jouer au rugby avec un cagnia pareil , juste inhumain ..
Cagnard en français
coin
Posté 25 juin 2025 - 15:21
jouer au rugby avec un cagnia pareil , juste inhumain ..
Cagnard en français
coin
Posté 25 juin 2025 - 15:26
Cagnard en français
coin
Un cagnard de bagnard.
Ca ramollit le dard.
Tsoin.
Posté 25 juin 2025 - 15:50
Maux de tête, vertiges encore en de semaine dernière, personne n'est optimiste et même son coach ne lui trouve pas un faciès reposé.
Certes, ce n'est pas ODFICIEL, mais c'est bien compromis.
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Posté 25 juin 2025 - 16:03
Yannick < Guy
même école ne l'oublions pas... maître à élève ! 15 ans là bas quand même...
Que tu joue l intox contre n importe lequel des 12 autres ok, mais tu vas pas apprendre au vieux singe du ST a faire la grimace.
Ils ne préparent pas leur match en fonction de la présence de LBB ou pas, ils sont assez sur de leurs forces pour ne se concentrer que sur eux même et leur jeu.
Bru il a appris avec Noves, mais Molla il sort du même moule, donc match nul !
jouer au rugby avec un cagnia pareil , juste inhumain ..
C'est le soir la finale, a la fraiche
Posté 25 juin 2025 - 16:12
Posté 25 juin 2025 - 16:18
je deteste le cyclisme mais imagine le TDF avec ce temps! ca doit etre bien pire.
Des fois rouler c'est le seul moyen d'avoir un peu d'air, par contre faut pas s'arrêter
Posté 25 juin 2025 - 16:22
mélange pas tout
Posté 25 juin 2025 - 18:39
Des fois rouler c'est le seul moyen d'avoir un peu d'air, par contre faut pas s'arrêter
Posté 26 juin 2025 - 07:04
Groupama Stadium de Lyon-Décines, vendredi soir. Alors que son équipe vient de terrasser dans la douleur Bayonne en demi-finales du Top 14 (32-25), le manager toulousain Ugo Mola se présente en conférence de presse. Ses mots sont forts. « Mes admirateurs vont encore me reprendre sur le sujet, mais on a vécu une saison en enfer, dit-il face à des médias circonspects. Alors oui, on est meilleure attaque et meilleure défense, mais on a vécu une saison en enfer en termes de blessures et de situations un peu complexes à gérer. Être en finale de cette saison-là, avec ce qui s'est passé, c'est la performance d'un groupe qui ne lâche pas. »
En enfer, vraiment ? Au regard de la domination écrasante des Rouge et Noir en phase régulière (1ers avec 12 points d'avance sur l'UBB, 2e), de ses records de points (891) et d'essais (118), on pensait plutôt que l'enfer était pour les autres. Mais on comprend où le technicien toulousain voulait en venir. Son club a traversé quelques tempêtes, parfois dramatiques, pour en arriver là. Souvenez-vous.
L'horreur pour commencer. Le 7 août 2024, en pleine prépa de sa saison, le Stade Toulousain apprend la disparition en mer d'un de ses enfants du club, le demi de mêlée Medhi Narjissi (17 ans), emporté par les courants meurtriers d'une plage du cap de Bonne-Espérance, Dias Beach, en Afrique du Sud. Le gamin participait à une séance de récupération dans l'eau de mer en marge d'un Tournoi avec la sélection française des moins de 18 ans.
Au club, c'est la consternation. La colère, aussi, quand une enquête interne de la Fédération française et des investigations administratives de l'Inspection générale de l'Éducation, du Sport et de la Recherche (IGESR) relèveront des manquements graves des encadrants dans l'organisation de cette séance sur une plage réputée dangereuse. Le parquet d'Agen, saisi par la famille, ouvre également une enquête qui aboutira le 3 juin à la mise en examen pour homicide involontaire de Stéphane Cambos et Robin Ladauge, respectivement manager et préparateur physique des U18 tricolores au moment des faits.
« Ca a été fort, voire très fort. Pour être passé par des drames personnels, je ne pense pas avoir vécu quelque chose comme ça dans le rugby depuis que je le pratique. »
Ugo Mola, entraîneur de Toulouse
Le Stade Toulousain, lui, n'aura de cesse toute la saison de penser à son jeune n° 9. Il lui rendra une première fois hommage le 15 septembre sur la pelouse d'Ernest-Wallon, en amont d'un match de Top 14 face à La Rochelle (35-27, 2e j.). Puis une seconde sur la plage même de Dias Beach, le 7 janvier, lors du déplacement du club en Afrique du Sud pour y affronter les Sharks en Coupe des champions. « Ça a été fort, voire très fort, confiera Mola. Pour être passé par des drames personnels, je ne pense pas avoir vécu quelque chose comme ça dans le rugby depuis que je le pratique. » Quatre jours plus tard, Toulouse battra les Sharks à Durban (8-20), mais sans le bonus offensif qu'il escomptait et qui lui aurait permis de terminer en tête de sa poule.
C'est une histoire qui a bien pollué la deuxième partie de saison du Stade Toulousain, du moins en coulisses. Le 28 janvier, notre journal révélait en effet que l'arrière international Melvyn Jaminet avait contracté en 2022 deux emprunts personnels d'un montant total de 450 000 € pour racheter ses deux dernières années de contrat à l'USAP et s'engager avec le Stade. Une somme que le club rouge et noir devait lui restituer mais qu'il n'a jamais récupérée, l'argent s'évaporant dans un drôle de montage financier mêlant notamment l'ancien avocat Arnaud Dubois et Pacific Heart, une société enregistrée au registre du commerce de Papeete (Tahiti).
Suspecté d'avoir cherché à contourner la règle du salary-cap, Toulouse fait alors l'objet d'un rapport du contrôleur et entame aussitôt une procédure de médiation avec la LNR. Résultat ? Le paiement d'une amende d'1,3 M € qui sonne comme un aveu de culpabilité. Et ce n'est peut-être pas terminé, puisque l'Autorité de régulation du rugby (A2R) s'est aussi saisie du dossier et devrait prochainement rendre ses conclusions. Si elle constate une infraction, elle pourrait aller jusqu'à prendre des sanctions sportives à l'encontre du club, comme un retrait de points, applicables la saison prochaine.
« Aujourd'hui, on est obligé de laisser parler et interpréter, même si parfois ça nous frustre un peu, observait Mola début avril. Dans ce dossier, la première mi-temps est clairement perdue par le Stade Toulousain sur le plan médiatique. J'ose espérer qu'il y aura une seconde mi-temps où on pourra dire certaines choses. » Depuis, le président Didier Lacroix se défend comme il peut, arguant notamment que l'intégration des indemnités libératoires des joueurs dans l'assiette du salary-cap était « contraire à la loi ». Jaminet, lui, a enfin été remboursé de ses emprunts.
C'est en regardant la France battre l'Irlande dans le Tournoi des Six Nations (27-42), le 8 mars, que le Stade Toulousain voit aussi son demi de mêlée et capitaine Antoine Dupont clore sa saison dans un cri de douleur. Fauché par un féroce déblayage du deuxième-ligne adverse Tadhg Beirne, le prodige s'effondre. Un diagnostic tombe rapidement : rupture du ligament croisé antérieur du genou droit, le même qui avait déjà cédé en février 2018 contre cette même Irlande.
Pour la première fois depuis le début de l'hégémonie de la génération actuelle, Toulouse doit donc aborder les phases finales de la Coupe des champions et du Top 14 sans son maître à jouer. Saura-t-il gagner quand même ? « Dupont, c'est déjà un écart de 14 points assuré pour son équipe au coup d'envoi, nous racontait récemment l'ancien deuxième-ligne international du Stade Fabien Pelous (118 sélections). Parce qu'on sait qu'il empêchera l'adversaire de marquer un essai et qu'il en marquera un lui-même ou en donnera un à ses coéquipiers. »
Quatorze points, c'est presque l'écart de la défaite des Rouge et Noir face à l'UBB (35-18), en demi-finales de la Coupe des champions, le 4 mai. On ne saura jamais si Toulouse aurait gagné avec Dupont. On sait juste qu'il a perdu sans lui. Aujourd'hui, trois mois et demi après sa blessure, le joueur poursuit sa rééducation et profite de ses moments de repos pour approcher d'autres milieux (Festival de Cannes, Roland-Garros, etc.).
Vendredi dernier, il était bien sûr à Lyon pour encourager ses partenaires (32-25 contre Bayonne). « Ça va bien, a-t-il confié au micro de Canal+. Rien de très amusant en ce moment. Je suis toujours en train de travailler physiquement pour regagner de l'amplitude et du volume musculaire avant la reprise de la course qui arrivera dans les prochaines semaines. » Dupont ne devrait pas reprendre la compétition avant l'automne prochain.
« Tu peux être nul au rugby, tu peux te tromper, mais c'est plus embêtant quand tu ne fais pas. Et on a eu le sentiment de ne pas faire. Est-ce qu'on est capable de faire cette année ? J'attends de voir. »
Ugo Mola, entraîneur de Toulouse
Le Stade Toulousain n'aime pas perdre. Surtout avec des regrets. C'est pourtant ce qui lui est arrivé le 4 mai à Bordeaux face à l'UBB, en Coupe des champions. Ce jour-là, certes privé de Dupont (genou), Peato Mauvaka (genou), Thomas Ramos (mollet) et Blair Kinghorn (genou), il avait notamment perdu la bataille du sol et laissé son adversaire lui dicter son tempo.
« Ce qui nous laisse un goût amer dans la bouche, ce n'est pas que Bordeaux soit champion, c'est juste qu'on a la sensation de ne pas avoir été nous-mêmes, observait Mola la semaine dernière. On a traversé ce match sans trop de réactions. Et ça, ce n'est pas notre mantra. Tu peux être nul au rugby, tu peux te tromper, mais c'est plus embêtant quand tu ne fais pas. Et on a eu le sentiment de ne pas faire. Est-ce qu'on est capable de faire cette année ? J'attends de voir. » Depuis cet échec, Toulouse donne l'impression d'être branché sur courant alternatif. Sa demie face à l'Aviron n'a sûrement pas rassuré ses supporters. Mais il est toujours meilleur en finale. Et il n'y a parfois qu'un pas entre l'enfer et le paradis.
Posté 26 juin 2025 - 08:52
Disparition de Medhi Narjissi, affaire Melvyn Jaminet, blessure d'Antoine Dupont... Toulouse, une saison de tourmentsEn finale du Top 14 pour la troisième fois d'affilée, le Stade Toulousain a pourtant vécu un exercice paradoxal, où ses performances sur le terrain ont régulièrement cohabité avec de lourds tracas en dehors. Retour sur une année pas comme les autres.
Groupama Stadium de Lyon-Décines, vendredi soir. Alors que son équipe vient de terrasser dans la douleur Bayonne en demi-finales du Top 14 (32-25), le manager toulousain Ugo Mola se présente en conférence de presse. Ses mots sont forts. « Mes admirateurs vont encore me reprendre sur le sujet, mais on a vécu une saison en enfer, dit-il face à des médias circonspects. Alors oui, on est meilleure attaque et meilleure défense, mais on a vécu une saison en enfer en termes de blessures et de situations un peu complexes à gérer. Être en finale de cette saison-là, avec ce qui s'est passé, c'est la performance d'un groupe qui ne lâche pas. »
En enfer, vraiment ? Au regard de la domination écrasante des Rouge et Noir en phase régulière (1ers avec 12 points d'avance sur l'UBB, 2e), de ses records de points (891) et d'essais (118), on pensait plutôt que l'enfer était pour les autres. Mais on comprend où le technicien toulousain voulait en venir. Son club a traversé quelques tempêtes, parfois dramatiques, pour en arriver là. Souvenez-vous.
La disparition de Medhi NarjissiL'horreur pour commencer. Le 7 août 2024, en pleine prépa de sa saison, le Stade Toulousain apprend la disparition en mer d'un de ses enfants du club, le demi de mêlée Medhi Narjissi (17 ans), emporté par les courants meurtriers d'une plage du cap de Bonne-Espérance, Dias Beach, en Afrique du Sud. Le gamin participait à une séance de récupération dans l'eau de mer en marge d'un Tournoi avec la sélection française des moins de 18 ans.
Au club, c'est la consternation. La colère, aussi, quand une enquête interne de la Fédération française et des investigations administratives de l'Inspection générale de l'Éducation, du Sport et de la Recherche (IGESR) relèveront des manquements graves des encadrants dans l'organisation de cette séance sur une plage réputée dangereuse. Le parquet d'Agen, saisi par la famille, ouvre également une enquête qui aboutira le 3 juin à la mise en examen pour homicide involontaire de Stéphane Cambos et Robin Ladauge, respectivement manager et préparateur physique des U18 tricolores au moment des faits.
« Ca a été fort, voire très fort. Pour être passé par des drames personnels, je ne pense pas avoir vécu quelque chose comme ça dans le rugby depuis que je le pratique. »
Ugo Mola, entraîneur de Toulouse
Le Stade Toulousain, lui, n'aura de cesse toute la saison de penser à son jeune n° 9. Il lui rendra une première fois hommage le 15 septembre sur la pelouse d'Ernest-Wallon, en amont d'un match de Top 14 face à La Rochelle (35-27, 2e j.). Puis une seconde sur la plage même de Dias Beach, le 7 janvier, lors du déplacement du club en Afrique du Sud pour y affronter les Sharks en Coupe des champions. « Ça a été fort, voire très fort, confiera Mola. Pour être passé par des drames personnels, je ne pense pas avoir vécu quelque chose comme ça dans le rugby depuis que je le pratique. » Quatre jours plus tard, Toulouse battra les Sharks à Durban (8-20), mais sans le bonus offensif qu'il escomptait et qui lui aurait permis de terminer en tête de sa poule.
L'affaire Melvyn JaminetC'est une histoire qui a bien pollué la deuxième partie de saison du Stade Toulousain, du moins en coulisses. Le 28 janvier, notre journal révélait en effet que l'arrière international Melvyn Jaminet avait contracté en 2022 deux emprunts personnels d'un montant total de 450 000 € pour racheter ses deux dernières années de contrat à l'USAP et s'engager avec le Stade. Une somme que le club rouge et noir devait lui restituer mais qu'il n'a jamais récupérée, l'argent s'évaporant dans un drôle de montage financier mêlant notamment l'ancien avocat Arnaud Dubois et Pacific Heart, une société enregistrée au registre du commerce de Papeete (Tahiti).
Suspecté d'avoir cherché à contourner la règle du salary-cap, Toulouse fait alors l'objet d'un rapport du contrôleur et entame aussitôt une procédure de médiation avec la LNR. Résultat ? Le paiement d'une amende d'1,3 M € qui sonne comme un aveu de culpabilité. Et ce n'est peut-être pas terminé, puisque l'Autorité de régulation du rugby (A2R) s'est aussi saisie du dossier et devrait prochainement rendre ses conclusions. Si elle constate une infraction, elle pourrait aller jusqu'à prendre des sanctions sportives à l'encontre du club, comme un retrait de points, applicables la saison prochaine.
« Aujourd'hui, on est obligé de laisser parler et interpréter, même si parfois ça nous frustre un peu, observait Mola début avril. Dans ce dossier, la première mi-temps est clairement perdue par le Stade Toulousain sur le plan médiatique. J'ose espérer qu'il y aura une seconde mi-temps où on pourra dire certaines choses. » Depuis, le président Didier Lacroix se défend comme il peut, arguant notamment que l'intégration des indemnités libératoires des joueurs dans l'assiette du salary-cap était « contraire à la loi ». Jaminet, lui, a enfin été remboursé de ses emprunts.
La blessure d'Antoine DupontC'est en regardant la France battre l'Irlande dans le Tournoi des Six Nations (27-42), le 8 mars, que le Stade Toulousain voit aussi son demi de mêlée et capitaine Antoine Dupont clore sa saison dans un cri de douleur. Fauché par un féroce déblayage du deuxième-ligne adverse Tadhg Beirne, le prodige s'effondre. Un diagnostic tombe rapidement : rupture du ligament croisé antérieur du genou droit, le même qui avait déjà cédé en février 2018 contre cette même Irlande.
Pour la première fois depuis le début de l'hégémonie de la génération actuelle, Toulouse doit donc aborder les phases finales de la Coupe des champions et du Top 14 sans son maître à jouer. Saura-t-il gagner quand même ? « Dupont, c'est déjà un écart de 14 points assuré pour son équipe au coup d'envoi, nous racontait récemment l'ancien deuxième-ligne international du Stade Fabien Pelous (118 sélections). Parce qu'on sait qu'il empêchera l'adversaire de marquer un essai et qu'il en marquera un lui-même ou en donnera un à ses coéquipiers. »
Antoine Dupont s'est rompu un ligament croisé du genou droit le 8 mars contre l'Irlande (27-42). (A. Mounic/L'Équipe)Quatorze points, c'est presque l'écart de la défaite des Rouge et Noir face à l'UBB (35-18), en demi-finales de la Coupe des champions, le 4 mai. On ne saura jamais si Toulouse aurait gagné avec Dupont. On sait juste qu'il a perdu sans lui. Aujourd'hui, trois mois et demi après sa blessure, le joueur poursuit sa rééducation et profite de ses moments de repos pour approcher d'autres milieux (Festival de Cannes, Roland-Garros, etc.).
Vendredi dernier, il était bien sûr à Lyon pour encourager ses partenaires (32-25 contre Bayonne). « Ça va bien, a-t-il confié au micro de Canal+. Rien de très amusant en ce moment. Je suis toujours en train de travailler physiquement pour regagner de l'amplitude et du volume musculaire avant la reprise de la course qui arrivera dans les prochaines semaines. » Dupont ne devrait pas reprendre la compétition avant l'automne prochain.
« Tu peux être nul au rugby, tu peux te tromper, mais c'est plus embêtant quand tu ne fais pas. Et on a eu le sentiment de ne pas faire. Est-ce qu'on est capable de faire cette année ? J'attends de voir. »
Ugo Mola, entraîneur de Toulouse
La perte du titre européenLe Stade Toulousain n'aime pas perdre. Surtout avec des regrets. C'est pourtant ce qui lui est arrivé le 4 mai à Bordeaux face à l'UBB, en Coupe des champions. Ce jour-là, certes privé de Dupont (genou), Peato Mauvaka (genou), Thomas Ramos (mollet) et Blair Kinghorn (genou), il avait notamment perdu la bataille du sol et laissé son adversaire lui dicter son tempo.
« Ce qui nous laisse un goût amer dans la bouche, ce n'est pas que Bordeaux soit champion, c'est juste qu'on a la sensation de ne pas avoir été nous-mêmes, observait Mola la semaine dernière. On a traversé ce match sans trop de réactions. Et ça, ce n'est pas notre mantra. Tu peux être nul au rugby, tu peux te tromper, mais c'est plus embêtant quand tu ne fais pas. Et on a eu le sentiment de ne pas faire. Est-ce qu'on est capable de faire cette année ? J'attends de voir. » Depuis cet échec, Toulouse donne l'impression d'être branché sur courant alternatif. Sa demie face à l'Aviron n'a sûrement pas rassuré ses supporters. Mais il est toujours meilleur en finale. Et il n'y a parfois qu'un pas entre l'enfer et le paradis.
Merci Landeno pour le partage.
Le ST c’est dingue la posture de pleureuse de ce club et depuis tout le temps.
Ils ne conçoivent pas de ne pas toujours gagner et surtout de voir un autre club les bousculer de leur pied d’estale
De plus, ils n’en reviennent pas que la mafia cassoulet n’ait plus la même influence en coulisse.
Je vois l’arrivée de l’UBB comme une opportunité pour le rugby français car c’était devenu insensé cette histoire du grand stade
C’est dommage ce boulard car le ST a un savoir-faire incontestable pour gagner et la belle image est dégradée
Posté 26 juin 2025 - 09:03
Merci Landeno pour le partage.
Le ST c’est dingue la posture de pleureuse de ce club et depuis tout le temps.
Ils ne conçoivent pas de ne pas toujours gagner et surtout de voir un autre club les bousculer de leur pied d’estale
De plus, ils n’en reviennent pas que la mafia cassoulet n’ait plus la même influence en coulisse.
Je vois l’arrivée de l’UBB comme une opportunité pour le rugby français car c’était devenu insensé cette histoire du grand stade
C’est dommage ce boulard car le ST a un savoir-faire incontestable pour gagner et la belle image est dégradée
Les types gagnent minimum un titre par saison, des fois 2, et quand une année ils n écrasent pas tout le monde, c'est les plus malheureux de la terre.
Entendre des gens se plaindre la bouche pleine c'est pénible, c'est un manque, d humilité et de respect pour les autres.
C'est vraiment leur gros défaut.
Posté 26 juin 2025 - 10:23
Posté 26 juin 2025 - 11:55
ah pardon, il semblerait que j'ai mal lu ta phrase en effet.
Toutes mes excuses!
Et oui N'Tamack je suis ni fan de son style de jeux ni de sa mentalité. Je prefere Jalibert, mais, il semble avoir du mal à jouer avec Dupont qui prend trop de place dans le jeux alors qu'il en a lui meme besoin de beaucoup.
Pas sûr que leurs styles soit compatible malheureusement...
Je pense que la campagne de dé-bashing orchestrée par l'ubb sur Jalibert est en partie de l'esbrouf. Ce mec porte sur lui - au moins autant que NTK - une attitude hautaine et des propos de peu d'humilité. Mais la vie est parfois bien faite : tant que Dupont sera là en Edf, Jaja aura quelque peu la trajectoire d'un Cantona écarté de l'Edf car Jacquet voulait structurer le jeu autour de Zidane donc avec ses potes.
ca sert à rien de lui repondre, il deteste les bordelais. Point barre
Marchand qui chambre Wardi, il trouvera ca normal, classique, meme si Wardi repond par un coup de boule. ca va c'etait pas gratuit et debile, c'est juste un rituel rugbystique
Ramos qui chambre, c'est normal aussi, des doigts d'honneur pour repondre à des insultes est une preuve que c'est un winner qui a juste mauvais caractere. Ah OK!
NTK soulagé de la defaite des bleus parce qu'il n'aurait pas pu soulever la coupe est une preuve de coequipier modéle et de gendre ideal. ca va aussi
Par contre Jalibert qui chambre Dumora en reponse aux insultes du public pendant tout le match et chambrage des joueurs ou qui chambre/repond au gentil Pollock est juste un connard pretentieux dont les actions vont à l'encontre des valeurs du rugby et de la morale
C'est de la comprehension/interpretation selective. y a pas mort d'homme meme si c'est relou à la longue
Tu oublie le chambrage sur la tête de son capitaine en EdF, qui plus alors qu'il traverse une passe difficile. Mais tu as raison, c'est sûr Aldritt est vraiment un imbécile d'avoir cru qu'il pouvait rattraper le ballon dans son embut sans faire une cagade, donc il méritait largement un tel chambrage... Et Jalibert dans son infinie mansuétude voulait lui redonner un peu de peps pour la suite, donc ça partait d'un bon sentiment.
Et sinon le Midol n'a pas fait des articles sur le blues de Jalibert lorsqu'il a été ejecté de l'EdF après son imbroglio avec Gathoch ?
Non, tu as raison, globalement les toulousains sont des gens sans morale et donneurs de leçon.
Posté 26 juin 2025 - 12:19
Les types gagnent minimum un titre par saison, des fois 2, et quand une année ils n écrasent pas tout le monde, c'est les plus malheureux de la terre.
Entendre des gens se plaindre la bouche pleine c'est pénible, c'est un manque, d humilité et de respect pour les autres.
C'est vraiment leur gros défaut.
On va pas chipoter sur ces conneries de déclas dans la presses et les chambrages des uns er des autres ; concentrons nous sur l'essentiel : Le Rugeby. Seule cette belle rencontre a de l'importance, affiche assez représentative de la saison, avec ce coup ci le Stade qui ne prend pas la place du favori. Je veux y croire parce que Toulouse, mais y a vraiment moyen que les Bordelais fassent un doublé et rentrent dans la cour des grands cette année. Bref, j'espère que les petites phrases alakon ne prennent pas le dessus face à l'évènement sportif.
Que le meilleur gagne et allez Toulouse (con).
Posté 26 juin 2025 - 12:57
Je pense que la campagne de dé-bashing orchestrée par l'ubb sur Jalibert est en partie de l'esbrouf. Ce mec porte sur lui - au moins autant que NTK - une attitude hautaine et des propos de peu d'humilité. Mais la vie est parfois bien faite : tant que Dupont sera là en Edf, Jaja aura quelque peu la trajectoire d'un Cantona écarté de l'Edf car Jacquet voulait structurer le jeu autour de Zidane donc avec ses potes.
Tu oublie le chambrage sur la tête de son capitaine en EdF, qui plus alors qu'il traverse une passe difficile. Mais tu as raison, c'est sûr Aldritt est vraiment un imbécile d'avoir cru qu'il pouvait rattraper le ballon dans son embut sans faire une cagade, donc il méritait largement un tel chambrage... Et Jalibert dans son infinie mansuétude voulait lui redonner un peu de peps pour la suite, donc ça partait d'un bon sentiment.
Et sinon le Midol n'a pas fait des articles sur le blues de Jalibert lorsqu'il a été ejecté de l'EdF après son imbroglio avec Gathoch ?
Non, tu as raison, globalement les toulousains sont des gens sans morale et donneurs de leçon.
Je ne reviendrais pas sur le chambrage d Alldritt (j’avais dit en temps et en heure que c’était debile mais que ça ne méritait pas d’y passer 1 semaine dessus), ni sur le génie de Galthié.
ok sur la dernière phrase et je rajouterais même qu’ils ont le boulard intersidéral!
On va pas chipoter sur ces conneries de déclas dans la presses et les chambrages des uns er des autres ; concentrons nous sur l'essentiel : Le Rugeby. Seule cette belle rencontre a de l'importance, affiche assez représentative de la saison, avec ce coup ci le Stade qui ne prend pas la place du favori. Je veux y croire parce que Toulouse, mais y a vraiment moyen que les Bordelais fassent un doublé et rentrent dans la cour des grands cette année. Bref, j'espère que les petites phrases alakon ne prennent pas le dessus face à l'évènement sportif.
Que le meilleur gagne et allez Toulouse (con).
Je m’insurge! Il faut combien de points d’avance sur le second pour être favori?
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