629 réponses à ce sujet

[Arverne93]

Quelques anciens montferrandais non conservés par C Urios !
Mais l'Asm n'est pas l'edf, ils n'ont pas été conservés, non pas pour leur talent mais peut-être par manque d'implication.
Ils ont peut être réfléchi depuis et mis plus de rigueur dans leur comportement.
On a aussi des exemples contraires, Vili par exemple, non conservé malgré de belles promesses rugbystiques.
Il en est déjà à ubb, Vannes et maintenant SF depuis...

[pims]

Je viens de regarder : Dupont n'a pas fait une seule tournée Eté depuis 2017

le meilleur joueur du monde de la planète à peur d'aller jouer hors espace Schengen 

 

Accessoirement : 

1. Ethan de Groot (29)
2. Codie Taylor (96)
3. Fletcher Newell (22
4. Scott Barrett (80) (Captain)
5. Fabian Holland
6. Tupou Vaa’i (38)
7. Ardie Savea (94) (Vice-Captain)
8. Christian Lio-Willie *
9. Cam Roigard (10)
10. Beauden Barrett (134)
11. Rieko Ioane (81)
12. Jordie Barrett (68) (Vice-Captain)
13. Billy Proctor (2)
14. Sevu Reece (32)
15. Will Jordan (41)

16. Samisoni Taukei’aho (30)
17. Ollie Norris *
18. Pasilio Tosi (7)
19. Samipeni Finau (8)
20. Du’Plessis Kirifi *
21. Cortez Ratima (11)
22. Quinn Tupaea (14)
23. Damian McKenzie (61)

[Paolinito]

 

Arf, 79 c'était quelque chose la première victoire la bas, avec Couderc qui chantait la Marseillaise a la fin 

 

Et pile poil 10 ans avant je m étais levé mais c'était pour voir Amstrong sur la lune, mais la tu devais encore être a l état de projet 

 

M. Kuwalsky (je suis plus très sûr de son nom, mais c'était les voisins des Amstrong quand Neil était enfant) aussi avait un sujet dans le pipe à l'état de projet. Que ceux qui ont la réf lèvent la main ! 

[el landeno]

Tom Spring, le nouveau joueur du XV de France qui a passé son enfance à faire des hakas

Né d'un père d'ascendance maori venu jouer au rugby à Garazi, dans le pays basque intérieur, l'ailier bayonnais Tom Spring a passé sa jeunesse à faire des hakas sur demande et avec plaisir. Propulsé titulaire avec le XV de France ce samedi face aux All Blacks, il va écrire une page illustre et émouvante de la saga familiale.

 

 

Moitié kiwi, moitié coq, Tom Spring ne peut techniquement pas être rangé parmi les ovnis chers à Fabien Galthié pour la bonne et simple raison que ces volatiles-là sont inaptes à fendre les nuages. Ce qui ne rend d'ailleurs pas justice à la trajectoire ascensionnelle de l'ailier de l'Aviron Bayonnais - qui peut aussi jouer arrière - tout au long de cette saison. Auteur de l'essai libérateur à Jean-Dauger lors du barrage de Top 14 contre Clermont (20-3), voilà l'athlétique jeune homme de 22 ans (1,86 m, 87 kg) promis à étreindre ce samedi à Dunedin, sur l'île du Sud, une émotion pour la vie, la sienne de vie bien sûr mais aussi celle de la famille la plus « néozède » de toute l'Euskadi.

 

 

Trente-trois ans avant que Tom ne traverse la planète pour jouer au rugby, son paternel Sean avait fait exactement le même chemin en sens inverse. Tout cela nous ramène sous Mitterrand, en décembre 1991, lorsque Pierre Camou, l'ancien président de la FFR et grand bienfaiteur du club de Garazi (Saint-Jean-Pied-de-Port, Pyrénées-Atlantiques) se démenait pour attirer à l'autre bout de son monde un demi d'ouverture doué de chez doué. Un certain Sean Spring.

L'ouvreur kiwi, qui a du sang maori par une de ses grands-mères, avait beau lui dire qu'il s'était plus ou moins engagé avec une équipe anglaise, Camou l'appela tous les lundis pendant des semaines. Et c'est ainsi que la première graine Spring fut plantée en terre basque. Avec Garazi, le pater familias connut la montée en Groupe A, et des amitiés pour la vie. Il épousa une fille du pays, qu'il emmena avec lui en Nouvelle-Zélande jusqu'à ce qu'en 1999, ils ne pussent plus résister au chant du retour en Pays basque.

« Le seul regret que j'ai, c'est que mon papa, son grand-père, nous a quittés il y a deux ans. Il aurait été tellement heureux de voir son petit-fils jouer face aux Blacks »

Sean Spring, le père de Tom

 

 

 

Deux ans plus tard naissait Max, l'aîné de la fratrie, arrière ou ailier au Racing et devenu international il y a quasiment trois ans jour pour jour lors d'une tournée au Japon. Un an après arrivaient les jumeaux Tom et Sam. « Cette semaine, Sam a signé son contrat au Biarritz Olympique et Tom va connaître sa première sélection contre les All Blacks, c'est fou, s'extasie Sean au téléphone, sans oublier de préciser que tout ce petit monde a été formé à l'US Nafarroa, entité née de la fusion de Garazi et Baigorri. Il ne faut pas trop croire aux contes de fée et puis c'est plutôt pour les filles, c'est ça ? Là, c'est vraiment un conte de fée. Le seul regret que j'ai, c'est que mon papa, son grand-père, nous a quittés il y a deux ans. Il aurait été tellement heureux de voir son petit-fils jouer face aux Blacks. Après s'être déplacé, le fief familial s'est établi dans la région d'Hamilton, où aura lieu le troisième test de cette tournée. Pour notre famille, pour notre histoire familiale, ce test à Dunedin est une date qui restera. Beaucoup de souvenirs remontent. J'ai des photos des garçons faisant le haka et ils étaient tout gosses. »

 

 

 

Des hakas, les frangins Spring en ont exécuté des ribambelles. Sur le toit du car de l'équipe de Nafarroa quand Sean en était l'entraîneur et les « triplés » les mascottes ; au mariage d'une cousine ; aux funérailles de Pierre Camou... « Quand on arrivait quelque part, c'était souvent : ''Ah les Spring, faites le haka !'', rigole Max. On nous poussait et on y allait. On a été élevés dans cette double culture, dans l'admiration des All Blacks qui avaient des équipes de dingue quand nous étions petits. Pour nous, c'était un rêve de gosse de jouer contre les All Blacks. Mais un rêve de gosse auquel tu ne crois plus trop quand tu grandis. C'était peut-être pas réalisable... et voilà ce qui arrive ! Il est beau le destin. »

« Tom a longtemps hésité entre rester chez les amateurs avec les copains et le monde pro »

Fabien Galthié

 

 

 

Avant de se faire beau, le destin a mis du temps à se décider, « parce que Tom a longtemps hésité entre rester chez les amateurs avec les copains et le monde pro, résumait Fabien Galthié ce jeudi. Jusqu'à ce qu'une double licence prise à Bayonne le fasse basculer. » Tout puissant soit-il, le destin a parfois besoin de la déchirure à une cuisse d'un copain de club (Cheikh Tiberghien) qui rend réelle une sélection non prévue.

C'est la quatrième fois que Tom voyage en Nouvelle-Zélande. La première, il ne s'en souvient pas. Quand on a 5 mois, rien ne se fige, tout s'efface. « Cette fois, ce sera inoubliable pour lui, et pour nous les Spring », dit Sean. Ni lui ni Max ne pourront se rendre à Dunedin. « Tom a été appelé tardivement, sinon je partais en un clin d'oeil », assure le paternel qui ne coupe jamais avec le haka puisqu'il en a fait quelque part son métier. Avec son ami Michael Clamp, il a monté la société « Haka Maori » qui propose aux entreprises des activités de cohésion autour du haka et de l'histoire de ses ancêtres. « Oui mais samedi à la maison, y'aura pas de haka, promet Max. On chantera la Marseillaise. Des Spring seront dans les tribunes de Dunedin, de la famille qui vit là-bas. Et pour la première fois, les Spring ne seront pas pour les Blacks. »

La tournée d'été des Bleus en Nouvelle-Zélande

Match 1 : Nouvelle-Zélande - France (Dunedin, samedi 5 juillet, 9h05)
Match 2 : Nouvelle-Zélande - France (Wellington, samedi 12 juillet, 9h05)
Match 3 : Nouvelle-Zélande - France (Hamilton, samedi 19 juillet, 9h05)

 

 

[el landeno]

Fabian Holland, le nouveau géant des All Blacks venu des Pays-Bas

 

 

 

 

L'an passé on a dit Scott Robertson conservateur dans ces choix de joueurs mais pour le premier match de sa deuxième saison à la tête de la sélection néo-zélandaise le coach lance de nouveaux visages face au XV de France. Parmi eux le plus attendu est le deuxième ligne Fabian Holland. « Sa vie c'est un film » résume Scott Robertson. Samedi le jeune de 22 ans fera ses débuts sous le maillot noir, face à la France, au Forstyth Barr Stadium devant le public des Highlanders, franchise de Super Rugby qu'il a rejoint en juin 2022.

 

 

« Jouer pour les All Blacks c'est mon rêve de gamin » a avoué ce géant de 2,04 m pour 124 kilos né le 9 octobre 2002 à Castricum, aux Pays-Bas, une bourgade des environs d'Amsterdam. C'est là, au Castricumse Rugby Club qu'il a débuté le rugby à l'âge de 5 ans. Alors qu'il a 11 ans, la visite d'une équipe de rugby à 7 néo-zélandaise va faire naître en lui des rêves en noir. « Les voir s'entraîner a ravivé et renforcé encore plus ma passion pour les All Blacks. »

 

 

À 16 ans, ce fils d'un ingénieur chimiste et d'une maman spécialisée dans la gestion des ressources en eau va quitter les siens pour rejoindre une famille d'accueil au pays du long nuage blanc. Il intègrera le fameux Christchurch Boy's High School établissement où ont étudié des All Blacks célèbres tels qu'Andrew Mehrtens, Dan Carter, Brodie Retallick et Will Jordan. « Ce n'était pas simple de quitter les miens mais j'ai trouvé une seconde famille dans la communauté du rugby », raconte Fabian Holland.

Tout pour les All Blacks

Après avoir joué dans l'équipe première du Christchurch Boys'High School, il a été attiré plus au sud et a fait de Dunedin son nouveau foyer. Son frère cadet, Quinten, l'a rejoint à Dunedin pour ses deux dernières années au King's High School en vue de poursuivre des études de médecine à l'Université d'Otago tout en intégrant le centre de formation des Highlanders. Dominant au placage, spécialiste du grattage, Fabian Holland a été désigné « défenseur de la saison » et « avant de la saison » par les Highlanders.

 

 

 

 

Capable de jouer 80 minutes à un rythme élevé, c'est aussi un bon contreur en touche et un solide porteur de ballons capable de passes après contact pour optimiser la continuité du jeu. Reste à savoir si l'intensité qu'il est capable d'avoir en Super Rugby sera toujours présente au niveau international. Scott Robertson et Nic Gill, le Directeur de la Performance des All Blacks, en sont convaincus.

Fabian Holland est depuis longtemps dans l'oeil de la fédération néo-zélandaise (NZR) et avant d'enfin porter le maillot noir, après six années de résidence en Nouvelle-Zélande, il est passé par les moins de 20 ans et les All Blacks XV en novembre dernier. Consciente de ses qualités, la NZR l'a pris sous contrat jusqu'en 2028.

 

 

[Arverne03]

Au regard de la composition de cette équipe de FRANCE, pour ce premier test, on se dirige ( à mon avis ) vers une grosse raclée ! 

[Alligator427]

Je pense aussi. Voir Rabounet titulaire ...hum
A moins que le projet soit de faire des en avant mêlées

[Eria]

J'aimerais savoir la plus value amenait par Auradou ? il est taillé comme un cure dent, il y a plaithore en 2 eme ligne est ce encore les potos qui placent leur chérubins ? Guillard est bien plus présent à ce poste.
Je ne regarderai pas,même avec un superbe première ligne on va se faire secouer en mêlée...

[Bon Chasseur]

J'aimerais savoir la plus value amenait par Auradou ? il est taillé comme un cure dent, il y a plaithore en 2 eme ligne est ce encore les potos qui placent leur chérubins ? Guillard est bien plus présent à ce poste.
Je ne regarderai pas,même avec un superbe première ligne on va se faire secouer en mêlée...

il a des atouts, qd mm. On l'a fustigé pour les 2 ratés sur renvois au 6N sur un match, mais il a généralement de bonnes mains. Il court (bien pour un gars de 2m) et sa longueur en touche est précieuse. Il est en plus bon plaqueur. Et sa marge de progression est intéressante car il n'a que 21 ans et tient déjà le rythme intl. Ca fait pas mal pour un 2èL. D'ici 3 ans ce sera un cador du Top 14 à son poste, à mon avis. Les options sont rares au poste: un mec de 2m qui fait tout assez bien. Là t'as bien les 1ers choix Meafou, Flament et Guillard, mais derrière Tuilagi est un 2èL côté fermé, massif, le nouveau canadien Duguid similaire, et donc Auradou se trouve assez vite en position favorable. Chalureau, Cazeaux, Boris Palu... c'est assez lent pour le niveau inter, Rebbadj oublié désormais, puis Gabrillagues, Lambey, Iturria, Willemse, tout ça c'est passé la date. Reste Woki: 2è ou 3èL ?

[tekilapaf]

Etant BIEN plus jeune que toi mon cher RCV... mes souvenirs commencent plus ou moins à la CDM 1987 et les tournées d'après, l'essai du bout du monde en 94 de Sadourny, l'homme et demi, celui de Blanco en 1987, Sella 

Moi c'est ça qui me chagrine.

Comment la génération actuelle des bleus, magnifique, n'ira jamais fouler la pelouse d Éden Park, ou défier les blacks dans la house of pain de Dunedin?

Faut imaginer quand même. La superstar mondiale du rugby, Superdupont himself, il n aura jamais combattu les blacks chez eux.

C'est pas sérieux, sans déconner.

[el landeno]

Comment Scott Robertson, sélectionneur des All Blacks, compte s'y prendre pour dominer l'équipe de France

Scott Robertson, le coach des All Blacks, qui restent sur trois défaites de suite face aux Bleus, compte bien profiter d'une équipe de France amoindrie par l'absence de ses joueurs « premium » pour engranger de la confiance.

 

 

 

Le sélectionneur des All Blacks entamera, samedi, sa deuxième saison à la tête des All Blacks. Son Bilan de l'an passé est mitigé : 10 victoires et 4 défaites. Son équipe a également une fâcheuse tendance à baisser de rythme dans les 20 dernières minutes et des soucis récurrents de discipline (11 cartons récoltés lors des 10 derniers tests), loin de l'excellence passée des triples champions du monde (1987, 2011 et 2015).

 

 

Celui qu'on surnomme Razor (en hommage à son passé de troisième-ligne façon sécateur, qui « découpait » ses adversaires au plaquage) se sait attendu sur sa capacité à renouveler le jeu néo-zélandais. Il sent l'exigeante injonction de réamorcer un élan, sinon d'invincibilité mais du moins d'enthousiasme auprès du public en développant un rugby audacieux, efficace et intuitif. « On veut développer un jeu tonique tout en vivacité car c'est notre ADN », répète le coach. Le profil des joueurs retenus laisse à penser qu'il veut s'appuyer sur un cocktail de puissance, de fulgurance et d'intensité pour aider le mythique maillot noir à retrouver son rayonnement.

Un stade avantageux

Le jeu flamboyant - mais risqué - que l'encadrement néo-zélandais souhaite mettre en place exige notamment de la discipline et de la précision technique, nécessite un pack alliant puissance, dynamisme et mobilité et la « to do list » de Razor a du mal à s'écrire sur un simple post-it. Priorité à la vitesse dans les rucks et les contre-rucks ciblés (plusieurs nouveaux joueurs retenus pour ces qualités tels que Du'Plessis Kirifi, Timoci Tanatanavai excellent dans l'art des turnovers). Rapidité de ligne défensive, offloads et continuité de jeu. Développement de profils hybrides avec notamment le centre Rieko Ioane, repositionné à l'aile ou Tupou Vaa'i apte à jouer indistinctement en deuxième ou troisième ligne.

lire aussiDécryptage du offload, la nouvelle arme du XV de France

Y parviendront-ils d'entrée face à une équipe de France que les spécialistes disent amoindrie ? Le terrain sur lequel se disputera samedi soir (9h05 heure française), la première des trois rencontres face aux Bleus pourrait y contribuer. Avec son toit couvert et sa pelouse hybride, le Forsyth Barr Stadium de Dunedin est la surface la plus rapide de Nouvelle-Zélande en cet hiver austral. Bien plus que le Westpac Stadium de Wellington, livré au vent et à la pluie, où les Français se rendront dans 8 jours pour le deuxième test-match (9h05 le samedi 12 juillet).

 

 

 

 

Le Forsyth Barr Stadium de Dunedin où joueront les Bleus samedi. (A. Mounic/L'Équipe)

Les All Blacks ont traditionnellement du retard à l'allumage et des difficultés à négocier leurs premiers matches. Il y a un an, le 6 juillet 2024 à Dunedin, ils avaient frôlé la catastrophe face à l'Angleterre, mais s'étaient finalement imposés d'un rien (16- 15) au terme d'un match très serré. Ils doivent leur succès, en partie, à l'échec au pied de l'Anglais Marcus Smith. La semaine suivante, la revanche à l'Eden Park fut tout aussi étriquée (24-17) et sauvée par un doublé de Mark Telea (11e, 61e) et surtout l'entrée décisive de Beauden Barrett à l'ouverture (49e) qui a permis aux All Blacks de l'emporter.

« 2018, c'est la dernière fois qu'on a chanté dans le vestiaire après avoir battu les Français. Alors on sait ce qui nous attend »

Scott Robertson, sélectionneur des All Blacks

 

 

 

Si Telea est parti pour le Japon, Barret est toujours apte à mener le jeu des Blacks avec brio et ses références sont imparables : 45 essais en 135 sélections. Mais à 34 ans représente-t-il un investissement durable en vue de la coupe du monde 2027 (en Australie) ? Son dauphin, Damian McKenzie, 30 ans, est capable du meilleur comme du pire : il s'est notamment manqué lors de la finale du Super Rugby avec les Chiefs (défaite 16-12).

« La lune de miel de Razor avec le public a vécu, estime un coach kiwi qui souhaite rester anonyme. Les 7 titres glanés avec les Crusaders, le côté sympa avec sa breakdance après les matches, tout ça, c'est fini. Il va devoir prouver au niveau international. Au Crusaders il était le produit d'un environnement. Là il va devoir prouver qu'il peut bâtir un environnement et surtout performer. »

Les All Blacks restent sur trois défaites d'affilée contre la France. « 2018, c'est la dernière fois qu'on a chanté dans le vestiaire après avoir battu les Français, a rappelé Roberston. Alors on sait ce qui nous attend. » Une ample victoire face aux Bleus, comme le 49-14, à Dunedin cette année-là, serait une façon idéale d'attaquer la saison II de l'ère Scott Robertson.

[Alex chocolatines]

Moi c'est ça qui me chagrine.

Comment la génération actuelle des bleus, magnifique, n'ira jamais fouler la pelouse d Éden Park, ou défier les blacks dans la house of pain de Dunedin?

Faut imaginer quand même. La superstar mondiale du rugby, Superdupont himself, il n aura jamais combattu les blacks chez eux.

C'est pas sérieux, sans déconner.

Ben la faute à qui ? des instances du rugby cupides et totalement insensibles à la santé des joueurs. Faut voir le rythme des mecs qui ont tout joué cette année c'est complètement dingue.

Et pour rappel Dupont est blessé. 

[DOUDOU63]

 

Arf, 79 c'était quelque chose la première victoire la bas, avec Couderc qui chantait la Marseillaise a la fin 

 

Et pile poil 10 ans avant je m étais levé mais c'était pour voir Amstrong sur la lune, mais la tu devais encore être a l état de projet 

Merci pour la référence : Et Bala d'ajouter : Le petit COSTES -( Frédéric, il nous sauve le match!!!!...Venant de son aile opposée)....Capter le ballon en l'air et le dégager du terrain pour la fin du match...) Ma minute nostalgie est terminée ...

[Buckaroo]

30s, Reece blessé.

[xdderf63]

lien svp ?