2793 replies to this topic

[twiX]

Et dire qu'on ose parler des melons de Ntamack et Dupont (alors que ces derniers ne disent jamais un mot plus haut que l'autre) alors que Matthieu Jalibert existe.

Ces deux là sont surtout victimes de tout le foin fait autour d'eux sans qu'ils n'aient rien demandé

[Silhouette]

Ces deux là sont surtout victimes de tout le foin fait autour d'eux sans qu'ils n'aient rien demandé

NTamack y'a son attitude sur le terrain aussi quand meme.. Un petit cote Farrell mais en francais.

[twiX]

NTamack y'a son attitude sur le terrain aussi quand meme.. Un petit cote Farrell mais en francais.

Peut être un poil, mais c'est incomparable avec tête à claques de l'UBB

[Alex chocolatines]

Et dire qu'on ose parler des melons de Ntamack et Dupont (alors que ces derniers ne disent jamais un mot plus haut que l'autre) alors que Matthieu Jalibert existe.

T'as quelque chose à me demander toi ? 

NTamack y'a son attitude sur le terrain aussi quand meme.. Un petit cote Farrell mais en francais.

Farrell est son isole, il a d'ailleurs baptisé son chien "Owen  (c'est pas une connerie ! )

[Silhouette]

Peut être un poil, mais c'est incomparable avec tête à claques de l'UBB

Completement d'accord. Et pour moi N'Tamack c'est "malgre lui" quelque part, je pense pas que c'est quelque chose qu'il peut controler, c'est plus lie a l'etat d'esprit dans lequel il a besoin d'etre pour performer. En revanche les bordelais, c'est hors terrain, et c'est completement controlable si t'as plus d'un demi-neurone. 

[63manu]

Ça pue un peu sur la Gironde. Faut que je fasse gaffe en passant lundi.

[Good Shvili]

C'est une tradition bordelaise peut-être (Simon Moscato et feu Domi en invité se foutant de la gueule de Novès au téléphone)

Mais si les media sont plus techniques, la connerie globalement est là depuis d'autres générations

[Murena]

C'est une tradition bordelaise peut-être (Simon Moscato et feu Domi en invité se foutant de la gueule de Novès au téléphone)

Mais si les media sont plus techniques, la connerie globalement est là depuis d'autres générations

C'était toujours mieux avant, c'est bien connu...

En tout cas, Urios se sert de cet incident pour recoller les morceaux avec Jalibert et le motive pour le remettre en confiance...il est fort quand même ^^

[Fast Kimi]

C'était toujours mieux avant, c'est bien connu...

En tout cas, Urios se sert de cet incident pour recoller les morceaux avec Jalibert et le motive pour le remettre en confiance...il est fort quand même ^^

Oui en effet belle reprise de volée d'opportuniste.

[twiX]

belle langue de bois uriossienne, je le vois mal dire que jalibert est un petit merdeux

[Murena]

Niveau langue de bois, y'a pire...

[frednirom]

J’aime bien le côté anglais odieux de jalibert , c’est mon côté Aymeric.

[Gourine63]

Moi ce que je préfère chez les anglaises c'est leur dos, et accessoirement leur tirer les cheveux par la même occasion.

[Murena]

Jalibert c'est vraiment pas ça en ce début de saison. Incapable de trouver des solutions face a la défense de Montpellier ou de faire une quelconque différence...gourine a du l'épuiser...il a abusé du pieds sans succès...ce retard a l'allumage est curieux, d'autant que le reste de l'équipe tourne plutôt bien. Est ce physique ou mentale ? A suivre...

[el landeno]

L'Union Bordeaux-Bègles reste dans le dur Deux défaites pour démarrer la saison, Clément Maynadier qui s'emporte contre les médias, Christophe Urios qui change ses habitudes, Matthieu Jalibert en manque de confiance, la réception de Castres samedi s'annonce musclée (15 heures).

Commençons par une phrase choc : l'Union Bordeaux-Bègles a perdu ses deux premiers matches de la saison (Toulouse et Montpellier), il s'agit d'une première depuis la remontée du club en Top 14 en 2011. Bam ! L'UBB est en crise ! Nous exagérons, évidemment. Un début de saison raté n'a rien de rédhibitoire. « Je m'en fiche un peu, assurait d'ailleurs le girondin Maxime Lucu samedi soir après le revers à Montpellier (29-19). Ça ne me fait rien du tout, je m'attache plus au contenu. »

 

 

 

Le Tricolore n'a pas tort. Souvenez-vous que l'an dernier, le Stade Rochelais ne comptait qu'une victoire après cinq journées. Ce qui n'a pas empêché le club maritime de se qualifier pour la phase finale du Top 14 (élimination en barrage par Toulouse), mais surtout de soulever un trophée : la Coupe d'Europe.

Mardi en conférence de presse, le talonneur Clément Maynadier s'est d'ailleurs agacé : « Ce n'est que la deuxième journée. Si on se met le court-bouillon maintenant, on va se faire chier ! On a perdu à la piaule, mais arrêtez d'écrire que l'UBB est en danger ! Castres a raté son début de saison l'an dernier, ce qui ne l'a pas empêché de terminer premier de la phase régulière. »

« Vous écrivez pour écrire. Ça me gonfle. Vous ne nous aidez pas. Soyez des journalistes de club »

Clément Maynadier

 

 

 

 

 

Puis Maynadier s'est lâché en poursuivant son monologue à destination des médias : « Vous écrivez pour écrire. Ça me gonfle. Vous ne nous aidez pas. Soyez des journalistes de club. Ceux de La Rochelle, ils aident La Rochelle. Ceux de Toulouse, ils aident Toulouse. Ceux de Brive, ils aident Brive. Quand on perd, voilà... Quand on gagne, ça ne va pas non plus. On est bonnards avec vous et derrière, vous nous saccagez. Dites la vérité, mais soyez modérés. »

Primo, on déconseille à Clément Maynadier de signer à Toulon, Perpignan ou Bayonne, pour ne citer qu'eux. Deuxio, qu'il interroge Ugo Mola sur son traitement par les médias, quand ce dernier a pris la succession de Guy Novès au Stade Toulousain. Tercio, Clément Maynadier devrait surtout se renseigner sur le métier de journaliste. Si on suit sa logique, un journaliste politique est censé « aider » Emmanuel Macron ? Revenons au sportif...

Oui, l'UBB n'est pas en crise. Pas encore du moins. Même si le président Laurent Marti, le manager Christophe Urios ou les leaders comme Jefferson Poirot ou Maxime Lucu ont tous affirmé que la saison passée était « digérée », un succès, au moins, permettrait sans doute une évacuation complète. « On a suffisamment parlé de la saison dernière, on ne va pas faire que ça », pestait Christophe Urios avant même le coup d'envoi de ce nouvel opus. Les victoires, si en plus en s'enchaînent, y contribueront forcément. Les soirs de défaite, les fantômes du passé ressurgissent plus souvent qu'on ne le croit. Et les tensions entre Urios et ses joueurs, Jalibert et Woki (parti au Racing à l'intersaison) en tête, pourraient revenir à la moindre friture sur la ligne.

Urios zappe la conférence de presse après Montpellier

Samedi soir, nous aurions aimé entendre les explications de Christophe Urios sur ce second revers, et notamment cette première mi-temps ratée (29-7). S'il a glissé quelques mots au diffuseur Canal Plus au coup de sifflet final, le manager bordelais a zappé la conférence de presse d'après-match au GGL Stadium. Fait rare puisqu'il se présente généralement trois fois devant la presse chaque semaine. La raison ? Inconnue. On s'attendait à ce que ce silence dure encore au moins une semaine.

En effet, il est de tradition qu'Urios ne parle pas aux médias quand le Castres Olympique, son ancienne équipe (champion en 2018), est en approche. Il s'était astreint à cette diète lors des trois précédentes saisons. Mardi, surprise ! Le manager s'est présenté au point presse. Il a surtout évoqué un manque d'efficacité et a glissé que son équipe était un peu retard.

Dans le contenu, mis à part la première mi-temps à Montpellier, l'UBB a néanmoins montré des choses. Du jeu, du combat, de l'intensité. Si la victoire avait été au bout face à Toulouse (25-26), il n'y aurait rien eu à redire. Mais comme le répètent la plupart des managers à longueur de saison : « On ne construit pas dans la défaite. » Pour avancer, Bordeaux-Bègles va devoir gagner à nouveau. La venue de Castres, vice-champion de France, aura une fois de plus valeur de test de caractère. « Nous sommes revanchards par rapport à nous-même car nous avons envie de gagner des matches, d'enclencher une dynamique, a précisé Urios, qui n'a jamais perdu face au CO depuis qu'il est à la tête de l'UBB (5 victoires, 1 nul). La réception de Castres n'est pas un match sous pression. C'est un match important. On le sait ! »

Dans la ferveur de Chaban-Delmas, qui devrait comme souvent faire le plein, un joueur sera plus particulièrement attendu au tournant : Matthieu Jalibert. Remplaçant pour l'ouverture de la saison face à Toulouse, il avait loupé son entrée en jeu (51e à la place de Holmes). L'ouvreur-buteur avait manqué deux balles de match dans ses cordes face aux perches (69e, 74e), laissant même une troisième à Lucu, sans plus de succès (78e).

 

Comme face à Toulouse, Matthieu Jalibert a vécu un match difficile contre Montpellier samedi. (Sy. Thomas/L'Équipe)

Jalibert attendu contre Castres

Avant le match à Montpellier, Jalibert s'est retrouvé sous le feu des critiques après l'affaire dite « Mermoz ». L'ancien centre international ayant accusé Jalibert d'insultes et de menaces, photo du Bordelais faisant un doigt d'honneur à l'appui. L'ouvreur tricolore a tenté de joindre Mermoz, sans succès, avant de présenter ses excuses par message vocal. Pas idéal comme préparation. La veille du match, Christophe Urios lançait pourtant : « Matthieu attaque le match et va montrer à tout le monde la personne qu'il est ! » Une réponse de Jalibert était attendue. Il est encore tombé sur le répondeur... Le demi d'ouverture de l'UBB est passé à côté de son match face au MHR.

Pas toujours inspiré dans ses choix au pied, il a surtout été contré sur un dégagement par le Montpelliérain Bécognée qui est allé aplatir dans la foulée (20-7, 21e). Jalibert a été remplacé par Holmes dès la 53e minute. « Matthieu est comme tout le monde, c'est un compétiteur mais il n'arrive pas à faire ce qu'il veut sur le terrain, à l'image de ce soir (samedi), il faut qu'il se reconcentre. Comme l'équipe, il a besoin de retrouver de la confiance », exhortait son manager au micro de Canal +. Son capital confiance est en berne. S'il démarre à nouveau samedi face à Castres, Matthieu Jalibert aura une nouvelle occasion de lancer sa saison et celle de Bordeaux-Bègles par la même occasion. Souvent, quand Jalibert va, l'UBB va aussi.