Dehors la cellule de recrutement ! Dehors !!!!!
Il nous faut plutôt une cellule de dégrisement , celle des condés ne conviendrait pas aux joueurs .
Posted 12 March 2023 - 21:40 PM
Dehors la cellule de recrutement ! Dehors !!!!!
Il nous faut plutôt une cellule de dégrisement , celle des condés ne conviendrait pas aux joueurs .
Posted 12 March 2023 - 21:51 PM
Y'a que moi qui le trouve au mieux passable ? Tout le monde se branle dessus alors que j'ai l'impression qu'il rate un truc sur deux.
Posted 13 March 2023 - 13:17 PM
Je te trouve sévère, il nous avait mal l'an passé.
Malins est très intéressant aussi, que ce soit à l'aile ou à l'arrière.
Posted 13 March 2023 - 14:11 PM
Je te trouve sévère, il nous avait mal l'an passé.
Malins est très intéressant aussi, que ce soit à l'aile ou à l'arrière.
Posted 13 March 2023 - 19:08 PM
Posted 14 March 2023 - 13:13 PM
CU a du avoir du temps avec Retiere ces derniers jours pour avancer
A voir si ils ont passé le temps à aller déguster la truffade pas sûr qu'ils soient sur le bon chemin, quoique QUOIQUE ?!
Posted 14 March 2023 - 13:16 PM
A voir si ils ont passé le temps à aller déguster la truffade pas sûr qu'ils soient sur le bon chemin, quoique QUOIQUE ?!
S'ils ont fait signer des contrats en partageant la truffade ça peut le faire
Posted 14 March 2023 - 13:28 PM
S'ils ont fait signer des contrats en partageant la truffade ça peut le faire
Effectivement à reproduire avec les jeunes on parlera moins du manque d'épaisseur des Lanen et consort si les négociations durent ...
Posted 19 March 2023 - 19:20 PM
Posted 19 March 2023 - 19:33 PM
Pendant ce temps là le LOU recrute un 15 géorgien de 18 balais qui tape dans la beuchigue comme notre Jules.
Il a des cannes pour courir aussi
Posted 19 March 2023 - 20:09 PM
Il a des cannes pour courir aussi
Posted 19 March 2023 - 20:12 PM
Oui aussi.
Erreurrrrrr
Posted 21 April 2023 - 06:02 AM
Ils sont souvent très jeunes ou, au contraire, en fin de carrière. Aussi bien des anonymes que des éléments plus renommés. Certains ont même porté le maillot du quinze de France ou d'autres sélections. Ce sont les joueurs qui n'ont pas encore trouvé d'employeur pour la saison prochaine. Chaque jour ou presque, ils scrutent anxieusement leur téléphone dans l'attente d'une réponse positive qui n'arrive pas.
« C'est toujours le cas sur le dernier trimestre, raconte Mathieu Giudicelli, le directeur général du syndicat des joueurs, Provale. Quand ton agent n'a aucun contact, tu te demandes ce que tu vas faire. C'est hyper compliqué à vivre. » Le phénomène n'est pas nouveau. À chaque printemps, il se réitère.
Et 2023 n'échappe malheureusement pas à la règle, surtout avec la concurrence accrue de main-d'oeuvre venue d'Angleterre, du pays de Galles ou d'Afrique du Sud en quête de stabilité ou d'un meilleur contrat en France.
« Le grand public ne le voit pas mais on a nos lots de petits problèmes au quotidien, savoir si on reste ou on ne reste pas. Quand ça tarde un peu, c'est plus délicat psychologiquement et mentalement »
Vincent Rattez, ailier du MHR libre cet été
Ces joueurs en situation incertaine sont parfois des noms bien connus du Championnat. Patrick Sobela, Noa Nakaitaci, Tavite Veredamu (Lyon), Louis Dupichot (Racing), Yvan Reilhac (prêté à Pau par Montpellier, lire ci-contre), Théo Dachary (Stade Français), Geoffrey Cros (UBB), Yann David (Bayonne) ou encore Leone Nakarawa (Castres) en font notamment partie. Les semaines passent et leur avenir tarde à se décanter.
À Montpellier, Vincent Rattez, libre cet été, n'a pour le moment pas prolongé ni trouvé un nouveau point de chute. Il patiente tant bien que mal. « Ce ne sont pas des situations évidentes, reconnaît l'international de 31 ans aux 8 sélections. Le grand public ne le voit pas mais on a nos lots de petits problèmes au quotidien, savoir si on reste ou on ne reste pas. Quand ça tarde un peu, c'est plus délicat psychologiquement et mentalement. Personne n'aime être dans l'inconnu ou ne pas savoir où il va mettre les pieds mais on essaie d'en faire un peu abstraction. »
Et plus on est âgé, plus on stresse. « C'est encore plus compliqué pour les plus anciens qui ont une famille, constate l'agent sportif Thierry Cazedevals. Ils s'interrogent sur le déménagement, l'école (pour leurs enfants), le cadre de vie, etc. Pour peu que les joueurs n'aient pas anticipé leur reconversion, la tension peut vraiment être importante. »
Mentalement, il faut s'accrocher. À Provale, on tente justement de les accompagner au mieux, et pas seulement à l'aide d'une cellule psychologique. Une liste de joueurs sans contrat pour le prochain exercice est ainsi dressée et régulièrement mise à jour. Elle est ensuite envoyée chaque semaine aux présidents de club et aux managers.
« C'est une liste confidentielle puisque les joueurs n'ont pas forcément envie de faire savoir publiquement qu'ils sont à la recherche d'un club, avoue Giudicelli. On les recense, on les appelle. Ils sont vraiment en détresse. Et nous, on est un peu une main tendue. Certains disent qu'ils ne veulent pas être sur la liste mais plus les semaines passent, plus les inquiétudes augmentent. Ils nous rappellent alors pour avoir un coup de pouce. On les accompagne aussi sur le volet formation-reconversion. S'ils ne retrouvent pas de club, il faudra penser à se reconvertir plus tôt que prévu. »
À l'issue de la saison dernière, 117 joueurs sans contrat avaient ainsi été recensés. Et à la fin de l'été, après une période de mutations allongée, ils étaient encore 27 à rester sur le carreau. « La plupart ont rejoint la filière fédérale, selon le DG de Provale. Ils sont partis en Nationale ou en Fédérale. Les étrangers sont rentrés chez eux. Au final, malgré tout, 80 % des joueurs ont trouvé un club, notamment grâce à notre action bénéfique. »
Alors que la période officielle des mutations s'ouvrira le 1er mai, rien n'est perdu, donc. « On est encore en attente de savoir qui va descendre en Pro D2 et qui va monter en Top 14, explique Cazedevals. Cette incertitude va créer, comme chaque saison, un dernier marché. » Celui des opportunités et des ajustements. Mais aussi de l'espoir.
Posted 25 April 2023 - 22:05 PM
Mieux chercher pour gagner plus. Voilà la devise des cellules de recrutement, chargées de se tromper le moins possible dans l'arrivée de nouveaux joueurs, moyennant un investissement humain et financier important. « Il faut compter entre 1,5 M€ et 3 M€ selon le nombre de recruteurs, leur expérience, les outils utilisés, les voyages, les logiciels... détaille un acteur du marché. Si tu descends en Ligue 2, tu peux commencer à 500 000 €. » Le retour doit être important, autant sportivement que financièrement. Il peut être spectaculaire, à l'image des 302 M€ de plus-value engrangés ces cinq dernières saisons par Lille, l'un des grands spécialistes d'un trading porté par une cellule de recrutement développée par Luis Campos et dont une partie a été conservée.
Mais disposer d'une cellule est finalement une manière assez récente de travailler pour les écuries françaises, même si Lens avait fait figure de précurseur au début des années 1990, sous la houlette de Jean-Luc Lamarche, son directeur sportif de l'époque. Leur structuration l'est encore plus. C'est la voie choisie par la majorité des clubs français, certains depuis plusieurs années, d'autres très récemment. Ces cellules, qui observent entre 150 et 200 matches, par scout et par saison, qui se déplacent (sauf à Toulouse, qui estime que c'est une dépense inutile) dans le monde pour vérifier que les montages vidéo ne sont pas tronqués et qui finissent par avancer sur à peine 5 % des dossiers repérés, sont les plus courantes en France.
« C'est encore rare en France de voir des directeurs sportifs en osmose avec leur cellule sur le recrutement »
Un connaisseur du marché
Quasiment tous les clubs hexagonaux travaillent avec au moins un recruteur pour leur équipe première. Mais les cellules ne tournent pas toutes de la même façon, et la liaison entre les recruteurs et le directeur sportif à leur tête n'est pas toujours idyllique. « C'est encore rare en France de voir des directeurs sportifs en osmose avec leur cellule sur le recrutement, affirme un connaisseur du marché. Ça existe dans certains clubs, mais sinon c'est le directeur sportif qui compose souvent avec son réseau. » Ç'a été le cas de Nice, par exemple, où l'arrivée d'INEOS avait mis un peu de côté les hommes en place jusqu'au recrutement de Florent Ghisolfi, en octobre dernier, qui a replacé la structure interne au coeur du recrutement niçois, même si la formule définitive autour du directeur sportif n'est pas encore actée.
Dans les clubs, les recruteurs se divisent les zones géographiques à couvrir et les Championnats à observer. La plupart des écuries se concentrent sur la France avant d'aller chercher la perle rare à l'étranger. Ils ne sont pas si nombreux à regarder au-delà de nos frontières de manière constante. Toulouse, Lille, Reims, Rennes, Monaco, Lyon, Lorient et Nice font partie des équipes aux observations étrangères les plus fréquentes.
Mais le travail des cellules peut être plus ou moins mis en valeur selon les clubs, par exemple si les propriétaires ou les directeurs sportifs ont, de leur côté, des accords avec des agents ou apporteurs d'affaires. Certains joueurs recrutés peuvent alors se voir parachutés dans un club où ils ne font pas l'unanimité, parfois même sans avoir parlé à l'entraîneur.
Pour structurer leurs recherches, les clubs font appel à des outils externes permettant de gagner du temps. Ces logiciels répandus (Wyscout, InStat...) défrichent le travail des recruteurs en leur proposant une batterie de statistiques détaillées mais aussi des montages vidéos qui permettent de compiler et d'étudier différentes facettes d'un joueur (dribbles, centres, tirs, etc.).
L'organisation de ces sections diverge selon les clubs. Certains s'appuient sur un consultant externe. C'est par exemple le cas à Auxerre, avec David Wantier, ancien agent passé aussi par l'ASSE, qui fait le lien avec les deux recruteurs salariés du club. À l'inverse, à Lyon, Bruno Cheyrou fait partie de l'organigramme du club et il est à la tête d'un noyau plus large de cinq personnes, au sein duquel il vient d'ailleurs de placer l'ancien joueur de Liverpool Stéphane Henchoz, pour la Suisse.
Tous se sont rejoints cependant dans l'utilisation des données statistiques dans leur recrutement. Si Toulouse va très loin dans ce domaine, plusieurs clubs français ont fait le choix de faire venir des data analysts dans leurs cellules. Ils sont chargés de faire le tri dans la montagne de statistiques que les clubs possèdent pour répondre aux besoins du staff technique. Un poste qui doit permettre aux clubs de parfaire leur connaissance d'un joueur (les scouts ne peuvent pas voir tous ses matches) en compilant ses points forts, ses points faibles, en le comparant avec un panel d'autres joueurs du même poste ou en trouvant, par la data, de nouveaux profils. Les statistiques doivent aussi aider les clubs à réagir plus rapidement lorsqu'un profil leur est présenté, en ayant un portrait global de celui-ci.
La structuration des cellules de recrutement doit aussi servir pour que les dirigeants soient les plus indépendants possibles des propositions extérieures. « La cellule est là pour avoir de l'avance sur toutes les décisions que l'on prend, explique un dirigeant. Si on perd un milieu, on doit déjà avoir une liste établie et savoir sur qui on peut avancer le plus rapidement possible sans attendre qu'un agent nous propose des joueurs. » Dans une structure idéale, le cheminement serait le suivant : les recruteurs trouvent le joueur, le coordinateur de la cellule prend contact avec son entourage et le directeur sportif prend la suite pour avancer plus concrètement et tenter de finaliser la piste. En pratique, ce n'est pas toujours comme ça que les choses se passent.
Posted 26 April 2023 - 14:53 PM
Dehors la cellule de recrutement ! Dehors !!!!!
Il nous faut plutôt une cellule de dégrisement , celle des condés ne conviendrait pas aux joueurs .
Non ! Attendons l'année prochaine pour voir si les nouveaux arrivants vont nous permettre de redorer notre blason ! Après, je leur accorde une dernière année puisque le président a déclaré qu'il faudrait deux ou trois ans pour retrouver une équipe compétitive ! On jugera sur les actes et sur les résultats !
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