pas d'accord : intégrer la possibilité de perdre est au contraire primordial dans l'approche des finales. D'aucuns ici te diront d'ailleurs que c'est notamment* à cause d'un sentiment de supériorité, de l'idée qu'on ne pouvait pas perdre, que justement on a perdu...
Par contre le rejet absolu de la défaite, le fait de l'avoir en horreur t'aide effectivement à gagner.
* : çà et d'autres choses, hein....
Chacun son approche.
Toujours est-il que celle de l'ASM ne marche pas.