Dommage que Ruiz ou Cardona ne soient plus en activité.Histoire de parfaire la saison j'aurais choisi Charabas qui dans un bon jour peu exhauster la haine des supporters des deux camps comme personne.
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Posté 23 juin 2025 - 20:40
Dommage que Ruiz ou Cardona ne soient plus en activité.Histoire de parfaire la saison j'aurais choisi Charabas qui dans un bon jour peu exhauster la haine des supporters des deux camps comme personne.
Posté 23 juin 2025 - 20:45
J'ai le droit de pas aimer certains de vos joueurs (et pourtant j'ai tjrs milité pour avoir Jalibert plutot que N'Tamack en EDF).
A contrario ça m'a fait plaisir pour Lucus qui mérite et à l'air d'avoir une bonne mentalité.
Apres tu colles plein de faits incohérents pour donner de la consistance à ton propos.
Pollock est un "connard prétentieux" ? Franchement, faut se détendre, appart chambrer un peu, il n'a jamais agressé personne sur un terrain de rugby pour l'instant.
C'est pas plutot un délis de faciés car il est jeune et talentueux et qu'il a une bonne tête d'Anglais ?
Apres si ça te sert à justifier l'attitude pourri de certains de tes joueurs, et bien tant mieux.
Allez comme Farell à son époque qui se faisait insulter gratuitement parfois sans raisons à longueur de temps sur les réseaux Français. Perso, j'ai tjrs trouvé ça stupide.
Mais OÙ ai je dis que Pollock était un connard prétentieux? OU??
ce que je regrette c’est que certain médias sur médiatisent les affaires Jalibert, le traitement est complètement différent avec les joueurs du ST sur le même type de conneries…
…..car oui j’ai toujours dit ici que je déteste le chambrage, c’est puéril et stupide.
enfin, » l’attitude pourrie de certains de mes joueurs », de qui parles tu?
et ne t’en déplaise, mais la declaration de NTK post CM révèle d’une mentalité plus que douteuse. .
Histoire de parfaire la saison j'aurais choisi Charabas qui dans un bon jour peu exhauster la haine des supporters des deux camps comme personne.
Ce qui sera la preuve d’un arbitrage équitable!
Posté 23 juin 2025 - 20:48
Le truc que je ne comprends vraiment pas avec Toulouse cette année, c'est comment ils ont pu perdre leur rugby comme ça en quelques semaines.
Si tu as une explication...
Ou plutôt des explications, je suppose.
L'absence Dupont sur le mental. Pas que le Rugby pur. Il faut un moteur à toute équipe comme on sait, et t'as qd mm un trou énorme sans Dupont donc inconsciemment la motivation et la confiance ne sont pas les mêmes. A l'entraînement la semaine, à imaginer l'avenir proche à tes heures perdues, qd tu te torches le cul le soir et que t'es pensif tout seul... Ramos est un leader qui pousse les troupes, mais est ce que ça suffit ? Y a pas mal eu de blessés, de méformes, de gars qui rentrent qui sortent...je dirais qu'ils sont à peu près là où on pouvait les attendre tout compte fait: très forts, mais pas trèstrèstrès très forts comme l'an dernier.
Posté 23 juin 2025 - 20:49
Dommage que Ruiz ou Cardona ne soient plus en activité.
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Ben certains ne me manquent pas du tout comme Poite, Descottes ou Marchat. Je ne pouvais pas les encaisser.
j’ai aussi du mal à suivre l’arbitrage de Rousselet, de Charabas aussi.
c’est vrai que Brousset est plutôt un bon arbitre mais j’aurais franchement pas fait ce choix pour la finale. Qu’il me donne tord!
Posté 23 juin 2025 - 21:01
Ça commence déjà à râler sur les réseaux parce que l'arbitre de la finale est issu de Haute Garonne.
Mafia cassoulet
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Posté 23 juin 2025 - 21:13
Trainini a été "rétrogradé" ?Ben certains ne me manquent pas du tout comme Poite, Descottes ou Marchat. Je ne pouvais pas les encaisser.
j’ai aussi du mal à suivre l’arbitrage de Rousselet, de Charabas aussi.
c’est vrai que Brousset est plutôt un bon arbitre mais j’aurais franchement pas fait ce choix pour la finale. Qu’il me donne tord!
Surtout pour une finale.C'est tout de même un choix incompréhensible !
Posté 23 juin 2025 - 21:34
Mais OÙ ai je dis que Pollock était un connard prétentieux? OU??
ce que je regrette c’est que certain médias sur médiatisent les affaires Jalibert, le traitement est complètement différent avec les joueurs du ST sur le même type de conneries…
…..car oui j’ai toujours dit ici que je déteste le chambrage, c’est puéril et stupide.
enfin, » l’attitude pourrie de certains de mes joueurs », de qui parles tu?
et ne t’en déplaise, mais la declaration de NTK post CM révèle d’une mentalité plus que douteuse. .
Ce qui sera la preuve d’un arbitrage équitable!
ah pardon, il semblerait que j'ai mal lu ta phrase en effet.
Toutes mes excuses!
Et oui N'Tamack je suis ni fan de son style de jeux ni de sa mentalité. Je prefere Jalibert, mais, il semble avoir du mal à jouer avec Dupont qui prend trop de place dans le jeux alors qu'il en a lui meme besoin de beaucoup.
Pas sûr que leurs styles soit compatible malheureusement...
Posté 24 juin 2025 - 06:04
Dix sur dix. C'est la note du Stade Toulousain en finale du Top 14 ou de la Coupe des champions. Le club rouge et noir a en effet remporté les dix dernières finales qu'il a disputées, ce qui fait quand même de lui une sorte de spécialiste mondial de ces matches où se gagnent une renommée et une extension de palmarès. Reprenez l'historique des compétitions majeures du rugby de clubs. Toulouse ne s'est plus pris les pieds dans le tapis de la dernière marche depuis sa défaite face au Munster (13-16), en Coupe d'Europe, au printemps 2008.
Depuis, dix-sept ans ont passé et le club haut-garonnais est revenu dix fois à ce dernier stade sans jamais reconnaître le goût amer de l'échec. Il a parfois perdu en demi-finales, parfois avant, mais jamais en finale. Évidemment, une telle constance dans l'excellence à ce niveau interpelle. Parce que ça ne peut pas être un hasard. Gagner une finale est au contraire un art qui s'apprend, qui s'apprivoise. C'est l'art de ne pas jouer le match avant, de se délester de cette pression inévitable qui vous enserre comme un étau, d'arriver ensemble et le même jour à 100 % de son potentiel, et d'être bien sûr soi-même le Jour J pour ne pas nourrir de regrets.
« Quand tu gagnes une fois, tu as envie de gagner tout le temps »
Romain Ntamack
Tout cela, Toulouse sait faire. « Les joueurs de cette génération ont l'habitude de jouer ce genre de matches, disait l'ouvreur Romain Ntamack juste avant la finale du Top 14 de la saison dernière contre l'UBB (59-3). L'expérience fait qu'on arrive de mieux en mieux à les gérer, on a pris de la maturité. Même quand on est menés, il n'y a pas d'affolement, on arrive à rester calme en toutes circonstances. Le truc, c'est que quand tu gagnes une fois, tu as envie ensuite de gagner tout le temps. Tu deviens addict. »
La victoire appelle la victoire, c'est une chose, mais encore faut-il avoir des joueurs suffisamment talentueux et ambitieux pour entretenir cette dynamique vertueuse et ce savoir-faire. Toulouse les a, évidemment. La plupart d'entre eux, formés au club, ont remporté des titres avec les Crabos ou les Espoirs. Ils ont appris très tôt à gagner, à s'amouracher jusqu'à l'adoration de cette sensation exaltante de toute-puissance quand vient le moment de soulever un trophée. « Cette envie de gagner est ancrée en nous, répète souvent l'arrière Thomas Ramos, qui n'est jamais le dernier pour la véhiculer. On nous l'inculque dès le plus jeune âge dans le club. »
Et puis, la génération actuelle semble portée par le désir ardent de devenir la plus titrée de l'histoire du Stade Toulousain. De dépasser en nombre de trophées tous ces anciens joueurs devenus entraîneurs ou dirigeants du club qui ne cessent de leur répéter qu'ils ont encore quelques lignes à écrire avant d'égaler leur palmarès. « Cette équipe-là a beaucoup d'appétit, admet le manager Ugo Mola. Elle a envie de marquer son passage au Stade Toulousain. »
C'est sans doute pour ça aussi que Toulouse est si difficile à battre en finale. Qu'il finit toujours par avoir le dernier mot, quels que soient l'impression laissée lors du match d'avant, en demi-finales, et le scénario de la finale. C'est dire la dureté du challenge que devra relever l'UBB, samedi soir, au Stade de France.
Posté 24 juin 2025 - 06:15
L’ancien entraîneur du Stade Toulousain revient sur le parcours de son club jusqu’à la finale du Top 14 et sur la rivalité qui l’oppose à l’Union Bordeaux-Bègles, son adversaire samedi
Après avoir été porté aux nues, le Stade Toulousain a semblé moins flamboyant en demi-finale. Est-ce qu’on n’a pas minimisé le poids des blessures de joueurs clés comme Antoine Dupont, Peato Mauvaka ou Ange Capuozzo ?
La certitude, c’est qu’il est préférable d’avoir la majorité de tes excellents joueurs. Est-ce que ces absences ont une incidence sur le rendement du club : oui, c’est possible. Sur les derniers matchs de la saison régulière, il y a eu un énorme turnover pour essayer de préparer la demi-finale et les résultats ont été logiques quand on procède à de telles rotations. Je ne vois pas de moments alarmants. En revanche, sur la demi-finale, la performance a été subordonnée à l’absence de certains joueurs qui pèsent vraiment à leur poste.
Face au champion sortant, l’opinion s’enflamme souvent pour son rival. C’est une situation que vous avez vécue quand vous étiez entraîneur. Comment l’utilisiez-vous ?
Très honnêtement, quand on a été champions quatre fois consécutivement (1994, 1995, 1996, 1997) et que l’on a perdu la cinquième année, j’ai eu l’impression de devenir humain. Comme aujourd’hui, le Stade Toulousain avait une certaine avance même si Bordeaux est train de la combler. Il me semble que les gens espéraient qu’on se plante.
En interne, j’ai dû utiliser « le seul contre tous ». Une semaine de finale, on est dans une bulle. Il faut essayer de maintenir une forme de confiance au sein du groupe. Mais dans l’approche de l’événement, l’ensemble du club doit changer de peau. J’avais tendance à dire que le Stade Toulousain des phases finales n’était pas celui de la phase régulière. En perdant face à Bordeaux en demi-finale de Champions Cup, les jeunes joueurs du Stade Toulousain ont appris à connaître le goût de la défaite. Ils en avaient peut-être besoin pour se remettre en question.
“La doublette que Yannick Bru forme avec le président Marti est aussi très importante. Attention, Bordeaux est en train de grandir”
Vendredi, Ugo Mola a employé l’expression : « savoir gagner moche ». Le Stade Toulousain a souvent réussi en finale. Votre approche tactique était-elle très différente ?
Je ne suis pas sûr. L’opposition était différente. Il y avait un adversaire qui voulait gagner. On attend tellement du Stade Toulousain : des résultats, du spectacle. Et quand on gagne sans faire de spectacle, on ne l’admet pas. Mais l’histoire ne retient que les vainqueurs. Faire du spectacle, ce n’est pas très important. Et gagner moche, cela ne veut pas dire mal jouer.
Le fait que l’UBB ait battu trois fois Toulouse cette saison, ce n’est pas neutre ?
Chaque fois les circonstances ont été particulières. Les effectifs n’étaient pas identiques. Ensuite, il y avait cette notion de revanche du côté de Bordeaux, notamment lors du premier match gagné à Toulouse. Le fait d’avoir pris 50 points en finale était resté en travers de la gorge des joueurs bordelais. De l’autre côté, il y avait une équipe de Toulouse qui se croyait intouchable.
Lors de la demi-finale de la Champions Cup, on n’a pas eu l’impression côté toulousain que c’était l’approche d’un match de phase finale sérieux. Je pense que l’ensemble du club est fautif. J’ai connu ça. On a l’impression que rien ne peut nous atteindre que ce genre de faux pas ne peut pas nous arriver. Est-ce que ça peut se reproduire samedi soir ? Est-ce que ce sera la revanche de la revanche ? Aucune des deux équipes ne semble avoir envie d’endosser le rôle de favori.
Quel regard portez-vous sur le travail d’Ugo Mola et Yannick Bru, que vous avez entraînés ?
Je suis admiratif de la façon dont les deux font évoluer leur club. Je suis plus proche de Yannick avec qui j’ai travaillé à Toulouse et en équipe de France. La doublette qu’il forme avec le président Laurent Marti est aussi très importante. Attention, Bordeaux est en train de grandir. On le voit à travers les filles qui ont gagné le titre, à travers les Espoirs qui ont aussi gagné le titre. L’équipe 1 qui est devenue championne d’Europe. Sur le travail de fond, cela me rappelle le Stade Toulousain de l’époque. J’ai du plaisir à voir que la finale va se jouer entre eux.
Posté 24 juin 2025 - 08:15
ST / UBB finalement c'est la mafia Toulousaine, l UBB est la petite sœur du grand ST
Posté 24 juin 2025 - 10:22
Posté 24 juin 2025 - 10:54
Posté 24 juin 2025 - 11:32
Maux de tête, vertiges encore en de semaine dernière, personne n'est optimiste et même son coach ne lui trouve pas un faciès reposé.Officiel pour LBB ?
Posté 24 juin 2025 - 11:44
Officiel pour LBB ?
Je m'inquiète même à plus long terme le concernant.
C'est sa 2e commotion sur la saison me semble t il. Une 3e et ça peut être la fin de carrière.
Je le mettrais au repos complet entre 3 et 6 mois sans tournée d'automne bien entendu.
Posté 24 juin 2025 - 13:00
Je m'inquiète même à plus long terme le concernant.
C'est sa 2e commotion sur la saison me semble t il. Une 3e et ça peut être la fin de carrière.
Je le mettrais au repos complet entre 3 et 6 mois sans tournée d'automne bien entendu.
vu son gabarit, il a déjà besoin de gérer lui-même ses efforts, intensité et répétition. C’est comme un sprinter, tu ne peux pas enchaîner des courses à haute intensité sans respecter un temps de repos. Il doit apprendre à le faire à l’entraînement et en match.
apres il doit régler ses problèmes d,oreille interne, c’est primordial. Je pense que ça doit amplifier les effets d’une commotion cérébrale. Faudrait un spécialiste pour le confirmer.
et surtout le club doit lui aménager des temps de repos, mais ça doit se faire sur toute l’année. Il ne doit plus jouer autant même s’il est jeune.
donc pas partisan de lui coller 3 à 6 mois d’arrêt. Qu’il se repose jusqu’à la reprise de la prochaine saison et aménageons son temps de jeu.
Avec Echegaray, Mousques, Retiere, Uberti on a de quoi le remplacer.
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