre-Henry Broncan, manager de Brive. Et c'est vrai que sur une relance lointaine, venue après une longue séquence défensive, les Français furent tout près de marquer par Dupont.

« Mais ils ont fini par ne plus jouer en bloc, regrette Mentières. Par rendre énormément de ballons (19 turnovers concédés). Je trouve qu'ils ont manqué de calme et d'adaptation dans la stratégie, peut-être d'humilité même. À la fin, on se dit qu'on est entrés dans le match qui arrangeait cette Angleterre. » Questionné sur l'éventualité d'un complexe de supériorité, Fabien Galthié ne voulut pas y croire : « De la suffisance ? Ça ne ressemble à cette équipe. Non, ça ne lui ressemble pas. »

 

 

[el landeno]

Décryptage : la mauvaise défense de Matthieu Jalibert a contribué à la défaite de la France en Angleterre lors du Tournoi des 6 Nations Pour son retour en Bleu, l'ouvreur a en partie gâché sa bonne prestation offensive en ratant cinq plaquages, soit la moitié de ceux qu'il a tentés. Et cela a eu des conséquences sur la défaite de la France (26-25) contre l'Angleterre, à Twickenham.

Au coup de sifflet final, dans un Twickenham surpris de finir l'après-midi dans la liesse (victoire de l'Angleterre 26-25), un chiffre s'est comme mis à clignoter en plein milieu de la feuille de stats : dans la colonne « MT », pour « missed tackles », 5 s'affichait en face du nom Matthieu Jalibert. Oui, 5 plaquages ratés, 5 duels défensifs engagés par l'ouvreur français et que le porteur de balles a fini debout, à avancer encore.

 

En soi, c'est énorme, et encore plus quand ça représente un taux d'échec de 50 % dans cet exercice. Comment l'ouvreur bordelais, qui retrouvait une place de titulaire un an plus tard, a pu finir avec ces stats, certes moins exécrables que celle de Damian Penaud (5 plaquages ratés également, mais avec un taux d'échec de 71 % !), mais néanmoins très problématiques quand on défend au coeur du jeu ? Est-ce anecdotique ou cela a-t-il eu un impact sur le résultat final ?

lire aussiLes Bleus tombent à la dernière minute en Angleterre lors du Tournoi des 6 Nations

La première observation, en revoyant les plaquages ratés de l'ouvreur bordelais, est que la plupart l'ont été dans sa position de numéro 10. Ça paraît logique mais c'est en fait la conséquence d'un choix. Il est connu que Matthieu Jalibert n'est pas le défenseur le plus fiable, à cause de son gabarit (84 kg pour 1,84 m) et d'un manque de goût pour l'exercice. Pour cette raison, par le passé, notamment contre l'Irlande en 2024, Fabien Galthié avait parfois choisi de le décaler en deuxième centre sur les lancements de jeu dans le camp français. Il se retrouvait ainsi dans une zone moins exposée et moins sensible, alors qu'un centre se chargeait de le remplacer en « 10 ».

Mais samedi, à Twickenham, Jalibert a défendu en position d'ouvreur sur chaque lancement de jeu anglais. La raison de ce choix stratégique n'est pas connue mais il a eu des conséquences en fin de première période, dans un de ces moments où l'équipe de France, qui n'arrivait pas à marquer pour prendre le large (7-0), n'a pas su bien défendre pour ne pas perdre. En l'espace de 2'35, Jalibert a mal négocié 3 interventions défensives qui ont mis son équipe sous pression.

 

 

Matthieu Jalibert ne peut empêcher Tommy Freeman de gagner quelques mètres

Sur une mêlée à une trentaine de mètres de la ligne française, l'ailier Freeman est servi en position de premier attaquant. Il cible Jalibert, qui ne se baisse pas au moment de l'impact et n'engage pas suffisamment son épaule. Il est projeté au sol et Freeman peut avancer de 3-4 mètres avant d'être repris par Dupont. Grâce à cette avancée, les Anglais auront un ballon rapide et la France aura deux situations chaudes à défendre, la dernière offrant au XV de la Rose une mêlée à 5 m de l'en-but tricolore.

 

Tommy Freeman profite encore de son physique pour se rapprocher de la ligne d'essai

Sur cette mêlée, environ 1'40 plus tard, l'Angleterre envoie à nouveau Freeman en premier attaquant dans la zone de Jalibert. Ce dernier monte vite pour empêcher le massif ailier de prendre beaucoup de vitesse mais il ne le cadre pas correctement : Freeman le dépose d'un intérieur-extérieur et va gagner trois mètres.

 

Fin Smith passe, permettant à Ollie Lawrence d'inscrire un essai.

Sur la 7e phase de cette action, les Anglais cafouillent le ballon. Jalibert pense pouvoir le récupérer mais il atterrit finalement dans les mains de son vis-à-vis, Fin Smith. Le Tricolore, légèrement pris à revers, engage son bras pour l'arrêter mais il n'a logiquement pas la puissance nécessaire. Une passe plus loin, ce sera l'essai de Lawrence.

lire aussi« Inexorable » : l'oeil de Jean-Baptiste Élissalde après Angleterre-France

Le manque de solidité au plaquage de Jalibert n'a donc pas été neutre sur le déroulé du match. Pouvait-il faire mieux ? Sans aucun doute. Fallait-il le positionner différemment ? Peut-être. En tout cas, dans son match avec Romain Ntamack pour le numéro 10 des Bleus, Matthieu Jalibert, qui a répondu présent en attaque en Angleterre, n'est pas aidé par sa défense.

 

 

[zebdomes]

meme si celui ci n est pas perdu, avoir un seul tournoi à notre palmares, avec les joueurs que l on a ...on est pas loin du gachis ...

Je ne te savais pas capable d'une telle magnanimité. Galthié a probablement la meilleure génération produite en EDF, il a des conditions pour utiliser les joueurs jamais connues et il a des adversaires traditionnellement rugueux dans la difficulté. Son bilan est famélique et pour moi on est carrément dans l'un des plus gros gâchis du XV de France.

[el landeno]

Auradou et Jegou qui rentrent en même temps, ça m'a rappelé des souvenirs 

[diomedea]

 

Décryptage : la mauvaise défense de Matthieu Jalibert a contribué à la défaite de la France en Angleterre lors du Tournoi des 6 Nations Pour son retour en Bleu, l'ouvreur a en partie gâché sa bonne prestation offensive en ratant cinq plaquages, soit la moitié de ceux qu'il a tentés. Et cela a eu des conséquences sur la défaite de la France (26-25) contre l'Angleterre, à Twickenham.

 

Au coup de sifflet final, dans un Twickenham surpris de finir l'après-midi dans la liesse (victoire de l'Angleterre 26-25), un chiffre s'est comme mis à clignoter en plein milieu de la feuille de stats : dans la colonne « MT », pour « missed tackles », 5 s'affichait en face du nom Matthieu Jalibert. Oui, 5 plaquages ratés, 5 duels défensifs engagés par l'ouvreur français et que le porteur de balles a fini debout, à avancer encore.

 

En soi, c'est énorme, et encore plus quand ça représente un taux d'échec de 50 % dans cet exercice. Comment l'ouvreur bordelais, qui retrouvait une place de titulaire un an plus tard, a pu finir avec ces stats, certes moins exécrables que celle de Damian Penaud (5 plaquages ratés également, mais avec un taux d'échec de 71 % !), mais néanmoins très problématiques quand on défend au coeur du jeu ? Est-ce anecdotique ou cela a-t-il eu un impact sur le résultat final ?

lire aussiLes Bleus tombent à la dernière minute en Angleterre lors du Tournoi des 6 Nations

La première observation, en revoyant les plaquages ratés de l'ouvreur bordelais, est que la plupart l'ont été dans sa position de numéro 10. Ça paraît logique mais c'est en fait la conséquence d'un choix. Il est connu que Matthieu Jalibert n'est pas le défenseur le plus fiable, à cause de son gabarit (84 kg pour 1,84 m) et d'un manque de goût pour l'exercice. Pour cette raison, par le passé, notamment contre l'Irlande en 2024, Fabien Galthié avait parfois choisi de le décaler en deuxième centre sur les lancements de jeu dans le camp français. Il se retrouvait ainsi dans une zone moins exposée et moins sensible, alors qu'un centre se chargeait de le remplacer en « 10 ».

Mais samedi, à Twickenham, Jalibert a défendu en position d'ouvreur sur chaque lancement de jeu anglais. La raison de ce choix stratégique n'est pas connue mais il a eu des conséquences en fin de première période, dans un de ces moments où l'équipe de France, qui n'arrivait pas à marquer pour prendre le large (7-0), n'a pas su bien défendre pour ne pas perdre. En l'espace de 2'35, Jalibert a mal négocié 3 interventions défensives qui ont mis son équipe sous pression.

 

 

Matthieu Jalibert ne peut empêcher Tommy Freeman de gagner quelques mètres

Sur une mêlée à une trentaine de mètres de la ligne française, l'ailier Freeman est servi en position de premier attaquant. Il cible Jalibert, qui ne se baisse pas au moment de l'impact et n'engage pas suffisamment son épaule. Il est projeté au sol et Freeman peut avancer de 3-4 mètres avant d'être repris par Dupont. Grâce à cette avancée, les Anglais auront un ballon rapide et la France aura deux situations chaudes à défendre, la dernière offrant au XV de la Rose une mêlée à 5 m de l'en-but tricolore.

 

Tommy Freeman profite encore de son physique pour se rapprocher de la ligne d'essai

Sur cette mêlée, environ 1'40 plus tard, l'Angleterre envoie à nouveau Freeman en premier attaquant dans la zone de Jalibert. Ce dernier monte vite pour empêcher le massif ailier de prendre beaucoup de vitesse mais il ne le cadre pas correctement : Freeman le dépose d'un intérieur-extérieur et va gagner trois mètres.

 

Fin Smith passe, permettant à Ollie Lawrence d'inscrire un essai.

Sur la 7e phase de cette action, les Anglais cafouillent le ballon. Jalibert pense pouvoir le récupérer mais il atterrit finalement dans les mains de son vis-à-vis, Fin Smith. Le Tricolore, légèrement pris à revers, engage son bras pour l'arrêter mais il n'a logiquement pas la puissance nécessaire. Une passe plus loin, ce sera l'essai de Lawrence.

lire aussi« Inexorable » : l'oeil de Jean-Baptiste Élissalde après Angleterre-France

Le manque de solidité au plaquage de Jalibert n'a donc pas été neutre sur le déroulé du match. Pouvait-il faire mieux ? Sans aucun doute. Fallait-il le positionner différemment ? Peut-être. En tout cas, dans son match avec Romain Ntamack pour le numéro 10 des Bleus, Matthieu Jalibert, qui a répondu présent en attaque en Angleterre, n'est pas aidé par sa défense.

 

 

 

Article intéressant, surtout cette partie :
 

La première observation, en revoyant les plaquages ratés de l'ouvreur bordelais, est que la plupart l'ont été dans sa position de numéro 10. Ça paraît logique mais c'est en fait la conséquence d'un choix. Il est connu que Matthieu Jalibert n'est pas le défenseur le plus fiable, à cause de son gabarit (84 kg pour 1,84 m) et d'un manque de goût pour l'exercice. Pour cette raison, par le passé, notamment contre l'Irlande en 2024, Fabien Galthié avait parfois choisi de le décaler en deuxième centre sur les lancements de jeu dans le camp français. Il se retrouvait ainsi dans une zone moins exposée et moins sensible, alors qu'un centre se chargeait de le remplacer en « 10 ».

Mais samedi, à Twickenham, Jalibert a défendu en position d'ouvreur sur chaque lancement de jeu anglais. La raison de ce choix stratégique n'est pas connue mais il a eu des conséquences en fin de première période, dans un de ces moments où l'équipe de France, qui n'arrivait pas à marquer pour prendre le large (7-0), n'a pas su bien défendre pour ne pas perdre.

Erreur de Galthié ou choix de ce dernier pour montrer que Jalibert n'a pas sa place en 10 ?

[Barbidur63]

Les anglais gagnent à l anglaise, des coups de pompes et rugueux devant.
Leur pack a rivalisé largement avec le xv de France.
Leur troisième ligne a mm était meilleur.
Notre charnière moyennasse, Dupont pour une fois n a pas été inspiré.
Mais surtout trop de fautes de main, donc une défaite logique finalement.
Le point positif c est que mm avec une équipe absente, on rivalise.
Le talent est là mais ça ne fait pas gagner de titre.
Par contre si Earl a envie de venir à l ASM il est le bienvenu.

[Mimoche]

Auradou il est plus doué pour chopper des argentines que des ballons haut. Scandaleuse son entrée au soi-disant indispensable de léquipe de France
Auradou il est plus doué pour chopper des argentines que des ballons haut. Scandaleuse son entrée au soi-disant indispensable de léquipe de France

[Ptolémée]

pas inquiet , accident de parcours 

[zebdomes]

Mettre en avant la faiblesse de la défense de Jalibert comme cause de la défaite c'est un poil dégueulasse...

La principale cause de la défaite est Galthié qui a cru que son équipe allait gagner les mains en haut du guidon et a transmis cela à ses joueurs. Les multiples fautes de main n'ont qu'une origine : manque de concentration provoqué par un excès de confiance. Le banc proposé par Galthié est lunaire et la façon d'utiliser Jalibert stupide. Bref, cet entraîneur a le melon, il serait bénéfique que celui-ci dégonfle un peu...

[gregouarrrr]

Les anglais gagnent à l anglaise, des coups de pompes et rugueux devant.
Leur pack a rivalisé largement avec le xv de France.
Leur troisième ligne a mm était meilleur.
Notre charnière moyennasse, Dupont pour une fois n a pas été inspiré.
Mais surtout trop de fautes de main, donc une défaite logique finalement.
Le point positif c est que mm avec une équipe absente, on rivalise.
Le talent est là mais ça ne fait pas gagner de titre.
Par contre si Earl a envie de venir à l ASM il est le bienvenu.

absente, faut pas exagerer non plus,  on peut tres bien se retrouver à la mi temps a + 20 sans les fautes de mains, et notre discours serait différent ...

 

pour moi les points faubles hier, restent jalibert qui était là par procuration ...et notre banc avec le garrec ( couiloud ou serin ne sont pas melleurs ??? ) et les presences de jegou et auradou ....( l impression que notre selectionneur les prendrait meme si ils étaient blessés )