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Phases finales - Saison 2024/2025 : Finale


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807 réponses à ce sujet

#136 Eastern Outpost

Eastern Outpost

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Posté 27 juin 2025 - 12:50

Le Bar Suspendu a des prix raisonnables  :biere2:



#137 RCV06

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Posté 27 juin 2025 - 14:11

Je viens de tomber sur objectif brennus, bon heureux d'apprendre que Marchand est le meilleur talon du monde

C'est un minimum quand tu joue dans le plus grand club de l univers et de ses environs  :D 



#138 Tchou

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Posté 27 juin 2025 - 16:56

J'aime beaucoup les déclarations d'avant-match.

 

Ugo Mola à propos de Bielle-Biarrey : "C'est un joueur que tout le monde aimerait avoir dans son effectif".

 

Yannick Bru à propos de Ramos : " Thomas Ramos c'est le joueur que tous les entraineurs de Top 14 ont envie d'avoir dans leur effectif".


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#139 marco43

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Posté 27 juin 2025 - 17:13

je suis décontracté, j'ai jamais été autant zen avant une finale, allez les jaunes et bleus, comment ça c'est pas nous en finale et pourquoi? tout se perd, quelle décennie de merde

bon, allez l'UBB quand même



#140 Tchou

Tchou

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Posté 27 juin 2025 - 17:16

je suis décontracté, j'ai jamais été autant zen avant une finale, allez les jaunes et bleus, comment ça c'est pas nous en finale et pourquoi? tout se perd, quelle décennie de merde

bon, allez l'UBB quand même

 

On en est qu'à la moitié, sait-on jamais ??



#141 DOUDOU63

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Posté 27 juin 2025 - 17:29

Salut à tous - La finale qui me passionnait les Crabos de l'ASM est passée avec un titre au bout, du baume au cœur pour le club et nous :huh:  ........Mais celle de demain totalement indifférent ...Comme dit par d'autres, sans l'ASM cela manque de saveur... ^_^ Presque satisfait d'un barrage, c'est tout dire..



#142 el landeno

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Posté 27 juin 2025 - 18:52

« Ici, il est adulé. Alors on le défend » : à Bordeaux, les fans de Matthieu Jalibert sans réserve derrière leur chouchou
Un article sur la défense de Matthieu Jalibert face à l'Angleterre avait suscité de vives réactions de nos lecteurs. Quatre mois plus tard, l'un d'entre eux explique pourquoi l'ouvreur de l'UBB suscite cette passion.

 
 
 

Reconnaissons-le, le titre de l'alerte parvenu sur le téléphone des lecteurs de L'Équipe au matin du 9 février aurait pu être plus soft. « La mauvaise défense de Matthieu Jalibert a contribué à la défaite de la France en Angleterre », ce n'était factuellement pas faux, compte tenu de ses cinq plaquages ratés, dont trois sur une séquence menant à un essai anglais. Mais ça semblait rejeter une grande part de la responsabilité de l'échec tricolore (26-25) sur les épaules du Bordelais, ce qui était excessif.

 
 

Et sur la forme comme sur le fond, ça n'a pas plu. Mais vraiment pas. Le nombre extraordinaire de 1702 commentaires a été posté sous l'article, et c'est une litote de dire que certains étaient très véhéments. Il y a aussi eu ces sept lecteurs qui ont pris la peine de coucher leur colère dans un mail directement adressé à l'auteur. Un chiffre pas énorme en soi, sauf si on le compare avec le zéro habituel. « Je suis offusqué de voir L'Équipe dire que les 5 plaquages loupés de Jalibert sont une, voire la seule raison de la défaite de l'équipe de France », écrivait un des fâchés. « Puis-je savoir ce que Jalibert vous a fait pour qu'il ait droit à un traitement de faveur de votre part ? », s'agaçait un « peut-être ex-lecteur ». Malgré son « profond mépris » , un autre nous balançait : « Votre parti pris concernant M. Jalibert est non seulement nauséabond mais surtout sans aucun fondement, hormis celui d'un délit de sale gueule. »

« Pourquoi ne pas avoir associé à cet article Ramos et Dupont et d'autres ? »

La réaction d'un internaute après Angleterre-France

 
 
 

Entre les lignes, ou via leur adresse mail, on pouvait deviner que ces lecteurs étaient majoritairement supporters de Bordeaux-Bègles. Et que deux sentiments forts les animaient : d'abord un amour immense pour le joueur Jalibert ; ensuite un agacement au moins aussi énorme quant à ce qui est perçu comme une différence de traitement avec les internationaux du Stade Toulousain. « Pourquoi ne pas avoir associé à cet article Ramos et Dupont et d'autres ?, s'interrogeait un mail. Cela ne doit pas être politiquement correct et vous avez peut-être peur d'être interdit de vestiaire du XV de France en critiquant les cadres de l'équipe (au cas où le lecteur aurait un doute, l'auteur précise : non.). » Un autre mail disait : « Soyez rassuré, Romain Ntamack (blessé pour le France-Angleterre du dernier Tournoi) revient dans 15 jours et vous aurez tout loisir, ou vos collègues, de vous apitoyer sur sa longue absence, sa géniale sobriété et sa défense. »

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Matthieu Jalibert aux prises avec Maro Itoje lors de la défaite du XV de France en Angleterre. (A. Mounic/L'Équipe)
 
 

Après ce Crunch, des collègues d'autres médias ont reçu de fortes critiques pour leur évocation de la défense de Matthieu Jalibert. Quand nous en avons discuté, quelques jours plus tard, nous sommes arrivés au même constat : aucun joueur du présent et du passé récent ne génère de telles réactions. Comment l'expliquer ? Pourquoi cette hypersensibilité chez les fans de Jalibert ?

 

Pour comprendre, et alors que se profilent des retrouvailles entre le génie girondin et les Toulousains, on a recontacté certains des lecteurs fâchés. Sur les trois personnes à qui on a écrit, une seule a répondu : Denis, « 50 Tournois au compteur », comme il le revendiquait dans son mail, et au moins autant à suivre le CA Bègles, puis le CABBG, et aujourd'hui l'UBB. « Quelle idée de pondre un article sur Jalibert, sa défense (...) et par ricochet le rendre responsable de la défaite du quinze de France, avait-il écrit en février. À croire que quoi qu'il arrive les papiers étaient écrits à l'avance (en cas de doute du lecteur, même réponse que plus haut). »

« Pour nous, Jalibert, c'est Maradona. Et vous l'avez vu défendre, Maradona ? »

Un autre internaute

 
 
 

Quatre mois plus tard, au téléphone, il s'amuse : « On ne va pas refaire l'histoire, hein ? » Mais sur le fond, ce monsieur posé et nuancé s'interroge toujours : « Pourquoi est-il ciblé comme ça ? qu'est-ce qu'il a fait ? Où veut-on en venir ? Pourquoi ces tournures de phrases dans certains articles pour donner de lui l'image d'une rock-star ? Il est clivant, oui, mais c'est un gars tranquille, qui vit à la campagne, avec ses chiens, que l'on ne voit pas jamais en ville. À Bordeaux, on ne le considère pas du tout comme une rock-star. Ici, il est adulé. Alors, on le défend. »

S'il évoque d'abord l'homme, Denis pourrait parler des heures du joueur Matthieu Jalibert, de l'essai de « délire » qu'il a offert en finale de la Champions Cup face à Northampton, de ses « petites accélérations délicieuses . » Au fil de la discussion, il convoque de grands noms du sport français et mondial. « On va au stade pour le voir. En France, il n'y a que deux joueurs pour qui on paie sa place : lui et (Antoine) Dupont. » Tout en reconnaissant que la défense n'est pas le point fort de son champion, il ajoute : « Pour nous, Jalibert, c'est Maradona. Et vous l'avez vu défendre, Maradona ? » Denis ajoute qu' « on ne peut pas savoir ce qu'il va faire » et précise : « Il est comme Muhammad Ali : je tourne, je pique, je tourne, je pique. C'est un créateur, un Zizou. Je ne sais pas si on a déjà eu un 10 de ce niveau-là en France. »

Une différence de style avec Ntamack qui nourrit une incompréhension

Sur ce point, Fabien Galthié n'a pas l'air d'accord, lui qui a fait de Romain Ntamack son titulaire au poste d'ouvreur en équipe de France, reléguant même parfois Jalibert derrière Thomas Ramos et Antoine Dupont dans la concurrence. La différence de styles entre le sobre Ntamack et l'électrique Jalibert est telle que le choix du sélectionneur nourrit une incompréhension chez une partie des supporteurs des Bleus, et notamment les Bordelais, dont certains soupçonnent un deux poids-deux mesures entre les joueurs de l'UBB et ceux de Toulouse.

« On ressent ça, oui, l'impression que les Toulousains sont épargnés, dit Denis. Personnellement, j'ai fait mon deuil de voir Jalibert en 10 en équipe de France. Dupont-Ntamack est une charnière plus complémentaire. Mais ce qu'on aimerait, c'est voir Lucu et Jalibert rentrer en jeu, et plus tôt dans le match. » Il sourit quand même de la situation : « C'est du clivage de clocher. » Samedi, le clivage de la Garonne sera une finale de Top 14, et Matthieu Jalibert sera de nouveau face à Romain Ntamack, dans un duel qui va quoi qu'il arrive nourrir les discussions. Une boutade, pour finir : au vu de la tempête de février, on espère, quel que soit le résultat, qu'il n'y aura rien de négatif à écrire sur Jalibert.

 
 

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#143 el landeno

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Posté 27 juin 2025 - 19:03

Finale du Top 14. Toulouse – Bordeaux-Bègles : Maxime Lamothe, itinéraire d’un pur produit bordelais
  Lecture 3 min
 
Par Vincent Tessier - sportsgironde@sudouest.fr
Publié le 26/06/2025 à 19h00.
Mis à jour le 26/06/2025 à 19h32.
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Élément essentiel du pack de l’UBB et auteur d’un triplé en demi-finale contre Toulon, le talonneur a fait toutes ses classes dans l’agglomération bordelaise. Plongée dans ses premières années de rugby, de Pessac à Bègles en passant par Talence

Sérieux, humble, gentil, gros bosseur. Ce sont toujours les mêmes qualificatifs qu’emploient les différents éducateurs qui ont côtoyé Maxime Lamothe tout au long de sa progression vers le plus haut niveau. Le talonneur de 26 ans de l’Union Bordeaux-Bègles, qui brille depuis plusieurs saisons au sein du pack girondin, à l’image de son triplé en demi-finale contre Toulon, a fait toutes ses gammes dans l’agglomération bordelaise. Pessac Rugby, pré-filière, plus communément appelé « sports études », au collège Victor-Louis de Talence, CABBG (Club Athlétique Bordeaux Bègles Gironde) puis Pôle Espoirs, toujours à Talence : il est resté dans un rayon de dix kilomètres avant d’intégrer l’UBB.

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Nouveaux leaders de l’UBB, Maxime Lamothe et Yoram Moefana sont sortis de leur coquille pour prendre la parole au sein du groupe cette saison
« On a essayé de le pousser à jouer dans le pack, mais il me disait : ‘‘Si tu me fais jouer devant, j’arrête le rugby’’ »

« Tous les moments que j’ai passés pendant ma jeunesse, que ce soit à Pessac, à Victor-Louis ou au Pôle Espoirs, ce sont des moments qui sont formidables, parce que c’est là que l’on apprend à jouer au rugby, a confié Maxime Lamothe en conférence de presse ce mardi. C’est ce qui a fait ce que je suis aujourd’hui. Mais ce sont aussi beaucoup d’éducateurs que l’on a rencontrés qui nous ont aussi forgés en tant qu’homme. »

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Le talonneur de Bordeaux-Bègles (26 ans) est devenu le premier joueur de l’histoire du Top 14 à inscrire un triplé en phase finale, ce samedi en demi-finale face à Toulon (39-24)

Il est d’ailleurs revenu aux sources il y a quelques semaines, après le sacre en Champions Cup, trophée à la main. « Il est venu avec la Coupe d’Europe au stade, pour la présenter aux 200 gamins de l’école de rugby, raconte le président du Pessac Rugby, Olivier Blanc. C’était un moment émouvant. Il a vraiment pris le temps avec les enfants, on sentait qu’il y avait vraiment beaucoup d’émotion dans son geste. »

  • image0000031.jpg?v=1750959123Le talonneur a eu le droit à une haie d’honneur à son arrivée.
    Pessac Rugby
  • image0000001.jpg?v=1750959123Maxime Lamothe a présenté la Coupe d’Europe à l’école de rugby de son premier club.
    Pessac Rugby
  • image0000011.jpg?v=1750959123Il a pris le temps d’échanger avec les enfants et de poser pour les photos.
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  • image0000031.jpg?v=1750959123Le talonneur a eu le droit à une haie d’honneur à son arrivée.
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  • image0000001.jpg?v=1750959123Maxime Lamothe a présenté la Coupe d’Europe à l’école de rugby de son premier club.
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Ailier et puis c’est tout

Ce destin n’était pourtant pas tout tracé pour ce garçon « plus attiré par le foot » au départ. Il a foulé ses premiers terrains de rugby à l’âge de 10 ans, « pour être avec les copains ». « Maxime avait déjà le physique d’un avant mais il ne voulait pas jouer devant, seulement ailier », relate l’un de ses premiers éducateurs au Pessac Rugby, Herwig Wallraf. « On a essayé de le pousser à jouer dans le pack, mais il me disait : ‘‘Si tu me fais jouer devant, j’arrête le rugby’’, rigole-t-il aujourd’hui. Et à cet âge-là, les enfants sont aussi là pour s’amuser. Mais dès que le ballon partait à l’aile, avec son physique mais aussi sa vitesse, il marquait presque à chaque fois. »

  • whatsapp-image-2025-06-24-at-21-40-30-1.Il y est resté jusqu’en U14.
    Herwig Wallraf
  • whatsapp-image-2025-06-24-at-21-40-30.jpMaxime Lamothe a commencé le rugby sur l’aile, au Pessac Rugby.
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Le second duel consécutif entre Toulouse et l’UBB en finale, samedi au Stade de France, consacre une nouvelle grande rivalité en Top 14

La transition au sein du huit de devant, puis au talon, qu’il a dû opérer à son entrée au Pôle Espoirs, n’a pas été bien vécue par le Talençais de naissance. Un épisode raconté par Eric Vio, responsable de la pré-filière rugby de Victor-Louis, où il a passé ses années de 4e et 3e. « Pendant la détection, les responsables jury troisième ligne lui ont dit après la première série de matchs : ‘‘Cet après-midi, tu joueras talonneur.’’ Et là, il était venu me voir – normalement on n’avait pas le droit de se parler parce que j’étais aussi jury : ‘‘Monsieur Vio, monsieur Vio, ils veulent me faire jouer au talon.’’ Je lui avais répondu : ‘‘Tu t’en fous, Maxime. En mêlée, tu serres un peu les dents et tu t’appuies sur tes piliers. Et pour le reste, tu joues ton jeu.’’ »

« Au final, ils avaient raison : si j’étais resté numéro 8, je n’aurais peut-être pas pu devenir pro »

« On m’a expliqué que je n’étais pas dans la norme, j’étais trop petit pour être troisième ligne, témoignait le principal intéressé dans nos colonnes fin 2023. Moi, je ne souhaitais pas changer de poste, j’avais peur de moins participer au jeu, d’être moins dans le mouvement. Mais au final, ils avaient raison : si j’étais resté numéro 8, je n’aurais peut-être pas pu devenir pro. Et mon passé m’apporte des aptitudes différentes pour un talonneur : plus de mobilité, plus d’explosivité. »

maxime-lamothe.jpg?v=1750959123Maxime Lamothe (casque rouge) s’est établi au talon avec le CABBG.
UBB Rugby
« Envie de bien faire »

Il a fini par appréhender son nouveau poste sous les couleurs du CABBG, gagnant peu à peu sa place de titulaire. « Nous, on l’a connu en apprentissage du poste de talon, développe Nicolas Zenoni, l’un de ses entraîneurs chez les Crabos (moins de 18 ans, NDLR). Il jouait aussi un peu numéro 8 avec nous, parce qu’on voulait profiter de ses qualités. Chez les jeunes, sa marge de progression était dans l’enchaînement des tâches. C’était un garçon qui était capable de faire de grosses actions tranchantes, avec des courses longues. Il courait plus vite que certains trois-quarts. Avec Jules Gimbert et Matthieu Jalibert, c’étaient nos leaders, les trois joueurs phares de l’équipe qui nous faisaient avancer et qui créaient les brèches. »

Pour ce « jeune parfait et facile à entraîner, très disponible, très spontané et qui a envie de bien faire », il lui souhaite désormais une chose, comme l’ensemble de ses éducateurs girondins : soulever le bouclier de Brennus. Que ce soit au Stade de France ou devant leur télévision, tous pousseront derrière le talonneur et son équipe pour le voir ramener le célèbre « bout de bois » à la maison.

 

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Posté 27 juin 2025 - 19:27

Toulouse-UBB, finale de rêve entre héritage et ascension en Top 14
Samedi soir, au Stade de France, l'épilogue du feuilleton domestique opposera les deux meilleures formations de la saison régulière. Les deux clubs, le Stade Toulousain, équipe historique du Championnat, et l'Union Bordeaux-Bègles, jeune et toujours plus conquérante, se retrouvent pour la deuxième fois d'affilée en finale du Top 14.

 
 

Bien sûr, le Stade Toulousain et l'Union Bordeaux-Bègles ne partagent pas la même histoire. Le premier, fondé en 1907, détient le plus beau palmarès du rugby français et européen, alors que la seconde, née il y a moins de vingt ans de la fusion entre le Stade Bordelais et le CA Bordeaux Bègles Gironde, vient tout juste d'ouvrir son armoire à trophées pour y glisser une première Coupe des champions.

 
 

Mais au-delà de ça, les deux clubs présentent beaucoup de similitudes. Un même modèle financier, déjà, basé sur une économie réelle, sans mécènes, et donc forcément tributaire de la performance sportive. Plus Toulouse et l'UBB gagnent, plus ils attirent et/ou fidélisent partenaires et supporters, plus ils vendent des maillots, plus ils étendent leur renommée et plus leurs comptes sont à l'équilibre. Les deux phares du Sud-Ouest se ressemblent un peu aussi dans le jeu pratiqué. Un rugby le plus souvent spectaculaire, carrément létal en phase de contre-attaque, et servi par des avants aussi féroces qu'habiles et des trois-quarts aux jambes de feu. Ce n'est sans doute pas un hasard si les deux joueurs les plus enthousiasmants de ces dernières années, Antoine Dupont et Louis Bielle-Biarrey, appartiennent à ces deux clubs. Blessé au genou, le Toulousain manquera à l'appel de cette finale. Mais LBB, lui, sera bien là.

Histoire : l'insatiable aîné et le jeune ambitieux

 

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En cours de saison, Toulouse a honoré ses champions de France du Brennus 1985, ceux qui avaient sorti le Stade d'une longue période de disette, trente-huit ans sans le bouclier. Depuis, les Haut-et-Garonnais ont bâti le plus beau palmarès du rugby français, avec 16 titres nationaux en quatre décennies, auxquels ils ont ajouté 6 Coupes d'Europe. Inégalable, surtout pour un nouveau venu comme l'UBB. Cette dernière est née d'une fusion, presque un siècle après son voisin, en 2006. L'Union s'appuie sur deux histoires prestigieuses, pourtant, celles du Stade Bordelais et du CA Bègles, 7 Boucliers pour le premier (1899, 1904, 1905, 1906, 1907, 1909, 1911), 2 pour le second (1969, 1991). Mais elle a décidé de ne pas les comptabiliser dans son propre palmarès, sans pour autant les renier.

 
 
 
Economie : solide et florissante

 

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Soutenus par des partenaires économiques aux reins solides et des supporters toujours plus nombreux, Toulouse et Bordeaux-Bègles font aujourd'hui partie des pensionnaires de l'élite qui s'en sortent le mieux financièrement. Si le club rouge et noir a le plus gros budget des deux, le club girondin profite de son stade Chaban-Delmas à 33 000 places, rempli à 100 % de sa capacité tout au long de cette saison, pour établir de très loin la plus grosse affluence moyenne du Championnat. L'UBB dispose ainsi de deux fois plus d'abonnés que le Stade Toulousain. En revanche, elle n'est pas encore aussi populaire que lui sur les réseaux sociaux, comme l'atteste son nombre de followers sur Instagram, plus de deux fois inférieur à celui de Toulouse.

Jeu : l'attaque comme priorité

Par culture et par conviction, Toulouse comme Bordeaux ont fait du spectacle offensif une priorité. Le champion en titre et son dauphin ont, de loin, les deux meilleures attaques du Top 14 et fournissent aux Bleus la quasi-totalité de leur ligne de trois-quarts. Mais si l'objectif est le même, la méthode pour y parvenir diffère. Avec son jeu debout, ses passes après contact, son goût du désordre, Toulouse a presque déposé un modèle protégé, qui évolue selon les opportunités, comme le prouve cette saison son utilisation de la touche comme rampe de lancement prioritaire. Ce style nourrit l'UBB, aussi, mais les Girondins misent au maximum sur leur vitesse pour exploiter au mieux les ballons de récupération.

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Posté 27 juin 2025 - 20:33

Avant la finale du Top 14, de Toulouse à Bordeaux, une rivalité historique au fil de la Garonne
Entre Toulouse et Bordeaux, qui s'affronteront ce samedi soir (21 heures 05) en finale du Top 14, coule la Garonne, véritable lien historique et économique entre les deux villes.

 

Le descendant de l'ancien président de la FFR, Jean Delbert, est arrivé à bicyclette par le Pont-Neuf qui enjambe la Garonne jusqu'au château d'eau où nous avions rendez-vous. Nicolas Delbert est géographe et travaille à la promotion des paysages de la Garonne en collaboration avec ses collègues bordelais. Car ce fleuve est le lien, avec la chocolatine, entre les deux villes finalistes. Alors on est parti au fil de l'eau vers Bordeaux depuis la prairie des Filtres, ce lieu où les rugbymen toulousains disputèrent devant 5 000 personnes leur première finale en 1903. « On jouait en plein coeur de la ville, raconte Delbert. On y faisait tous types d'activités : paître des moutons et même les essais des prototypes des avions de Blériot. »

 
 

Le Stade Toulousain disposera ensuite d'une enceinte un peu plus loin sur la Garonne, aux Ponts-Jumeaux, puis après la construction de la rocade, occupera l'actuel stade Ernest-Wallon dans le quartier des Sept Deniers. Ce nom, c'est Bruno Delpech, le président du club de Blagnac, qui nous l'a expliqué. « Il y avait trois terrains depuis l'endroit où se trouve l'aéroport jusqu'à la Garonne. Le premier était dédié à la culture des céréales, le deuxième aux fruits et le dernier, au niveau du stade, aux légumes. Ici, c'était un champ de carottes. On les emportait en charrette pour ravitailler Toulouse. Il fallait alors, pour les maraîchers, s'acquitter du passage du bac qui coûtait... sept deniers ! »

C'est sur l'ancien champ de carottes qu'Ugo Mola a été formé au rugby. « Il avait la vitesse et le sens de l'évitement mais surtout du tempérament, sourit Delpech. Il n'aimait pas perdre. » Ça n'a pas changé ! Mais le talent précoce fut Maxime Médard. « Quand il jouait en poussin, raconte Delpech, on allait le voir jouer. » Dorian Aldegheri a aussi été formé ici. « C'est son grand-père, maçon, qui l'a emmené à une détection du Stade. Il n'en est jamais reparti. » De la brasserie du club, on peut voir le match sur sa gauche et s'écouler la Garonne sur sa droite. « Il y a longtemps, poursuit Delpech, les tribunes étaient en bois et le terrain éclairé par des phares de DS et des batteries de voitures. Mais elles ont été emportées par les crues. » « La Garonne est autant désirée qu'elle est crainte, explique Delbert. Les crues sont ancrées dans les mémoires collectives. »

Toulouse la paysanne, Bordeaux la bourgeoise

La plus grande crue de la Garonne demeure à ce jour celle du 23 juin 1875. On a compté plus de 200 morts. Émile Zola en a tiré un récit bouleversant, L'Inondation : « De toutes parts, elles pointaient à la fois des vagues poussant des vagues, une débandade de masses d'eau moutonnant sans fin. » « Il y a 150 ans presque jour pour jour, note Delbert, Bordeaux et Toulouse ont été frappées par des crues exceptionnelles et se retrouvent aujourd'hui en finale. » Unies dans le malheur du fleuve et son abondance. C'est le paradoxe de la Garonne. Il dévaste les cités et les plaines mais quand l'eau se retire, elle laisse une terre si fertile.

 

On dépasse l'abbaye de Belleperche pour rejoindre Saint-Nicolas-de-la-Grave, le village natal d'Antoine de Lamothe-Cadillac qui a quitté ses terres à 25 ans pour rejoindre la belle province puis fonder la ville de Detroit. Le constructeur automobile américain porte d'ailleurs ce nom en hommage au Gascon. La maison où il est né a été transformée en musée, à deux pas des halles du village, avec un don de la ville de Detroit. La Garonne poursuit nonchalamment son court. Les langues vont bientôt se séparer.

 
 

« On n'a pas le même occitan, explique l'écrivain toulousain de roman noir Benoît Sénéchal. C'est de l'Occitan, eux le Gascon, nous le Languedocien. » Sénéchal a été vaguement rugbyman, comme on est toujours un peu obligé dans ce coin de France. « Tu joues, tu te bats et ensuite tu vas boire un coup avec les mecs d'en face. Moi j'aimais bien. Car le rugby est une chose importante pour nous. On a grandi dans ce complexe vis-à-vis des Bordelais, ce ramassis de bourgeois, avec leurs grands vins et leur port. Nous, on est resté un village de paysans jusque dans les années 1970. Après, le rugby et l'aéronautique nous ont rendu notre fierté. D'ailleurs ils sont sur le même maillot. Mais cette rivalité s'est étiolée. Les "airbusiens", ils n'en ont rien à foutre de l'animosité entre Bordeaux et Toulouse. Et Les Bordelais ont changé aussi, ce sont des Parisiens ou des Anglais, donc à part quelques vieux cons. »

C'est vrai que longtemps Bordeaux était le port de Toulouse vers le grand large. « Sous Louis XIV, raconte Delbert, on a empierré les berges pour canaliser le fleuve afin de transporter du bois de construction, du marbre. La galerie des Glaces (château de Versailles) a été réalisée à partir du marbre des Pyrénées passé par la Garonne jusqu'à Bordeaux, puis l'Atlantique et la Seine. »

Et puis le train a pris le dessus. Alors on a ensuite extrait les galets, les graviers du fleuve. Le père du philosophe Michel Serres, grand amateur de rugby, y dirigeait une entreprise d'extraction. Serres a ainsi beaucoup navigué sur ce fleuve puissant. « Il faut être un très bon marin, disait-il, pour être un marrant d'eau douce. » La maison de la Garonne à Boé rend hommage à celui qui disait à propos du ballon de rugby : « Il dégage toute une puissance politique d'organisation d'une communauté. »

« On aime le Stade mais disons que si c'est Bordeaux qui gagne, ça fera du changement »

Guillaume, un supporter d'Agen

 
 
 

Michel Serres est enterré au cimetière Gaillard d'Agen, son club de coeur. Il y repose non loin d'Albert Ferrasse et de Guy Basquet, qui ont longtemps tenu la Fédération. On y a croisé Guillaume venu arroser les fleurs sur les tombes de son père et de sa grand-mère. Ce jour-là, ce supporter d'Agen portait un maillot du Stade Toulousain et, autour du cou, un cordon aux couleurs de l'UBB. « Je n'avais même pas fait attention ! On aime le Stade mais disons que si c'est Bordeaux qui gagne, ça fera du changement. » Même réflexion chez le président du CO Colayrac qui dispose d'une merveille de petit stade à moins d'un drop de la Garonne. Le maire du village a viré les footballeurs pour le laisser exclusivement à l'usufruit du club de rugby et notamment de ses 70 joueuses.

Tonneins, là où on commence à encourager l'UBB

C'est à partir de là que l'on commence à encourager l'UBB. On arrive à Tonneins, bastion treiziste, ce rugby qui dominait avant que le gouvernement de Vichy ne l'affaiblisse avec l'aide des quinzistes. C'est pourquoi la désignation d'une minuscule rue de l'ex-dirigeant quinziste et vichyssois Paul Voivenel à Tonneins a logiquement posé problème.

La Garonne traverse ensuite des villes de rugby - Marmande, La Réole, Langon - avant d'arriver aux premières vignes. Forcément. Les alluvions de la Garonne ont donné aux Bordelais leur richesse majuscule. Rémi Lamerat, tout jeune retraité de l'UBB (en 2023) qui a produit sa première cuvée en 2022, a créé le domaine du Grand Jour, une dizaine d'hectares de cabernet sauvignon, de merlot et de cépages endémiques, avec même une guinguette d'où il retransmettra la finale. Son père a joué avec celui d'Ugo Mola puisque tous les deux sont originaires de Saint-Foy-la-Grande.

Lamerat a débarqué à 15 ans au Stade Toulousain. « J'ai eu des éducateurs très enrichissants. Avec le recul, ce qui m'a plu, c'est la culture de la gagne. Ces mecs, sous des airs de grosses machines, avaient une grande humilité. On ne retrouve pas ça dans tous les clubs. Ils avaient tout gagné et pour autant ne se croyaient pas arrivés. » C'est dans un autre contexte qu'il signe à Bordeaux. « J'arrivais pour apporter mon expérience. Il y avait moins le poids de l'histoire. Mais une structure solide avec l'ambition de construire dans la durée, sans brûler les étapes. C'est un club très sain où les choses se font sans grand discours. »

On a achevé notre voyage à Bègles, là où la Garonne se présente à Bordeaux. Bernard Junca nous y attendait au restaurant historique du club, le Damier. Junca a réalisé, comme il le dit, « la fusion avant l'heure ». Il est en effet passé du Stade Bordelais au CA Bègles en 1970. Agrégé de lettres modernes, professeur à l'université de Bordeaux, il n'en était pas moins un deuxième-ligne d'une certaine modernité. Bègles était identifié comme un club d'ouvriers. Dont un certain nombre travaillait en lien avec le fleuve et son grand large dans des pêcheries de morue, la fabrication des filets. Des maraîchers aussi avec la culture du radis « nourri par les sédiments de la Garonne », précise-t-il.

« Lorsqu'un joueur partait d'un petit club pour Bordeaux, les gens râlaient. Aujourd'hui, quand on va chercher un joueur de Langon ou Sainte-Foy-la-Grande, c'est un honneur »

Bernard Junca, ancien deuxième-ligne de Bordeaux et de Bègles

 
 
 

Le Stade Bordelais était lui le club de la bourgeoisie. « On vivait sur ces images assez ancrées dans l'imaginaire bèglo-bordelais. La réalité n'était pas cela... La population des joueurs était la même, un mélange d'ouvriers, d'agriculteurs, d'étudiants. Mais on se servait de ces schémas pour nouer une vraie rivalité. La force du président (Laurent) Marti, c'est d'avoir créé un troisième club. L'UBB c'est autre chose, on ne va pas y retrouver les gènes des anciens clubs, ce qui a décontenancé les anciens. C'est une identité nouvelle, moderne, avec un ancrage régional. Quand je jouais, lorsqu'un joueur partait d'un petit club pour Bordeaux, les gens râlaient. Aujourd'hui, quand on va chercher un joueur de Langon ou Sainte-Foy-la-Grande, c'est un honneur. Et puis avant, dans les stades, il y avait essentiellement les amis, la famille. On était consanguins. Aujourd'hui, on ne remplit pas Chaban qu'avec des mecs qui ont joué au rugby. »

La Garonne rentre au coeur de Bordeaux. « La rénovation de la ville s'est faite à partir de la Garonne, explique le professeur Junca. La cité est désormais encore plus ouverte sur le fleuve. Avec bien sûr quelques noirceurs et l'évocation du passé négrier de Bordeaux. Mais, symboliquement et physiquement, le fleuve est pour nous très présent. » Comme pour les Toulousains. De sorte que vainqueurs ou vaincus célébreront ce samedi soir cette finale sur leurs berges respectives. Entre eux coulera toujours la Garonne.

 
 

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#146 Codorplusàvie

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Posté 27 juin 2025 - 20:39

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UBB-Toulouse : combien va toucher le vainqueur de la finale du Top 14 https://share.google/jGXz2yA5CctJyp83G

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Posté 27 juin 2025 - 21:39

pas de préférence , que celui qui pratique le plus beau jeu sur ce match

soit sacré 


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Posté 27 juin 2025 - 22:09

Toulon je les trouve sacrés perso mais je m'égare, ils méritaient



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Posté 27 juin 2025 - 23:01

Allez Toulouse, ça me ferait chier que Bordeaux gagne. 

 

Et puis Toulouse ne perd jamais de finale. 

 

Je sens un peu le même match qu'il y a deux ans face a La Rochelle, une victoire a l'experience de Toulouse. 



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Posté 28 juin 2025 - 05:23

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C'est bon, ptg 63




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