11071 réponses à ce sujet

[Codorplusàvie]

Son passage à Pau lui a vraiment permis de retrouver de l'allant.
 
Il est redevenu ce joueur tranchant, à la fois perforant, passeur et redoutable défenseur qui nous avait marqué chez les U20. Il tire systématiquement son équipe vers le haut grâce à son énergie et sa grande palette de jeu. Avec ses qualités, il pourra réellement concurrencer Alldritt s'il parvient à maintenir cette courbe de progression et aiguiser encore son sens tactique.

Il est bon, il est international ?
Alors on le pique aux béarniais et pis c'est tout.

[Oscar]

Nouvel épisode de destins mêlés, c'est vraiment chouette de nous partager quelques bribes de la préparation.
https://m.youtube.co...h?v=lD8Ia_ZvSvE

[Lourugby]

Le XV probable pour l'Australie : 15. Ramos ; 14. Penaud, 13. Fickou, 12. Danty, 11. Moefana ; 10. Ntmack, 9. Dupont (cap) ; 8. Alldritt, 7. Ollivon, 6. Jelonch ; 5. Willemse, 4. Woki ; 3. Atonio, 2. Marchand, 1. Priso

 

Les remplaçants : 16. Mauvaka, 17. Baille, 18. Haouas, 19. Flament, 20. Taofifenua, 21. Lucu, 22. Jalibert, 23. Lebel

[George Abitbol]

Outre l'hérésie de faire 15->1 puis 16-> 23, je n'ai jamais compris comment RR (ou les autres) sélectionnaient les joueurs qui avaient un lien vers leur fiche perso. C'est au hasard ?

[Gourine63]

Le XV probable pour l'Australie : 15. Ramos ; 14. Penaud, 13. Fickou, 12. Danty, 11. Moefana ; 10. Ntmack, 9. Dupont (cap) ; 8. Alldritt, 7. Ollivon, 6. Jelonch ; 5. Willemse, 4. Woki ; 3. Atonio, 2. Marchand, 1. Priso
 
Les remplaçants : 16. Mauvaka, 17. Baille, 18. Haouas, 19. Flament, 20. Taofifenua, 21. Lucu, 22. Jalibert, 23. Lebel

Belle équipe, ne manque que Baille et Cros car au-dessus de Jelonch et Priso pour moi. Ramos c'est au-dessus de Jaminet même si ce dernier a toujours été bon avec les Bleus. Les aussies devraient moucher rouge mais la glorieuse incertitude du sport peut toujours passer par là.

[Lourugby]

Je te rejoins mais suis tout de même un peu plus réservé sur le banc. L'absence d'un vrai troisième ligne pourrait à ce titre être problématique en cas de blessure précoce, à fortiori si cela concerne Alldritt qui est notre principale force de pénétration. Idem dans la ligne de 3/4 où Lebel me semble un peu tendre pour ce niveau, un joueur comme Raka, plus polyvalent et plus tranchant, me semble plus pertinent. 

[Alex chocolatines]

Je te rejoins mais suis tout de même un peu plus réservé sur le banc. L'absence d'un vrai troisième ligne pourrait à ce titre être problématique en cas de blessure précoce, à fortiori si cela concerne Alldritt qui est notre principale force de pénétration. Idem dans la ligne de 3/4 où Lebel me semble un peu tendre pour ce niveau, un joueur comme Raka, plus polyvalent et plus tranchant, me semble plus pertinent. 

On a Woki descendre en troisième ligne et Flament sur le banc.

Moi aussi l'absence de Raka m'interroge... à moins qu'on ne le titularise contre les Sudafs ? Ce match c'est peut etre l'occasion de voir un peu plus Lebel en bleu histoire de voir si il tient la route ?

[Gourine63]

Je te rejoins mais suis tout de même un peu plus réservé sur le banc. L'absence d'un vrai troisième ligne pourrait à ce titre être problématique en cas de blessure précoce, à fortiori si cela concerne Alldritt qui est notre principale force de pénétration. Idem dans la ligne de 3/4 où Lebel me semble un peu tendre pour ce niveau, un joueur comme Raka, plus polyvalent et plus tranchant, me semble plus pertinent. 

Pour Raka, tu prêches un convaincu, sans avoir forcément des lunettes jaune et bleu, il aurait eu toute sa place à l'aile gauche même si Moefana fera le boulot sans souci, un peu dommage de faire venir un joueur en pleine bourre et pur ailier pour au final mettre un centre à la place mais bon, Galthié a ses têtes et c'est comme ça.

Pour la troisième ligne, c'est probablement Woki qui s'y collera avec ses quatre poumons, Flament peut aussi y évoluer il me semble, pain au chocolat a déjà tout dit.

Hâte d'être à samedi personnellement, dommage que les gros matchs (du moins l'un d'eux) ne soit pas diffusé sur l'équipe 21, se taper un Italie/Samoa alors qu'il y'a Ang/Arg ou Irl/Afs c'est dommage.

[el landeno]

Shaun Edwards, dans l'intimité du patron de la défense des Bleus L'Anglais Shaun Edwards façonne avec intensité la défense des Bleus. Ce coach qui semble fait d'un bloc est en réalité multiple et distille autant d'énergie que de minutie.

Pour aller au contact de Shaun Edwards, responsable de la défense nationale, il faut d'abord franchir ce sillon qui lui laboure le milieu du front. Dépasser cet air bourru et peu engageant. Soutenir les éclairs de son regard bleu clair. On jurerait y entrevoir du noir.

 

 

 

Cet Anglais spécialiste de la défense, recruté par Fabien Galthié en 2019, vient de fêter ses 56 ans. Fils et petit-fils de mineurs du Lancashire, légende du rugby à XIII, il a été nommé « O.B.E », distingué de l'Ordre de l'Empire britannique. On s'enquiert de savoir s'il faut lui donner du « sir ». Il sourit. « Appelez-moi plutôt Giz. »

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Bing ! D'entrée, comme s'il avait décapsulé une mousse, Edwards a lâché les soupapes de l'autodérision. « Giz », c'était son surnom quand il jouait « stand-off », meneur de jeu au Wigan Warriors. Un incandescent du contact, le plus petit de l'équipe (1,73 m), que les gros devaient tempérer : « Ils me disaient : "t'envoie pas trop fort, laisse-nous faire Giz" ! »

 

 

« Il est à la fois dans l'énergie et dans la minutie »

Jonathan Danty, centre des Bleus

 

 

 

Ce sobriquet lui vient du film les Gremlins, des bestioles douces comme des peluches qui ronronnaient des « Gizmooooo » avant de se muer en furies diaboliques. « Il paraît que ça me ressemble », sourit Shaun, qui n'a jamais vu le film.

Il est assis sur un banc dans le jardin de sa maison de Canet-en-Roussillon. Le soleil brille sur sa coupe à la Yul Brynner qu'il peaufine chaque matin au rasoir. Maggie, sa compagne, passe une tête, apporte un sourire généreux et un thé fumant. Métisse galloise-zimbabwéenne, elle arbore une chevelure afro qui tranche avec le crâne de son amoureux. On le branche calvitie. Il relance : « Ma mère était coiffeuse, elle s'exerçait sur moi. J'avais toujours des coupes étranges. J'ai été un pionnier du mulet dans les années 80 moi, môsssieur ! » Il rit aux éclats. Plus tard, l'oeil absent, il raconte Phyllis, sa maman décédée l'an passé en plein Tournoi des Six Nations. Il a encaissé le coup. Mais reste à jamais foudroyé par la mort de son petit frère, en 2003. Un accident de la route. Billy-Joe avait 20 ans. Son prénom et son portrait sont tatoués sur l'épaule gauche du coach.

 

Shaun Edwards (L. Argueyrolles/L'Équipe)

Il y a parfois des nuages dans les yeux bleus de Shaun. On dirait le ciel menaçant du littoral catalan. Il a choisi de vivre ici, entre mer et montagne, là où le temps peut vite tourner. À dix minutes en bagnole d'Aimé-Giral et de Gilbert-Brutus, stades où il peut, selon son humeur, aller voir jouer l'USAP ou les Dragons Catalans.

Shaun est né à Wigan, dans le Lancashire. Anglais, il a du sang irlandais. Il semble fait d'un bloc, pourtant il est multiple. « Il est à la fois dans l'énergie et dans la minutie, résume Jonathan Danty. Son coaching est technique, le un contre un c'est important à ses yeux. Il nous prépare des clips sur nos vis-à-vis avec un tas de détails minutieux. Plus complets qu'en club. Ces éléments précis nous aident à mieux gérer l'émotion des matches. »

« Derrière ses airs bourrus, Shaun est un mec super attentionné, très généreux dans la relation. Exigeant mais pas étouffant »

Warren Gatland, ancien sélectionneur gallois

 

 

 

À l'entraînement, Edwards répète aux Bleus : « Agression intelligente ! » On dirait un oxymore, c'est une consigne tactique. « Le rugby réclame de l'engagement mais aussi de la tactique et des émotions contrôlées », justifie le coach. Sans relâche, cet ultra-compétiteur affine les gestes défensifs. Il fouille dans le XIII, s'empiffre de NFL, potasse avec Jérôme Garcès, l'arbitre intégré au staff des Bleus. « Un mec fantastique, s'enthousiasme Edwards. Avec Jérôme, on a beaucoup bossé sur les "picks and go ". Les Australiens vont vouloir nous prendre là. Cette phase de jeu amène beaucoup d'essais. »

Garcès et Edwards, c'est un peu l'eau et le feu. « Pourtant, on a bien accroché d'entrée, confie l'arbitre. Shaun est passionné. Il me fascine car il va vite, sait être clair et concis pour trouver les trois mots-clés à livrer aux joueurs. Perso, j'aurais tendance à montrer dix clips pour renforcer mon message. »

Warren Gatland, qui a bossé quinze ans aux côtés d'Edwards, aux Wasps et en sélection du pays de Galles, se souvient : « Avec Shaun, on avait souvent cette conversation sur le risque de surcoacher les joueurs, décrypte le Néo-Zélandais. Mieux vaut ne pas les assommer d'infos. Pour garder l'esprit clair, deux-trois points suffisent. » Ensemble, ils ont remporté trois Grands Chelems avec les Gallois, en 2008 et 2012 et 2019. « Derrière ses airs bourrus, Shaun est un mec super attentionné, très généreux dans la relation. Exigeant mais pas étouffant. »

Remporter l'adhésion sans aboyer

Reste que cette exigence est inflexible. « Ma première mission a été que l'équipe de France cesse de s'incliner dans les dix dernières minutes. Les "championship rounds", les trois dernières reprises, c'est là que se gagne un combat ! » Pendant les sessions vidéo, révélant des relâchements coupables, il martelait aux Bleus : « C'est pas acceptable ! », en français dans le texte.

« Pour ce qui est du terrain, il est très dur et ne prend pas de pincettes, en dehors c'est tout le contraire », éclaire Gael Fickou, nommé capitaine de la défense par Edwards. « Shaun est très introverti mais humain, poursuit le joueur du Racing. Sa conviction le rend convaincant. Il nous a amené ce côté guerrier, appris à ne rien lâcher. »

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Pour Warren Gatland, Edwards est « parvenu à tordre les clichés » sur les Bleus : « On entendait toujours dire : "Les Français rechignent à défendre, ils n'aiment que jouer à la balle." On voit désormais l'effet Shaun Edwards : les Bleus sont ardents dans leur jeu, y compris sans ballon. La passion française s'exprime aujourd'hui en défense. »

Malgré ses airs d'adjudant-chef, Edwards sait remporter l'adhésion sans aboyer : « J'admire sa manière de faire, poursuit Gatland. Il a un tas d'histoires sur les mauvais choix qu'il a faits en tant que joueur. Quand il raconte ça aux gars, son autodérision est pédagogique, éducative. »

En défense, Shaun Edwards voit double : l'articulation collective mais aussi la dimension de combat individuel. Tel un coach de boxe à la minute de repos, il sait être économe de ses mots. Efficace. « Les avants, je les laisse tranquilles, confie-t-il. Pour qu'ils soient dans l'instinct, ne cérébralisent pas trop. »

Le coach transmet son énergie, parfois malgré lui. « Un jour, en muscu, on l'a vu débarquer, raconte Jonathan Danty. Il portait un marcel, on voyait ses tatouages. Il s'est mis à cogner au sac. On s'est dit : "Wow, ça frappe ! Il a la forme !"  Sa vigueur et son langage corporel exprimaient exactement l'attitude qu'il nous demande d'avoir sur le terrain. La garde haute, bloquer l'adversaire d'une impulsion des bras vers le haut. Très toniques à l'impact pour ne pas se faire battre sur une épaule. »

 

Shaun Edwards avec la sélection des moins de 19 ans de Grande Bretagne, en rugby à XIII (DR.)

Côté engagement, Shaun en connaît un rayon. « J'ai joué 570 matches. Rien que lors des dix premiers, j'ai eu le nez cassé, l'épaule déboîtée et vingt-cinq points de suture. » Il n'a jamais oublié le plus dur de tous, face aux Featherstones Rovers. « Des mineurs sans le sou, animés d'une rage folle. J'avais 17 piges. » Cette année-là, en 1983, Edwards a signé un gros contrat avec les Wigan Warriors. « Shaun faisait vivre sa famille », confie sa femme, Maggie. Son père Jackie, blessé au rachis lors d'un match de XIII, ne pouvait plus travailler. Edwards encaisse la pression : « Les matches étaient retransmis sur la BBC devant cinq millions de téléspectateurs. Ça brasse. »

Il joue avec rage et intensité, comme lors de la finale de la Challenge Cup, en 1990. Il a 23 ans, la mâchoire et le plancher orbital fracturés dès la 10e minute. Il en garde aujourd'hui des séquelles. « Parfois, je vois triple. Certains boxeurs ont ce truc, ça fait cligner des yeux. Punaise, je ne supporte pas les gens qui sifflent le coin d'un combattant qui jette l'éponge. Ils ne savent pas ce que c'est ! »

Shaun aime faire référence à la boxe. Dans son garage, il a suspendu un sac de frappe. Pourquoi n'avoir jamais combattu sur un ring ? « Je n'avais pas le niveau », balaye-t-il. « Il a surtout le goût de l'aventure collective, glisse Maggie. Un sens très fort de la communauté et de l'entraide. »

« Tout môme, je regardais les mains de mon grand-père. Il lui manquait des doigts depuis qu'une galerie s'était effondrée sur lui. Quelques jours après, il avait dû redescendre sous terre. »

 

 

 

 

Comme fond d'écran de son smartphone, il a choisi une photo sépia. On y voit un mineur agenouillé, une lampe frontale sur le casque. Il dit que c'est pour se souvenir d'où il vient. « Tout môme, je regardais les mains de mon grand-père. Il lui manquait des doigts depuis qu'une galerie s'était effondrée sur lui. Quelques jours après, il avait dû redescendre sous terre. »

Âgé de 18 ans, avant un match, Shaun a recouvert d'adhésif le logo « British Coal » (charbonnages britanniques), sponsor de son maillot. L'Angleterre subissait de plein fouet la récession des années Thatcher. Lui se voulait solidaire des mineurs qu'on mettait au chômage à la pelle.

« Ce geste de mon père a contribué à mon engagement en politique, explique James Small Edwards, son fils de 25 ans. Papa était un tout jeune joueur. Il aurait été plus simple de se taire et ne pas faire de vagues. Le rugby était tout pour lui mais il a compris qu'il y avait une cause supérieure à défendre. »

James fait de la recherche en politiques publiques à l'université d'Oxford. Il est né de la première union de Shaun Edwards avec Heather Small, une chanteuse de soul. Formé à l'académie des Wasps, le fiston a joué demi de mêlée en équipe première de Richmond. L'appel de l'engagement politique aura été plus fort que celui du ballon.

Shaun en a les yeux qui pétillent de fierté : « Mon fils a été élu "counsellor" (conseiller) à Londres, le 5 mai dernier, dans le quartier de Bayswater ! » Pour la première fois, ce quartier huppé, traditionnellement conservateur, a basculé à gauche en faveur des travaillistes. « Papa est venu me soutenir pendant la campagne. Il nous a aidés à tracter. Avant le scrutin, j'avais du mal à dormir, il m'a rassuré. Comme un coach une veille de match. Présent, bienveillant. »

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L'opposé de ce que Shaun a connu, plus jeune, avec son paternel Jackie. Il appelle ça le « tough love » (amour vache) et l'illustre d'un souvenir : « Un jour, on a demandé à mon père s'il avait dû me pousser pour que je réussisse. Mon vieux a répondu : "À coups de pompes, ouais !"» Le coach des Bleus se marre. Il est comme ça Shaun Edwards, dans cet entre-deux entre la vanne et l'émotion, de chaque côté du sillon.

En bref Edwards

Shaun Edwards (ANG)
Entraîneur adjoint du quinze de France, chargé de la défense, depuis 2020.
56 ans.
1990 : Évoluant au poste de demi avec Wigan, il est élu meilleur joueur du Championnat d'Angleterre de Rugby à XIII (joueur pro entre 1983 et 2000).
2001-2011 : entraîneur des Wasps
2008-2019 : entraîneur adjoint du pays de Galles chargé de la défense.

 

[Bon Chasseur]

putain même à 19 ans et avec des cheveux il faisait vieux, c'est dingue. Il est né, bébé il avait cette tête et il faisait chier ses parents à parler de tactiques défensives.

[julien]

Baille probable titulaire (très surprenant), Willemse incertain.

L'Equipe

[Alex chocolatines]

Baille probable titulaire (très surprenant), Willemse incertain.

L'Equipe

Surprenant, oui mais pas plus que NTK qui ne joue plus depuis 2 mois 

Pas plus que Moefana ailier alors qu'on a Raka pleine bourre 

Pas plus que l'association Flament Woki en deuxième ligne .... 

Heureusement qu'on a Dupont pour se rassurer 

[Bon Chasseur]

^ ce sont les remarques qu'on sortait quand l'équipe était pourrie. Là, ils sont sur 10 victoires. On ne va pas trop se plaindre du travail (ou de certains choix) du staff.

[Alex chocolatines]

^ ce sont les remarques qu'on sortait quand l'équipe était pourrie. Là, ils sont sur 10 victoires. On ne va pas trop se plaindre du travail (ou de certains choix) du staff.

Tu crois que si on se pointe contre les Sudafs avec du Woki / Flament ça va le faire ? Déjà là y a Skelton en face, ça va secouer... Et puis meme si je pense que Moefana peut faire un bon ailier je trouve couillon de se priver de Raka en ce moment, surtout associé à Penaud sur l'autre aile   Il a fait de gros efforts pour revenir en grande forme, il a meme choisi la nationalité Française pour etre sélectionnable, alors un peu de reconnaissance serait méritée. 

[xdderf63]

Voici la liste des 14 joueurs qui retrouveront leur club dès ce soir :

Alexandre BECOGNEE, Clément CASTETS, Dylan CRETIN, Jordan JOSEPH, Yoan TANGA, Florent VANVERBERGHE, Paul WILLEMSE, Pierre-Louis BARASSI, Anthony BOUTHIER, Dimitri DELIBES, Ethan DUMORTIER, Emilien GAILLETON, Louis LE BRUN, Alivereti RAKA.

Outre l'hérésie de faire 15->1 puis 16-> 23, je n'ai jamais compris comment RR (ou les autres) sélectionnaient les joueurs qui avaient un lien vers leur fiche perso. C'est au hasard ?

 

Pour te plaire : Alexandre BECOGNEE, renvoi à la fiche de Fabien Alexandre...   

Et Willemse vers Ashwin Willemse...