C'est-à-dire que le cassoulet c'est très bon mais ça fait aller...
Un Armagnac par là-dessus et le pantalon est bon pour le teinturier.
Il faut savoir préparer le haricot, c'est tout un art
Posté 12 juin 2025 - 15:38
C'est-à-dire que le cassoulet c'est très bon mais ça fait aller...
Un Armagnac par là-dessus et le pantalon est bon pour le teinturier.
Il faut savoir préparer le haricot, c'est tout un art
Posté 12 juin 2025 - 15:42
Posté 12 juin 2025 - 15:51
Pour moi la saison sera réussi si on se qualifie pour les demi. On doit notre place en partie aux défaites des concurrents et à un petit concours de circonstances. Donc marchons leur dessus et on sera content.
Voilà l'esprit CELA DIT faire trébucher les ARROGANTS supporters toulouzaingue est un mets de roi !
Posté 12 juin 2025 - 15:53
Complètement d'accord.Pour moi la saison sera réussi si on se qualifie pour les demi. On doit notre place en partie aux défaites des concurrents et à un petit concours de circonstances. Donc marchons leur dessus et on sera content.
Posté 12 juin 2025 - 15:54
Voilà l'esprit CELA DIT faire trébucher les ARROGANTS supporters toulouzaingue est un mets de roi !
Tu tu tu tu tu, moi chuis pas arrogant ; pas d'amalgames môôôôôôssieur Parigot !
Posté 12 juin 2025 - 16:07
Tu tu tu tu tu, moi chuis pas arrogant ; pas d'amalgames môôôôôôssieur Parigot !
Rhô l'aut' !
Posté 12 juin 2025 - 16:08
Toute sa carrière, Guillaume Rouet a été perçu comme une doublure. Durant treize ans, le demi de mêlée bayonnais s’est échiné à faire mentir les pronostics. Il donnera une dernière danse à Jean-Dauger, ce vendredi, dans la peau d’un titulaire. Comme souvent
Cette fois, ce sera bien la dernière à Jean-Dauger. Ressentez-vous une émotion particulière ?
L‘émotion, c’était surtout pour le match de la semaine dernière (Toulon), vu qu’il y avait un hommage, toute ma famille et tous mes proches. Là, c’est particulier, c’est une phase finale. Je vais faire abstraction de tout ça. J’ai vraiment basculé. C’est un match couperet.
À ce stade, est-ce qu’on regarde déjà dans le rétro pour mesurer le chemin parcouru ?
Non. Là, j’ai envie de profiter à fond. Comme la semaine dernière. J’ai fait abstraction de tout ce qu’il y avait autour pour me concentrer sur le match, pour ne pas laisser trop d’énergie. Je suis vraiment dans le même état d’esprit. Je veux vivre cette fin de saison à fond et surtout ne pas avoir de regrets parce que j’ai pensé à trop de choses et que l’émotion a pris le dessus sur moi.
Auriez-vous imaginé, quelques années en arrière, finir votre carrière à l’Aviron par une phase finale de Top 14 ?
Pour être honnête, non, pas du tout. J’avais même pensé, un temps, arrêter sur le titre de Pro D2 (en 2022). Partir comme ça de Bayonne, c’est une grande satisfaction personnelle (NDLR, il évoluera à Nice, en Nationale, à la rentrée). J’aurai tout connu avec ce club. Maintenant, ce serait beau d’aller le plus loin possible, même si on sait que ça va être très difficile.
Pensiez-vous à cette qualification en début de saison ?
Vu notre début de saison, pas trop. Mais depuis que Greg (Patat) est arrivé avec tout son staff (2022), on n’était pas très loin des six. Ça s’est joué à pas grand-chose les années passées. Cette saison, l’effectif a été un peu plus étoffé. Ça nous a permis de garder cette invincibilité à la maison et d’aller chercher quelques points précieux à l’extérieur.
L’effectif étoffé, c’est la principale raison de votre évolution ?
Oui, et la patte de Ged (Fraser) et de Greg. On connaît de plus en plus le système de jeu. On sait comment ils veulent fonctionner. C’est aussi à souligner.
L’Aviron est « candidat au Brennus » pour Grégory Patat. C’est factuellement le cas. Y pensez-vous ?
On n’en parle pas pour l’instant, ou juste en déconnant. On se concentre sur le match de vendredi. Ça ne sert à rien de se projeter. Moi, je suis comme ça. Je n’aime pas me projeter pour ne pas que ça me porte la guigne. Peut-être que si on est en demi-finale, comme il ne restera plus qu’un match pour accéder à la finale, on commencera à en parler… Mais avant la grosse équipe du Stade Toulousain, il y a Clermont, un match très compliqué. J’espère qu’on l’abordera de la meilleure des manières.
« Certains sont montés très haut alors qu’ils ont juste fait 2 ou 3 matchs. J’ai eu l’impression qu’il fallait que je fasse 5 ou 6 saisons pleines pour être légitime »
Dans votre carrière, vous étiez souvent le deuxième ou troisième choix à votre poste. Le compreniez-vous ?
Au début, oui. Tu commences ta carrière, tu as tes preuves à faire. Certains joueurs sont montés très haut alors qu’ils ont juste fait 2 ou 3 matchs. Contrairement à eux, j’ai eu l’impression qu’il fallait que je fasse 5 ou 6 saisons pleines pour être légitime en tant que numéro 1. Il y a eu des moments où ça m’a… Pas gonflé, mais je me suis dit que ça ne suffisait pas, qu’il fallait encore en faire plus vu que le club recrutait à chaque fois une pointure à ce poste. Je me suis dit que je ne leur allais pas. Mais à la fois, c’était une motivation de me dire : « Je vais leur prouver qu’une fois de plus, je vais réussir à m’imposer. » Peut-être que sans concurrence, inconsciemment, tu te reposes un peu sur tes acquis, tu travailles peut-être moins et au final, tu ne progresses plus du tout.
Quels sont les moments où ça vous a agacé ?
On va dire sur les 6-7 dernières années. À chaque fois, le club recrutait. Mais c’est aussi ça, le haut niveau. Il te faut plusieurs joueurs au poste, vu qu’il y a beaucoup de matchs. Si c’est bien expliqué, ça passe toujours bien. Par exemple, Yannick (Bru) aime les profils complémentaires donc il m’avait expliqué pourquoi il recrutait Michael Ruru. Je le comprenais.
En avez-vous voulu à certains entraîneurs ?
Non, non. Je ne suis pas très rancunier, moi. Heureusement, d’ailleurs (rires).
Auriez-vous eu la même carrière si vous aviez été plus souvent dans la peau d’un numéro 1 ?
Ça, on ne le saura pas. La concurrence m’a aidé. Ça m’a aidé mentalement. Comme mes blessures quand j’ai commencé ma carrière (NDLR, deux ruptures des ligaments croisés du genou droit en onze mois, en septembre 2010 et octobre 2011). Tout le monde me voyait fini et repartir jouer à Hasparren.
Vous débutez en pro en 2012, à 24 ans. C’est tard…
C’est sûr, oui. Bon, ce n’était pas trop dans la politique de l’Aviron de faire jouer les jeunes. On n’était pas nombreux. Au centre de formation, il y avait juste François (Carrillo) et moi avec un contrat espoir. Sous Christian Gajan, j’avais fait les matchs amicaux avec les pros, à 20 ou 21 ans. Il m’avait dit qu’il comptait me faire jouer un peu. Le dimanche suivant, je m’étais blessé contre les espoirs d’Agen. Vers la fin du match, en plus. J’étais revenu et deux ou trois matchs après, je m’étais re-pété. Un an et demi encore sans jouer. Mentalement, ça a été dur. J’ai donc débuté tard mais au final, à 36 ans, je me sens bien, même mentalement. Peut-être que si j’avais commencé à 18 ans, j’aurais arrêté beaucoup plus tôt.
« Je crois beaucoup au destin. Je me dis que c’était écrit, que c’était cette année que je devais arrêter avec l’Aviron Bayonnais. Je ne pouvais pas rêver mieux »
Êtes-vous un demi de mêlée plus proche des avants ou des trois quarts ?
(Il réfléchit) C’est vrai que dans mon cercle d’amis, j’ai toujours été plus proche des avants. Dès les Reichel puisque je suis encore très ami avec François (Carrillo), Daritx’ (Raphaël Darritchon) et Goy (Fabien Goyeneche). J‘aime bien les emmerder. J‘adore chambrer et les avants plongent assez souvent. Dans l’équipe actuelle, il y a Baptiste Chouzenoux, dont je suis très proche. Je m’entends aussi très bien avec Rémy Bourdeau, Esteban (Capilla), Arthur (Iturria)… Ce sont des mecs que j’aime bien titiller au quotidien.
On sait que vous auriez aimé finir votre carrière à l’Aviron Bayonnais. Cette déception est-elle digérée ?
Franchement, vu la saison qu’on fait, je suis très heureux de partir comme ça. Je crois beaucoup au destin. Je me dis que c’était écrit, que c’était cette année que je devais arrêter avec l’Aviron Bayonnais. Et le fait qu’elle se termine ainsi, je pense que je ne pouvais pas rêver mieux.
Est-ce que vous vous voyez revenir dans le futur ?
Je vais passer d’abord mes diplômes d’entraîneur, voir si ça me plaît. Mais intégrer l’association au centre de formation, c’est quelque chose qui me plairait. À l’Aviron Bayonnais d’autant plus, parce que je pense que j’aurai de la crédibilité auprès des jeunes, vu le parcours que j’ai eu en étant issu du club. J’aime bien aussi transmettre, notamment au poste. C’est quelque chose qui me plairait. L’avenir me le dira.
Posté 12 juin 2025 - 16:13
Compo ?
Posté 12 juin 2025 - 16:50
Posté 12 juin 2025 - 16:52
Posté 12 juin 2025 - 16:55
Blessé à un adducteur.Pas de Frisach
Posté 12 juin 2025 - 17:03
La voici.
20250612_174945.jpg
Envoyé de mon 2306EPN60G en utilisant Tapatalk
Je comprends mal la titularisation de Fourcade m'enfin sinon on fait avec ce qu'on a
Posté 12 juin 2025 - 17:04
Pas de Frisach
Posté 12 juin 2025 - 17:05
Massa est blessé ?
Je comprends mal la titularisation de Fourcade m'enfin sinon on fait avec ce qu'on a
Posté 12 juin 2025 - 17:11
Pas de Massa je comprends pas trop non plus
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