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[ Avant match Barrage ] AB - ASM


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761 réponses à ce sujet

#526 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 12 juin 2025 - 15:38

C'est-à-dire que le cassoulet c'est très bon mais ça fait aller... :bush: Un Armagnac par là-dessus et le pantalon est bon pour le teinturier. :bush:

Il faut savoir préparer le haricot, c'est tout un art  :fume:


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#527 Guédel

Guédel

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Posté 12 juin 2025 - 15:42

Pour moi la saison sera réussi si on se qualifie pour les demi. On doit notre place en partie aux défaites des concurrents et à un petit concours de circonstances. Donc marchons leur dessus et on sera content.

#528 Parigot_Paris

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Posté 12 juin 2025 - 15:51

Pour moi la saison sera réussi si on se qualifie pour les demi. On doit notre place en partie aux défaites des concurrents et à un petit concours de circonstances. Donc marchons leur dessus et on sera content.

Voilà l'esprit CELA DIT faire trébucher les ARROGANTS supporters toulouzaingue est un mets de roi ! :P



#529 Ulysse63

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Posté 12 juin 2025 - 15:53

Pour moi la saison sera réussi si on se qualifie pour les demi. On doit notre place en partie aux défaites des concurrents et à un petit concours de circonstances. Donc marchons leur dessus et on sera content.

Complètement d'accord.
On doit notre place en partie aux défaites des concurrents mais on la doit en partie aussi à la victoire la plus importante de la saison.
Si les concurrents n'ont pas réussi à se qualifier, c'est qu'ils ont trouvé plus fort qu'eux.
La Rochelle n'aurait jamais dû être éliminée.
Cela prouve que le match à ne pas perdre était celui-ci et on a su le gagner.
Donc, on profite de la défaite des autres mais on n'y peut rien s'ils n'ont pas été capables de le faire.
C'est maintenant que l'on va voir si l'on a monté d'un cran et si l'on peut battre plus régulier que nous.


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#530 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 12 juin 2025 - 15:54

Voilà l'esprit CELA DIT faire trébucher les ARROGANTS supporters toulouzaingue est un mets de roi ! :P

Tu tu tu tu tu, moi chuis pas arrogant ; pas d'amalgames môôôôôôssieur Parigot !  :fume:



#531 Parigot_Paris

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Posté 12 juin 2025 - 16:07

Tu tu tu tu tu, moi chuis pas arrogant ; pas d'amalgames môôôôôôssieur Parigot !  :fume:

Rhô l'aut' ! :fume:



#532 el landeno

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Posté 12 juin 2025 - 16:08

Guillaume Rouet à l’Aviron Bayonnais : à jamais le premier rôle
  Lecture 7 min
20250608122540-au4i951.jpg?v=1749737906Arrivé à l’Aviron en 2003, passé pro en 2012, Guillaume Rouet achève son parcours à Bayonne en 2025 par sa première phase finale de Top 14. © Crédit photo : Victor Lapègue/SO
Publié le 12/06/2025 à 16h18.
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Toute sa carrière, Guillaume Rouet a été perçu comme une doublure. Durant treize ans, le demi de mêlée bayonnais s’est échiné à faire mentir les pronostics. Il donnera une dernière danse à Jean-Dauger, ce vendredi, dans la peau d’un titulaire. Comme souvent

Cette fois, ce sera bien la dernière à Jean-Dauger. Ressentez-vous une émotion particulière ?

L‘émotion, c’était surtout pour le match de la semaine dernière (Toulon), vu qu’il y avait un hommage, toute ma famille et tous mes proches. Là, c’est particulier, c’est une phase finale. Je vais faire abstraction de tout ça. J’ai vraiment basculé. C’est un match couperet.

À ce stade, est-ce qu’on regarde déjà dans le rétro pour mesurer le chemin parcouru ?

Non. Là, j’ai envie de profiter à fond. Comme la semaine dernière. J’ai fait abstraction de tout ce qu’il y avait autour pour me concentrer sur le match, pour ne pas laisser trop d’énergie. Je suis vraiment dans le même état d’esprit. Je veux vivre cette fin de saison à fond et surtout ne pas avoir de regrets parce que j’ai pensé à trop de choses et que l’émotion a pris le dessus sur moi.

Auriez-vous imaginé, quelques années en arrière, finir votre carrière à l’Aviron par une phase finale de Top 14 ?

Pour être honnête, non, pas du tout. J’avais même pensé, un temps, arrêter sur le titre de Pro D2 (en 2022). Partir comme ça de Bayonne, c’est une grande satisfaction personnelle (NDLR, il évoluera à Nice, en Nationale, à la rentrée). J’aurai tout connu avec ce club. Maintenant, ce serait beau d’aller le plus loin possible, même si on sait que ça va être très difficile.

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Le manager gersois de 50 ans a explosé les objectifs fixés en qualifiant le club basque pour sa première phase finale depuis 1992, 4e place et barrage à domicile en prime. Ce succès est aussi le sien
20250608000305-8545112.jpg?v=1749737906Comme tous les joueurs partants, le demi de mêlée a reçu un hommage du club, samedi 7 juin contre Toulon. Mais aussi de la part des supporters.
AFP

Pensiez-vous à cette qualification en début de saison ?

Vu notre début de saison, pas trop. Mais depuis que Greg (Patat) est arrivé avec tout son staff (2022), on n’était pas très loin des six. Ça s’est joué à pas grand-chose les années passées. Cette saison, l’effectif a été un peu plus étoffé. Ça nous a permis de garder cette invincibilité à la maison et d’aller chercher quelques points précieux à l’extérieur.

L’effectif étoffé, c’est la principale raison de votre évolution ?

Oui, et la patte de Ged (Fraser) et de Greg. On connaît de plus en plus le système de jeu. On sait comment ils veulent fonctionner. C’est aussi à souligner.

L’Aviron est « candidat au Brennus » pour Grégory Patat. C’est factuellement le cas. Y pensez-vous ?

On n’en parle pas pour l’instant, ou juste en déconnant. On se concentre sur le match de vendredi. Ça ne sert à rien de se projeter. Moi, je suis comme ça. Je n’aime pas me projeter pour ne pas que ça me porte la guigne. Peut-être que si on est en demi-finale, comme il ne restera plus qu’un match pour accéder à la finale, on commencera à en parler… Mais avant la grosse équipe du Stade Toulousain, il y a Clermont, un match très compliqué. J’espère qu’on l’abordera de la meilleure des manières.

« Certains sont montés très haut alors qu’ils ont juste fait 2 ou 3 matchs. J’ai eu l’impression qu’il fallait que je fasse 5 ou 6 saisons pleines pour être légitime »

Dans votre carrière, vous étiez souvent le deuxième ou troisième choix à votre poste. Le compreniez-vous ?

Au début, oui. Tu commences ta carrière, tu as tes preuves à faire. Certains joueurs sont montés très haut alors qu’ils ont juste fait 2 ou 3 matchs. Contrairement à eux, j’ai eu l’impression qu’il fallait que je fasse 5 ou 6 saisons pleines pour être légitime en tant que numéro 1. Il y a eu des moments où ça m’a… Pas gonflé, mais je me suis dit que ça ne suffisait pas, qu’il fallait encore en faire plus vu que le club recrutait à chaque fois une pointure à ce poste. Je me suis dit que je ne leur allais pas. Mais à la fois, c’était une motivation de me dire : « Je vais leur prouver qu’une fois de plus, je vais réussir à m’imposer. » Peut-être que sans concurrence, inconsciemment, tu te reposes un peu sur tes acquis, tu travailles peut-être moins et au final, tu ne progresses plus du tout.

Quels sont les moments où ça vous a agacé ?

On va dire sur les 6-7 dernières années. À chaque fois, le club recrutait. Mais c’est aussi ça, le haut niveau. Il te faut plusieurs joueurs au poste, vu qu’il y a beaucoup de matchs. Si c’est bien expliqué, ça passe toujours bien. Par exemple, Yannick (Bru) aime les profils complémentaires donc il m’avait expliqué pourquoi il recrutait Michael Ruru. Je le comprenais.

En avez-vous voulu à certains entraîneurs ?

Non, non. Je ne suis pas très rancunier, moi. Heureusement, d’ailleurs (rires).

paysbasque-20250426195640-49i17851.jpg?vEntre 2012 et 2025, le numéro 9 aura souvent été le sien.
Bruno Bereau

Auriez-vous eu la même carrière si vous aviez été plus souvent dans la peau d’un numéro 1 ?

Ça, on ne le saura pas. La concurrence m’a aidé. Ça m’a aidé mentalement. Comme mes blessures quand j’ai commencé ma carrière (NDLR, deux ruptures des ligaments croisés du genou droit en onze mois, en septembre 2010 et octobre 2011). Tout le monde me voyait fini et repartir jouer à Hasparren.

Vous débutez en pro en 2012, à 24 ans. C’est tard…

C’est sûr, oui. Bon, ce n’était pas trop dans la politique de l’Aviron de faire jouer les jeunes. On n’était pas nombreux. Au centre de formation, il y avait juste François (Carrillo) et moi avec un contrat espoir. Sous Christian Gajan, j’avais fait les matchs amicaux avec les pros, à 20 ou 21 ans. Il m’avait dit qu’il comptait me faire jouer un peu. Le dimanche suivant, je m’étais blessé contre les espoirs d’Agen. Vers la fin du match, en plus. J’étais revenu et deux ou trois matchs après, je m’étais re-pété. Un an et demi encore sans jouer. Mentalement, ça a été dur. J’ai donc débuté tard mais au final, à 36 ans, je me sens bien, même mentalement. Peut-être que si j’avais commencé à 18 ans, j’aurais arrêté beaucoup plus tôt.

« Je crois beaucoup au destin. Je me dis que c’était écrit, que c’était cette année que je devais arrêter avec l’Aviron Bayonnais. Je ne pouvais pas rêver mieux »

Êtes-vous un demi de mêlée plus proche des avants ou des trois quarts ?

(Il réfléchit) C’est vrai que dans mon cercle d’amis, j’ai toujours été plus proche des avants. Dès les Reichel puisque je suis encore très ami avec François (Carrillo), Daritx’ (Raphaël Darritchon) et Goy (Fabien Goyeneche). J‘aime bien les emmerder. J‘adore chambrer et les avants plongent assez souvent. Dans l’équipe actuelle, il y a Baptiste Chouzenoux, dont je suis très proche. Je m’entends aussi très bien avec Rémy Bourdeau, Esteban (Capilla), Arthur (Iturria)… Ce sont des mecs que j’aime bien titiller au quotidien.

On sait que vous auriez aimé finir votre carrière à l’Aviron Bayonnais. Cette déception est-elle digérée ?

Franchement, vu la saison qu’on fait, je suis très heureux de partir comme ça. Je crois beaucoup au destin. Je me dis que c’était écrit, que c’était cette année que je devais arrêter avec l’Aviron Bayonnais. Et le fait qu’elle se termine ainsi, je pense que je ne pouvais pas rêver mieux.

Est-ce que vous vous voyez revenir dans le futur ?

Je vais passer d’abord mes diplômes d’entraîneur, voir si ça me plaît. Mais intégrer l’association au centre de formation, c’est quelque chose qui me plairait. À l’Aviron Bayonnais d’autant plus, parce que je pense que j’aurai de la crédibilité auprès des jeunes, vu le parcours que j’ai eu en étant issu du club. J’aime bien aussi transmettre, notamment au poste. C’est quelque chose qui me plairait. L’avenir me le dira.

20250608000520-8545312.jpg?v=1749737906Le joueur de 36 ans, à sa sortie du terrain face à Toulon. Non conservé par l’Aviron, il évoluera à Nice (Nationale) la saison prochaine.
AFP
Ses années bayonnaises Le plus fort ?
Je dirais (Lisiate) Fa’aoso ou (Gabiriele) Lovobalavu. Fa’aoso, tu ne l’entendais jamais mais sur le terrain, on se comprenait très bien. Pour moi, il savait tout faire. Il était très rugby. Sans un problème de santé, il aurait signé au Racing. Il m’avait impressionné. Et Lovobalavu, pareil. Il est un peu dans le style de Sireli (Maqala). C’est un mec qui pouvait te faire basculer un match à tout moment. Il te décantait des situations improbables et te remettait à chaque fois dans l’avancée.
Le plus fou ?
C’est dur… (Julien) Jané ou (Marvin) O’Connor. Je vais dire Marvin. Parce que sur un terrain, il était foufou, même s’il fait quatre ans de très haut niveau à Bayonne, à tous les matches. Mais il est fou parce que c’est un mec qui vit à 2000 à l’heure. Il est adorable, entier. Et puis, il lui arrive toujours des trucs…
Le plus drôle ?
Je vais dire Baptiste Chouzenoux. Personne ne pense à lui mais il a toujours la bonne sortie au bon moment. Il y en a qui sortent des blagues tout le temps, comme Arga (Grégory Arganèse) mais il faut trier. Chouzenoux, c’est toujours bien placé, toujours très fin.
Le plus méchant ?
Tom Spring ? (Rires) Non, je vais dire Dwayne Haare, en termes d’agressivité sur le terrain.
Un match ?
Oyonnax-Bayonne, en demi-finale de Pro D2 (2019). Pour le match, en général (NDLR, mené 27-9 à la 48e minute, l’Aviron va s’imposer 34-38). Même si on est mené à la pause, on fait quand même une bonne première mi-temps dans l’ensemble, hormis un passage à vide de dix minutes. Et puis il y a cette deuxième mi-temps, où tu sentais que c’était écrit pour nous. Il y a l’anecdote de Yannick (Bru), qui, dans ses causeries d’avant-match, nous montrait toujours des actions positives du match d’avant. Là, il avait totalement changé. Il nous avait montré la remontada de Liverpool à Barcelone quelques jours plus tôt. C’est quand même fou. Improbable.
Un entraîneur ?
Je dirais Christophe Deylaud parce que c’est le premier qui m’a donné la chance de m’exprimer au haut niveau. En termes de rugby aussi, franchement, aux entraînements, c’était un régal. Il variait toujours. Sans lui, je n‘aurais pas eu la carrière que j’ai faite.
Un ami ?
J’en ai plein. Je vais dire Julien Jané, même s’il y a aussi Marvin (O’Connor), Joannes (Henry) et Jean (Monribot). Julien a été mon témoin de mariage. C’est quelqu’un qui est toujours là quand il faut, toujours présent même si on se voit moins qu’avant, autant parce qu’il habite à Béziers qu’à cause de sa célébrité depuis qu’il est passé sur M6 (NDLR, dans l’émission, Qui veut être mon associé ?)
Une action ?
Il y a la spéciale dans l’axe avec Jean (Monribot) mais je dirais mon premier essai en Top 14, à Agen (9 mars 2013, victoire 20-30). « Titi » Garcia était blessé. Je fais tout le match parce qu’il n’y a pas de 9 remplaçant. Je marque sur une interception. La veille à la vidéo, Christophe Deylaud m’avait montré qu’Alexis Balès portait beaucoup le ballon et qu’il faisait souvent sa remise intérieure. Et voilà, je l’ai intercepté au niveau des 40, devant mes parents et ma femme qui étaient là. Après mes années de galère, de blessures, ce n’était pas un soulagement mais beaucoup de joie d’avoir marqué.
Une boulette ?
J’en ai fait, au moins ? (Rires) Je vais dire mon jeu au pied. J’ai pas souvenir de m’être fait contrer mais des jeux au pied qui ne faisaient pas dix mètres, oui.
Un regret ?
Mon regret, c‘est François (Carrillo). Ce n’est même pas rugbystique parce que des erreurs, j’en ai fait plein et ça permet d’apprendre. Juste j’aurais aimé jouer avec lui (NDLR, victime d’un arrêt cardiaque à l’échauffement d’un match contre Mont-de-Marsan, le 3e ligne est réanimé mais déclaré inapte pour le haut niveau à 24 ans). C’est le seul truc que je ne maîtrisais pas. C’est vraiment ça, le regret. Qui sait, peut-être qu’un jour, on entraînera ensemble. Ce serait bien.
Une saison ?
2015-2016. Rugbystiquement, on fait une très belle saison, même si on a eu un petit passage à vide en hiver. Mais vu comment c’était parti… (L’Aviron vient de descendre et il n’y a qu’une quinzaine de joueurs à la reprise). Avec l’arrivée d’Etchet’ (Vincent Etcheto), ça a matché tout de suite, dès le stage de présaison… C‘est facile à dire maintenant, mais à ce moment-là, vu comment on s’entendait tous bien, la cohésion de groupe, j’avais dit qu’on ferait une grande saison.
La plus belle troisième mi-temps ?
Cette année-là, quand on gagne la finale contre Aurillac. Le retour à Bayonne restera le meilleur souvenir. On est sur le balcon (de la mairie), toute la ville nous a attendu alors qu’on est rentré tardivement de Toulouse. J’ai toujours les vidéos sur mon téléphone. Quand je les revois, j’ai l’impression que c’est l’ouverture des Fêtes de Bayonne. C’était fabuleux à vivre et ça, je sais que je ne le revivrai pas. C’était bon. Même si on a eu deux titres de champion de France après (2019, 2022), pour moi, ce n‘était pas à la hauteur de ce qu’on a vécu cette année-là.
Une anecdote jamais racontée ?
Monribot, la veille des matchs, aimait bien se cacher sous le buffet pour mettre de la moutarde ou du fromage blanc sur les mecs qui étaient en tong. Une fois, à Grenoble, il s’avère qu’il en avait mis, sans le savoir, sur les chaussures pointues et bien brillantes du directeur de l’hôtel. Il n’était pas très à l’aise.
 
 

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#533 P'tit Jaune (et bleu)

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Posté 12 juin 2025 - 16:13

Compo ?



#534 Ulysse63

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Posté 12 juin 2025 - 16:50

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#535 darkminimouf

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Posté 12 juin 2025 - 16:52

Pas de Frisach

#536 Ulysse63

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Posté 12 juin 2025 - 16:55

Pas de Frisach

Blessé à un adducteur.

https://www.asm-rugb...le-xv-de-depart

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#537 clum63_

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Posté 12 juin 2025 - 17:03

La voici.attachicon.gif 20250612_174945.jpg

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Je comprends mal la titularisation de Fourcade m'enfin sinon on fait avec ce qu'on a 



#538 zebdomes

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Posté 12 juin 2025 - 17:04

Pas de Frisach


Pas de Tauzin non plus, banc 6+2... Simone présent, j'espère que Urios sait ce qu'il fait.

#539 Ulysse63

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Posté 12 juin 2025 - 17:05

 
Je comprends mal la titularisation de Fourcade m'enfin sinon on fait avec ce qu'on a 

Massa est blessé ?

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#540 lecoon

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Posté 12 juin 2025 - 17:11

Pas de Massa je comprends pas trop non plus






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