
ITURRIA Arthur
#1156
Posted 14 February 2018 - 20:03 PM
#1157
Posted 14 February 2018 - 23:28 PM
Decro un peu moins con que le reste aurait demandé la vidéo de l’hôtel pour confirmer la version des faits d'Iturria...
J'espère qu'elle donnera raison aux jeunes sinon que les gens soit plus magnanime qu'avec Basta car n'a pas crée d'incident politique.
A moins que la table basse porte plainte pour diffamation....
#1158
Posted 15 February 2018 - 02:58 AM
#1159
Posted 15 February 2018 - 03:09 AM
Et les Écossais ils disent quoi ? Il y a des gros blessés ? Car au fond c'est ça la question... S'il y a des gars sévèrement blessés chez eux çà expliquerait des choses... en effet si c'est juste 3 nez cassés c'est juste une bagarre de mec bourré mais si y a plus grave...
Les ecossais ne disent rien, pas de plainte, pas de poursuite...
#1161
Posted 15 February 2018 - 09:46 AM
Decro un peu moins con que le reste aurait demandé la vidéo de l’hôtel pour confirmer la version des faits d'Iturria...
J'espère qu'elle donnera raison aux jeunes sinon que les gens soit plus magnanime qu'avec Basta car n'a pas crée d'incident politique.
A moins que la table basse porte plainte pour diffamation....
la video est partout au rugby decidement
- Binche63, cetotomatos and RCV06 like this
#1162
Posted 15 February 2018 - 10:34 AM
Et Kellenbrun (désolé si pas la bonne orthographe) qui annonçait qu'il s'était fait opérer en rentrant en France...
#1163
Posted 15 February 2018 - 10:38 AM
Et le gros plan, la fameuse palette de porc.la video est partout au rugby decidement
#1164
Posted 15 February 2018 - 17:20 PM
Et Kellenbrun (désolé si pas la bonne orthographe) qui annonçait qu'il s'était fait opérer en rentrant en France...
lui ,il dénonce, balance,fabule ,un bon petit collabo...
- Gourine63 likes this
#1165
Posted 15 February 2018 - 17:28 PM
Reviens-vite en pleine forme, l'équipe aura besoin de toi pour les futures échéances!
#1166
Posted 15 February 2018 - 17:43 PM
On sait enfin !!! comment ça s'est passé dans la chambre....
ÉdimbourgGate : la protagoniste témoigne
par Copareos
- 15 février 2018
Rendez-vous a été donné dans les salons d’un hôtel huppé d’Édimbourg, mais pas celui où a eu lieu la fameuse affaire, « trop de mauvais souvenirs s’y trouvent encore », nous confie-t-elle. Elle semble marquée par l’épreuve qu’elle vient de subir. Des éraflures sont encore visibles et elle a du mal à tenir sur ses pieds. Après s’être excusée pour son état, tout en précisant que ces dernières nuits ont été courtes, elle prend une dernière inspiration puis se lance dans le récit de sa vie. Une vie presque normale.
« Je suis née en Suède, dans les grandes forêts du Nord, où j’ai vécu une enfance somme toute tranquille ». Puis s’en suit le déroulement d’une existence classique. « Je connaissais très bien le sort qui me serait réservé, c’est le prix à payer quand on est quelqu’un comme moi. Alors quand j’ai vu mon heure arriver, je n’ai pas eu peur. Beaucoup moins peur que dimanche soir ». La tension est palpable, on aperçoit une goutte de sève s’échapper, mais elle l’essuie discrètement, elle se veut forte. Puis elle reprend : « Je m’estimais heureuse. Je savais que j’étais une pièce de qualité, et quand je pense à tous ces arbres qui finissent en allumettes ou en cagettes, je mesurais véritablement la chance que j’avais de vivre dans un endroit prestigieux, et pour longtemps ».
Cette deuxième demeure, elle l’a découverte en 2015 « C’était un lundi de novembre, à Stockholm. Je me souviens encore du moment où ils sont venus me chercher. J’espérais un endroit froid, pour ne pas être trop dépaysée après avoir passé toutes ces années recouverte de neige. C’est important les racines vous savez. Et quand j’ai vu ‘Édimbourg’, j’ai eu un soupir de soulagement ». C’est donc à l’hôtel de luxe Balmoral, en plein centre de la capitale, qu’elle débute sa deuxième vie. « Je pensais sincèrement que cette demeure serait la dernière ».
Oui mais voilà, tout n’allait pas se passer comme prévu. Samedi dernier, elle a vu entrer un client dans sa chambre. « Il était immense, je m’étais douté que c’était un sportif, mais je ne connaissais pas son identité. Vous savez, moi, le sport… Et depuis que mon frère a péri dans un concours de lancer de haches, je m’y intéresse encore moins ». En tendant l’oreille, elle apprend qu’il est rugbyman en équipe de France. Les premiers frissons parcourent son corps : « J’avais entendu parler d’une histoire de table basse en Nouvelle-Zélande, je croyais que c’était une légende urbaine, du genre qu’on raconte aux enfants pour les effrayer quand ils ne sont pas sages,explique-t-elle d’une voix hésitante. J’étais apeurée sur le coup, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit ». Mais elle était loin de se douter de la suite des évènements.
Elle prend alors son courage à deux pieds, et se lance : « Il était 4 heures du matin. Je n’aime déjà pas en temps normal que les clients rentrent à cette heure-ci, et un rugbyman français en plus, j’avais de quoi m’inquiéter ». Puis elle reprend. « Je l’ai vu tituber, il a commencé à se déshabiller, et j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux. Quand, nu comme un ver, il est allé se coucher, ça m’a rassurée. Seulement voilà… ». La suite reste floue pour elle, et se décompose en divers instantanés qui lui reviennent petit à petit. La prise d’élan. Le saut. Le lit, beaucoup trop loin. Elle, beaucoup trop près. Le nez du joueur qui s’écrase. Le craquement. Les cris.
Elle a depuis été renvoyée de l’hôtel, qui ne la trouve plus apte à exercer son métier. Un retour de bâton brutal qui la pousse à errer dans les rues sombres et étroites d’Édimbourg, sans vraiment savoir où aller. « Je rêve de retourner en Suède, nous confie-t-elle. J’ai lancé un woodfunding pour réunir les fonds nécessaires. En espérant que cela fonctionne ». Notre conversation se termine sur cette dernière confidence. Elle jette un coup d’œil dehors. La nuit commence à tomber, et il serait bon de se cacher avant de servir d’allume-feu aux sans-abris. Ainsi va la vie d’une table de chevet, brisée avant l’heure par un évènement funeste, ravagée par une beuverie de derrière les (fucking, ndlr) fagots.
- JB 03, gourmachou, Frédéric58 and 14 others like this
#1167
Posted 15 February 2018 - 18:10 PM
On sait enfin !!! comment ça s'est passé dans la chambre....
ÉdimbourgGate : la protagoniste témoigne
par Copareos
- 15 février 2018
Rendez-vous a été donné dans les salons dun hôtel huppé dÉdimbourg, mais pas celui où a eu lieu la fameuse affaire, « trop de mauvais souvenirs sy trouvent encore », nous confie-t-elle. Elle semble marquée par lépreuve quelle vient de subir. Des éraflures sont encore visibles et elle a du mal à tenir sur ses pieds. Après sêtre excusée pour son état, tout en précisant que ces dernières nuits ont été courtes, elle prend une dernière inspiration puis se lance dans le récit de sa vie. Une vie presque normale.
« Je suis née en Suède, dans les grandes forêts du Nord, où jai vécu une enfance somme toute tranquille ». Puis sen suit le déroulement dune existence classique. « Je connaissais très bien le sort qui me serait réservé, cest le prix à payer quand on est quelquun comme moi. Alors quand jai vu mon heure arriver, je nai pas eu peur. Beaucoup moins peur que dimanche soir ». La tension est palpable, on aperçoit une goutte de sève séchapper, mais elle lessuie discrètement, elle se veut forte. Puis elle reprend : « Je mestimais heureuse. Je savais que jétais une pièce de qualité, et quand je pense à tous ces arbres qui finissent en allumettes ou en cagettes, je mesurais véritablement la chance que javais de vivre dans un endroit prestigieux, et pour longtemps ».
Cette deuxième demeure, elle la découverte en 2015 « Cétait un lundi de novembre, à Stockholm. Je me souviens encore du moment où ils sont venus me chercher. Jespérais un endroit froid, pour ne pas être trop dépaysée après avoir passé toutes ces années recouverte de neige. Cest important les racines vous savez. Et quand jai vu Édimbourg, jai eu un soupir de soulagement ». Cest donc à lhôtel de luxe Balmoral, en plein centre de la capitale, quelle débute sa deuxième vie. « Je pensais sincèrement que cette demeure serait la dernière ».
Oui mais voilà, tout nallait pas se passer comme prévu. Samedi dernier, elle a vu entrer un client dans sa chambre. « Il était immense, je métais douté que cétait un sportif, mais je ne connaissais pas son identité. Vous savez, moi, le sport Et depuis que mon frère a péri dans un concours de lancer de haches, je my intéresse encore moins ». En tendant loreille, elle apprend quil est rugbyman en équipe de France. Les premiers frissons parcourent son corps : « Javais entendu parler dune histoire de table basse en Nouvelle-Zélande, je croyais que cétait une légende urbaine, du genre quon raconte aux enfants pour les effrayer quand ils ne sont pas sages,explique-t-elle dune voix hésitante. Jétais apeurée sur le coup, je nai pas fermé lil de la nuit ». Mais elle était loin de se douter de la suite des évènements.
Elle prend alors son courage à deux pieds, et se lance : « Il était 4 heures du matin. Je naime déjà pas en temps normal que les clients rentrent à cette heure-ci, et un rugbyman français en plus, javais de quoi minquiéter ». Puis elle reprend. « Je lai vu tituber, il a commencé à se déshabiller, et jai vu ma vie défiler devant mes yeux. Quand, nu comme un ver, il est allé se coucher, ça ma rassurée. Seulement voilà ». La suite reste floue pour elle, et se décompose en divers instantanés qui lui reviennent petit à petit. La prise délan. Le saut. Le lit, beaucoup trop loin. Elle, beaucoup trop près. Le nez du joueur qui sécrase. Le craquement. Les cris.
Elle a depuis été renvoyée de lhôtel, qui ne la trouve plus apte à exercer son métier. Un retour de bâton brutal qui la pousse à errer dans les rues sombres et étroites dÉdimbourg, sans vraiment savoir où aller. « Je rêve de retourner en Suède, nous confie-t-elle. Jai lancé un woodfunding pour réunir les fonds nécessaires. En espérant que cela fonctionne ». Notre conversation se termine sur cette dernière confidence. Elle jette un coup dil dehors. La nuit commence à tomber, et il serait bon de se cacher avant de servir dallume-feu aux sans-abris. Ainsi va la vie dune table de chevet, brisée avant lheure par un évènement funeste, ravagée par une beuverie de derrière les (fucking, ndlr) fagots.
Joli, bien trouvé, bien tourné.
#1168
Posted 15 February 2018 - 20:10 PM
On sait enfin !!! comment ça s'est passé dans la chambre....
ÉdimbourgGate : la protagoniste témoigne
par Copareos
- 15 février 2018
Rendez-vous a été donné dans les salons d’un hôtel huppé d’Édimbourg, mais pas celui où a eu lieu la fameuse affaire, « trop de mauvais souvenirs s’y trouvent encore », nous confie-t-elle. Elle semble marquée par l’épreuve qu’elle vient de subir. Des éraflures sont encore visibles et elle a du mal à tenir sur ses pieds. Après s’être excusée pour son état, tout en précisant que ces dernières nuits ont été courtes, elle prend une dernière inspiration puis se lance dans le récit de sa vie. Une vie presque normale.
« Je suis née en Suède, dans les grandes forêts du Nord, où j’ai vécu une enfance somme toute tranquille ». Puis s’en suit le déroulement d’une existence classique. « Je connaissais très bien le sort qui me serait réservé, c’est le prix à payer quand on est quelqu’un comme moi. Alors quand j’ai vu mon heure arriver, je n’ai pas eu peur. Beaucoup moins peur que dimanche soir ». La tension est palpable, on aperçoit une goutte de sève s’échapper, mais elle l’essuie discrètement, elle se veut forte. Puis elle reprend : « Je m’estimais heureuse. Je savais que j’étais une pièce de qualité, et quand je pense à tous ces arbres qui finissent en allumettes ou en cagettes, je mesurais véritablement la chance que j’avais de vivre dans un endroit prestigieux, et pour longtemps ».
Cette deuxième demeure, elle l’a découverte en 2015 « C’était un lundi de novembre, à Stockholm. Je me souviens encore du moment où ils sont venus me chercher. J’espérais un endroit froid, pour ne pas être trop dépaysée après avoir passé toutes ces années recouverte de neige. C’est important les racines vous savez. Et quand j’ai vu ‘Édimbourg’, j’ai eu un soupir de soulagement ». C’est donc à l’hôtel de luxe Balmoral, en plein centre de la capitale, qu’elle débute sa deuxième vie. « Je pensais sincèrement que cette demeure serait la dernière ».
Oui mais voilà, tout n’allait pas se passer comme prévu. Samedi dernier, elle a vu entrer un client dans sa chambre. « Il était immense, je m’étais douté que c’était un sportif, mais je ne connaissais pas son identité. Vous savez, moi, le sport… Et depuis que mon frère a péri dans un concours de lancer de haches, je m’y intéresse encore moins ». En tendant l’oreille, elle apprend qu’il est rugbyman en équipe de France. Les premiers frissons parcourent son corps : « J’avais entendu parler d’une histoire de table basse en Nouvelle-Zélande, je croyais que c’était une légende urbaine, du genre qu’on raconte aux enfants pour les effrayer quand ils ne sont pas sages,explique-t-elle d’une voix hésitante. J’étais apeurée sur le coup, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit ». Mais elle était loin de se douter de la suite des évènements.
Elle prend alors son courage à deux pieds, et se lance : « Il était 4 heures du matin. Je n’aime déjà pas en temps normal que les clients rentrent à cette heure-ci, et un rugbyman français en plus, j’avais de quoi m’inquiéter ». Puis elle reprend. « Je l’ai vu tituber, il a commencé à se déshabiller, et j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux. Quand, nu comme un ver, il est allé se coucher, ça m’a rassurée. Seulement voilà… ». La suite reste floue pour elle, et se décompose en divers instantanés qui lui reviennent petit à petit. La prise d’élan. Le saut. Le lit, beaucoup trop loin. Elle, beaucoup trop près. Le nez du joueur qui s’écrase. Le craquement. Les cris.
Elle a depuis été renvoyée de l’hôtel, qui ne la trouve plus apte à exercer son métier. Un retour de bâton brutal qui la pousse à errer dans les rues sombres et étroites d’Édimbourg, sans vraiment savoir où aller. « Je rêve de retourner en Suède, nous confie-t-elle. J’ai lancé un woodfunding pour réunir les fonds nécessaires. En espérant que cela fonctionne ». Notre conversation se termine sur cette dernière confidence. Elle jette un coup d’œil dehors. La nuit commence à tomber, et il serait bon de se cacher avant de servir d’allume-feu aux sans-abris. Ainsi va la vie d’une table de chevet, brisée avant l’heure par un évènement funeste, ravagée par une beuverie de derrière les (fucking, ndlr) fagots.
Pas mal, y'a une patte, on croirait vraiment une scène d'un long roman.
#1169
Posted 15 February 2018 - 21:27 PM
une certitude : il n'a pas gerbé. c'est le seul qui maitrise parfaitement les renvois...
- Eria likes this
#1170
Posted 15 February 2018 - 21:48 PM
- Vynce likes this
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