
Bordeaux ou Northampton ?
#406
Posté 25 mai 2025 - 19:52
Les mecs ont tout eu dans leur sens pour cette final.
Tu prends ton titre mais pas la peine chambrer de la sorte et surtout dans rajouter.
Ça fait vraiment petit C.
Si les toulousains avait fait la moitié après la déculottée qu il leur on mis l an dernier..
Déjà qu il y a des membres du fofo qui s etait plein que les toulousains avait joué jusqu au bout.
- isitolo31 et Alex chocolatines aiment ceci
#407
Posté 25 mai 2025 - 20:02
Je ne comprends vraiment pas comment le premier réflexe peut-être de chambrer alors que tu viens d'aller chercher une coupe d'Europe.
- Bon Chasseur aime ceci
#408
Posté 25 mai 2025 - 20:22
Je viens de voir une vidéo dans l'avion ou Jalibert et LBB font une danse avec les doigts sur le pou... On peut parler du foot et des argentins...C'était drôle les photos chambrage dans le vestiaire mais la pancarte "Pollock calma calma" lors du défilé 24h après c'est du même niveau que Martinez avec les argentins
Calmez vous les bordelais
- PPR aime ceci
#409
Posté 25 mai 2025 - 20:42
Il faudra grandir un jour petit.
Grandir, c'est accepter la défaite et reconnaître la supériorité de l'adversaire.
Sorry, good game.
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- Eastern Outpost et grospaquet33 aiment ceci
#410
Posté 25 mai 2025 - 20:43
Perso je le connaissais pas il y a 2 mois mais c'est désormais mon ennemi JURÉ
- Bad Zé aime ceci
#411
Posté 25 mai 2025 - 20:45
Pollock joue les Delon ARMITAGE à chaque match et lorsqu'il se fait recadrer, pour une fois, après une finale, il éructe sa frustration.
Il faudra grandir un jour petit.
Grandir, c'est accepter la défaite et reconnaître la supériorité de l'adversaire.
Sorry, good game.
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#412
Posté 25 mai 2025 - 20:52
Toujours pas d’Aymeric?
#413
Posté 25 mai 2025 - 20:52
Perso je le connaissais pas il y a 2 mois mais c'est désormais mon ennemi JURÉ
Laporte et son bracelet élèctronic c'est du mou de veau ?
#414
Posté 25 mai 2025 - 21:00
- Vynce et grospaquet33 aiment ceci
#415
Posté 25 mai 2025 - 22:07
Perso je le connaissais pas il y a 2 mois mais c'est désormais mon ennemi JURÉ
C'est un gamin de 20 ans...
#416
Posté 26 mai 2025 - 06:18
Clairement ça ne grandit pas les bordelais. Bru on savait qu'il avait un boulard énorme, il le confirme. Jalibert, je trouve le joueur extraordinaire, je pensais qu'il avait mis un peu d'eau dans son vin bah non. Comportement d'idiot.
Je ne comprends vraiment pas comment le premier réflexe peut-être de chambrer alors que tu viens d'aller chercher une coupe d'Europe.
perso, il vient quand il veut ...
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Ce premier titre de champion de l’UBB récompense aussi la méthode de Yannick Bru, un manager porté par le souci du détail, qui laisse de la liberté à ses joueurs
Derrière la force tranquille se cache un grand anxieux. Yannick Bru craignait cette finale de Champions Cup face à Northampton (20-28) à Cardiff. C’est là qu’il avait perdu sa première de Coupe d’Europe en tant qu’entraîneur en 2008 avec le Stade Toulousain. Il y avait aussi encaissé 60 points en tant qu’adjoint de l’équipe de France face à la Nouvelle-Zélande en quart de finale de la Coupe du monde 2015. « J’avais plein de mauvais souvenirs. Je pensais que ça allait se reproduire, confiait-il après coup samedi soir. Dans les dix dernières minutes, je me suis dit : putain on va perdre… Mais je me disais que nous avions quand même super bien bossé ».
À son arrivée à l’UBB à l’été 2023, le président Laurent Marti lui avait fixé une feuille de route et un objectif de manière assez informelle, sans lui mettre trop de pression : décrocher un titre sur la troisième année. Il n’a fallu que deux ans au Gersois après une première finale de Top 14 perdue l’an dernier à Marseille face à Toulouse (59-3). Une grosse claque difficile à encaisser mais qui a eu le mérite de servir de leçon. Y compris pour ce manager qui ne rechigne pas à se remettre en question. « Nous avions terminé une saison très positive par un cauchemar, se souvient-il. Je veux tirer un gros coup de coup de chapeau aux leaders. Nous avons beaucoup travaillé pour nous relever et avoir confiance en nous ».
« Pour moi, c’est le meilleur manager français. On n’y serait jamais arrivé sans lui »
Ce premier titre de champion récompense le travail de longue haleine du président, le talent d’une génération étincelante, mais aussi la méthode de Yannick Bru. « Pour moi, il fait partie des tous meilleurs managers français, si ce n’est le meilleur, juge Laurent Marti. C’est le vrai haut niveau. J’admire d’abord son humilité, pour moi c’est une forme de compétence et d’intelligence quand on a eu une telle carrière comme joueur puis entraîneur. Ensuite, c’est un technicien, qui a l’expérience du haut niveau. Et c’est enfin un redoutable compétiteur. On n’y serait pas arrivé sans lui ».
Pas du genre à se mettre en avant, Yannick Bru tempère toujours les louanges qui lui sont destinées. « Je sais très bien qu’on est toujours un meilleur entraîneur quand on a des joueurs comme Jalibert, Lucu, Penaud, Bielle-Biarrey… », a-t-il coutume de rappeler depuis l’an dernier. Au sein du vestiaire, le manager fait en tout cas l’unanimité. À l’écoute de ses joueurs, misant sur la responsabilisation de ces derniers et leur accordant une vraie liberté, il reste le vrai chef d’orchestre.
Le chef d’orchestreInspiré de son mentor Guy Novès, dont il a été l’adjoint à Toulouse (2007-2012), l’ancien talonneur a emmagasiné de l’expérience à la tête de l’Aviron Bayonnais (2018-2022), avec qui il a remporté deux titres de champion de France de Pro D2. Après une année en immersion chez les champions du monde sud-africains (consultant chez les Sharks), il était très attendu à l’UBB, pour une première expérience de manager dans un club jouant les tout premiers rôles. Il a enfilé le costume sans difficulté puisqu’il a fait connaître une première finale de Top 14 au club girondin en juin dernier.
Après ce cauchemar de Marseille (59-3 face à Toulouse), il a su remobiliser ses troupes. Avec son staff, il a pris soin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, en planifiant toutes les semaines au cas par cas concernant le temps de jeu de ses internationaux français. Les larges rotations opérées au sein de l’équipe tout au long de la saison ont permis d’arriver plus frais sur ces matchs couperets.
Dans la quête d’un premier titre, le manager girondin, biberonné aux campagnes européennes avec le Stade Toulousain, n’a jamais dénigré cette Champions Cup. « Yannick a beaucoup insisté sur l’importance de cette compétition, je sentais presque qu’il la préférait au Top 14, témoigne Laurent Marti. Je l’ai laissé faire et on voit le résultat. »
Quelques minutes après le coup de sifflet final samedi, Yannick Bru a couru vers la tribune pour associer ses proches à sa réussite. « Ce sont des moments spéciaux, il faut les faire partager à ceux qui vivent avec vous et pour qui c’est parfois un peu dur, expliquait-il après la finale. Je voulais partager ça avec gens qui comptent, même si les joueurs comptent énormément mais je savais que j’allais passer du temps avec eux. Ma deuxième famille, c’est l’UBB ».
Depuis trois semaines que l'UBB s'était qualifiée pour la finale de Coupe des champions, on a entendu Yannick Bru égrener tous les traumas que la perspective d'un match à Cardiff pouvait faire ressurgir en lui. L'entraîneur de Bordeaux-Bègles a d'abord évoqué la douleur de la finale de Coupe d'Europe perdue en tant qu'entraîneur avec Toulouse, en 2008, laissée au Munster pour un rien (13-16).
Il a mentionné aussi la première finale de la compétition européenne des Rouge et Noir, en 1996, à l'Arms Park, quand il était resté hors groupe (21-18 a.p. contre Cardiff). Et le trophée enfin devant lui, samedi, il n'a pu s'empêcher de faire allusion au quart de finale de Coupe du monde perdu par la France au Millennium, en 2015. « J'avais plein de très mauvais souvenirs à Cardiff, c'est ici que j'ai pris 60 points contre les All Blacks (62-13). J'ai souvent perdu et vécu beaucoup de cauchemars ici ! » Comme un superstitieux invoque ses pires phobies pour conjurer le sort.
C'est pourtant tout l'inverse que l'entraîneur s'est acharné à diffuser au club depuis qu'il l'a rejoint à l'été 2023. La confiance, l'ambition, voilà ce que Bru (52 ans) distille à Bordeaux-Bègles, à sa manière, sans fanfaronnade, et parfois avec une autodérision appréciable, quand il confie avoir compris qu'on est un bien meilleur coach quand on a sous la main d'excellents joueurs. Son propre mérite dans la conquête du premier titre de l'UBB existe pourtant, et ce sont les autres qui se chargent de le mesurer, dans le reflet de la Coupe des champions soulevée samedi. « Cette compétition, j'avoue que je n'avais pas cerné à quel point elle était magique et s'il n'y avait pas eu Yannick, on ne la gagnait jamais, disait le président Laurent Marti, dimanche. Yannick m'a tout de suite dit que c'était une super compétition, il faut la jouer à fond. Je sentais presque qu'il la préférait au Top 14 ! »

Bru l'a remportée deux fois comme joueur (2003, 2005), et une comme adjoint de Guy Novès (2010). Dès son arrivée à Bordeaux, le technicien a emmené le club dans son sillage, convaincu que cette Coupe, malgré ses défauts, sa perte de lisibilité, confronte encore à ce qui se fait de mieux dans le rugby de haut niveau. Et qui correspond bien, en plus, à l'identité de jeu de l'UBB. « Ce qui nous a poussés cette saison, ce sont les émotions que la Coupe d'Europe a suscitées chez nous, nous disait-il l'an dernier. On a une philosophie de jeu basée sur la conservation du ballon et notre ligne de trois-quarts a vraiment pris confiance en elle. La Coupe des champions (depuis 2022-2023) favorise ces qualités. »
Mais le manager précisait immédiatement : « L'UBB reste un club jeune (*), avec l'ambition de remporter un premier trophée, et cette ambition vaut pour la Coupe des champions comme pour le Top 14. » Pas question de priorité. Tous les tableaux sont à jouer. « Yannick nous a posé les bases dès le début et on a adhéré direct : on ne peut pas faire un choix entre la Coupe d'Europe et le Top 14, ce n'était pas possible. On a l'équipe pour jouer les deux compétitions », confirmait le talonneur Maxime Lamothe, sa médaille continentale autour du cou. Bru savait qu'il fallait un titre pour Bordeaux-Bègles, pour valider tout le « cheminement » du club, comme il le dit lui-même.
« Il a été élevé à ça, pour atteindre la cible (...) Et l'expérience de Yannick, vous vous rendez compte ! »
Guy Novès, son entraîneur au Stade Toulousain
« Je l'ai eu récemment, il m'a dit, "oui, c'est super, on a fait une belle saison, mais il n'y a toujours pas de trophée...", sourit Novès, qui pratique Bru depuis qu'il a 18 ans. C'est ça qu'il fallait que Yannick apporte à l'UBB, cette envie de gagner des titres. Il a été élevé à ça, pour atteindre la cible, son centre, et le centre, c'est gagner. » Pour y parvenir, Bru a pu construire avec tout le soutien de son président, Laurent Marti, qui lui en a donné les moyens. Le Gersois a su bâtir un staff consistant, attirant des techniciens croisés au fil de sa carrière (Noel McNamara, Thibault Giroud), confirmant ceux déjà en place (Christophe Laussucq, Jean-Baptiste Poux) et additionnant ceux qu'on pouvait lui présenter (Aurélien Cologni).
« Il s'entoure de super joueurs comme de gens de qualité, qui apportent leur expertise dans leur domaine et ça c'est important, observe Novès. Et l'expérience de Yannick, vous vous rendez compte ! Des années au Stade Toulousain en tant que joueur (1998-2007), des années en tant qu'entraîneur (adjoint, 2007-2012), quelques années en équipe de France (adjoint, 2007-2012), et deux ou trois ans à Bayonne (manager, 2018-2022 - deux titres en ProD2 -) où il a eu d'excellents résultats, une année aux Sharks (adjoint, 2022-2023)... Tout ça, ça fait un type intelligent, capable de gérer et guider un club vers le haut du panier. »

Cet exil, qu'évoque le mentor de Bru, a été son moteur personnel, aussi. Pour apprendre, respirer, lors de sa saison à Durban, par exemple, où il voulait autant récupérer de la pression du Championnat français que tâter le savoir-faire sud-africain. Mais il y avait autre chose. « Gagner ailleurs qu'à Toulouse, c'est une grande réussite, évalue Jean-Baptiste Élissalde, ancien coéquipier et collègue de staff à Toulouse. C'est certain que Yannick l'avait en tête depuis longtemps et que c'était une source de motivation pour lui. » C'est un jalon, pour les ex de la maison Rouge et Noir, se prouver qu'on peut exister ailleurs, et y gagner, surtout.
Pour y parvenir, Bru a su vite tirer les leçons de son premier exercice bordelais. Le potentiel était là, évident, vu la qualification en finale du Top 14. Il manquait quelque chose, malgré tout, et le manager l'a mis en place aussi vite que possible : recruter, pour étoffer l'effectif, mieux gérer les temps de jeu, pour ne pas arriver aux matches qui comptent au bout du rouleau, comme cela avait été le cas en finale du Top 14, la saison dernière. Ce traumatisme toulousain (défaite 59-3), le manager est parvenu à le faire digérer à tout un club en moins d'un an, et à la manière dont il l'évoque, on comprend que ce ne fut pas facile.
Mais, fidèle à son « humilité », comme le dit son président, Bru ne s'en est pas gargarisé samedi. Au coup de sifflet final, l'entraîneur a traversé la pelouse du Principality Stadium seul, loin de l'explosion de joie de ses joueurs, pour aller vers ses proches, dans les tribunes. « Ce sont des moments spéciaux, j'avais envie de le partager avec les gens qui comptent, disait-il, ému, samedi soir. Avec ma famille. Et Bordeaux, c'est ma deuxième famille. La saveur de ce titre est décuplée. C'est celui-là qui compte le plus, il est magnifique. »
- Buckaroo aime ceci
#417
Posté 26 mai 2025 - 07:08
C'est un gamin de 20 ans...
Il y a des gamins de vingt ans plus futés que d'autres.
#418
Posté 26 mai 2025 - 07:09
Il y a des gamins de vingt ans plus futés que d'autres.
D'ailleurs, rien à voir, mais il est où Aymeric ? Encore puni ?
#419
Posté 26 mai 2025 - 07:45
Je viens de voir une vidéo dans l'avion ou Jalibert et LBB font une danse avec les doigts sur le pou... On peut parler du foot et des argentins...
ils sont mechants!
#420
Posté 26 mai 2025 - 07:53
ils sont mechants!
Sac à bière ! Ivrogne ! N'as-tu donc honte de rien ? Tu es pire qu'une bête et tu oses appeler ça "fêter dignement le titre" !
A ta santé, grospaquet33, profite bien !
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